Itinéraire d’un mâle gynarchique
Récit érotique écrit par Batys [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Itinéraire d’un mâle gynarchique
PrologueIl est à genoux, entièrement nu, devant cette paire de bottes à hauts et fins talons qu’il astique aux pieds d’une femme sous son regard inquisiteur. Elle est superbe avec ses cheveux noirs tombant en cascade sur ses fines épaules, de taille moyenne certes, mais avec de longues jambes mises en valeur par ces bottes dont il est question. Cette femme on peut la deviner avec une poitrine menue et élégante sous la soie d’un chemisier rouge sang qui plonge dans une jupe en cuir noir ceinturée largement à la taille. Ses yeux maquillés sont aussi noirs que ses cheveux.
Un chiffon dans sa main droite, une boîte de cirage dans l'autre, cet homme se remémore les évènements qui l’ont amené ici, dans cette posture humiliante.
Beaucoup à sa place se poseraient des questions : comment en suis-je arrivé là ? Puis-je m’enfuir au plus vite ? Que vais-je devenir avec cette femme ?
Bien que cette situation soit apparemment extraordinaire, il sait parfaitement qu’il n’a plus vraiment le choix et qu’il connaît les réponses à toutes ces questions.
Il est conscient qu’il ne s’appartient plus, qu’il doit obéir, d’abord entraîné par ses fantasmes fétichistes et de soumission, et ensuite éduqué et dressé à se comporter respectueusement auprès d’une Dame.
Ces douze dernières années se sont écoulées tellement vite que cet homme, qui s’appelle Aurélien, se souvient de chaque détail, comme si c’était hier.
Chapitre 1 : première éducationTout commence lorsque ses parents viennent s’installer dans une ancienne ferme rénovée dont le terrain jouxte une école d’équitation.
Aurélien découvre ainsi la discipline équestre et il aime regarder de longues heures durant toutes celles et ceux qui maîtrisent leurs montures. Il est surtout fasciné par ces femmes bottées et moulées dans leurs jodhpurs, fières et froides. Il les voit comme des Reines autoritaires, sévères, mystérieuses et inaccessibles. Jamais il n’aurait pris la liberté de leur adresser la parole et il prend garde à ne pas s’approcher trop près.
Parmi ces quelques femmes, une a retenu toute son attention et occupe une place de choix dans ses fantasmes. Pour les avoir entendues parler entre elles, il apprend qu’elle s’appelle Murielle.
Elle est plutôt grande, la taille fine et avec de longues jambes mises en valeur par des bottes moulées sur mesure de couleur fauve. Son opulente chevelure d’un blond doré est ramenée dans son dos par une longue tresse. Ses yeux bleus en forme d’amande et soulignés de mascara, lui donnent un air sévère.
Mais c’est sa cravache qu’elle sait manier pour diriger sa monture qui impressionne fortement Aurélien. Il se voit bien devenir l’esclave de cette superbe cavalière.
Malheureusement une issue tragique vient tout compromettre quand ses parents disparaissent dans un accident d’avion bien que le hasard va se charger de prendre en main sa destinée.
Aurélien est recueilli par la sœur de sa mère. C’est une femme seule qui dirige de main de fer les salariés dans l’entreprise dans laquelle elle est la DRH.
Tous les dimanches matin, elle pratique l’équitation.
Aurélien découvre rapidement l’autorité de sa Tante et il se souvient encore de plusieurs de ses punitions qu’elle lui infligeait. Le dimanche était le jour qu’Aurélien redoutait le plus puisque sa Tante le punissait de ses fautes de la semaine avant de se rendre au manège.
Elle avait institué tout un cérémonial dans lequel Aurélien apprend à se conformer.
Sa tante en tenue d’équitation, bottée et cravache en main, il doit écouter à genoux ses reproches et recevoir une cinglante correction. Chaque faute détermine à l’avance le nombre de coups qu’elle applique vigoureusement avec sa cravache. Les punitions se déroulent généralement dans le salon, à plat ventre sur un pouf ou bien à genoux.
« Va-t’en au milieu du salon, baisse ton pantalon et trousse ta chemise. »Le ton de sa Tante n'admet aucune réplique. Il va à l'endroit indiqué et s'exécute. Elle vient alors vers lui, se place à côté et presse sur sa nuque pour le faire se courber en avant.
