GROUPE DE VACANCES 24
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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GROUPE DE VACANCES 24
GROUPE DE VACANCES 24
Ep 24 ON FETE LE VICTOIRE
Je gardais un écouteur dans l'oreille pour pouvoir suivre ce qui se disait …
La radio
Un voix masculine : On me dit que Djé, le champion … vient de réapparaître, il a une salle tête … oui je le vois d’où je suis, il a vraiment une salle tête, on dirait qu'il a pleuré !
Une voix féminine : Peut être son état dépressif, on sait maintenant qu'il ne se dope pas mais, pour moi, on aura du mal après ça à me faire croire qu'il n'est pas dans une état dépressif à le voir comme ça !
Je sursautais en entendant ça ! Justine arrivait vers moi, elle semblait inquiète .
Ju : Djé, tu sais ce que la radio dit de toi, en ce moment même ? Tu vas me faire le plaisir de disparaître, de te passer le l'eau sur la figure et ne réapparaître que quand …
Djé : Vous aussi maître, vous écoutez la radio ?
Elle aussi avait un écouteur dans l'oreille … Il lui montrait le mien ...
Djé : Laissez moi faire !
Elle avait l'air affolée de la légèreté de ma réaction. Je jetais un regard rapide dans la foule et très vite je repérais … Les commères … Un groupe de filles qui étaient surnommées ainsi, je vous laisse deviner pourquoi … Non, vous n'avez pas deviné ? C'est simple si on voulait que quelque chose soit répété dans tout le campus, il suffisait de le leur confier tel un secret … Elles savaient être très efficaces.
C'est en prenant un air encore plus triste que je passais à proximité de ce groupe. Liliane ne me lâchait pas du regard. Une chance je trouvais des lunettes de soleil dans ma poche, nous sommes en hiver ! Au moment où elle m'interpellait, je mettais mes lunettes en fuyant son regard … Merde, elles étaient cassées … Tant mieux, j'aurai l'air encore plus misérable !
Lil : Djé, ça ne va pas ?
Je baissais la tête et lui faisait signe de ne pas m'approcher ! Elle mordait à l’hameçon, j'aurais parié la Rolls que ça marcherait, au risque de me faire engueuler par Mr Le Conte, vu que c'était pas la mienne ! Elle me tombait dessus ne me laissant aucune chance de fuir !
Lil : Djé, je vois bien que quelque chose ne va pas ! Tu viens ici tout de suite que je te réconforte !
Elle est arrogante et suffisante et c'est si facile de la manipuler !
Moi : Non, Liliane, tout va bien, laisse moi !
Lil : Mais tu as vu ta tête, et ces lunettes ridicules !
Elle me les retirait .
Lil : Mais tu as pleuré !
Elle me prenait dans ses bras, je me laissais faire !
A la radio
voix masculine : En tout cas Djé semble savoir où trouver du réconfort, d’où je suis je le vois dans les bras d'une fille, pas mal en plus, une belle blonde …
Voix féminine : Voyons tu sais très bien qu'il ne peut rien faire avec elle … (rires joyeux)
Avec Liliane je laissais monter la sauce puis je finissais par me confier !
Moi : C'est Nath (dans un sanglot) elle m'a largué ! (dans un autre sanglot … Bon j'en rajoutais)
Lil : Mon pauvre, tu n'as pas de chance …
Moi : Elle est partie avec Lionel ! … Hier !(en larmes, avec Liliane on en fait jamais trop)
Lil : Forcément, mais mon pauvre toi tu pouvais rien faire avec elle, lui au moins il est pas impuissant !
Moi : Il faut que je te laisse, mais tu me promets, tu ne dis rien à personne …
Lil : Promis mon petit Djé, je suis une tombe !
'' ... Impuissant …'' ! C'est quand même une garce cette Liliane ! Mais bon, elle est efficace . Quand elle dit, je suis une tombe, on peut considérer que la moitié de la fac est déjà au courant ! Je rentrais à nouveau dans les vestiaires. Justine me retrouvais .
Justine : Mais tu fais quoi là Djé ? Tu me fais plaisir et tu arrêtes tes conneries, jusque là tu gérais bien la situation, mais là …
La radio
Voix féminine : J'apprends que nous nous sommes trompé, c'est pas une crise de dépression, la copine de Djé vient de le larguer, juste avant une compétition, et d'une manière, je ne vous raconte pas ...
