Itinéraire d’un mâle gynarchique (5)

- Par l'auteur HDS Batys -
Récit érotique écrit par Batys [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Itinéraire d’un mâle gynarchique (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Itinéraire d’un mâle gynarchique (5)
Chapitre 5 : l’étau se resserreOui, c’est tellement évident qu’il aurait dû se méfier et c’est trop tard en ce qui le concerne.
Mercredi dernier pendant qu’il était sous son bureau, Loan s’est rendue compte qu’il lui suffisait de bouger une de ses jambes bottées pour attirer son regard. C’est un réflexe qu’il ne peut maîtriser et que Loan sait en jouer pour le déstabiliser. C’est elle qui mène la danse et il n’a aucun échappatoire, mais il ne le sait pas encore.
« Tu sais, si ce sont mes bottes que tu aimes, il ne faut pas en avoir honte. Personnellement j’aime bien les bottes et j’adore en porter en beaucoup d’occasions », lui dit-elle.
Aurélien est soulagé par la tournure des événements et commence à lui répondre :« Euh… Oui, elles sont ravissantes », lui répond il et détourne ses yeux pour regarder droit devant lui.
« Tu peux les regarder puisque tu en as tellement envie », lui dit-elle en souriant.
Soulagé et à la fois gêné que la jeune fille connaisse son petit secret, il contemple à nouveau les bottes de Loan.
Elle se met à sourire et reprend :« Je me suis vite aperçue que cela t’excite de regarder des bottes… et pas seulement. »Aurélien est à présent désarçonné surtout avec cette précision du "pas seulement ». Loan aurait-elle tout découvert ou presque, ses fantasmes. Mais s'il envisage à présent d'avoir été démasqué, il n’arrive pas pour autant à avouer ses fantasmes.
Loan se range alors sur le bord de la route et arrête le moteur pendant qu’Aurélien continue à regarder ses bottes.
« Tu aimerais bien lécher mes bottes, comme l’autre jour sous mon bureau, hein ? », lui demande-t-elle.
Aurélien est brutalement mal à l’aise d’avoir été découvert comme un gamin et ne répond pas.
« Tu croyais que je ne m’étais rendue compte de rien quand tu étais sous mon bureau ? », ajoute-t-elle comme pour accentuer sa prise de pouvoir.
« … »« Je suis certaine que là, tu meures d’envie de lécher mes bottes », lui dit-elle avec un petit sourire.
Aurélien continue de ne pas répondre, mais il sursaute après au ton brutal de la voix autoritaire de Loan : « Regarde-moi et réponds ! »Il obéit et il découvre que les traits de son visage se sont métamorphosés : un regard dur et sévère qui n’admet aucune réplique.
« Oui… c’est vrai… j’aimerai bien pouvoir lécher tes bottes… »Un mélange de satisfaction et de mépris peut se lire dans les yeux de la jeune fille.
« Eh bien, demande-le-moi, imbécile ! »« Euh… Est-ce que je peux… je peux lécher tes bottes… s’il te plaît, Loan. »Aurélien n’en revient pas d’avoir osé formuler sa requête et il se sent soulagé de l’avoir fait.
« Eh bien tu vois que ce n’était pas difficile de me l’avouer. Viens ici et à genoux », lui dit-elle en pointant du doigt le plancher du véhicule.
Aurélien se lève alors de son siège pour venir s’agenouiller à l’endroit qu’elle indique, ce qui n’est pas facile dans un véhicule. Loan lui tend alors son pied droit.
« Prends ma botte et commence par caresser le cuir avec tes mains », lui ordonne-t-elle.
Aurélien obéit instantanément, il ne se fait pas prier et commence à caresser doucement et délicatement le cuir de sa botte. Il savoure religieusement la douce chaleur du cuir qu’elle lui offre et le contact divin de celui-ci dans la paume de sa main avec un profond désir de le porter à ses lèvres.
Elle le laisse faire jusqu’au moment où ses lèvres se rapprochent très près de sa jambe bottée.
« C’est ça, mon petit Aurélien, sent comme le cuir est lisse… et l’odeur aussi », lui dit-elle.
Aurélien est enivré par les senteurs du cuir de ces bottes et son excitation redouble. Au moment où sa langue sort pour lécher le cuir, c’est le moment idéal que choisi la jeune femme pour passer à l’étape ultime en retirant sa botte de sa portée.
« Tu aimes mes bottes, hein ? Tu en as envie... tellement envie... » Il se contente de gémir en hochant la tête et tente d’embrasser le pied agile et insaisissable qu’elle retire à nouveau de sa portée.
« Que serais-tu capable de faire pour moi ? Pour que je te laisse jouer avec mes bottes ? Dis-moi, que serais-tu prêt à faire ? » Elle lui donne un petit coup de botte dans les côtes.
« Est-ce que tu accepterais de me servir, de devenir mon valet ? » Aurélien ne répond pas ce qui lui vaut un nouveau petit coup de botte provocateur.
« Dis-moi que tu me servirais comme un domestique. Dis-moi que tu voudrais être mon esclave... Dis-le ! » Elle devient de plus en plus provocante, à la fois lascive et agressive. L’agaçant avec un pied, puis l’autre. Elle Joue habilement de son désir. Sous son charme, il finit par promettre et accepter tout. Il dit et répète tout ce qu’elle veux entendre, subjugué par cette jeune femme.
« Tu es un chien sans collier et je vais m’occuper de toi. Mes bottes sont prêtes à recevoir tes hommages. Tu peux venir les lécher avec le respect dû à celle qui les porte », lui dit-elle.
Il se met à lécher avidement la botte que lui présente Loan, sans réaliser qu’il s’enfonce encore un peu plus dans le piège dressé par la jeune fille, aveuglé par le plaisir de s’y conformer et de la considérer comme une Déesse digne de respect et d’admiration, comme il en rêve depuis longtemps.
A peine a-t-il commencé que la voix autoritaire de la jeune fille retente à nouveau :« Mais qu’est-ce que tu fais ? », lui demande-t-elle en retirant sa botte des mains d’Aurélien.
Aurélien reste incrédule et sans voix.
« N’oublie pas que ce sont MES bottes et qu’elles méritent par conséquent ton respect. Je ne veux pas que tu les lèches comme n’importe quel sale chien le ferait », lui dit Loan.
Nouveau silence d’Aurélien qui nécessite un rappel de Loan :« Tu as compris, oui ou non ? »« Oui… j’ai bien compris. »« Bon, alors je veux voir et entendre ta langue lécher mes bottes, avec respect et dévotion », insiste-t-elle.
Aurélien s’active à reprendre son travail tout apeuré alors que Loan tend à nouveau sa botte vers Aurélien. Cette fois il sort sa langue en parcourant correctement la botte, comme il en reçu l’ordre, en la faisant claquer contre le cuir. Elle ne peut refouler un frisson de plaisir au moment où la langue d’Aurélien se pose sur le dessus du cuir de la botte. Elle le laisse faire le temps nécessaire puis un nouvel ordre tombe :« Allez, à la seconde à présent ! »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bien écrit et très excitant merci pour ces récits
Et bravo

Histoire Erotique
Très belle histoire.malheureusement trop courte...



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