INITIATION 1
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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INITIATION 1
INITIATION 1
Pour moi c'est et ça restera un jour inoubliable, et ce même si je n'ai pas vraiment découvert ce que d'autres considèrent être une véritable révélation.
La journée avait commencé d'une manière tout à fait habituelle. Nous étions samedi, je faisais mon entraînement dans le parc et terminait la matinée à la piscine. Au réfectoire je retrouvait mes camarades, plusieurs avaient décidé de sortir ce soir là.
Ah oui avant d'aller plus loin il faut que je vous prévienne. Nous, les dernières années avons le droit de sortir le samedi soir. Je suis en effet interne à la PK Scool. C'est une école sympa mais … Bon c'est pas ça tout de même …
Je viens juste d'avoir dix huit ans, je suis boursier et comme tout le monde le sait dans ce cas il faut accepter un dispositif de chasteté. Moi je porte un dispositif titane décoré céramique. Ça ne vous dit rien ? Ça ne m'étonne pas, c'est un modèle fantaisie. Enfin quand je dis fantaisie, c'est un modèle tout à fait sérieux, rigoureusement équivalent au modèle titane classique mais lui, il est décoré avec des incrustations céramique. Quand je dis céramique, c'est une matière composite qui ressemble à de la céramique. C'est indestructible, au moins autant que le titane, insalissable, même l'eau n'y adhère pas. C'est joli à voir mais je m'en passerais bien.
J'ai pas trop le choix vu que je suis boursier. Je porte ce truc depuis deux ans, c'était pour mes seize ans. C'est la coutume, plus jeune c'est rigoureusement interdit. Il n'y a que les membres de la famille Brosso qui en portent un plus jeune. On dit même qu'il le portent dès l'âge de onze ans eux. Mais bon c'est une famille de malades, ils sont riches, très riches, mais ils sont fêlés.
Je ne sais pas si vous vous rendez compte, mais mettre un truc comme ça le jour de sa première érection … Pfff … Il faut être fêlé ! La je parle des parents, enfin moi je trouve que seize ans c'est déjà bien assez. Mais bon on ne choisi pas toujours ce qu'on fait !
Remarquez, c'est confortable ce truc, on s'y habitue bien, ça ne gêne pas les mouvements, c'est invisible sous les vêtements et tout et tout mais …
Bein oui !
Je ne me suis pas tripoté depuis bientôt deux ans. J'ai un petit stimulateur électrique, on me l'a donné avec la PK, mais c’est pas pareil. Pour autant que je me souvienne. Je rigole là, on n'oublie jamais et je me souviens très bien, c'est pas pareil ! Avec le stimulateur on jute, c'est efficace mais on ne sent rien, aucune sensation, on jute c'est tout. Le sperme coule, pas besoin d'érection, pas besoin de s'énerver. Et surtout on n'éprouve aucune sensation.
On se préparait donc à sortir. J’hésitais un long moment '' Cravate ou pas cravate ? '' … Bref nous avions soupé, et par petits groupes nous sortions. On se retrouvait un peut plus tard dans la soirée au hasard de nos déambulations.
C'est sur la piste de danse d'un bar tout à fait convenable que je l'ai vue. Nos regards se sont croisés, j'ai cru y voir comme une étincelle au moment ou elle m'a regardé. Nous avons échangé un sourire puis.
Je n'ai pas osé l'aborder.
C'est une peu plus tard dans la soirée que nous nous sommes retrouvé au bar, j'étais venu commander une bière et un soda. Elle était venu commander un cocktail léger. Nos mains se sont frôlées, nos regards se sont croisés de nouveau, nous avons échangé un autre sourire.
Elle : Salut ! C'est la première fois que je te vois ici toi.
Moi : Je ne viens pas souvent.
Elle : Tu habites dans le coin ?
Moi : Je fais mes études.
Elle : Université ?
Moi : PK School !
