Itinéraire d’un mâle gynarchique (4)
Récit érotique écrit par Batys [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Itinéraire d’un mâle gynarchique (4)
Chapitre 4 : le piègeQuand il revient avec deux flûtes de Champagne, elle l’entraîne avec elle à l’écart. Ils discutent longuement tous les deux, mais elle se montre réservée dès qu’il s’agit d’elle. Aurélien apprend seulement qu’elle est d’origine vietnamienne et qu’elle s’appelle Loan. Par contre, elle réussit à faire parler Aurélien à son sujet et, l’alcool aidant, après avoir bu trop de Champagne, il lui raconte l’épisode de sa vie chez sa Tante, notamment le fait qu’il était assujetti à une discipline stricte. Loan se garde de faire le moindre commentaire à ce sujet et les choses en sont restées là.
Le lendemain à son réveil, outre qu’il a la "gueule de bois", Aurélien réalise sa grave imprudence à avoir raconté à Loan sa relation particulière avec sa Tante mais il se rassure en se souvenant qu’elle ne s’est ni attardée dessus, ni moquée de lui. Pourtant et nous allons le découvrir, les craintes d’Aurélien vont se révéler fondées car il ne le sait pas encore, il a réussi à éveiller la curiosité de Loan. Certes elle avait pressenti sa docilité dès le premier jour, mais il y avait aussi le regard insistant du jeune homme sur ses bottes et surtout les quelques confidences à propos de son éducation qu’il lui avait avoué… et tout cela l’intéresse au plus haut point, elle qui recherche un homme pour le dresser et l’éduquer à supporter ses fantaisies sexuelles. Elle sait qu’Adrien n’a pas été au bout de ses petits secrets et elle veut en savoir davantage.
Pour les obtenir, Loan va organiser un véritable traquenard pour sa future victime.
Pour cela, c’est très simple, elle va provoquer une panne dans son ordinateur et il suffira d’appeler Aurélien puisque cela relève de sa compétence.
C’est ainsi que quelques jours plus tard, l’infirmière lui téléphone pour lui signaler cette avarie.
Quand Aurélien découvre que c’est la belle infirmière au bout du fil, les battements de son cœur s’accélèrent et il se précipite vers l’infirmerie.
Arrivé sur place, il découvre en premier lieu qu’elle est vêtue sans sa blouse d’infirmière. C’est la seconde fois qu’il la voit ainsi et il trouve décidément très élégante. Tout en elle exprime la féminité. Sa bouche merveilleusement dessinée avec un rouge à lèvres rouge vif et métallisé assorti à un joli verni sur ses ongles mettent en valeur ses mains fines et soignées et elle s’arbore fièrement avec un pull en laine angora rouge, une jupe droite en cuir noir ceinturée à la taille , les jambes gainées de bas noirs et... des bottes en cuir noir. Son allure était hautaine, tant de part sa tenue mais surtout cette expression de supériorité dans son regard derrière des lunettes, très subtile mais perceptible pour un homme comme Aurélien.
Passant à la raison de son intervention, elle lui explique que son micro-ordinateur est bloqué. Aurélien teste le clavier et effectivement, rien ne fonctionne. Il commence à déduire un probable problème de raccordement et il doit vérifier, un à un, tous les connecteurs. L’unité centrale étant placée dans le bas du meuble, il lui faut aller sous le bureau. Tout en restant assise, elle recule son fauteuil à roulettes pour permettre à Aurélien de se frayer un passage.
En vérifiant le matériel, il constate que c’est bien le connecteur du clavier qui s’est légèrement déboîté. Hypnotisé, il est là à quatre pattes aux pieds de celle qu’il considère comme une Déesse et il réalise qu’il est tout près des bottes de Loan, les mêmes que celles du premier jour, comme jamais il ne l’aurait espéré. Il en profite pour les admirer tout comme sa jupe qui brille, ce cuir qui crisse dès qu’elle bouge.
En manœuvrant pour s’extraire de sous le bureau, Aurélien se rapproche des jambes de Loan et il ne peut s’empêcher de baiser délicatement de ses lèvres le cuir d’une de ses bottes en se persuadant qu’elle ne se rendra compte de rien. Cette odeur de cuir l’enivre au point qu’il sort sa langue pour lécher une partie de la botte qui s’offre à lui. Loan voit bien son petit jeu mais elle le laisse faire.
