Hétéro Ep 02 Mais très actif
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Hétéro Ep 02 Mais très actif
Hétéro Ep 02
Mais très actif
J'étais vexé mais ça ne m'empêchait pas de dormir. Et puis j'étais au chaud, très confortablement installé. C'est un baiser sur le front qui me réveillait. J'ouvrais les yeux et je voyais juste au dessus moi le visage de mon nouveau partenaire.
Il s'était réveillé et maintenant il était de nouveau en forme. Il me caressait les couilles et me tripotait un peu la bite, il se penchait sur moi et me suçais pendant quelques secondes, je pouvais deviner encore une fois qu'il n'appréciait pas vraiment.
Il faisait l'effort, il jouait le jeux, je le laissais faire. Je profitais un peu de la situation. Il ne s'en sortait pas si mal que ça finalement. Je me retournais et parvenais à prendre sa queue dans la bouche. Je le suçais également, en même temps.
Il savait un peu plus ce qu'il voulait à ce moment et il glissait une main entre mes fesses, il était arrivé là un peu vite, et s'en rendant compte il reprenait et me caressait les fesses. Il prenait plus de temps et un doigt glissait entre mes fesses un peu plus tard. Il lubrifiait, il n'avait pas l'habitude mais il improvisait.
– Tu sais, ça aussi c'est une première pour moi. Aucune fille ne m'a jamais laissé m'amuser avec son cul.
Il n'avait pas terminé sa phrase qu'il enfonçait un doigt dans mon cul, il ne m'avait pas prévenu mais comme il avait bien lubrifié, ça rentrait tout seul. Aussitôt il agitait son doigt.
Je gémissais de plaisir, c'était agréable. Je continuais à lui sucer la queue, lui avait arrêté. Sans prévenir il enfonçait un autre doigt et les agitait. Là je me contractait, ce n'était pas la douleur, il ne me faisait pas mal du tout. C'était juste la surprise et la surprise passée je me détendais encore plus que je ne l'étais au début.
Il agitait ses doigts avec vigueur, il massait mon anus par ce mouvement et me frappait également la prostate régulièrement. Le plaisir montait, c'était vraiment très agréable, par moment j'arrêtais même de sucer sa bite, je me laissais porter par le plaisir qui montait, je m'abandonnais à ses caresses. Le plaisir inondait mon ventre.
Il retirait sa main, me donnait une claque sur la fesse et se relevait.
– On se met en position, à quatre pattes. S'exclamait-il.
Ça m'a fait tout drôle, il avait une grosse queue comme je vous l'avais dit plus haut, il avait l'air décidé et je ne le connaissais pas. Je ne savais pas s'il serait câlin ou violent. Tout ce que je savais c'est que j'allais me prendre dans le cul cette grosse bite que j'avais encore dans la bouche quelques instants plus tôt et que j'allais le sentir passer.
Je prenais position, j'aime bien le côté câlin vous savez, mais j'aime bien aussi le côté viril. En un mot, quand je me fais enculer, j'aime bien le sentir.
Il prenait position lui aussi, son gland tout contre mon anus, il lubrifiait bien, son gland puis mon cul. Dès qu'il a jugé que c'était bon, il a juste poussé, il ne m'a pas prévenu, ne m'a rien demandé, il a poussé sa queue dans mon cul. Sous l'effet de la surprise je me suis contracté, puis comme il insistait mon cul a fini par se détendre, je ne résistait pas et c'est avec force qu'il est entré.
J'ai senti mon cul se dilater, j'ai senti une masse énorme s'introduire, se glisser avec force, cette masse s'introduisait et écartait tout sur son passage. En quelques secondes seulement je me sentais complètement rempli. C'était un peu la panique, je ne savais pas ou il en était et jusqu’où il allait s'enfoncer.
En plus il était large, très large. J'avais eu un mal fou à me la prendre dans la bouche et dans mon cul ça me faisait tout drôle. Il continuait à s'enfoncer, je respirais fort, je paniquais pourtant il ne me faisait pas mal, mais c'était intense.