Elle : Ah ! Hmm ! Intéressant ! Et tu es un de ces porteurs ?
Moi : Bein … Oui, un peu …
C'est à ce moment que mon copain Chris qui m’accompagnait arrivait.
Chris : Alors Rémi on t'attend, la bière, tu es venu la chercher ou tu as décidé de la brasser toi même ? M'dame … ( C'est à peine s'il avait regardé la femme qu'il avait salué rapidement )
Il repartait avec sa bière.
Elle : Tu danses ?
Je me retrouvais dans les bras d'une femme superbe en train de danser. Elle se montrait rapidement entreprenante. Je ne savais plus trop comment réagir. Surtout que c'était la première fois que je me retrouvais dans les bras d'une femme.
Ma cage que j'avais tendance à oublier le plus souvent se rappelait avec violence. Je sentais ma queue se révolter. Il y a deux ans quand j'ai commencé à porter ce truc ça me le faisait tout le temps, puis je me suis habitué et c'était alors plus facile. Avec encore un peu de temps, ça a fini par passer, par se passer bien ou au moins pas trop mal.
Oh n'allez pas imaginez que le dispositif je l'ai oublié. J'y pense tout le temps, par moment j'y pense tellement que je ne pense qu'à ça ! C'est précisément ce qui se passait à ce moment. Je sentais ce corps, ferme et doux entre mes mains, contre moi. Je sentais sa poitrine qui s'écrasait contre mon torse. Et je sentais plus fort que jamais ma queue qui se révoltait même si elle savait, même si elle ne pouvait que savoir qu'elle n'avait aucune chance.
Malgré cette situation, le dispositif PK restait relativement confortable. De la gène, beaucoup de gène à la base de mon sexe, juste en dessous de mes couilles mais rien de plus. Enfin une pression intense à la base de mon pénis, à l'entrée de la cage mais c'est tout. Peut être aussi cette pression dingue tout autour de ma bite, sur toute sa longueur, cette pression qui me donnait l'impression que la cage écrasait ma queue. Mais tout ça c'était sans douleur, rien ne gênait mes mouvements et mon cœur battait fort.
La dame se penchait vers moi, et déposait sur mes lèvres un baiser très tendre. J'étais tétanisé, mes mains se sont refermées sur elle avec un peu plus de force, j'ai fermé les yeux et ma cage à bite aurait dû exploser.
Elle me regardait avec un regard plein de tendresse et de douceur. Finalement je ne suis pas retourné voir mes camarades. Ils ne m'ont pas attendu, Chris est juste venu me glisser à l'oreille '' On se casse '' au moment ou ils sont partis. Je restais avec Nathalie.
En fin de soirée je me retrouvais chez elle. C'est elle qui avait pris l'initiative. Doucement elle m'avait entraîné par la main pour sortir de la boîte de nuit. Puis sur le seuil de chez elle, elle m'avait doucement tiré vers elle et m'avait embrassé et ses baisers étaient des invitations auxquelles je ne pouvais résister.
Je ne savais plus ou j'étais au moment ou on franchissait la porte de son appartement, déjà sa main s'attardait sur mon torse et déjà l'autre main se glissait sous ma chemise. Une pression incroyable se manifestait dans ma cage à bite. Mon cœur battait très fort. Je ne savais pas comment cette histoire allait se terminer. Il y avait comme un petit truc dans mon ventre … '' Comment allait-elle réagir au moment ou elle découvrirait mon dispositif ? … '' .
Puis je me souvenais de notre discussion un peu plus tôt dans la soirée. Elle le sais déjà. Mais ou veut-elle en venir ? Ma queue est sous pression mais je ne pourrais pas en faire grand chose. Mon dispositif se relevait sous la pression interne. C'était très inconfortable, pas douloureux, sur ce point le dispositif tenait ses promesses mais vraiment inconfortable.
