Innocente posture
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Innocente posture
Innocente posture
— Incroyable : on a beau s’éloigner et se poser aux endroits les moins passants, les mecs s’arrangent toujours pour nous reluquer et marcher comme par hasard près de nous.
— Oui, quand ils ne vont pas jusqu’à s’installer à côté avec leurs serviettes, voire nous aborder ! La prochaine fois on va sur une plage déserte.
— Deux jeunes filles toutes nues sur une plage déserte ? Non, trop dangereux, on ne sait jamais.
— Je ne vois pas quel problème ça pose, on le fait uniquement sur les plages nudistes. C’est étrange… nous ne sommes pas les deux seules filles de l’endroit.
— Ce qui interpelle, ce sont nos postures.
— C’est toi qui me les as apprise ! Et tu as bien fait : je ne me suis jamais sentie aussi bien dans mon corps. Il fallait juste oser. Oser bronzer en écartant les jambes ou bien en yogiste afin de bien faire ressortir l’anus.
— Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi tout le monde ne fait pas comme nous. En principe les naturistes n’ont pas de fausse pudeur !
— Il faut croire que si. Et même, ils font tout pour que leurs pénis, testicules, vulves ou trous ne soient pas mis en avant, soient cachés.
— Quelle est l’utilité d’être nu si c’est pour être encore moins libre que vêtu ? Du coup les mecs nous voient comme des allumeuses. Ils croient qu’on meurt d’envie d’être attrapées !
— Alors que nous sommes en vacances. Au repos ! En ville, on se fait attraper toute l’année. C’est pas pour continuer en province, au contraire nos corps se remettent à neuf.
— Si les autres filles connaissaient l’effet du vent en plein dans le devant ou le derrière, elles feraient toutes comme nous. Et en plus, elles se prépareraient à une excellente rentrée de baise. Allez, tu as raison après tout : direction petite crique déserte.
Malentendu, rebelote
— Pourquoi tu me parles encore de consanguinité ?
— Après ce que tu m’as dit, je pensais que le sujet était ouvert avec toi.
— Tu n’as rien compris ! Quand je dis que chez moi on baise en famille ça veut dire que je couche au rez-de-chaussée pendant que ma grande sœur baise au sous-sol et que ma mère se fait sauter au premier, enfin ! Qu’est-ce que tu allais t’imaginer ?
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à 8 H.
— Incroyable : on a beau s’éloigner et se poser aux endroits les moins passants, les mecs s’arrangent toujours pour nous reluquer et marcher comme par hasard près de nous.
— Oui, quand ils ne vont pas jusqu’à s’installer à côté avec leurs serviettes, voire nous aborder ! La prochaine fois on va sur une plage déserte.
— Deux jeunes filles toutes nues sur une plage déserte ? Non, trop dangereux, on ne sait jamais.
— Je ne vois pas quel problème ça pose, on le fait uniquement sur les plages nudistes. C’est étrange… nous ne sommes pas les deux seules filles de l’endroit.
— Ce qui interpelle, ce sont nos postures.
— C’est toi qui me les as apprise ! Et tu as bien fait : je ne me suis jamais sentie aussi bien dans mon corps. Il fallait juste oser. Oser bronzer en écartant les jambes ou bien en yogiste afin de bien faire ressortir l’anus.
— Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi tout le monde ne fait pas comme nous. En principe les naturistes n’ont pas de fausse pudeur !
— Il faut croire que si. Et même, ils font tout pour que leurs pénis, testicules, vulves ou trous ne soient pas mis en avant, soient cachés.
— Quelle est l’utilité d’être nu si c’est pour être encore moins libre que vêtu ? Du coup les mecs nous voient comme des allumeuses. Ils croient qu’on meurt d’envie d’être attrapées !
— Alors que nous sommes en vacances. Au repos ! En ville, on se fait attraper toute l’année. C’est pas pour continuer en province, au contraire nos corps se remettent à neuf.
— Si les autres filles connaissaient l’effet du vent en plein dans le devant ou le derrière, elles feraient toutes comme nous. Et en plus, elles se prépareraient à une excellente rentrée de baise. Allez, tu as raison après tout : direction petite crique déserte.
Malentendu, rebelote
— Pourquoi tu me parles encore de consanguinité ?
— Après ce que tu m’as dit, je pensais que le sujet était ouvert avec toi.
— Tu n’as rien compris ! Quand je dis que chez moi on baise en famille ça veut dire que je couche au rez-de-chaussée pendant que ma grande sœur baise au sous-sol et que ma mère se fait sauter au premier, enfin ! Qu’est-ce que tu allais t’imaginer ?
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