C'était agréable, je vous avoue que quelquefois je m'entraîne avec un gros gode mais, quand il y a le bonhomme au bout c'est mieux, c'est bien mieux. Il me tenait fermement par les hanches et continuait d'enfoncer sa queue bien à fond dans mon cul. Au moment ou je sentais son ventre s'écraser sur mes fesses, je manquais d'air.
C'était intense, violent, mais c'était bon. Il me tirait vers lui avec force et appuyait fermement contre moi. Puis il s'énervait un peu, il se retirait complètement. Là je soufflais un instant, mais un instant seulement. Il en profitait pour rajouter une nouvelle dose de gel lubrifiant et sans prévenir il enfonçait sa queue dans mon cul avec un force incroyable.
J'en ai vu d'autre mais là je vous jure je ne suis pas près de l'oublier. Son ventre claquait contre mes fesse, il ressortait et revenait avec toujours autant de violence, il continuait encore et encore. Il me tenait, bien cramponné à mes hanches il me tirait vers lui, il avançait son bassin avec un mouvement rapide et violent.
C'est moi qui me cramponnais comme je pouvais à la couette. Il était en position de force et je ne pouvais que subir. Je râlais, je gémissait surtout que par moment il me faisait mal, enfin un peu mal. Mais je tenais bon.
Il accélérait le mouvement, et là, il était vraiment violent. La douleur avait disparu mais la sensation était intense. Je sentais comme un plaisir qui naissait là, au milieu de mon ventre. Je me sentais retourné, complètement retourné. Son ventre claquait avec régularité sur mes fesses, il frappait avec force.
Dans ma tête c'était la folie, le plaisir augmentait, et la sensation de me faire dilater les entrailles devenait infernale. Je me demandais combien de temps ça allait dure, j'avais l'impression que le temps s'était arrêté juste pour moi, que ça durait des heures.
Puis j'étais pris d'un tremblement, le plaisir m'inondait dans tout le corps, j'ai cru devenir fous de plaisir. Je ne sentais plus sa queue qui me labourait le cul, je pensais à ma propre queue, là je ne bandais pas du tout. Je sentais ma queue se balancer lourdement, je suppose que je devait bander mou.
Puis il me prenait dans ses bras, me serrait fort contre lui, et là de nouveau mon attention se portait sur mon cul. Je la sentais bien sa queue qui entrait et qui ressortait avec force et vigueur. Il allait de plus en plus vite.
Mais comment il fait pour tenir si longtemps ?
Mon cul est trop petit pour subir un tel traitement, jamais avec le gode je fais durer si longtemps. Il ne lâchait rien, par moment c'est tout juste s'il faisait une pause, il m'embrassait alors dans le cou, me mordillait, me faisait trembler et reprenait avec toujours autant de force et de violence.
Je gémissais, c'était une longue plainte que je poussais. Je sais je l'avais voulu et je n'avais pas à me plaindre mais c'est que justement je ne me plaignais pas, je râlais, je gémissais, c'est tout ! Par moment j'en redemandais aussi mais j'avais un peu peur de réclamer trop fort, on ne sais jamais. Il avait l'air d'avoir du répondant …
Il appuyait sur mon dos, juste entre mes omoplates et je me retrouvais dans une position peu enviable ( enfin c'est une façon de parler ), à genoux sur le lit, le cul bien offert et la tête appuyés sous le coussin. Si j'avais du mal à respirer ce n'était pas à cause de la position mais à cause de ses coups de butoir de plus en plus violents.
Mes gémissements se transformaient en une sorte de plainte un peu comme si je pleurais. En fait je ne pleurais pas malgré les larmes qui coulaient sur mes joues, l'effet était trompeur, en tout cas ce n'étaient pas des larmes de tristesse. Ce n'était pas non plus des gémissements d'appel au secours.
Je l'ai senti trembler, je n'ai pas compris tout de suite il a serré ses bras autour de moi et ses coups de bite contre mon cul sont devenus particulièrement violents. Là par réflexe je tentais de me dégager.
Puis il a éjaculé dans mon cul, deux ou trois coups de bassin puis il s'effondrait sur moi, je m'effondrais sur le lit. Il respirait fort contre mon oreille. Il récupérait, mais je ne savais plus ou j'étais. Il bandait toujours quand il s'est retiré et là j'ai ressenti un orgasme, encore un, mais celui là était plus classique, il venait de ma queue, c'est là que j'ai éjaculé à mon tour.
