GROUPE DE VACANCES 36
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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GROUPE DE VACANCES 36
GROUPE DE VACANCES 36
Ep 36 UNE COLLECTION DE CAGE
Pendant le reste de la deuxième semaine de stage on terminait de mettre au point notre prototype final … Notre nouvelle cage s'avérait réellement plus confortable par rapport à tout ce que j'avais essayé avant … Je n'avais plus la moindre douleur, ce qui ne veut pas dire que je ne la sentais pas . Je la sentais tout le temps, c'était presque un plaisir que de bander dans ce truc, la pression était douce, forte et c'est sans douleur qu'elle ne laissait aucun espoir ! Ça ne me déprimait pas, mais au contraire ça me stimulait, ça m'encourageait, ça me donnait l'envie d'aller de l'avant !
On redessinait complètement la partie supérieure qui devait recevoir le dispositif de fermeture qui remplacerait le cadenas . On avait redessiné l'avant pour lui donner un aspect réaliste, on voulait que sous un simple maillot de bain la cage soit totalement invisible et après de nombreux essais on obtenait un résultat bluffant puis on recommençait cette partie, seul le modèle métal recevrait des boucliers de décoration à l'avant pour changer le look, le modèle plastique lui n'aurait pas cette possibilité … On dessinait donc plusieurs modèles, au total on en imaginait une bonne douzaine qui partaient du modèle invisible jusqu'au modèle décoré de formes géométriques. Pour le modèle métal on le reprenait pour pouvoir y adapter les bouclier de décoration …
Enfin bref on n'arrêtait pas, on ne voyait pas passer les jours . Ils défilaient à une vitesse nos journées étaient bien remplies, Luc avait pris sont rythme de croisière il continuait à se rendre utile le matin et se réservait l'après midi pour sa détente . J'avais vraiment l'impression que ces trois ou quatre derniers jours de stage s'étaient passés en un clignement de paupières ! Un jour Mr Le Conte qu'on ne voyait jamais en dehors de son bureau et des repas passait nous voir …
MLC : Ça se passe bien les garçons ?
Moi : Oh oui MLC, ce stage est vraiment passionnant .
Il y avait tout un tas de prototype sur notre table de travail .
MLC : Et vous Antoine, comment avez-vous trouvé votre stage .
Antoine : C'est vraiment génial, on ne voit pas le temps passer, regardez ces prototypes …
On présentait à MLC tous nos prototypes, nos dessins, nos idées, nos projets …
MLC : Mais dites moi Antoine, c'est bien votre stage ?
Antoine : Oui, c'est mon stage !
MLC : Et votre camarade est venu vous aider ?
Moi : On peut le voir comme ça !
MLC : Mais ces modèles que vous avez réalisés, ils sont de qui ?
Antoine : Nous deux !
Moi : Oui, nous deux, un lance une idée, l'autre la rattrape la retourne et la renvoie en l'air !
Antoine : Le, second la rattrape à son tour et on recommence !
Moi : Et ainsi de suite …
MLC : Mais dites moi Antoine, votre stage, il dure combien de temps ?
Antoine : Deux semaines Monsieur Le Conte !
MLC : Deux semaines …
On acquiesçait de la tête avec un grand sourire !
MLC : Mais alors, votre stage Antoine il devrait prendre fin quand pour être précis …
Antoine : Euh … Ça ne devrai plus être long … Je ne sais plus …
MLC : En fait votre stage devrai prendre fin il y a environ trois semaines …
On se regardait, on était incrédules, on avait débordé sans s'en rendre compte .
MLC : Mais vous n'avez donc pas envie de prendre des vacances les garçons ? C'est bien mais n'oubliez pas dans deux semaines c'est la rentrée à la fac … Bon je vous laisse, vous avez fait du très bon travail, nous en reparlerons bientôt et je pense que vous ne regretterez pas votre passage ici cette année …
Moi : Dans deux semaines la rentrée, j'ai rien vu moi !
Antoine : Moi c'est pareil …
Moi : Mais c'était génial !
Antoine : Oué moi je me suis éclaté !
On était content et on reprenait notre travail on voulait finir cette ' collection ' et comme on était proche du but … Au final la collection se constituait de douze modèle plastique, un anatomique ( invisible sous un maillot de bain ) et onze avec des formes fantaisie, suivaient deux modèles métal , un anatomique et un pouvant recevoir des bouclier de décoration suivaient encore onze boucliers un anatomique et les autres de formes géométriques !