A peine la porte s'était-elle refermée qu'elle me tirait vers elle et ses baisers devenaient plus fougueux, moi, je ne sais pas. J'avais l'impression de devenir encore plus timide, je ne savais plus quoi faire. Elle s'en rendait compte.
Elle me retirait ma cravate, ma veste se retrouvait sur le fauteuil sans que je ne sache comment. Suivaient la chemise … Je me retrouvais torse nue.
Elle ne cachait pas qu'elle appréciait ce qu'elle voyait. Ne me dites pas que ça vous étonne, il faudrait être difficile. Dix huit ans, musclé de partout, presque pas de poils. C'est simple si j'étais une fille je serais folle de moi !
Elle semblait folle de moi.
Je sentais plus fort encore son corps quand elle se serrait contre moi, sa poitrine, la douceur de ses bras, la cambrure de ses reins … Je l'embrassais dans le cou, ma queue était en enfer, ma tête était en feu, je ne comprenait plus rien, je me laissais aller.
Doucement elle guidait ma main sur sa poitrine, entre sa poitrine, juste entre ses seins. C'est là que se trouvait un petit bouton, puis un autre, puis … Au début j'aurais pensé que la robe s'ouvrait dans le dos, mais c'est vrai qu'à ce moment je ne pensais plus. Tout avait disjoncté dans ma tête !
Je n'étais plus guidé que par ma bouche contre sa peau, contre ses lèvres, contres ses seins qui se dévoilaient quand la robe tombait sur ses pieds. Elle ne portait rien en dessous et quand ses chaussures retombaient à l'autre bout de la pièce elle était nue.
Je lui caressait alors tout le corps, je tombait à genoux devant elle, la couvrait de baiser. Son corps était ferme, mince. Sa peau était douce et ses seins superbes se relevait presque autant que ma cage de chasteté. Elle retenait ma fougue, il faut bien dire que là je ne contrôlais plus rien.
Nath : Doucement, vas y doucement, on a toute la nuit !
Toute la nuit ! Mon cœur ne tiendrait pas si longtemps. Je savais que je ne pourrais pas conclure, en tout cas pas d'une manière satisfaisante pour moi mais je m'en moquais.
Moi : Ouimaistusaismoij'ai !
Elle me faisait taire avec un doigt sur ma bouche !
Nath : Reste calme … Tout va bien …
Je parlais vite, trop vite, tellement vite. C'est elle qui maintenant se penchait sur moi, sans prévenir elle me poussait sur le canapé, elle en basculait le dossier et se laissait tomber sur moi. Elle s'allongeait sur moi. Je sentais encore plus fort son corps, ses seins qui s'écrasaient contre ma poitrine.
C'est elle qui maintenant me couvrait de baisers. Elle commençait par mes lèvres, puis passait sur le cou, les épaules, les tétons. Là ma queue se révoltait encore plus … avec ses mains elle me caressait tout le corps. Je les sentais se glisser sur ma ceinture, elle ouvrait mon pantalon. C'était amusant et nous rigolions, elle tirait sur mon pantalon, je soulevais mes fesses pour l'aider et me retrouvait à poil , ou presque, quelques instants plus tard.
Je baissais les yeux et voyais l'étendue des dégâts. Ma queue avait tellement gonflé qu'elle formait des petites bulle par les ouvertures d'hygiène. Le dispositif se relevait sous la pression et mes couilles formaient une grosse boule en dessous. C'était pas vraiment confortable, j'avais oublié comment le dispositif pouvait être aussi désagréable à porter. C'était pire peut être même qu'au début !
Nathalie s'amusait de me voir ainsi, et me tripotait les couilles. Puis de nouveau elle s'allongeait sur moi, me caressait, m'embrassait avant de me retourner, je me laissais faire et me retrouvais à mon tour allongé sur elle. C'est moi alors qui la caressais et l'embrassais. Elle me guidait, un peu plus à droite, un peu plus à gauche, plus bas … Elle guidait ma tête entre ses cuisses qu'elle écartais. J'étais sonné ! Ma queue devenait presque douloureuse mais je ne voulais pas arrêter.