Il est passé à la salle de bain, moi j'étais amorphe, intransportable. Je me sentais tout mou, je n'avais pas l'impression que je pouvais bouger ou que mes jambes me soutiendraient aussi je n'essayais même pas de me relever.
J'étais toujours dans la même position quand il est revenu. Il a éclaté de rire quand il m'a vu.
– Vainqueur par KO ! S'exclamait-il.
Je rigolais sans pour autant me relever. Il s'est allongé à côté de moi.
– Alors ça moi j'aime ! Me disait-il.
– Moi aussi … Mais ça te dérange si on ne recommence pas tout de suite ? Lui répondais-je.
Ensuite on a discuté, peu à peu j'ai récupéré, je suis passé à la salle de bain, j'ai pris une longue douche. Quand je suis revenu il s'était levé, il était à poil dans la cuisine, il préparait un café. À ce moment là je ne savais même plus si on était le soir ou le matin. Un moment j'ai bien cru qu'on allait bientôt se lever. En fait on était au milieu de la nuit.
Il était beau et sexy de dos, il avait de très jolies fesses, mais celles là, je savais que je ne les défoncerais pas, ni moi, ni personne d'ailleurs.
– C'était la première fois avec un mec pour toi ? Lui demandais-je.
– Et je m'en suis sorti comment ?
– Tu m'as déboîté le cul, je te dis pas !
– Mais tu as aimé, ose me dire le contraire …
Pour seule réponse, je m'approchais de lui, lui caressais le torse, je lui donnais un baiser. On a bu notre café puis on a discuté.
C'était bien la première fois qu'il ' sautait un mec ' comme il m'a dit.
– En gros, tu sais j'ai bien aimé. Je n'aurais jamais imaginé qu'un jour quelqu'un me laisse m'amuser avec son cul comme tu l'as fait … Mais j'aime pas trop ta bite.
– Ouai mais on ne vas pas l'enlever ?
– J'ai rien contre !
Je le regardaist avec un regard horrifié. Il reprenait .
– Mais non je plaisante, on ne va pas te mutiler, je me doute bien que tu ne serais pas d'accord. On va faire avec.
…
– J'aime pas mais bon, j'aime bien t'enculer ! Rajoutait-il.
Il était tard, les effets de la bière avaient disparus et ceux du café n'était pas suffisant pour nous maintenir éveillés. On s'est couché, l'un contre l'autre.
Je me suis réveillé quelques heures plus tard. Je suis allé à la salle de bain et en me regardant dans le miroir je repensais à ses propos. Oh non je vous rassure, il n'était pas question, il n'a jamais été question de retirer ce qui le gênait, mais …
J'ouvrais un tiroir que je n'avais pas ouvert depuis quelques temps. C'est là que j'avais rangé un petit truc un peu spécial, un dispositif de chasteté du meilleur goût. L’objet était particulièrement beau, couleur ivoire très légèrement brillant et toujours parfaitement lisse. Il était totalement invisible sous les vêtements, même un maillot de bain.
Je l'avais déjà porté et j'avais bien aimé. Mais c'est une autre histoire.
Et là je me demandais si … Peut être … Vu qu'on ne retirera rien à mon anatomie, manquerait plus que cela, on pourrait peut être ranger et même bien ranger ce qui dépasse. En plus je n'avais encore jamais à cette époque porté le dispositif pendant des relations sexuelles avec un actif. Il était très actif, et mon cul à ce moment me le rappelait. Pourtant ce n'était pas vieux.
Après quelques instants à hésiter je finissais par me décider et en quelques secondes je me glissais dedans, enfin j'y glissais ma bite et mes couilles. Je restais là à me regarder, étrangement je ne bandais pas, ni au moment ou j'ai passé le dispositif ni après.
Je suis retourné me coucher et je me suis blotti contre lui. Il s'appelait Benoît, il était pas mal foutu, très, mais vraiment très viril, actif, mais très actif. Et moi j'étais passif et maintenant très passif, je me demandais bien un peu comment il allait réagir mais quelque chose en moi me disait qu'il réagirait bien.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Mais très actif
J'étais vexé mais ça ne m'empêchait pas de dormir. Et puis j'étais au chaud, très confortablement installé. C'est un baiser sur le front qui me réveillait. J'ouvrais les yeux et je voyais juste au dessus moi le visage de mon nouveau partenaire.