Les techniciens avaient travaillé avec nous pour préparer les moules, ils étaient en cours de fabrication et on les attendait … Nos prototypes étaient imprimés, aussi les serrures, contrairement aux modèles métalliques actuels, n'étaient pas solidaires du dispositif car il n'était pas possible de les imprimer et nous avions décidé que les modèles définitifs conserveraient cette particularité !
Franchement, ça avait de l'allure . On était fier quand on présentait notre travail final à Monsieur Le Conte . Il était impressionné et ne le cachait pas . Il nous restait encore un peu plus d'une semaine avant le retour en fac … On trouvait toujours James casse pied et je décidais d'aller aux nouvelles au sujet de Charles … Au Dîner, je demandais à Mr Le Conte si je pourrait aborder le sujet de Charles et de ce qu'il prévoyais pour moi .
J'avais jeté un froid, Jean François ne disait plus rien, et tous les regards plongeaient dans les assiettes sauf celui de Mr Le Conte qui m'invitait à passer dans son bureau aussitôt le repas terminé … Il me recevais très bien, avec le sourire !
Moi : Monsieur Le Conte, je vous ai demandé de me recevoir pour y voir un peu plus clair si vous le permettez … J'ai cru comprendre que vous me laissiez l'appartement ?
MLC : Oui et avec beaucoup de plaisir, je pense que vous le méritez … Surtout après les problèmes dans lesquels j'ai failli vous entraîner … Vous aurez aussi les service d'un valet de chambre …
Moi : Charles est un homme très sympathique très sérieux et avec qui je m'entends très bien !
MLC : Charles ne sera plus à votre service !
Moi : Mais pourquoi, c'est lui qui à demandé à …
MLC : Non, au contraire il est volontaire pour cette mission, mais avec Jean François nous pensons que James serait plus convenable …
Moi : Ah non, s'il vous plaît pas James, il est parfait au niveau professionnel mais c'est une casse pied ! Mais pourriez vous me donner une bonne raison pour que Charles ne revienne plus à mon service ?
MLC : Vous êtes trop proches !
Moi : Et alors ! Ce n'est pas nouveau ! Si vous l'avez placé à mon service il y a quelques mois c'est précisément pour ça, parce que nous nous entendions bien ! C'était aussi pour qu'il veille sur moi et je peux vous assurer qu'il le fait très bien !
La discussion continuait encore un long moment, il était de moins en moins décidé, je lui faisait remarqué que Charles Faisait parfaitement son travail, que de ce coté il était totalement irréprochable . Il en convenait . Je terminais ainsi …
Moi : Je suis trop jeune pour avoir une valet de chambre qui soit toujours au garde à vous devant moi, aussi vous voulez m'en confier un, il faut que j'ai avec lui un autre rapport, un rapport de confiance bien sûr mais aussi d'amitié et même d'affection … C'est Charles que j'aimerais avoir à mes cotés !
Il finissait par me l'accorder !
On parlait ensuite d'Antoine … Le travail que nous avions fait tous les deux l'avait impressionner et plus encore même …
MLC : Si vous chercher un travail dans la conception et le design, je vous en trouve un tout de suite …
Il continuait …
MLC : J'avais largement sous estimé les capacités de votre amis Antoine, j'ai pensé qu'il pourrait loger avec vous, il y a trois chambres, avec votre frère vous serez trois …
…
James logera, pardon je voulais dire Charles pourra loger au rez de chaussé, il y a un grand appartement qui n'est occupé que par Stéphane, vous connaissez ( je faisais signe que oui), le protocole sera ainsi respecté …
…
Bien sûr si Antoine préfère rester ou il habite actuellement, libre à lui mais toutefois aucun loyer ne lui sera plus demandé !
On était d'accord, quelques détails encore, je lui disait que mon directeur aimerait beaucoup le rencontrer et il me confirmais qu'il viendrait à l’inauguration . La discussion avait duré un peu plus d'une heure . Antoine m'attendait un peut inquiet …
Antoine : Alors … ?
Je lui racontait tout, il était d'accord et enthousiaste !
Antoine : Tu t'imagine, les soirées autour d'un bon repas comme tu en faisait régulièrement, j'y venais souvent mais maintenant ce sera à chaque fois ! C'est génial !
Moi : Et en plus il y aura Charles !
Antoine : Moi je veux la chambre du fond !