Voix masculine : D'une certaine manière, ça me rassure car comme on dit une de perdue …
Autre voix féminine : Non mais je t'en prie. Djé est trop mignon, nous sommes avec lui et je suis sûr qu'il ne tardera pas à en trouver une autre bien mieux .
je regardais l'avocate avec un regard triste … Elle était stupéfaite ! Puis lui faisait un grand sourire !
Jus : Tu es fort Djé, tu es fort … Il faudra que tu me dises comment tu as fait ça !
Moi : Je me passe de l'eau sur la figure et j'essaye ne pas me réconforter trop vite !
Je relevais mon col, cachais mon suçon, me retournais vers Justine …
Moi : Si on voit ça alors que je suis en train de pleurer ma copine, ça va paraître bizarre, non ?
Jus : Tu es fort Djé, si un jour tu es dans les affaires je ne voudrais pas avoir à négocier contre toi !
On sortait, j'entendais Justine marmonner … '' ... Et il n'a que vingt ans le gamin ... ''
La seconde journée n'était pas aussi glorieuse que la première, on était moins bon dans ces épreuves mais on raflait tout de même plus des deux tiers des médailles ou coupes sur toute la compétition ! Au fait, Antoine nous l'a ramenée sa coupe … C'était un grand succès, en deux jours l'opinion public s'était retourné. Face à ce résultat la chaîne me présentait des excuses …
J'étais porté en triomphe, on me donnait une énorme bouteille de champagne pour arroser l'équipe... Devant les caméras je faisais l'andouille … J’hésitais … Je ne voulais pas … '' On va pas gaspiller du bon champagne ! ''. Tout le monde rigolait … On me criait '' t'inquiète pas Djé y en a d'autre '' … J'arrosais tout le monde !
La fête se prolongeait tard dans la nuit, on riait … Nathalie débarquait, tout le monde s'écartait devant elle en la regardant de travers, elle venait vers moi …
Nath : Bravo Djé !
Je baissais mon col ! Ses yeux lui ressortaient de la tête !
Nath : Je vois que tu n'as pas traîner pour me remplacer !
Moi : Pourquoi, j'aurais dû ?
Voyant cela deux filles se jetaient dans mes bras, je les rattrapaient …L'une lui disait … '' Merci Nath … '', l'autre rajoutait … '' Merci Nath … ''. Furieuse Nathalie sortait sans rien rajouter … Les deux filles me faisaient une bise sur la joue, elles sortaient toutes les deux avec des amis à moi … Je rajoutais … '' Merci les filles '' ! Tout le monde rigolait … La fête reprenait de plus belle !
Je rentrais tard, j'avais un peu bu, pas autant que je buvais un an et demis plus tôt, mais un peu-beaucoup tout de même. Julien et Antoine m'accompagnaient …
Moi : Vous savez les gars, étrangement, j'ai pas envie de me faire un mec ce soir, là, j'ai fais quoi aujourd'hui pour ne pas avoir envie de baiser ? D'habitude, quand je fais la fête, que je bois un peu, je ne rentre pas tout seul ! Il y a même des soirs ou je me fais deux mecs, bon, je ne parlerai pas du soir ou je m'en suis fait quatre ou cinq, en plus de Julien, en fait ce soir là, il y en avait peut être cinq ou six … J'sais pas !
Ils se bidonnaient à m'entendre, il me fallait la largeur de la rue pour avancer, ils étaient chacun de leur coté pour me rattraper si besoin …
Moi : Ah oui, je me souviens, je me suis fait les deux chauffeurs ! Oué ! C'était cool ! Deux d'un coup, en même temps, dans le cul ! Ou la, Ouah, là ça fait mal ! Vous avez déjà essayé ça les gars, deux d'un coup !
Ils rigolaient de plus en plus, il ne me croyaient pas.