Il s'était réveillé et maintenant il était de nouveau en forme. Il me caressait les couilles et me tripotait un peu la bite, il se penchait sur moi et me suçais pendant quelques secondes, je pouvais deviner encore une fois qu'il n'appréciait pas vraiment.
Il faisait l'effort, il jouait le jeux, je le laissais faire. Je profitais un peu de la situation. Il ne s'en sortait pas si mal que ça finalement. Je me retournais et parvenais à prendre sa queue dans la bouche. Je le suçais également, en même temps.
Il savait un peu plus ce qu'il voulait à ce moment et il glissait une main entre mes fesses, il était arrivé là un peu vite, et s'en rendant compte il reprenait et me caressait les fesses. Il prenait plus de temps et un doigt glissait entre mes fesses un peu plus tard. Il lubrifiait, il n'avait pas l'habitude mais il improvisait.
– Tu sais, ça aussi c'est une première pour moi. Aucune fille ne m'a jamais laissé m'amuser avec son cul.
Il n'avait pas terminé sa phrase qu'il enfonçait un doigt dans mon cul, il ne m'avait pas prévenu mais comme il avait bien lubrifié, ça rentrait tout seul. Aussitôt il agitait son doigt.
Je gémissais de plaisir, c'était agréable. Je continuais à lui sucer la queue, lui avait arrêté. Sans prévenir il enfonçait un autre doigt et les agitait. Là je me contractait, ce n'était pas la douleur, il ne me faisait pas mal du tout. C'était juste la surprise et la surprise passée je me détendais encore plus que je ne l'étais au début.
Il agitait ses doigts avec vigueur, il massait mon anus par ce mouvement et me frappait également la prostate régulièrement. Le plaisir montait, c'était vraiment très agréable, par moment j'arrêtais même de sucer sa bite, je me laissais porter par le plaisir qui montait, je m'abandonnais à ses caresses. Le plaisir inondait mon ventre.
Il retirait sa main, me donnait une claque sur la fesse et se relevait.
– On se met en position, à quatre pattes. S'exclamait-il.
Ça m'a fait tout drôle, il avait une grosse queue comme je vous l'avais dit plus haut, il avait l'air décidé et je ne le connaissais pas. Je ne savais pas s'il serait câlin ou violent. Tout ce que je savais c'est que j'allais me prendre dans le cul cette grosse bite que j'avais encore dans la bouche quelques instants plus tôt et que j'allais le sentir passer.
Je prenais position, j'aime bien le côté câlin vous savez, mais j'aime bien aussi le côté viril. En un mot, quand je me fais enculer, j'aime bien le sentir.
Il prenait position lui aussi, son gland tout contre mon anus, il lubrifiait bien, son gland puis mon cul. Dès qu'il a jugé que c'était bon, il a juste poussé, il ne m'a pas prévenu, ne m'a rien demandé, il a poussé sa queue dans mon cul. Sous l'effet de la surprise je me suis contracté, puis comme il insistait mon cul a fini par se détendre, je ne résistait pas et c'est avec force qu'il est entré.
J'ai senti mon cul se dilater, j'ai senti une masse énorme s'introduire, se glisser avec force, cette masse s'introduisait et écartait tout sur son passage. En quelques secondes seulement je me sentais complètement rempli. C'était un peu la panique, je ne savais pas ou il en était et jusqu’où il allait s'enfoncer.
En plus il était large, très large. J'avais eu un mal fou à me la prendre dans la bouche et dans mon cul ça me faisait tout drôle. Il continuait à s'enfoncer, je respirais fort, je paniquais pourtant il ne me faisait pas mal, mais c'était intense.
C'était agréable, je vous avoue que quelquefois je m'entraîne avec un gros gode mais, quand il y a le bonhomme au bout c'est mieux, c'est bien mieux. Il me tenait fermement par les hanches et continuait d'enfoncer sa queue bien à fond dans mon cul. Au moment ou je sentais son ventre s'écraser sur mes fesses, je manquais d'air.