Nathalie plongeait une main dans un tiroir et en tirait une laisse. Je regardais ça sans trop comprendre. En fait non c'était pas une laisse, c'était un harnais. Elle me passait une lanière autour de la ceinture, autour des cuisses juste en dessous de mes couilles, je la laissais faire sans comprendre. Elle sortait ensuite une grosse bite en plastique et la fixais sur moi.
Je me retrouvais alors avec une grosse bite en érection, là ou on s'attend à la trouver. Ma cage ne gênait pas, mais ma queue, la vrai cette fois protestait toujours de toutes ses forces. Je me masturbais un peu avec cette queue en plastique mou. Mais c'était sans espoir pour moi, je ne ressentais rien …
En un mouvement rapide elle me retournais sur le dos et se plaçait au dessus de moi. Elle me regardait droit dans les yeux, me chevauchait et doucement dans un très long mouvements s'enfonçait ma queue en elle, elle s'empalait sur moi et je voyais le plaisir sur son visage. Elle fermait les yeux, relevait la tête, gémissait. Sa respiration devenait plus forte, sa poitrine se balançait devant mes yeux. De nouveau j'avais la tête en feux.
Elle retombait sur moi, me caressait, m'embrassait. Je lui rendais toutes ses caresses, tous ses baisers et relevait le bassin puis le laissais retomber. Doucement au début puis plus vite. D'un sourire elle me confirmait que c'est ce qu'elle attendait.
On roulait l'un sur l'autre et je me retrouvais sur le dessus. Je me lâchais alors, je relevais le bassin puis m'enfonçais de nouveau. Elle passait ses jambes dans mon dos et continuait à me guider. Je lui donnais des coups de bassin, doucement, tout doucement au début. Elle semblait apprécier et m'encourageait, mes mouvements devenaient plus rapides, plus violents.
Par moment elle m'attrapait les épaules et me tirais vers elle, je me laissait alors tomber sur elle et ne bougeais plus le bassin. La fausse bite enfoncée bien à fond en elle. On s'embrassait, on se calmait, elle se calmait et reprenait son souffle. Puis sur commande je recommençais.
Elle s'amusait avec moi et semblait y prendre du plaisir. Moi j'y prenais aussi un certain plaisir mais tellement plus de frustration, et ma queue qui protestait toujours, c'était à devenir fou.
C'est elle qui dirigeait, qui contrôlait, je faisais ce qu'elle me demandait, tout ce qu'elle me demandait. J'étais en sueur, mon cœur battait fort et vite, j'avais l'impression d'être au bord de l'asphyxie. Mais j'étais encore jeune à cette époque, plus âgé on risquerait de ne pas survivre à de tels ébats … Mais j'avais juste dix huit ans à l'époque !
Puis complètement essoufflée, en sueur elle m'a demandé de me retirer. Nous nous sommes alors retrouvés allongés sur le dos elle satisfaite, moi frustré.
J'avais envie de recommencer de continuer encore et encore jusqu'à ce que … Mais ce n'était pas de cette manière là que je pourrais vraiment jouir comme j'en avais si souvent envie et là, ce jour là, à ce moment, tellement besoin.
Elle s'était bien amusée, elle m'avait utilisé comme un jouet, un sex-toy. Je n'avais été que son sex-toy pour un soir. Avec douceur elle me prenait dans ses bras, elle décrochait le harnais, je me retrouvais vers elle et la prenait dans mes bras, j'étais en manque mais j'étais prêt à prendre soin d'elle.
Elle s'est endormie peu après, j'ai admiré son visage d'ange pendant toute la nuit. Elle a bien dormi, très bien dormi même. Moi j'ai pas dormi, j'ai veillé sur ma princesse.
Toute la nuit ma queue à protesté dans sa cage.