Moi : Si, si vous pouvez me croire les potes. Et il faut me croire, ça fait mal … J'ai adoré ! Faudra que je recommence ça moi ! Surtout qu'ils sont balaises ! Balaises, je veux dire bien montés …
On arrivait chez moi, je traversais la route, allais à la porte de mon ancien appartement, sortais la clée de ma poche … Je me retournais vers mes copains …
Moi : La clée, elle est en panne ! Elle marche plus ! Vous en avez pas une meilleur ! Peut être qu'elle est cassée ! Y a pas d'piles dans les clées ? C'est quoi qu'elle marche plus ?
Ils étaient pliés de rire …
Julien : Il ne sait même plus où il habite !
Antoine : Djé, maintenant tu habites en face !
Moi : En face ! Non ! J'vou crois pas ! Burp !
Ils arrivaient tous les deux sur moi me soulevaient en me prenant chacun par un bras, me faisait traverser la route et me posait en douceur devant la porte de mon immeuble. Je voulais me retourner et retraverser la route. Julien me retenait, Antoine me prenait la clée, ouvrait la porte !
Moi : Comment t'as fait ça toi, t'as les clées ?
Ils étaient morts de rire, ils me soulevaient à nouveau et me faisaient entrer. Je gueulais …
Moi : J'veux pas aller là moi, J'veux aller à la maison !
Julien : Les voisins vont finir par gueuler s'il continue !
Antoine : Le seul voisin, c'est Greg !
Ils me portaient jusqu'à mon appartement, je gueulais toujours la même chose ! On entrait !
Antoine : On va le mettre dans son lit .
Julien entrait dans une chambre en ressortait !
Julien : Il y a déjà quelqu'un dans le lit !
Antoine : C'est Charles !
Julien : Non c'est pas Charles, c'est le gars balaise qui était avec les gardes du corps !
Antoine : C'est Jean François alors, c'est que c'était pas la bonne chambre !
Ils finissaient par me jeter sur mon lit, me déshabillaient, je ne me laissais pas faire, je gueulais … Les têtes de Jean François et de Charles apparaissaient dans l'ouverture de ma porte …
JF : Mais qu'est ce qui se passe ici ?
Julien : C'est rien, il est bourré comme un goret (chez moi on dit goret pour parler d'un cochon, on peut aussi dire rond comme une queue de pelle, mais je préfère pas car là, il saurait ou se la mettre la queue de pelle … Note du narrateur).
JF : Bon mais essayez de ne pas faire trop de bruit les jeunes …
Je finissais par me retrouver, difficilement, complètement à poil ! Ils étaient là, amusés à me regarder …
Julien : Dis moi Antoine tu crois qu'on peut dormir ici ?
Antoine : Pourquoi pas !
Moi : Vous habitez loin ?
Julien : De l'autre coté de la rue !
Moi : C'est loin, vous devriez rester dormir ici, en plus il fait froid dehors, et moi je sais pas où je suis !
A ces mots ils se regardaient, incrédules … Rapidement ils se déshabillaient et se jetaient sur le lit … Ils se jetaient sur moi, me caressaient partout, me léchaient les tétons, me mordillaient, m'embrassaient sur la bouche, sur le nez, sur les yeux, dans le coup !
Moi : Vas y doucement, j'ai un suçon, je sais plus qui m'a … mais bon … Il faut attendre que ça cicatrise !
Antoine : Attend, j'ai une vengeance à assouvir …
Il prenait un plug de taille moyenne et me l'enfonçais doucement mais fermement, Julien continuait à me caresser, m'embrasser pour me faire taire, je me détendais. Pendant toute la journée j'avais gardé une étrange et douce sensation dans mon cul. Il avait été vraiment bien stimulé ce matin et ce plug ne rentrait pas seulement sans résistance, il me provoquait aussi un plaisir immédiat, j'avais l'impression que ma cage allait exploser, je sentais ma bite se contracter, tenter en vain de se redresser, je la sentais pousser désespérément contre les parois de la cage, je jouissais instantanément deux giclées de sperme parvenaient à l'embouchure de ma cage suivies par un flot de ce liquide blanc qui coulait pendant un long moment … Je me sentais bien, je ne savais pas où j'étais mais j'étais bien !