Moi : Pas question, c'est la mienne !
Antoine : Oui je sais mais c'est la seule qui a un bain bouillonnant !
Moi : Justement, j'ai l'avantage de l'ancienneté …
Il continuait à réclamer encore un bon moment . C'était juste pour le plaisir de me taquiner, en fait il était très content, il me disait qu'il n'aurait jamais osé rêver à ça ! Un secrétaire de Mr Le Conte passait …
Le secrétaire : Monsieur Antoine … Monsieur Le Conte aimerait vous voir s'il vous plaît ;
Antoine : Il me veut quoi ?
Moi : Ça va pas être facile, tu vas voir il est de très mauvaise humeur, courage !
Antoine : Déconne pas ! Tu vas me foutre les boules ! Tu déconnes là ?
Il ressortait du bureau trois quarts d'heure plus tard avec le sourire !
Moi : alors il ne t'as pas mangé ?
Antoine : Tu es vraiment un guignol ! Il était pas de mauvaise humeur du tout ! Il voulait juste me féliciter sur mon travail et me dire ce que tu m'avais déjà expliqué ! J'ai l'impression qu'il nous aime bien !
Moi : Tu m'étonnes mais c'est normal, on est adorable !
Un peut plus tard dans la journée Mr Le Conte demandait à Luc de passer dans son bureau pour parler de son avenir . Luc était très décontracté au moment ou il entrait dans le bureau . Mon frère n'est pas un garçon qui panique ou s'angoisse facilement, Antoine et moi on se fait souvent du cinéma , lui c'est plus rare . Il entrait donc tout content dans le bureau et en ressortait une heure plus tard avec un grand sourire …
Mr Le Conte l'avait félicité pour son comportement . Il n'avait en effet aucune obligation, excepté celle de respecter les règles, mais il avait chercher à se rendre utile, dans tout un tas de service du Château et avait su se faire apprécié de tout le monde …
C'était déjà la dernière semaine avant le retour à la fac … J'avais reçu des nouvelles de Charles, il venait de revenir de ses vacances, et préparait l'appartement pour notre retour . Il ne me cachait pas qu'il était très content de revenir à mon service … La semaine commençait calmement, le temps était magnifique, j'étais allongé sur mon lit, on frappait à ma porte … C'était Mathias !
Moi : Mais Mathias, qu'est ce que tu fais ici ?
Mathias : Tu me manquait trop, je n'ai pas résisté à venir te voir !
Ce n'était certainement pas ça mais bon Mathias peut être être marrant quand il veut !
Moi : Vil flatteur ! Alors tu es venu ici pour moi, et tu voudrais que je te crois !
Il s'asseyait sur mon lit à coté de moi . On discutait longuement .
Mat : Tu vas voir, le montage de la nouvelle école a bien avancé, c'est un truc de fou, tu verras ! J'en avais marre et j'ai décidé de prendre quelques jours de repos …
Moi : Tu as travaillé sur l'organisation avec Greg ?
Mat : Greg, Sophie et bien d'autres, tu vas voir tu ne vas par reconnaître le quartier !
On s'était allongé sur le dos et on continuait à discuter … Ma main venait à toucher son bras … Il me jetais un regard, suivait un sourire enjôleur ! Je l'aime bien Mathias, il est mignon, il est câlin, je lui sautait dessus et me retrouvais sur lui à le chevaucher . On riait de la joie de se revoir, du plaisir de se toucher, je le chatouillais, il me caressait les cuisses .
Mat : J'ai beaucoup travaillé et ça fait longtemps que je n'ai pas touché un homme .
Moi : Tu peux me toucher si tu veux !
Mat : Vrai ?
Je concluais cette discussion en posant mes lèvres sur les siennes . Il me rendait mon baiser avec beaucoup de douceur . Rapidement nos mains se promenaient le corps de notre partenaire . Je me rappelait la douceur de sa peau . Il faisait beau et chaud et nous étions légèrement vêtus, il ne nous fallait pas longtemps pour nous débarrasser de nos vêtements …
Mat : Wouah, c'est nouveau ça ( en voyant ma nouvelle cage ), un nouveau modèle ?
Moi : Un prototype qu'on a réalisé avec Antoine .
Mat : Il est là lui aussi ? Je peux voir de plus prêt ?