C'était intense, violent, mais c'était bon. Il me tirait vers lui avec force et appuyait fermement contre moi. Puis il s'énervait un peu, il se retirait complètement. Là je soufflais un instant, mais un instant seulement. Il en profitait pour rajouter une nouvelle dose de gel lubrifiant et sans prévenir il enfonçait sa queue dans mon cul avec un force incroyable.
J'en ai vu d'autre mais là je vous jure je ne suis pas près de l'oublier. Son ventre claquait contre mes fesse, il ressortait et revenait avec toujours autant de violence, il continuait encore et encore. Il me tenait, bien cramponné à mes hanches il me tirait vers lui, il avançait son bassin avec un mouvement rapide et violent.
C'est moi qui me cramponnais comme je pouvais à la couette. Il était en position de force et je ne pouvais que subir. Je râlais, je gémissait surtout que par moment il me faisait mal, enfin un peu mal. Mais je tenais bon.
Il accélérait le mouvement, et là, il était vraiment violent. La douleur avait disparu mais la sensation était intense. Je sentais comme un plaisir qui naissait là, au milieu de mon ventre. Je me sentais retourné, complètement retourné. Son ventre claquait avec régularité sur mes fesses, il frappait avec force.
Dans ma tête c'était la folie, le plaisir augmentait, et la sensation de me faire dilater les entrailles devenait infernale. Je me demandais combien de temps ça allait dure, j'avais l'impression que le temps s'était arrêté juste pour moi, que ça durait des heures.
Puis j'étais pris d'un tremblement, le plaisir m'inondait dans tout le corps, j'ai cru devenir fous de plaisir. Je ne sentais plus sa queue qui me labourait le cul, je pensais à ma propre queue, là je ne bandais pas du tout. Je sentais ma queue se balancer lourdement, je suppose que je devait bander mou.
Puis il me prenait dans ses bras, me serrait fort contre lui, et là de nouveau mon attention se portait sur mon cul. Je la sentais bien sa queue qui entrait et qui ressortait avec force et vigueur. Il allait de plus en plus vite.
Mais comment il fait pour tenir si longtemps ?
Mon cul est trop petit pour subir un tel traitement, jamais avec le gode je fais durer si longtemps. Il ne lâchait rien, par moment c'est tout juste s'il faisait une pause, il m'embrassait alors dans le cou, me mordillait, me faisait trembler et reprenait avec toujours autant de force et de violence.
Je gémissais, c'était une longue plainte que je poussais. Je sais je l'avais voulu et je n'avais pas à me plaindre mais c'est que justement je ne me plaignais pas, je râlais, je gémissais, c'est tout ! Par moment j'en redemandais aussi mais j'avais un peu peur de réclamer trop fort, on ne sais jamais. Il avait l'air d'avoir du répondant …
Il appuyait sur mon dos, juste entre mes omoplates et je me retrouvais dans une position peu enviable ( enfin c'est une façon de parler ), à genoux sur le lit, le cul bien offert et la tête appuyés sous le coussin. Si j'avais du mal à respirer ce n'était pas à cause de la position mais à cause de ses coups de butoir de plus en plus violents.
Mes gémissements se transformaient en une sorte de plainte un peu comme si je pleurais. En fait je ne pleurais pas malgré les larmes qui coulaient sur mes joues, l'effet était trompeur, en tout cas ce n'étaient pas des larmes de tristesse. Ce n'était pas non plus des gémissements d'appel au secours.
Je l'ai senti trembler, je n'ai pas compris tout de suite il a serré ses bras autour de moi et ses coups de bite contre mon cul sont devenus particulièrement violents. Là par réflexe je tentais de me dégager.
Puis il a éjaculé dans mon cul, deux ou trois coups de bassin puis il s'effondrait sur moi, je m'effondrais sur le lit. Il respirait fort contre mon oreille. Il récupérait, mais je ne savais plus ou j'étais. Il bandait toujours quand il s'est retiré et là j'ai ressenti un orgasme, encore un, mais celui là était plus classique, il venait de ma queue, c'est là que j'ai éjaculé à mon tour.