Mes deux camarades n'en restaient pas là ! Je les observais d'un œil ! Ils étaient debout au pied de mon lit, ils s'approchaient l'un de l'autre les mains se touchaient, les mains rencontraient les bras, les torses, les lèvres s’effleuraient puis, alors que les bras s’étreignaient, les lèvres se collaient l'une à l'autre … Leurs corps se frottaient, se caressaient … L'un retenait son camarade par les reins, l'autre lui passait la main derrière la tête, les épaules … C'est accrochés l'un à l'autre comme indécollables qu'ils se laissaient tomber sur mon lit à coté de moi, je jubilais et surtout n'en manquait pas une miette.
Antoine attaquait en premier … Il glissait une main entre les fesses de son partenaire, l'autre soupirait doucement de plaisir … Il lui introduisait un doigt dans l'anus, l'autre relevait la tête en arrière en gémissant doucement … Un deuxième doigt suivait, les gémissements devenaient plus audibles …
J'étais parfaitement détendu, je somnolais à moitié, la tête me tournait … Plus la moindre pression du coté de mon dispositif, je jetais un œil, mon pénis le remplissait bien mais rien de dépassait, rien n'essayait de sortir … Je me caressais les testicules, la cage, je sentais la peau de ma queue par les orifices d'aération mais tout restait calme …
Quand je relevais les yeux, Antoine avait enfilé le gode ceinture et il s'introduisait doucement dans l'anus de Julien qui était penché en avant … Il avait vraiment changé Julien en moins de six mois … Il en redemandait, il ne cachait pas son plaisir … Vas y ... doucement … Ouiiiii … Encore … Aaaa ! … Antoine savait faire monter le plaisir, je l'avais pratiqué aussi comme chacun sait ! Antoine décrochait le gode de sa ceinture, passait une seconde ceinture gode autour de Julien en prenant soin de glisser la sangle arrière pour retenir le gode qu'il laissait en place …
C'est avec un gode planté dans le cul que Julien se fixait un autre gode à sa ceinture … Je sais il faut être équipé pour ce genre de soirée, mais Charles est très prévoyant … Julien introduisait à son tour le gode dans le cul d'Antoine qui le recevait en gémissant … '' Ohhh, oui, vas y, j'adore, oui vas y bien à fond '' … Les mouvements régulier de Julien ne provoquaient pas seulement un plaisir chez Antoine mais il se faisait plaisir à lui-même …
Toujours cette sensation dans mon anus, depuis ce matin, je me sentais rempli, depuis que les deux chauffeurs m'avaient fait découvrir ce nouveau plaisir … Là, la sensation devenait plus forte, je me sentais vraiment rempli, c'était vraiment bon, j'avais l'impression que j’allais jouir de nouveau …
Antoine avait repris sa position initiale et lui aussi se gardait le gode dans le cul, je voyais un liquide blanc couler de la cage de Julien, il fermait les yeux, respirait fort, son souffle était fort … Les mouvements d'Antoine devenaient plus lents, plus fatigués, il relevait la tête respirait bruyamment aussi … Les deux garçons semblaient se synchroniser, ils respiraient en cœur, plus fort, encore plus fort … Et c'est ensemble qu'il poussaient un cri de plaisir, je voyais de profil une giclée de sperme s'éjecter de leurs dispositifs en même temps puis, le sperme coulait longuement …
Je sentais que j'allais jouir à mon tour, toujours l'impression d'avoir le cul bien rempli … et une pression qui doucement augmentait au niveau de ma cage … Toujours, oh oui, ça vient, je le sens, ça vient …
…
Je me réveillais avec un léger mal de crane . Le souvenir de cette soirée me revenait rapidement. Julien dormait sur le ventre à ma gauche, un instant j'admirais ses fesses je les lui caressais. Antoine dormait sur le dos de l'autre coté, je passais ma main sur sa cage …
Je me relevais, et toujours cette sensation dans mon culs … Oh oui, c'était bon … Je me dirigeais vers la salle de bain … Souvent après s'être fait enculé on garde la sensation d'une présence, un peu comme si le gode, la bite était toujours là … Au début quant on n'est pas habitué, c'est de la douleur mais ensuite, c'est bon pendant un long moment … Mais ça n'avait jamais duré si longtemps . J'arrivais à la salle de bain … Je hurlais !
Moi : Antoine, tu es vraiment un enfoiré tu m'as laissé le plug dans le cul toute la nuit !
Je l'entendais se réveiller, et déjà il rigolait comme une baleine !