Puis elle baisse le slip qui cache encore la pudeur d’Aurélien.
Parfois alors, elle cingle vite, à la volée... Jamais moins de dix coups. Parfois, elle prend son temps, le temps de le faire attendre, le temps aussi de faire craindre sa main, le temps aussi de le faire supplier. Après une demi-douzaine de fortes cinglées, elle a tôt fait de l'amener à gémir...
Quelques coups supplémentaires et il supplie lamentablement. A haute voix, respectueusement, Aurélien lui demande humblement de bien vouloir cesser cette correction en lui présentant ses regrets. Encore quelques coups et il hurle... Un homme fouetté par une femme qui connaît son affaire perd bien vite toute dignité et sa Tante le sait pertinemment.
Il ne s’agit surtout pas de s’excuser comme il a commis l’erreur au début d’oser les proférer, mais bien d’exprimer et de prouver ses regrets d’avoir fauté, et surtout faire preuve de sincérité quand il s’engage à ne pas les reproduire et d’améliorer sa conduite.
Pour pouvoir s’excuser, il faut posséder une bonne raison d’avoir fauté ; or sa Tante lui a appris que ses fautes n’étaient que de son fait, qu’il ne pouvait s’en prendre qu’à lui et qu’il était de facto inexcusable, d’où la nécessité de le rééduquer sévèrement pour éviter pareille mauvaise conduite.
Quand Aurélien termine ses études d’ingénieur, il quitte sa Tante et il retrouve la maison de ses parents dont il a héritée à ses 18 ans. Rien n’a changé et l’école d’équitation est toujours là. Les cavalières continuent à nourrir ses fantasmes, en particulier Murielle dont il se souvient très bien et qui n’a pas changé. Combien de fois n’a-t-il pas imaginé d’être sous l’autorité de cette véritable déesse bottée et d’avoir à supporter ses punitions corporelles à la moindre peccadille. Il se voit dans un autre monde, celui peuplé d’amazones qui règnent en despotes sur les hommes qui doivent leur obéir et les servir.
Un jour, Aurélien découvre dans une petite annonce que cette école recherche un garçon d’écurie pour remplacer une personne en longue maladie. Il se dit que ce serait là une belle opportunité en attendant de trouver un emploi fixe et conforme à sa formation d’informaticien… et puis c’est une occasion de tenter de réaliser ses fantasmes de soumission auprès de celle qui les alimente. Il s’empresse d’appeler le numéro de portable indiqué et il tombe sur une voix féminine qui le convoque à un entretien.
Un chiffon dans sa main droite, une boîte de cirage dans l'autre, cet homme se remémore les évènements qui l’ont amené ici, dans cette posture humiliante.
Beaucoup à sa place se poseraient des questions : comment en suis-je arrivé là ? Puis-je m’enfuir au plus vite ? Que vais-je devenir avec cette femme ?
Bien que cette situation soit apparemment extraordinaire, il sait parfaitement qu’il n’a plus vraiment le choix et qu’il connaît les réponses à toutes ces questions.
Il est conscient qu’il ne s’appartient plus, qu’il doit obéir, d’abord entraîné par ses fantasmes fétichistes et de soumission, et ensuite éduqué et dressé à se comporter respectueusement auprès d’une Dame.
Ces douze dernières années se sont écoulées tellement vite que cet homme, qui s’appelle Aurélien, se souvient de chaque détail, comme si c’était hier.
Chapitre 1 : première éducationTout commence lorsque ses parents viennent s’installer dans une ancienne ferme rénovée dont le terrain jouxte une école d’équitation.
Aurélien découvre ainsi la discipline équestre et il aime regarder de longues heures durant toutes celles et ceux qui maîtrisent leurs montures. Il est surtout fasciné par ces femmes bottées et moulées dans leurs jodhpurs, fières et froides. Il les voit comme des Reines autoritaires, sévères, mystérieuses et inaccessibles. Jamais il n’aurait pris la liberté de leur adresser la parole et il prend garde à ne pas s’approcher trop près.
Parmi ces quelques femmes, une a retenu toute son attention et occupe une place de choix dans ses fantasmes. Pour les avoir entendues parler entre elles, il apprend qu’elle s’appelle Murielle.