Quand Aurélien sort de sous le bureau, à peine vient-il de se relever que Loan fait tomber un stylo à ses pieds.
« Ramasse ! », lui ordonne-t-elle.
Aurélien s’accroupit pour le ramasser, se relève et le donne à Loan, mais elle le jette une seconde fois et il se baisse à nouveau.
Cette fois, Loan le cloue au sol avec la semelle de l’une de ses bottes sur sa main, l’obligeant à rester dans cette position.
« Restes comme tu es. Tu te relèveras quand je te le dirais. »« Oui, Loan. »« Tu aimes obéir, hein ? »Aurélien ne répond pas.
Loan l’observe, le temps d’étudier sa réaction puis elle met fin à l’interrogatoire pour ne pas précipiter les choses et retire son pied de sur la main d’Aurélien. Elle griffonne alors quelques mots sur un papier qu’elle plie et le jette à Aurélien.
« C’est parfait, mon clavier fonctionne à nouveau », s’exclame-t-elle comme s’il ne s’était rien passé.
Aurélien ramasse le papier et l’ouvre. Elle lui donne rendez-vous vendredi soir dans le parking à 17h30. C’est seulement dans deux jours, mais pour Aurélien c’est comme s’il faudrait patienter une année.
Le message est à peine lu, que Loan lui fait signe de disparaître.
Pour rien au monde il n’aurait raté ce rendez-vous et il s’y précipite le surlendemain, même avant l’heure.
Aurélien entend le vrombissement d’un moteur de voiture et c’est Loan au volant d’une BMW noire qui s’arrête dans une allée. La vitre électrique, côté passager, descend et Loan lui ordonne de monter après avoir débloqué le verrouillage centralisé des portières.
À peine installé que le moteur vrombit de nouveau sous la pression du pied de Loan sur l’accélérateur et la BMW quitte le parking.
Aurélien ne dit rien, terriblement excité d’être assis à côté d’elle. Après avoir réussi de ne regarder que la route, son regard se détourne vers ses bottes.
Soudainement la voix de Loan le sort de ses songes :« Qu’est-ce que tu préfères en moi ? » Aurélien sursaute et il lui faut quelques secondes avant de réagir à sa question.
« Heu… Je… Pardon… »Il la regarde, embarrassé, sans savoir que répondre.
« Mes bottes ! Elles doivent te plaire…? Si j’en crois tes regards insistants. »Il rougit violemment et elle voit qu’elle a vu juste. C’est si évident.
Le lendemain à son réveil, outre qu’il a la "gueule de bois", Aurélien réalise sa grave imprudence à avoir raconté à Loan sa relation particulière avec sa Tante mais il se rassure en se souvenant qu’elle ne s’est ni attardée dessus, ni moquée de lui. Pourtant et nous allons le découvrir, les craintes d’Aurélien vont se révéler fondées car il ne le sait pas encore, il a réussi à éveiller la curiosité de Loan. Certes elle avait pressenti sa docilité dès le premier jour, mais il y avait aussi le regard insistant du jeune homme sur ses bottes et surtout les quelques confidences à propos de son éducation qu’il lui avait avoué… et tout cela l’intéresse au plus haut point, elle qui recherche un homme pour le dresser et l’éduquer à supporter ses fantaisies sexuelles. Elle sait qu’Adrien n’a pas été au bout de ses petits secrets et elle veut en savoir davantage.
Pour les obtenir, Loan va organiser un véritable traquenard pour sa future victime.
Pour cela, c’est très simple, elle va provoquer une panne dans son ordinateur et il suffira d’appeler Aurélien puisque cela relève de sa compétence.
C’est ainsi que quelques jours plus tard, l’infirmière lui téléphone pour lui signaler cette avarie.
Quand Aurélien découvre que c’est la belle infirmière au bout du fil, les battements de son cœur s’accélèrent et il se précipite vers l’infirmerie.