Il n'attendait pas la réponse et se penchait sur mon entre jambe, il me caressait les cuisse, passait ses mains autour du dispositif, me caressait les couilles pour voir s'il y avait une réaction . Ses mains étaient douces et la réaction se manifestait par un souffle plus fort de ma part et un léger gémissement que je poussais . Il m'embrassait le bas du ventre, il remontait vers le nombril puis encore un peu plus haut, il s'attardait sur mes tétons qu'il me mordillait . Je lui caressait les cheveux. Il remontait jusqu'à ma gorge qu'il me léchait et m'embrassait … Ma cage était sous pression sans douleur ni gène . Confortable et frustrant, comme j'aime !
J'avais oublié combien il pouvait être doux le petit Mathias . Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas passé un moment comme celui là tous les deux . Je le prenais fort dans mes bras, il se laissait faire, on se retrouvait allongé l'un contre l'autre, on partageait un long et tendre moment de douceur, je l'embrassait sur les lèvres, lui sur mes yeux . Puis sur la tempe , lui sur la joue . Puis juste en dessous du lobe de l'oreille, il frissonnait et me rendait mon baiser sur la nuque en me caressant la moité du visage avec la main .
De la main je constatait le niveau de pression que contenait sa cage . Il relevais le bras, j'embrassai tout le flanc, le mordillais et descendait jusqu'en haut de sa cuisse . Il m'encourageait en me caressant le dos, il glissait un doigt entre mes fesses en partant du haut de mes fesses, il remontait ensuite sa main tout le long de ma colonne vertébrale puis recommençait . Je passais ma langue tout autour de son sexe en suivant l'anneau qui maintenait son dispositif, il frissonnait de nouveau .
Je lui glissait la main entre les fesses et rapidement introduisait un doigt dans l'anus, il se cambrait et semblait apprécier . Suivait un deuxième doigt, il poussait un long gémissement, je lui mordillais l'intérieur des cuisses, il tremblait par intermittence . Je lui massais vigoureusement la prostate, faisait une pause et recommençais … Il se crispait, poussait des petit cris de plaisir, se détendait et reprenait au moment ou je lui massais à nouveau la prostate …
Ce jeux devait durer encore un long moment, Mathias s'était allongé sur le dos légèrement de coté, il avait écarté les jambes et en avait replié une me laissant un accès facile à son cul . Il se caressait le corps et me laissait faire . Son dispositif de chasteté se relevait, il bandait ferme .
Son souffle devenait plus fort, son dispositif semblait se contracter en se relevant brusquement plusieurs fois de suite … Une giclée de sperme était expulsée, un cri de plaisir, une grimace sur son visage, quelques convulsions … Il jouissait . Je sentais son corps se crisper avant de se détendre totalement . J'aime sentir le corps de mon partenaire au moment ou il jouit …
Je le repoussais sur le dos, m’asseyais à califourchon sur le haut de ses cuisses et on continuait à discuter, il me caressait les cuisses, je lui caressais les avant bras …
Mat : C'était pas prévu ça !
Moi : C'était pas prévu non plus de te voir !
Mat : Je suis très content de te revoir .
Moi : Moi aussi, ça faisait un moment !
Mat : Au fait, ton frère qu'est ce qu'il devient, il espérait pouvoir venir habiter avec toi .
Moi : Il est là, et c'est réglé, il vient s'installer avec moi !
Mat : Il doit être content !
Moi : Mais toi, tu ne m'a pas dit ce que tu faisais ici …
Mat : Je suis venu voir mon oncle !
Moi : Tu as un oncle qui travaille ici, dis moi, c'est qui ? Je connais presque tout le monde ici !
Mat : Mr Le Conte !
Moi : Je le connais celui là, c'est le big boss ! Ton oncle c'est qui ?
Mat : Mr Le Conte !
Je restais stupéfait !
Moi : Ton oncle c'est Mr Le Conte !
Mat : Tu es lent à la détente … ( il rigolait ) En fait c'est un grand oncle, je suis le cousin germain de Greg et de Sophie ... Pour être très précis je n'ai pas de lien directe avec cette famille … Le père de Greg avait une sœur qui m'a mis au monde hors mariage, c'est pas un drame en soi, mais elle est morte en me mettant au monde . Les parents de Greg et de Sophie on décidé de m'élever, je n'étais pas vieux quand ils ont eu leur accident et Mr Le Conte à décidé alors de me prendre dans la famille et de faire de moi le troisième héritier ! C'est ma famille et c'est tout, même si je n'en porte pas le nom et Mr Le Conte est mon oncle !