J'étais là, à sa disposition, prêt à recommencer sur commande, quand elle le voudrait.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Pour moi c'est et ça restera un jour inoubliable, et ce même si je n'ai pas vraiment découvert ce que d'autres considèrent être une véritable révélation.
La journée avait commencé d'une manière tout à fait habituelle. Nous étions samedi, je faisais mon entraînement dans le parc et terminait la matinée à la piscine. Au réfectoire je retrouvait mes camarades, plusieurs avaient décidé de sortir ce soir là.
Ah oui avant d'aller plus loin il faut que je vous prévienne. Nous, les dernières années avons le droit de sortir le samedi soir. Je suis en effet interne à la PK Scool. C'est une école sympa mais … Bon c'est pas ça tout de même …
Je viens juste d'avoir dix huit ans, je suis boursier et comme tout le monde le sait dans ce cas il faut accepter un dispositif de chasteté. Moi je porte un dispositif titane décoré céramique. Ça ne vous dit rien ? Ça ne m'étonne pas, c'est un modèle fantaisie. Enfin quand je dis fantaisie, c'est un modèle tout à fait sérieux, rigoureusement équivalent au modèle titane classique mais lui, il est décoré avec des incrustations céramique. Quand je dis céramique, c'est une matière composite qui ressemble à de la céramique. C'est indestructible, au moins autant que le titane, insalissable, même l'eau n'y adhère pas. C'est joli à voir mais je m'en passerais bien.
J'ai pas trop le choix vu que je suis boursier. Je porte ce truc depuis deux ans, c'était pour mes seize ans. C'est la coutume, plus jeune c'est rigoureusement interdit. Il n'y a que les membres de la famille Brosso qui en portent un plus jeune. On dit même qu'il le portent dès l'âge de onze ans eux. Mais bon c'est une famille de malades, ils sont riches, très riches, mais ils sont fêlés.
Je ne sais pas si vous vous rendez compte, mais mettre un truc comme ça le jour de sa première érection … Pfff … Il faut être fêlé ! La je parle des parents, enfin moi je trouve que seize ans c'est déjà bien assez. Mais bon on ne choisi pas toujours ce qu'on fait !
Remarquez, c'est confortable ce truc, on s'y habitue bien, ça ne gêne pas les mouvements, c'est invisible sous les vêtements et tout et tout mais …
Bein oui !
Je ne me suis pas tripoté depuis bientôt deux ans. J'ai un petit stimulateur électrique, on me l'a donné avec la PK, mais c’est pas pareil. Pour autant que je me souvienne. Je rigole là, on n'oublie jamais et je me souviens très bien, c'est pas pareil ! Avec le stimulateur on jute, c'est efficace mais on ne sent rien, aucune sensation, on jute c'est tout. Le sperme coule, pas besoin d'érection, pas besoin de s'énerver. Et surtout on n'éprouve aucune sensation.
On se préparait donc à sortir. J’hésitais un long moment '' Cravate ou pas cravate ? '' … Bref nous avions soupé, et par petits groupes nous sortions. On se retrouvait un peut plus tard dans la soirée au hasard de nos déambulations.
C'est sur la piste de danse d'un bar tout à fait convenable que je l'ai vue. Nos regards se sont croisés, j'ai cru y voir comme une étincelle au moment ou elle m'a regardé. Nous avons échangé un sourire puis.
Je n'ai pas osé l'aborder.
C'est une peu plus tard dans la soirée que nous nous sommes retrouvé au bar, j'étais venu commander une bière et un soda. Elle était venu commander un cocktail léger. Nos mains se sont frôlées, nos regards se sont croisés de nouveau, nous avons échangé un autre sourire.
Elle : Salut ! C'est la première fois que je te vois ici toi.
Moi : Je ne viens pas souvent.
Elle : Tu habites dans le coin ?
Moi : Je fais mes études.
Elle : Université ?
Moi : PK School !
Elle : Ah ! Hmm ! Intéressant ! Et tu es un de ces porteurs ?