Arrivé sur place, il découvre en premier lieu qu’elle est vêtue sans sa blouse d’infirmière. C’est la seconde fois qu’il la voit ainsi et il trouve décidément très élégante. Tout en elle exprime la féminité. Sa bouche merveilleusement dessinée avec un rouge à lèvres rouge vif et métallisé assorti à un joli verni sur ses ongles mettent en valeur ses mains fines et soignées et elle s’arbore fièrement avec un pull en laine angora rouge, une jupe droite en cuir noir ceinturée à la taille , les jambes gainées de bas noirs et... des bottes en cuir noir. Son allure était hautaine, tant de part sa tenue mais surtout cette expression de supériorité dans son regard derrière des lunettes, très subtile mais perceptible pour un homme comme Aurélien.
Passant à la raison de son intervention, elle lui explique que son micro-ordinateur est bloqué. Aurélien teste le clavier et effectivement, rien ne fonctionne. Il commence à déduire un probable problème de raccordement et il doit vérifier, un à un, tous les connecteurs. L’unité centrale étant placée dans le bas du meuble, il lui faut aller sous le bureau. Tout en restant assise, elle recule son fauteuil à roulettes pour permettre à Aurélien de se frayer un passage.
En vérifiant le matériel, il constate que c’est bien le connecteur du clavier qui s’est légèrement déboîté. Hypnotisé, il est là à quatre pattes aux pieds de celle qu’il considère comme une Déesse et il réalise qu’il est tout près des bottes de Loan, les mêmes que celles du premier jour, comme jamais il ne l’aurait espéré. Il en profite pour les admirer tout comme sa jupe qui brille, ce cuir qui crisse dès qu’elle bouge.
En manœuvrant pour s’extraire de sous le bureau, Aurélien se rapproche des jambes de Loan et il ne peut s’empêcher de baiser délicatement de ses lèvres le cuir d’une de ses bottes en se persuadant qu’elle ne se rendra compte de rien. Cette odeur de cuir l’enivre au point qu’il sort sa langue pour lécher une partie de la botte qui s’offre à lui. Loan voit bien son petit jeu mais elle le laisse faire.
Quand Aurélien sort de sous le bureau, à peine vient-il de se relever que Loan fait tomber un stylo à ses pieds.
« Ramasse ! », lui ordonne-t-elle.
Aurélien s’accroupit pour le ramasser, se relève et le donne à Loan, mais elle le jette une seconde fois et il se baisse à nouveau.
Cette fois, Loan le cloue au sol avec la semelle de l’une de ses bottes sur sa main, l’obligeant à rester dans cette position.
« Restes comme tu es. Tu te relèveras quand je te le dirais. »« Oui, Loan. »« Tu aimes obéir, hein ? »Aurélien ne répond pas.
Loan l’observe, le temps d’étudier sa réaction puis elle met fin à l’interrogatoire pour ne pas précipiter les choses et retire son pied de sur la main d’Aurélien. Elle griffonne alors quelques mots sur un papier qu’elle plie et le jette à Aurélien.
« C’est parfait, mon clavier fonctionne à nouveau », s’exclame-t-elle comme s’il ne s’était rien passé.
Aurélien ramasse le papier et l’ouvre. Elle lui donne rendez-vous vendredi soir dans le parking à 17h30. C’est seulement dans deux jours, mais pour Aurélien c’est comme s’il faudrait patienter une année.
Le message est à peine lu, que Loan lui fait signe de disparaître.
Pour rien au monde il n’aurait raté ce rendez-vous et il s’y précipite le surlendemain, même avant l’heure.
Aurélien entend le vrombissement d’un moteur de voiture et c’est Loan au volant d’une BMW noire qui s’arrête dans une allée. La vitre électrique, côté passager, descend et Loan lui ordonne de monter après avoir débloqué le verrouillage centralisé des portières.
À peine installé que le moteur vrombit de nouveau sous la pression du pied de Loan sur l’accélérateur et la BMW quitte le parking.
Aurélien ne dit rien, terriblement excité d’être assis à côté d’elle. Après avoir réussi de ne regarder que la route, son regard se détourne vers ses bottes.
Soudainement la voix de Loan le sort de ses songes :« Qu’est-ce que tu préfères en moi ? » Aurélien sursaute et il lui faut quelques secondes avant de réagir à sa question.
« Heu… Je… Pardon… »Il la regarde, embarrassé, sans savoir que répondre.
« Mes bottes ! Elles doivent te plaire…? Si j’en crois tes regards insistants. »Il rougit violemment et elle voit qu’elle a vu juste. C’est si évident.
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