N'hésitez surtout pas à laisser un commentaire !
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Ep 36 UNE COLLECTION DE CAGE
Pendant le reste de la deuxième semaine de stage on terminait de mettre au point notre prototype final … Notre nouvelle cage s'avérait réellement plus confortable par rapport à tout ce que j'avais essayé avant … Je n'avais plus la moindre douleur, ce qui ne veut pas dire que je ne la sentais pas . Je la sentais tout le temps, c'était presque un plaisir que de bander dans ce truc, la pression était douce, forte et c'est sans douleur qu'elle ne laissait aucun espoir ! Ça ne me déprimait pas, mais au contraire ça me stimulait, ça m'encourageait, ça me donnait l'envie d'aller de l'avant !
On redessinait complètement la partie supérieure qui devait recevoir le dispositif de fermeture qui remplacerait le cadenas . On avait redessiné l'avant pour lui donner un aspect réaliste, on voulait que sous un simple maillot de bain la cage soit totalement invisible et après de nombreux essais on obtenait un résultat bluffant puis on recommençait cette partie, seul le modèle métal recevrait des boucliers de décoration à l'avant pour changer le look, le modèle plastique lui n'aurait pas cette possibilité … On dessinait donc plusieurs modèles, au total on en imaginait une bonne douzaine qui partaient du modèle invisible jusqu'au modèle décoré de formes géométriques. Pour le modèle métal on le reprenait pour pouvoir y adapter les bouclier de décoration …
Enfin bref on n'arrêtait pas, on ne voyait pas passer les jours . Ils défilaient à une vitesse nos journées étaient bien remplies, Luc avait pris sont rythme de croisière il continuait à se rendre utile le matin et se réservait l'après midi pour sa détente . J'avais vraiment l'impression que ces trois ou quatre derniers jours de stage s'étaient passés en un clignement de paupières ! Un jour Mr Le Conte qu'on ne voyait jamais en dehors de son bureau et des repas passait nous voir …
MLC : Ça se passe bien les garçons ?
Moi : Oh oui MLC, ce stage est vraiment passionnant .
Il y avait tout un tas de prototype sur notre table de travail .
MLC : Et vous Antoine, comment avez-vous trouvé votre stage .
Antoine : C'est vraiment génial, on ne voit pas le temps passer, regardez ces prototypes …
On présentait à MLC tous nos prototypes, nos dessins, nos idées, nos projets …
MLC : Mais dites moi Antoine, c'est bien votre stage ?
Antoine : Oui, c'est mon stage !
MLC : Et votre camarade est venu vous aider ?
Moi : On peut le voir comme ça !
MLC : Mais ces modèles que vous avez réalisés, ils sont de qui ?
Antoine : Nous deux !
Moi : Oui, nous deux, un lance une idée, l'autre la rattrape la retourne et la renvoie en l'air !
Antoine : Le, second la rattrape à son tour et on recommence !
Moi : Et ainsi de suite …
MLC : Mais dites moi Antoine, votre stage, il dure combien de temps ?
Antoine : Deux semaines Monsieur Le Conte !
MLC : Deux semaines …
On acquiesçait de la tête avec un grand sourire !
MLC : Mais alors, votre stage Antoine il devrait prendre fin quand pour être précis …
Antoine : Euh … Ça ne devrai plus être long … Je ne sais plus …
MLC : En fait votre stage devrai prendre fin il y a environ trois semaines …
On se regardait, on était incrédules, on avait débordé sans s'en rendre compte .
MLC : Mais vous n'avez donc pas envie de prendre des vacances les garçons ? C'est bien mais n'oubliez pas dans deux semaines c'est la rentrée à la fac … Bon je vous laisse, vous avez fait du très bon travail, nous en reparlerons bientôt et je pense que vous ne regretterez pas votre passage ici cette année …
Moi : Dans deux semaines la rentrée, j'ai rien vu moi !
Antoine : Moi c'est pareil …
Moi : Mais c'était génial !
Antoine : Oué moi je me suis éclaté !
On était content et on reprenait notre travail on voulait finir cette ' collection ' et comme on était proche du but … Au final la collection se constituait de douze modèle plastique, un anatomique ( invisible sous un maillot de bain ) et onze avec des formes fantaisie, suivaient deux modèles métal , un anatomique et un pouvant recevoir des bouclier de décoration suivaient encore onze boucliers un anatomique et les autres de formes géométriques !