Moi : Bein … Oui, un peu …
C'est à ce moment que mon copain Chris qui m’accompagnait arrivait.
Chris : Alors Rémi on t'attend, la bière, tu es venu la chercher ou tu as décidé de la brasser toi même ? M'dame … ( C'est à peine s'il avait regardé la femme qu'il avait salué rapidement )
Il repartait avec sa bière.
Elle : Tu danses ?
Je me retrouvais dans les bras d'une femme superbe en train de danser. Elle se montrait rapidement entreprenante. Je ne savais plus trop comment réagir. Surtout que c'était la première fois que je me retrouvais dans les bras d'une femme.
Ma cage que j'avais tendance à oublier le plus souvent se rappelait avec violence. Je sentais ma queue se révolter. Il y a deux ans quand j'ai commencé à porter ce truc ça me le faisait tout le temps, puis je me suis habitué et c'était alors plus facile. Avec encore un peu de temps, ça a fini par passer, par se passer bien ou au moins pas trop mal.
Oh n'allez pas imaginez que le dispositif je l'ai oublié. J'y pense tout le temps, par moment j'y pense tellement que je ne pense qu'à ça ! C'est précisément ce qui se passait à ce moment. Je sentais ce corps, ferme et doux entre mes mains, contre moi. Je sentais sa poitrine qui s'écrasait contre mon torse. Et je sentais plus fort que jamais ma queue qui se révoltait même si elle savait, même si elle ne pouvait que savoir qu'elle n'avait aucune chance.
Malgré cette situation, le dispositif PK restait relativement confortable. De la gène, beaucoup de gène à la base de mon sexe, juste en dessous de mes couilles mais rien de plus. Enfin une pression intense à la base de mon pénis, à l'entrée de la cage mais c'est tout. Peut être aussi cette pression dingue tout autour de ma bite, sur toute sa longueur, cette pression qui me donnait l'impression que la cage écrasait ma queue. Mais tout ça c'était sans douleur, rien ne gênait mes mouvements et mon cœur battait fort.
La dame se penchait vers moi, et déposait sur mes lèvres un baiser très tendre. J'étais tétanisé, mes mains se sont refermées sur elle avec un peu plus de force, j'ai fermé les yeux et ma cage à bite aurait dû exploser.
Elle me regardait avec un regard plein de tendresse et de douceur. Finalement je ne suis pas retourné voir mes camarades. Ils ne m'ont pas attendu, Chris est juste venu me glisser à l'oreille '' On se casse '' au moment ou ils sont partis. Je restais avec Nathalie.
En fin de soirée je me retrouvais chez elle. C'est elle qui avait pris l'initiative. Doucement elle m'avait entraîné par la main pour sortir de la boîte de nuit. Puis sur le seuil de chez elle, elle m'avait doucement tiré vers elle et m'avait embrassé et ses baisers étaient des invitations auxquelles je ne pouvais résister.
Je ne savais plus ou j'étais au moment ou on franchissait la porte de son appartement, déjà sa main s'attardait sur mon torse et déjà l'autre main se glissait sous ma chemise. Une pression incroyable se manifestait dans ma cage à bite. Mon cœur battait très fort. Je ne savais pas comment cette histoire allait se terminer. Il y avait comme un petit truc dans mon ventre … '' Comment allait-elle réagir au moment ou elle découvrirait mon dispositif ? … '' .
Puis je me souvenais de notre discussion un peu plus tôt dans la soirée. Elle le sais déjà. Mais ou veut-elle en venir ? Ma queue est sous pression mais je ne pourrais pas en faire grand chose. Mon dispositif se relevait sous la pression interne. C'était très inconfortable, pas douloureux, sur ce point le dispositif tenait ses promesses mais vraiment inconfortable.
A peine la porte s'était-elle refermée qu'elle me tirait vers elle et ses baisers devenaient plus fougueux, moi, je ne sais pas. J'avais l'impression de devenir encore plus timide, je ne savais plus quoi faire. Elle s'en rendait compte.