N'hésitez surtout pas à laisser un commentaire !
Suivez les aventure de David , de Djé ainsi que tous mes récits sur le blog : https://charlychast.tumblr.com/
Ep 24 ON FETE LE VICTOIRE
Je gardais un écouteur dans l'oreille pour pouvoir suivre ce qui se disait …
La radio
Un voix masculine : On me dit que Djé, le champion … vient de réapparaître, il a une salle tête … oui je le vois d’où je suis, il a vraiment une salle tête, on dirait qu'il a pleuré !
Une voix féminine : Peut être son état dépressif, on sait maintenant qu'il ne se dope pas mais, pour moi, on aura du mal après ça à me faire croire qu'il n'est pas dans une état dépressif à le voir comme ça !
Je sursautais en entendant ça ! Justine arrivait vers moi, elle semblait inquiète .
Ju : Djé, tu sais ce que la radio dit de toi, en ce moment même ? Tu vas me faire le plaisir de disparaître, de te passer le l'eau sur la figure et ne réapparaître que quand …
Djé : Vous aussi maître, vous écoutez la radio ?
Elle aussi avait un écouteur dans l'oreille … Il lui montrait le mien ...
Djé : Laissez moi faire !
Elle avait l'air affolée de la légèreté de ma réaction. Je jetais un regard rapide dans la foule et très vite je repérais … Les commères … Un groupe de filles qui étaient surnommées ainsi, je vous laisse deviner pourquoi … Non, vous n'avez pas deviné ? C'est simple si on voulait que quelque chose soit répété dans tout le campus, il suffisait de le leur confier tel un secret … Elles savaient être très efficaces.
C'est en prenant un air encore plus triste que je passais à proximité de ce groupe. Liliane ne me lâchait pas du regard. Une chance je trouvais des lunettes de soleil dans ma poche, nous sommes en hiver ! Au moment où elle m'interpellait, je mettais mes lunettes en fuyant son regard … Merde, elles étaient cassées … Tant mieux, j'aurai l'air encore plus misérable !
Lil : Djé, ça ne va pas ?
Je baissais la tête et lui faisait signe de ne pas m'approcher ! Elle mordait à l’hameçon, j'aurais parié la Rolls que ça marcherait, au risque de me faire engueuler par Mr Le Conte, vu que c'était pas la mienne ! Elle me tombait dessus ne me laissant aucune chance de fuir !
Lil : Djé, je vois bien que quelque chose ne va pas ! Tu viens ici tout de suite que je te réconforte !
Elle est arrogante et suffisante et c'est si facile de la manipuler !
Moi : Non, Liliane, tout va bien, laisse moi !
Lil : Mais tu as vu ta tête, et ces lunettes ridicules !
Elle me les retirait .
Lil : Mais tu as pleuré !
Elle me prenait dans ses bras, je me laissais faire !
A la radio
voix masculine : En tout cas Djé semble savoir où trouver du réconfort, d’où je suis je le vois dans les bras d'une fille, pas mal en plus, une belle blonde …
Voix féminine : Voyons tu sais très bien qu'il ne peut rien faire avec elle … (rires joyeux)
Avec Liliane je laissais monter la sauce puis je finissais par me confier !
Moi : C'est Nath (dans un sanglot) elle m'a largué ! (dans un autre sanglot … Bon j'en rajoutais)
Lil : Mon pauvre, tu n'as pas de chance …
Moi : Elle est partie avec Lionel ! … Hier !(en larmes, avec Liliane on en fait jamais trop)
Lil : Forcément, mais mon pauvre toi tu pouvais rien faire avec elle, lui au moins il est pas impuissant !
Moi : Il faut que je te laisse, mais tu me promets, tu ne dis rien à personne …
Lil : Promis mon petit Djé, je suis une tombe !
'' ... Impuissant …'' ! C'est quand même une garce cette Liliane ! Mais bon, elle est efficace . Quand elle dit, je suis une tombe, on peut considérer que la moitié de la fac est déjà au courant ! Je rentrais à nouveau dans les vestiaires. Justine me retrouvais .
Justine : Mais tu fais quoi là Djé ? Tu me fais plaisir et tu arrêtes tes conneries, jusque là tu gérais bien la situation, mais là …
La radio
Voix féminine : J'apprends que nous nous sommes trompé, c'est pas une crise de dépression, la copine de Djé vient de le larguer, juste avant une compétition, et d'une manière, je ne vous raconte pas ...