Les techniciens avaient travaillé avec nous pour préparer les moules, ils étaient en cours de fabrication et on les attendait … Nos prototypes étaient imprimés, aussi les serrures, contrairement aux modèles métalliques actuels, n'étaient pas solidaires du dispositif car il n'était pas possible de les imprimer et nous avions décidé que les modèles définitifs conserveraient cette particularité !
Franchement, ça avait de l'allure . On était fier quand on présentait notre travail final à Monsieur Le Conte . Il était impressionné et ne le cachait pas . Il nous restait encore un peu plus d'une semaine avant le retour en fac … On trouvait toujours James casse pied et je décidais d'aller aux nouvelles au sujet de Charles … Au Dîner, je demandais à Mr Le Conte si je pourrait aborder le sujet de Charles et de ce qu'il prévoyais pour moi .
J'avais jeté un froid, Jean François ne disait plus rien, et tous les regards plongeaient dans les assiettes sauf celui de Mr Le Conte qui m'invitait à passer dans son bureau aussitôt le repas terminé … Il me recevais très bien, avec le sourire !
Moi : Monsieur Le Conte, je vous ai demandé de me recevoir pour y voir un peu plus clair si vous le permettez … J'ai cru comprendre que vous me laissiez l'appartement ?
MLC : Oui et avec beaucoup de plaisir, je pense que vous le méritez … Surtout après les problèmes dans lesquels j'ai failli vous entraîner … Vous aurez aussi les service d'un valet de chambre …
Moi : Charles est un homme très sympathique très sérieux et avec qui je m'entends très bien !
MLC : Charles ne sera plus à votre service !
Moi : Mais pourquoi, c'est lui qui à demandé à …
MLC : Non, au contraire il est volontaire pour cette mission, mais avec Jean François nous pensons que James serait plus convenable …
Moi : Ah non, s'il vous plaît pas James, il est parfait au niveau professionnel mais c'est une casse pied ! Mais pourriez vous me donner une bonne raison pour que Charles ne revienne plus à mon service ?
MLC : Vous êtes trop proches !
Moi : Et alors ! Ce n'est pas nouveau ! Si vous l'avez placé à mon service il y a quelques mois c'est précisément pour ça, parce que nous nous entendions bien ! C'était aussi pour qu'il veille sur moi et je peux vous assurer qu'il le fait très bien !
La discussion continuait encore un long moment, il était de moins en moins décidé, je lui faisait remarqué que Charles Faisait parfaitement son travail, que de ce coté il était totalement irréprochable . Il en convenait . Je terminais ainsi …
Moi : Je suis trop jeune pour avoir une valet de chambre qui soit toujours au garde à vous devant moi, aussi vous voulez m'en confier un, il faut que j'ai avec lui un autre rapport, un rapport de confiance bien sûr mais aussi d'amitié et même d'affection … C'est Charles que j'aimerais avoir à mes cotés !
Il finissait par me l'accorder !
On parlait ensuite d'Antoine … Le travail que nous avions fait tous les deux l'avait impressionner et plus encore même …
MLC : Si vous chercher un travail dans la conception et le design, je vous en trouve un tout de suite …
Il continuait …
MLC : J'avais largement sous estimé les capacités de votre amis Antoine, j'ai pensé qu'il pourrait loger avec vous, il y a trois chambres, avec votre frère vous serez trois …
…
James logera, pardon je voulais dire Charles pourra loger au rez de chaussé, il y a un grand appartement qui n'est occupé que par Stéphane, vous connaissez ( je faisais signe que oui), le protocole sera ainsi respecté …
…
Bien sûr si Antoine préfère rester ou il habite actuellement, libre à lui mais toutefois aucun loyer ne lui sera plus demandé !
On était d'accord, quelques détails encore, je lui disait que mon directeur aimerait beaucoup le rencontrer et il me confirmais qu'il viendrait à l’inauguration . La discussion avait duré un peu plus d'une heure . Antoine m'attendait un peut inquiet …
Antoine : Alors … ?
Je lui racontait tout, il était d'accord et enthousiaste !
Antoine : Tu t'imagine, les soirées autour d'un bon repas comme tu en faisait régulièrement, j'y venais souvent mais maintenant ce sera à chaque fois ! C'est génial !
Moi : Et en plus il y aura Charles !
Antoine : Moi je veux la chambre du fond !
Moi : Pas question, c'est la mienne !