Il est passé à la salle de bain, moi j'étais amorphe, intransportable. Je me sentais tout mou, je n'avais pas l'impression que je pouvais bouger ou que mes jambes me soutiendraient aussi je n'essayais même pas de me relever.
J'étais toujours dans la même position quand il est revenu. Il a éclaté de rire quand il m'a vu.
– Vainqueur par KO ! S'exclamait-il.
Je rigolais sans pour autant me relever. Il s'est allongé à côté de moi.
– Alors ça moi j'aime ! Me disait-il.
– Moi aussi … Mais ça te dérange si on ne recommence pas tout de suite ? Lui répondais-je.
Ensuite on a discuté, peu à peu j'ai récupéré, je suis passé à la salle de bain, j'ai pris une longue douche. Quand je suis revenu il s'était levé, il était à poil dans la cuisine, il préparait un café. À ce moment là je ne savais même plus si on était le soir ou le matin. Un moment j'ai bien cru qu'on allait bientôt se lever. En fait on était au milieu de la nuit.
Il était beau et sexy de dos, il avait de très jolies fesses, mais celles là, je savais que je ne les défoncerais pas, ni moi, ni personne d'ailleurs.
– C'était la première fois avec un mec pour toi ? Lui demandais-je.
– Et je m'en suis sorti comment ?
– Tu m'as déboîté le cul, je te dis pas !
– Mais tu as aimé, ose me dire le contraire …
Pour seule réponse, je m'approchais de lui, lui caressais le torse, je lui donnais un baiser. On a bu notre café puis on a discuté.
C'était bien la première fois qu'il ' sautait un mec ' comme il m'a dit.
– En gros, tu sais j'ai bien aimé. Je n'aurais jamais imaginé qu'un jour quelqu'un me laisse m'amuser avec son cul comme tu l'as fait … Mais j'aime pas trop ta bite.
– Ouai mais on ne vas pas l'enlever ?
– J'ai rien contre !
Je le regardaist avec un regard horrifié. Il reprenait .
– Mais non je plaisante, on ne va pas te mutiler, je me doute bien que tu ne serais pas d'accord. On va faire avec.
…
– J'aime pas mais bon, j'aime bien t'enculer ! Rajoutait-il.
Il était tard, les effets de la bière avaient disparus et ceux du café n'était pas suffisant pour nous maintenir éveillés. On s'est couché, l'un contre l'autre.
Je me suis réveillé quelques heures plus tard. Je suis allé à la salle de bain et en me regardant dans le miroir je repensais à ses propos. Oh non je vous rassure, il n'était pas question, il n'a jamais été question de retirer ce qui le gênait, mais …
J'ouvrais un tiroir que je n'avais pas ouvert depuis quelques temps. C'est là que j'avais rangé un petit truc un peu spécial, un dispositif de chasteté du meilleur goût. L’objet était particulièrement beau, couleur ivoire très légèrement brillant et toujours parfaitement lisse. Il était totalement invisible sous les vêtements, même un maillot de bain.
Je l'avais déjà porté et j'avais bien aimé. Mais c'est une autre histoire.
Et là je me demandais si … Peut être … Vu qu'on ne retirera rien à mon anatomie, manquerait plus que cela, on pourrait peut être ranger et même bien ranger ce qui dépasse. En plus je n'avais encore jamais à cette époque porté le dispositif pendant des relations sexuelles avec un actif. Il était très actif, et mon cul à ce moment me le rappelait. Pourtant ce n'était pas vieux.
Après quelques instants à hésiter je finissais par me décider et en quelques secondes je me glissais dedans, enfin j'y glissais ma bite et mes couilles. Je restais là à me regarder, étrangement je ne bandais pas, ni au moment ou j'ai passé le dispositif ni après.
Je suis retourné me coucher et je me suis blotti contre lui. Il s'appelait Benoît, il était pas mal foutu, très, mais vraiment très viril, actif, mais très actif. Et moi j'étais passif et maintenant très passif, je me demandais bien un peu comment il allait réagir mais quelque chose en moi me disait qu'il réagirait bien.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci
Belle histoire bien contée. J'aurais aimé être à votre place avec cet homme très actif