Voix masculine : D'une certaine manière, ça me rassure car comme on dit une de perdue …
Autre voix féminine : Non mais je t'en prie. Djé est trop mignon, nous sommes avec lui et je suis sûr qu'il ne tardera pas à en trouver une autre bien mieux .
je regardais l'avocate avec un regard triste … Elle était stupéfaite ! Puis lui faisait un grand sourire !
Jus : Tu es fort Djé, tu es fort … Il faudra que tu me dises comment tu as fait ça !
Moi : Je me passe de l'eau sur la figure et j'essaye ne pas me réconforter trop vite !
Je relevais mon col, cachais mon suçon, me retournais vers Justine …
Moi : Si on voit ça alors que je suis en train de pleurer ma copine, ça va paraître bizarre, non ?
Jus : Tu es fort Djé, si un jour tu es dans les affaires je ne voudrais pas avoir à négocier contre toi !
On sortait, j'entendais Justine marmonner … '' ... Et il n'a que vingt ans le gamin ... ''
La seconde journée n'était pas aussi glorieuse que la première, on était moins bon dans ces épreuves mais on raflait tout de même plus des deux tiers des médailles ou coupes sur toute la compétition ! Au fait, Antoine nous l'a ramenée sa coupe … C'était un grand succès, en deux jours l'opinion public s'était retourné. Face à ce résultat la chaîne me présentait des excuses …
J'étais porté en triomphe, on me donnait une énorme bouteille de champagne pour arroser l'équipe... Devant les caméras je faisais l'andouille … J’hésitais … Je ne voulais pas … '' On va pas gaspiller du bon champagne ! ''. Tout le monde rigolait … On me criait '' t'inquiète pas Djé y en a d'autre '' … J'arrosais tout le monde !
La fête se prolongeait tard dans la nuit, on riait … Nathalie débarquait, tout le monde s'écartait devant elle en la regardant de travers, elle venait vers moi …
Nath : Bravo Djé !
Je baissais mon col ! Ses yeux lui ressortaient de la tête !
Nath : Je vois que tu n'as pas traîner pour me remplacer !
Moi : Pourquoi, j'aurais dû ?
Voyant cela deux filles se jetaient dans mes bras, je les rattrapaient …L'une lui disait … '' Merci Nath … '', l'autre rajoutait … '' Merci Nath … ''. Furieuse Nathalie sortait sans rien rajouter … Les deux filles me faisaient une bise sur la joue, elles sortaient toutes les deux avec des amis à moi … Je rajoutais … '' Merci les filles '' ! Tout le monde rigolait … La fête reprenait de plus belle !
Je rentrais tard, j'avais un peu bu, pas autant que je buvais un an et demis plus tôt, mais un peu-beaucoup tout de même. Julien et Antoine m'accompagnaient …
Moi : Vous savez les gars, étrangement, j'ai pas envie de me faire un mec ce soir, là, j'ai fais quoi aujourd'hui pour ne pas avoir envie de baiser ? D'habitude, quand je fais la fête, que je bois un peu, je ne rentre pas tout seul ! Il y a même des soirs ou je me fais deux mecs, bon, je ne parlerai pas du soir ou je m'en suis fait quatre ou cinq, en plus de Julien, en fait ce soir là, il y en avait peut être cinq ou six … J'sais pas !
Ils se bidonnaient à m'entendre, il me fallait la largeur de la rue pour avancer, ils étaient chacun de leur coté pour me rattraper si besoin …
Moi : Ah oui, je me souviens, je me suis fait les deux chauffeurs ! Oué ! C'était cool ! Deux d'un coup, en même temps, dans le cul ! Ou la, Ouah, là ça fait mal ! Vous avez déjà essayé ça les gars, deux d'un coup !
Ils rigolaient de plus en plus, il ne me croyaient pas.