Elle me retirait ma cravate, ma veste se retrouvait sur le fauteuil sans que je ne sache comment. Suivaient la chemise … Je me retrouvais torse nue.
Elle ne cachait pas qu'elle appréciait ce qu'elle voyait. Ne me dites pas que ça vous étonne, il faudrait être difficile. Dix huit ans, musclé de partout, presque pas de poils. C'est simple si j'étais une fille je serais folle de moi !
Elle semblait folle de moi.
Je sentais plus fort encore son corps quand elle se serrait contre moi, sa poitrine, la douceur de ses bras, la cambrure de ses reins … Je l'embrassais dans le cou, ma queue était en enfer, ma tête était en feu, je ne comprenait plus rien, je me laissais aller.
Doucement elle guidait ma main sur sa poitrine, entre sa poitrine, juste entre ses seins. C'est là que se trouvait un petit bouton, puis un autre, puis … Au début j'aurais pensé que la robe s'ouvrait dans le dos, mais c'est vrai qu'à ce moment je ne pensais plus. Tout avait disjoncté dans ma tête !
Je n'étais plus guidé que par ma bouche contre sa peau, contre ses lèvres, contres ses seins qui se dévoilaient quand la robe tombait sur ses pieds. Elle ne portait rien en dessous et quand ses chaussures retombaient à l'autre bout de la pièce elle était nue.
Je lui caressait alors tout le corps, je tombait à genoux devant elle, la couvrait de baiser. Son corps était ferme, mince. Sa peau était douce et ses seins superbes se relevait presque autant que ma cage de chasteté. Elle retenait ma fougue, il faut bien dire que là je ne contrôlais plus rien.
Nath : Doucement, vas y doucement, on a toute la nuit !
Toute la nuit ! Mon cœur ne tiendrait pas si longtemps. Je savais que je ne pourrais pas conclure, en tout cas pas d'une manière satisfaisante pour moi mais je m'en moquais.
Moi : Ouimaistusaismoij'ai !
Elle me faisait taire avec un doigt sur ma bouche !
Nath : Reste calme … Tout va bien …
Je parlais vite, trop vite, tellement vite. C'est elle qui maintenant se penchait sur moi, sans prévenir elle me poussait sur le canapé, elle en basculait le dossier et se laissait tomber sur moi. Elle s'allongeait sur moi. Je sentais encore plus fort son corps, ses seins qui s'écrasaient contre ma poitrine.
C'est elle qui maintenant me couvrait de baisers. Elle commençait par mes lèvres, puis passait sur le cou, les épaules, les tétons. Là ma queue se révoltait encore plus … avec ses mains elle me caressait tout le corps. Je les sentais se glisser sur ma ceinture, elle ouvrait mon pantalon. C'était amusant et nous rigolions, elle tirait sur mon pantalon, je soulevais mes fesses pour l'aider et me retrouvait à poil , ou presque, quelques instants plus tard.
Je baissais les yeux et voyais l'étendue des dégâts. Ma queue avait tellement gonflé qu'elle formait des petites bulle par les ouvertures d'hygiène. Le dispositif se relevait sous la pression et mes couilles formaient une grosse boule en dessous. C'était pas vraiment confortable, j'avais oublié comment le dispositif pouvait être aussi désagréable à porter. C'était pire peut être même qu'au début !
Nathalie s'amusait de me voir ainsi, et me tripotait les couilles. Puis de nouveau elle s'allongeait sur moi, me caressait, m'embrassait avant de me retourner, je me laissais faire et me retrouvais à mon tour allongé sur elle. C'est moi alors qui la caressais et l'embrassais. Elle me guidait, un peu plus à droite, un peu plus à gauche, plus bas … Elle guidait ma tête entre ses cuisses qu'elle écartais. J'étais sonné ! Ma queue devenait presque douloureuse mais je ne voulais pas arrêter.