Elle est plutôt grande, la taille fine et avec de longues jambes mises en valeur par des bottes moulées sur mesure de couleur fauve. Son opulente chevelure d’un blond doré est ramenée dans son dos par une longue tresse. Ses yeux bleus en forme d’amande et soulignés de mascara, lui donnent un air sévère.
Mais c’est sa cravache qu’elle sait manier pour diriger sa monture qui impressionne fortement Aurélien. Il se voit bien devenir l’esclave de cette superbe cavalière.
Malheureusement une issue tragique vient tout compromettre quand ses parents disparaissent dans un accident d’avion bien que le hasard va se charger de prendre en main sa destinée.
Aurélien est recueilli par la sœur de sa mère. C’est une femme seule qui dirige de main de fer les salariés dans l’entreprise dans laquelle elle est la DRH.
Tous les dimanches matin, elle pratique l’équitation.
Aurélien découvre rapidement l’autorité de sa Tante et il se souvient encore de plusieurs de ses punitions qu’elle lui infligeait. Le dimanche était le jour qu’Aurélien redoutait le plus puisque sa Tante le punissait de ses fautes de la semaine avant de se rendre au manège.
Elle avait institué tout un cérémonial dans lequel Aurélien apprend à se conformer.
Sa tante en tenue d’équitation, bottée et cravache en main, il doit écouter à genoux ses reproches et recevoir une cinglante correction. Chaque faute détermine à l’avance le nombre de coups qu’elle applique vigoureusement avec sa cravache. Les punitions se déroulent généralement dans le salon, à plat ventre sur un pouf ou bien à genoux.
« Va-t’en au milieu du salon, baisse ton pantalon et trousse ta chemise. »Le ton de sa Tante n'admet aucune réplique. Il va à l'endroit indiqué et s'exécute. Elle vient alors vers lui, se place à côté et presse sur sa nuque pour le faire se courber en avant.
Puis elle baisse le slip qui cache encore la pudeur d’Aurélien.
Parfois alors, elle cingle vite, à la volée... Jamais moins de dix coups. Parfois, elle prend son temps, le temps de le faire attendre, le temps aussi de faire craindre sa main, le temps aussi de le faire supplier. Après une demi-douzaine de fortes cinglées, elle a tôt fait de l'amener à gémir...
Quelques coups supplémentaires et il supplie lamentablement. A haute voix, respectueusement, Aurélien lui demande humblement de bien vouloir cesser cette correction en lui présentant ses regrets. Encore quelques coups et il hurle... Un homme fouetté par une femme qui connaît son affaire perd bien vite toute dignité et sa Tante le sait pertinemment.
Il ne s’agit surtout pas de s’excuser comme il a commis l’erreur au début d’oser les proférer, mais bien d’exprimer et de prouver ses regrets d’avoir fauté, et surtout faire preuve de sincérité quand il s’engage à ne pas les reproduire et d’améliorer sa conduite.
Pour pouvoir s’excuser, il faut posséder une bonne raison d’avoir fauté ; or sa Tante lui a appris que ses fautes n’étaient que de son fait, qu’il ne pouvait s’en prendre qu’à lui et qu’il était de facto inexcusable, d’où la nécessité de le rééduquer sévèrement pour éviter pareille mauvaise conduite.
Quand Aurélien termine ses études d’ingénieur, il quitte sa Tante et il retrouve la maison de ses parents dont il a héritée à ses 18 ans. Rien n’a changé et l’école d’équitation est toujours là. Les cavalières continuent à nourrir ses fantasmes, en particulier Murielle dont il se souvient très bien et qui n’a pas changé. Combien de fois n’a-t-il pas imaginé d’être sous l’autorité de cette véritable déesse bottée et d’avoir à supporter ses punitions corporelles à la moindre peccadille. Il se voit dans un autre monde, celui peuplé d’amazones qui règnent en despotes sur les hommes qui doivent leur obéir et les servir.
Un jour, Aurélien découvre dans une petite annonce que cette école recherche un garçon d’écurie pour remplacer une personne en longue maladie. Il se dit que ce serait là une belle opportunité en attendant de trouver un emploi fixe et conforme à sa formation d’informaticien… et puis c’est une occasion de tenter de réaliser ses fantasmes de soumission auprès de celle qui les alimente. Il s’empresse d’appeler le numéro de portable indiqué et il tombe sur une voix féminine qui le convoque à un entretien.
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