Moi : Si, si vous pouvez me croire les potes. Et il faut me croire, ça fait mal … J'ai adoré ! Faudra que je recommence ça moi ! Surtout qu'ils sont balaises ! Balaises, je veux dire bien montés …
On arrivait chez moi, je traversais la route, allais à la porte de mon ancien appartement, sortais la clée de ma poche … Je me retournais vers mes copains …
Moi : La clée, elle est en panne ! Elle marche plus ! Vous en avez pas une meilleur ! Peut être qu'elle est cassée ! Y a pas d'piles dans les clées ? C'est quoi qu'elle marche plus ?
Ils étaient pliés de rire …
Julien : Il ne sait même plus où il habite !
Antoine : Djé, maintenant tu habites en face !
Moi : En face ! Non ! J'vou crois pas ! Burp !
Ils arrivaient tous les deux sur moi me soulevaient en me prenant chacun par un bras, me faisait traverser la route et me posait en douceur devant la porte de mon immeuble. Je voulais me retourner et retraverser la route. Julien me retenait, Antoine me prenait la clée, ouvrait la porte !
Moi : Comment t'as fait ça toi, t'as les clées ?
Ils étaient morts de rire, ils me soulevaient à nouveau et me faisaient entrer. Je gueulais …
Moi : J'veux pas aller là moi, J'veux aller à la maison !
Julien : Les voisins vont finir par gueuler s'il continue !
Antoine : Le seul voisin, c'est Greg !
Ils me portaient jusqu'à mon appartement, je gueulais toujours la même chose ! On entrait !
Antoine : On va le mettre dans son lit .
Julien entrait dans une chambre en ressortait !
Julien : Il y a déjà quelqu'un dans le lit !
Antoine : C'est Charles !
Julien : Non c'est pas Charles, c'est le gars balaise qui était avec les gardes du corps !
Antoine : C'est Jean François alors, c'est que c'était pas la bonne chambre !
Ils finissaient par me jeter sur mon lit, me déshabillaient, je ne me laissais pas faire, je gueulais … Les têtes de Jean François et de Charles apparaissaient dans l'ouverture de ma porte …
JF : Mais qu'est ce qui se passe ici ?
Julien : C'est rien, il est bourré comme un goret (chez moi on dit goret pour parler d'un cochon, on peut aussi dire rond comme une queue de pelle, mais je préfère pas car là, il saurait ou se la mettre la queue de pelle … Note du narrateur).
JF : Bon mais essayez de ne pas faire trop de bruit les jeunes …
Je finissais par me retrouver, difficilement, complètement à poil ! Ils étaient là, amusés à me regarder …
Julien : Dis moi Antoine tu crois qu'on peut dormir ici ?
Antoine : Pourquoi pas !
Moi : Vous habitez loin ?
Julien : De l'autre coté de la rue !
Moi : C'est loin, vous devriez rester dormir ici, en plus il fait froid dehors, et moi je sais pas où je suis !
A ces mots ils se regardaient, incrédules … Rapidement ils se déshabillaient et se jetaient sur le lit … Ils se jetaient sur moi, me caressaient partout, me léchaient les tétons, me mordillaient, m'embrassaient sur la bouche, sur le nez, sur les yeux, dans le coup !
Moi : Vas y doucement, j'ai un suçon, je sais plus qui m'a … mais bon … Il faut attendre que ça cicatrise !
Antoine : Attend, j'ai une vengeance à assouvir …
Il prenait un plug de taille moyenne et me l'enfonçais doucement mais fermement, Julien continuait à me caresser, m'embrasser pour me faire taire, je me détendais. Pendant toute la journée j'avais gardé une étrange et douce sensation dans mon cul. Il avait été vraiment bien stimulé ce matin et ce plug ne rentrait pas seulement sans résistance, il me provoquait aussi un plaisir immédiat, j'avais l'impression que ma cage allait exploser, je sentais ma bite se contracter, tenter en vain de se redresser, je la sentais pousser désespérément contre les parois de la cage, je jouissais instantanément deux giclées de sperme parvenaient à l'embouchure de ma cage suivies par un flot de ce liquide blanc qui coulait pendant un long moment … Je me sentais bien, je ne savais pas où j'étais mais j'étais bien !