Nathalie plongeait une main dans un tiroir et en tirait une laisse. Je regardais ça sans trop comprendre. En fait non c'était pas une laisse, c'était un harnais. Elle me passait une lanière autour de la ceinture, autour des cuisses juste en dessous de mes couilles, je la laissais faire sans comprendre. Elle sortait ensuite une grosse bite en plastique et la fixais sur moi.
Je me retrouvais alors avec une grosse bite en érection, là ou on s'attend à la trouver. Ma cage ne gênait pas, mais ma queue, la vrai cette fois protestait toujours de toutes ses forces. Je me masturbais un peu avec cette queue en plastique mou. Mais c'était sans espoir pour moi, je ne ressentais rien …
En un mouvement rapide elle me retournais sur le dos et se plaçait au dessus de moi. Elle me regardait droit dans les yeux, me chevauchait et doucement dans un très long mouvements s'enfonçait ma queue en elle, elle s'empalait sur moi et je voyais le plaisir sur son visage. Elle fermait les yeux, relevait la tête, gémissait. Sa respiration devenait plus forte, sa poitrine se balançait devant mes yeux. De nouveau j'avais la tête en feux.
Elle retombait sur moi, me caressait, m'embrassait. Je lui rendais toutes ses caresses, tous ses baisers et relevait le bassin puis le laissais retomber. Doucement au début puis plus vite. D'un sourire elle me confirmait que c'est ce qu'elle attendait.
On roulait l'un sur l'autre et je me retrouvais sur le dessus. Je me lâchais alors, je relevais le bassin puis m'enfonçais de nouveau. Elle passait ses jambes dans mon dos et continuait à me guider. Je lui donnais des coups de bassin, doucement, tout doucement au début. Elle semblait apprécier et m'encourageait, mes mouvements devenaient plus rapides, plus violents.
Par moment elle m'attrapait les épaules et me tirais vers elle, je me laissait alors tomber sur elle et ne bougeais plus le bassin. La fausse bite enfoncée bien à fond en elle. On s'embrassait, on se calmait, elle se calmait et reprenait son souffle. Puis sur commande je recommençais.
Elle s'amusait avec moi et semblait y prendre du plaisir. Moi j'y prenais aussi un certain plaisir mais tellement plus de frustration, et ma queue qui protestait toujours, c'était à devenir fou.
C'est elle qui dirigeait, qui contrôlait, je faisais ce qu'elle me demandait, tout ce qu'elle me demandait. J'étais en sueur, mon cœur battait fort et vite, j'avais l'impression d'être au bord de l'asphyxie. Mais j'étais encore jeune à cette époque, plus âgé on risquerait de ne pas survivre à de tels ébats … Mais j'avais juste dix huit ans à l'époque !
Puis complètement essoufflée, en sueur elle m'a demandé de me retirer. Nous nous sommes alors retrouvés allongés sur le dos elle satisfaite, moi frustré.
J'avais envie de recommencer de continuer encore et encore jusqu'à ce que … Mais ce n'était pas de cette manière là que je pourrais vraiment jouir comme j'en avais si souvent envie et là, ce jour là, à ce moment, tellement besoin.
Elle s'était bien amusée, elle m'avait utilisé comme un jouet, un sex-toy. Je n'avais été que son sex-toy pour un soir. Avec douceur elle me prenait dans ses bras, elle décrochait le harnais, je me retrouvais vers elle et la prenait dans mes bras, j'étais en manque mais j'étais prêt à prendre soin d'elle.
Elle s'est endormie peu après, j'ai admiré son visage d'ange pendant toute la nuit. Elle a bien dormi, très bien dormi même. Moi j'ai pas dormi, j'ai veillé sur ma princesse.
Toute la nuit ma queue à protesté dans sa cage.
J'étais là, à sa disposition, prêt à recommencer sur commande, quand elle le voudrait.
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