Antoine : Oui je sais mais c'est la seule qui a un bain bouillonnant !
Moi : Justement, j'ai l'avantage de l'ancienneté …
Il continuait à réclamer encore un bon moment . C'était juste pour le plaisir de me taquiner, en fait il était très content, il me disait qu'il n'aurait jamais osé rêver à ça ! Un secrétaire de Mr Le Conte passait …
Le secrétaire : Monsieur Antoine … Monsieur Le Conte aimerait vous voir s'il vous plaît ;
Antoine : Il me veut quoi ?
Moi : Ça va pas être facile, tu vas voir il est de très mauvaise humeur, courage !
Antoine : Déconne pas ! Tu vas me foutre les boules ! Tu déconnes là ?
Il ressortait du bureau trois quarts d'heure plus tard avec le sourire !
Moi : alors il ne t'as pas mangé ?
Antoine : Tu es vraiment un guignol ! Il était pas de mauvaise humeur du tout ! Il voulait juste me féliciter sur mon travail et me dire ce que tu m'avais déjà expliqué ! J'ai l'impression qu'il nous aime bien !
Moi : Tu m'étonnes mais c'est normal, on est adorable !
Un peut plus tard dans la journée Mr Le Conte demandait à Luc de passer dans son bureau pour parler de son avenir . Luc était très décontracté au moment ou il entrait dans le bureau . Mon frère n'est pas un garçon qui panique ou s'angoisse facilement, Antoine et moi on se fait souvent du cinéma , lui c'est plus rare . Il entrait donc tout content dans le bureau et en ressortait une heure plus tard avec un grand sourire …
Mr Le Conte l'avait félicité pour son comportement . Il n'avait en effet aucune obligation, excepté celle de respecter les règles, mais il avait chercher à se rendre utile, dans tout un tas de service du Château et avait su se faire apprécié de tout le monde …
C'était déjà la dernière semaine avant le retour à la fac … J'avais reçu des nouvelles de Charles, il venait de revenir de ses vacances, et préparait l'appartement pour notre retour . Il ne me cachait pas qu'il était très content de revenir à mon service … La semaine commençait calmement, le temps était magnifique, j'étais allongé sur mon lit, on frappait à ma porte … C'était Mathias !
Moi : Mais Mathias, qu'est ce que tu fais ici ?
Mathias : Tu me manquait trop, je n'ai pas résisté à venir te voir !
Ce n'était certainement pas ça mais bon Mathias peut être être marrant quand il veut !
Moi : Vil flatteur ! Alors tu es venu ici pour moi, et tu voudrais que je te crois !
Il s'asseyait sur mon lit à coté de moi . On discutait longuement .
Mat : Tu vas voir, le montage de la nouvelle école a bien avancé, c'est un truc de fou, tu verras ! J'en avais marre et j'ai décidé de prendre quelques jours de repos …
Moi : Tu as travaillé sur l'organisation avec Greg ?
Mat : Greg, Sophie et bien d'autres, tu vas voir tu ne vas par reconnaître le quartier !
On s'était allongé sur le dos et on continuait à discuter … Ma main venait à toucher son bras … Il me jetais un regard, suivait un sourire enjôleur ! Je l'aime bien Mathias, il est mignon, il est câlin, je lui sautait dessus et me retrouvais sur lui à le chevaucher . On riait de la joie de se revoir, du plaisir de se toucher, je le chatouillais, il me caressait les cuisses .
Mat : J'ai beaucoup travaillé et ça fait longtemps que je n'ai pas touché un homme .
Moi : Tu peux me toucher si tu veux !
Mat : Vrai ?
Je concluais cette discussion en posant mes lèvres sur les siennes . Il me rendait mon baiser avec beaucoup de douceur . Rapidement nos mains se promenaient le corps de notre partenaire . Je me rappelait la douceur de sa peau . Il faisait beau et chaud et nous étions légèrement vêtus, il ne nous fallait pas longtemps pour nous débarrasser de nos vêtements …
Mat : Wouah, c'est nouveau ça ( en voyant ma nouvelle cage ), un nouveau modèle ?
Moi : Un prototype qu'on a réalisé avec Antoine .
Mat : Il est là lui aussi ? Je peux voir de plus prêt ?