Mes deux camarades n'en restaient pas là ! Je les observais d'un œil ! Ils étaient debout au pied de mon lit, ils s'approchaient l'un de l'autre les mains se touchaient, les mains rencontraient les bras, les torses, les lèvres s’effleuraient puis, alors que les bras s’étreignaient, les lèvres se collaient l'une à l'autre … Leurs corps se frottaient, se caressaient … L'un retenait son camarade par les reins, l'autre lui passait la main derrière la tête, les épaules … C'est accrochés l'un à l'autre comme indécollables qu'ils se laissaient tomber sur mon lit à coté de moi, je jubilais et surtout n'en manquait pas une miette.
Antoine attaquait en premier … Il glissait une main entre les fesses de son partenaire, l'autre soupirait doucement de plaisir … Il lui introduisait un doigt dans l'anus, l'autre relevait la tête en arrière en gémissant doucement … Un deuxième doigt suivait, les gémissements devenaient plus audibles …
J'étais parfaitement détendu, je somnolais à moitié, la tête me tournait … Plus la moindre pression du coté de mon dispositif, je jetais un œil, mon pénis le remplissait bien mais rien de dépassait, rien n'essayait de sortir … Je me caressais les testicules, la cage, je sentais la peau de ma queue par les orifices d'aération mais tout restait calme …
Quand je relevais les yeux, Antoine avait enfilé le gode ceinture et il s'introduisait doucement dans l'anus de Julien qui était penché en avant … Il avait vraiment changé Julien en moins de six mois … Il en redemandait, il ne cachait pas son plaisir … Vas y ... doucement … Ouiiiii … Encore … Aaaa ! … Antoine savait faire monter le plaisir, je l'avais pratiqué aussi comme chacun sait ! Antoine décrochait le gode de sa ceinture, passait une seconde ceinture gode autour de Julien en prenant soin de glisser la sangle arrière pour retenir le gode qu'il laissait en place …
C'est avec un gode planté dans le cul que Julien se fixait un autre gode à sa ceinture … Je sais il faut être équipé pour ce genre de soirée, mais Charles est très prévoyant … Julien introduisait à son tour le gode dans le cul d'Antoine qui le recevait en gémissant … '' Ohhh, oui, vas y, j'adore, oui vas y bien à fond '' … Les mouvements régulier de Julien ne provoquaient pas seulement un plaisir chez Antoine mais il se faisait plaisir à lui-même …
Toujours cette sensation dans mon anus, depuis ce matin, je me sentais rempli, depuis que les deux chauffeurs m'avaient fait découvrir ce nouveau plaisir … Là, la sensation devenait plus forte, je me sentais vraiment rempli, c'était vraiment bon, j'avais l'impression que j’allais jouir de nouveau …
Antoine avait repris sa position initiale et lui aussi se gardait le gode dans le cul, je voyais un liquide blanc couler de la cage de Julien, il fermait les yeux, respirait fort, son souffle était fort … Les mouvements d'Antoine devenaient plus lents, plus fatigués, il relevait la tête respirait bruyamment aussi … Les deux garçons semblaient se synchroniser, ils respiraient en cœur, plus fort, encore plus fort … Et c'est ensemble qu'il poussaient un cri de plaisir, je voyais de profil une giclée de sperme s'éjecter de leurs dispositifs en même temps puis, le sperme coulait longuement …
Je sentais que j'allais jouir à mon tour, toujours l'impression d'avoir le cul bien rempli … et une pression qui doucement augmentait au niveau de ma cage … Toujours, oh oui, ça vient, je le sens, ça vient …
…
Je me réveillais avec un léger mal de crane . Le souvenir de cette soirée me revenait rapidement. Julien dormait sur le ventre à ma gauche, un instant j'admirais ses fesses je les lui caressais. Antoine dormait sur le dos de l'autre coté, je passais ma main sur sa cage …
Je me relevais, et toujours cette sensation dans mon culs … Oh oui, c'était bon … Je me dirigeais vers la salle de bain … Souvent après s'être fait enculé on garde la sensation d'une présence, un peu comme si le gode, la bite était toujours là … Au début quant on n'est pas habitué, c'est de la douleur mais ensuite, c'est bon pendant un long moment … Mais ça n'avait jamais duré si longtemps . J'arrivais à la salle de bain … Je hurlais !
Moi : Antoine, tu es vraiment un enfoiré tu m'as laissé le plug dans le cul toute la nuit !
Je l'entendais se réveiller, et déjà il rigolait comme une baleine !
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