Il est minuit, docteur Schweitzer

- Par l'auteur HDS lelivredejeremie -
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Récit libertin : Il est minuit, docteur Schweitzer Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Il est minuit, docteur Schweitzer
Dong !
Jean-Eusèbe a attendu le premier des douze coups espacés au clocher de l’église de la banlieue de Libreville pour me sortir la phrase de la pièce de Cesbron, "Il est minuit, docteur Schweitzer", son gland gonflé sur ma prostate, qu’il stimule précisément, avec une retenue maitrisée, à la fois efficace et légèrement frustrante, de courts mouvements de sa queue, depuis une bonne minute.
Dong !
Sa pénétration un peu brusque, complète et profonde m’a tiré un long ‘Aaaaah’ qui mêlait une faible douleur à un plaisir grandissant, avant qu’il retire les trois-quarts de ses 18cm épais.
D’où il connait ça, lui ? On n’est peut-être au Gabon, mais à la capitale, pas à Lambarene, je ne suis pas docteur, juste infirmier, et c’est vraiment pas du tout le même context…
- …Te-eeuh ! ai-je glapi, alors qu’il s’enfonce violemment dans mon rectum.
- Tu la sens à fond ?
- C’est rien de le dire ! On dira ce qu’on voudra, vous, les Blacks, c’est l’épai…
Dong !
- Oooh… l’épaisseur…
Devant son sourire vainqueur insupportable, j’ai voulu un peu le casser, ou juste le défier, disons…
- Mais un étudiant Erasmus, un Norvégien, pâle et blond, m’a déjà mis vingt centimètres, lui, et…
Dong !
- Aaah !
- Ton presque clone, sauf pour la bite, s’est-il gentiment moqué, en fixant ma barre douloureusement raide qui plafonne à 15cm… "Han"
Dong !
- Oooooh ouiiiii.
- Branle-toi, je vais jouir…
Dong !
J’ai entamé les gestes rapides de mes doigts serrés sur ma hampe, faisant glisser mon prépuce sur la couronne de mon gland hypersensible, déjà couvert de liquide pré-éjaculatoire…
Schlick-schlick-schlick-schlick… coup de queue…
Dong !
- Aaaaah ! Putain, ouiii !
Schlick-schlick-schlick-schlick… coup de queue…
Dong !
- Comme ça, encooore… fooort !
Dong !
Il a légèrement redressé son torse qui me domine, remonté ma cuisse gauche sur son flanc d’une poigne ferme, et posé son autre main sur mon cou, en simulacre d’étranglement.
Au onzième tintement de la cloche, j’ai répandu quatre jets sur mon ventre, le poing bloqué sous mon gland, d’où suintaient alors les dernières coulées juste baveuses de mon sperme.
Au douzième, en maitre à ce jour incontesté de l’endurance et du timing parfait, Jean-Eusèbe m’a envoyé dans les entrailles ce que je sais être une quantité inédite pour moi de son jus d’homme, pour avoir dû déglutir son éjaculation en trois fois, une heure après mon atterrissage à Libreville…

***

Ce que je fous en Afrique, au Gabon, dans un dispensaire de la capitale, faudra le demander à mon maître de stage…
- J’essaie de choisir les affectations des étudiants en fonction de leurs préférences, Jérémie.
- Ah ? Et pourquoi là ?
- Soyons honnêtes, tu es avide, tu t’es fait absolument tous les garçons gays de l’école… et même quelques prétendus hétéros, sans parler de professeurs, tout se raconte, surtout les histoires de cul... Et là, je ne parle que de notre établissement, qui manque singulièrement de diversité. Tu pourrais la découvrir lors de ce stage, comme je l’avais fait pendant mes études. Bien sûr, je suis hétéro…
- C’est bien dommage.
- Ah ! Euh… Merci, c’est flatteur, je suppose… Mais je voulais dire qu’un pote de promo qui ne l’était pas, en est revenu avec… à ce qu’il en avait dit, le rectum nostalgique.

J’ai découvert, c’est pas faux. Accueilli par Jean-Eusèbe, l’homme à tout faire du dispensaire, à l’aéroport, mon blabla humanitaire ne l’a pas trompé bien longtemps, ma faute, je l’avais tenu sans le regarder, mais en faisant courir mes yeux de ses bras solides, en passant sur son torse large, jusqu’au relief dans son pantalon de toile. Il avait engagé la Land-Rover sur un chemin de terre pour l’arrêter entre deux bananiers.
- L’arbre typique du pays, le tronc est caractéristique, avec son écorce veinée, tu vois ? avait-il dit, avant d’ajouter "un peu comme ceci", ramenant mon attention sur sa queue épaisse qu’il venait d’exhiber. "Bienvenu en Afrique…"
J’avais craint de me déboiter la mâchoire sur son mandrin, dont je n’avais pu avaler qu’une moitié, mais il m’avait épargné cette épreuve et me suggérant de n’en garder que l’extrémité en bouche, alors qu’il s’était vigoureusement astiqué le mât, pour m’envoyer la plus grosse éjaculation que je me sois jamais prise, au point où les derniers spasmes avaient coulé sur son gland, avant que je les récupère d’une langue gourmande.

***

Cette fois, il m’a noyé le coude du côlon, son gland gonflé est juste légèrement luisant du sperme qu’il a laissé au fond de moi, et peut-être un peu de mon mucus rectal, dont la production semble bien plus produite par le passage de sa queue épaisse que par celui des bites européennes plus modestes que j’ai connues avant.
Sur le matelas où il s’est jeté sur le dos, à genoux entre ses jambes, je ne me lasse pas de son sexe circoncis, qui ramollit lentement malgré mes coups de langue, la hampe noire, la cicatrice rosâtre, et son fruit mûr, légèrement violacé…
- Montre-moi, a-t-il murmuré.
Je me suis tourné pour exposer mon sphincter détendu, dont il prétend qu’il palpite encore un peu en restituant la cascade nacrée de se semence.
- Dis, tu… tu resterais… pour la nuit ? ai-je mendié.
- Toi, tu as une idée derrière la tête, et peut-être ailleurs.
- Non, juste… dormir, sagement. Puis, demain matin, tu pourras profiter de ma douche, et tu seras déjà sur place pour ta journée, ai-je lâché avec un air faussement innocent.
- C’est très altruiste de ta part, j’accepte volontiers, a-t-il répondu avec une reconnaissance aussi peu sincère.
Non mais, vraiment, dodo, puis demain, la douche… Sauf que là, comme un rituel, je vais savonner son corps, avant de m’agenouiller et relancer son érection matinale, mais juste pour la forme, et un peu par gourmandise, il me fera me redresser pour me soulever, le temps que je noue mes jambes sur sa taille, et la gravité fera son office, je m’empalerai sur son sexe dressé et il me pilonnera, le dos collé au mur carrelé, jusqu’à ce que le plaisir me terrasse… Je baisserai le regard sur mon gland qui émerge de mon poing, et sur mon sperme opalin projeté sur la peau sombre et soyeuse de son ventre.
S’il kiffe de voir sa semence me couler du cul, ça, c’est mon kiff visuel rien qu’à moi !

Les avis des lecteurs

Histoire Coquine
Bien bandante, ton histoire. Perso, j'ai eu aussi des aventures avec des blacks, ici, en Europe. J'avais adoré. En ce moment, je suis en couple avec un jeune rebeu (Abdou), un rêve de mec. On baise de plus en plus, de mieux en mieux...



Texte coquin : Il est minuit, docteur Schweitzer
Histoire sexe : Une rose rouge
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