Il n'attendait pas la réponse et se penchait sur mon entre jambe, il me caressait les cuisse, passait ses mains autour du dispositif, me caressait les couilles pour voir s'il y avait une réaction . Ses mains étaient douces et la réaction se manifestait par un souffle plus fort de ma part et un léger gémissement que je poussais . Il m'embrassait le bas du ventre, il remontait vers le nombril puis encore un peu plus haut, il s'attardait sur mes tétons qu'il me mordillait . Je lui caressait les cheveux. Il remontait jusqu'à ma gorge qu'il me léchait et m'embrassait … Ma cage était sous pression sans douleur ni gène . Confortable et frustrant, comme j'aime !
J'avais oublié combien il pouvait être doux le petit Mathias . Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas passé un moment comme celui là tous les deux . Je le prenais fort dans mes bras, il se laissait faire, on se retrouvait allongé l'un contre l'autre, on partageait un long et tendre moment de douceur, je l'embrassait sur les lèvres, lui sur mes yeux . Puis sur la tempe , lui sur la joue . Puis juste en dessous du lobe de l'oreille, il frissonnait et me rendait mon baiser sur la nuque en me caressant la moité du visage avec la main .
De la main je constatait le niveau de pression que contenait sa cage . Il relevais le bras, j'embrassai tout le flanc, le mordillais et descendait jusqu'en haut de sa cuisse . Il m'encourageait en me caressant le dos, il glissait un doigt entre mes fesses en partant du haut de mes fesses, il remontait ensuite sa main tout le long de ma colonne vertébrale puis recommençait . Je passais ma langue tout autour de son sexe en suivant l'anneau qui maintenait son dispositif, il frissonnait de nouveau .
Je lui glissait la main entre les fesses et rapidement introduisait un doigt dans l'anus, il se cambrait et semblait apprécier . Suivait un deuxième doigt, il poussait un long gémissement, je lui mordillais l'intérieur des cuisses, il tremblait par intermittence . Je lui massais vigoureusement la prostate, faisait une pause et recommençais … Il se crispait, poussait des petit cris de plaisir, se détendait et reprenait au moment ou je lui massais à nouveau la prostate …
Ce jeux devait durer encore un long moment, Mathias s'était allongé sur le dos légèrement de coté, il avait écarté les jambes et en avait replié une me laissant un accès facile à son cul . Il se caressait le corps et me laissait faire . Son dispositif de chasteté se relevait, il bandait ferme .
Son souffle devenait plus fort, son dispositif semblait se contracter en se relevant brusquement plusieurs fois de suite … Une giclée de sperme était expulsée, un cri de plaisir, une grimace sur son visage, quelques convulsions … Il jouissait . Je sentais son corps se crisper avant de se détendre totalement . J'aime sentir le corps de mon partenaire au moment ou il jouit …
Je le repoussais sur le dos, m’asseyais à califourchon sur le haut de ses cuisses et on continuait à discuter, il me caressait les cuisses, je lui caressais les avant bras …
Mat : C'était pas prévu ça !
Moi : C'était pas prévu non plus de te voir !
Mat : Je suis très content de te revoir .
Moi : Moi aussi, ça faisait un moment !
Mat : Au fait, ton frère qu'est ce qu'il devient, il espérait pouvoir venir habiter avec toi .
Moi : Il est là, et c'est réglé, il vient s'installer avec moi !
Mat : Il doit être content !
Moi : Mais toi, tu ne m'a pas dit ce que tu faisais ici …
Mat : Je suis venu voir mon oncle !
Moi : Tu as un oncle qui travaille ici, dis moi, c'est qui ? Je connais presque tout le monde ici !
Mat : Mr Le Conte !
Moi : Je le connais celui là, c'est le big boss ! Ton oncle c'est qui ?
Mat : Mr Le Conte !
Je restais stupéfait !
Moi : Ton oncle c'est Mr Le Conte !
Mat : Tu es lent à la détente … ( il rigolait ) En fait c'est un grand oncle, je suis le cousin germain de Greg et de Sophie ... Pour être très précis je n'ai pas de lien directe avec cette famille … Le père de Greg avait une sœur qui m'a mis au monde hors mariage, c'est pas un drame en soi, mais elle est morte en me mettant au monde . Les parents de Greg et de Sophie on décidé de m'élever, je n'étais pas vieux quand ils ont eu leur accident et Mr Le Conte à décidé alors de me prendre dans la famille et de faire de moi le troisième héritier ! C'est ma famille et c'est tout, même si je n'en porte pas le nom et Mr Le Conte est mon oncle !
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