Itinéraire d’un mâle gynarchique - histoire érotique

Chapitre 2 : l’école hippiqueDès le lendemain, il se présente devant l’immense porte de l’école. Il sonne et la porte s’ouvre sans un mot.
Aurélien entre dans une cour et il voit au loin une femme qui sort en même temps des écuries. Elle se dirige vers lui et il découvre qu’il s’agit de Murielle, cette femme qui hante ses rêves depuis qu’il est adolescent. Son cœur bat la chamade à la vision de cette créature qui s’approche de lui. Il ne l’a jamais vu aussi près et c’est une véritable beauté qui le reçoit en Jodhpur, bottes, cheveux tressés, maquillée et cravache en main. Au premier regard, il comprend que sa vie n’aurait de sens qu’offert en sacrifice à cette belle cavalière.
« Bonjour, Madame. Je m’appelle Aurélien, nous nous sommes entretenus par téléphone au sujet de l’annonce », dit-il en tremblant.
Murielle croit reconnaître Aurélien qu’elle a déjà aperçu.
« Bonjour, Aurélien. Il me semble que nos chemins se sont déjà croisés. »« Euh… Je ne crois pas… », lui répond il gêné et toujours impressionné par la jeune femme.
Murielle voit que sa tenue d’équitation ne laisse pas Aurélien indifférent et cela lui rappelle ce jeune homme qui l’épiait pendant des heures, persuadé de ne pas être vu.
« Ah, mais je te reconnais, tu es le voisin qui joue les voyeurs. Tu crois que je ne m’en suis pas rendue compte ? »Aurélien devient honteux de par la situation, elle se met à le le tutoyer et il ne peux plus parler. Elle en profite pour prendre l’avantage sur leur relation.
Tu es en retard », lui reproche soudainement Noémie en fronçant les sourcils.
« Euh… Non, vous m’aviez dit… »Murielle l’interrompit brutalement d’un coup de cravache qui claque contre le cuir de sa botte.
« Silence, ici c’est moi la Boss. Si je dis que tu es en retard, c’est que c’est la vérité. Donc tu te tais et tu baisses le regard, sale bouseux. C’est bien compris ? », lui lance-t-elle.
« Oui, Madame. »« Parfait, alors suis moi. »A peine qu’ils pénètrent dans les écuries que Murielle le déséquilibre d’un coup de botte, faisant tomber Aurélien à la renverse dans la paille souillée.
« A genoux ! Je te veux soumis comme un chien. Chaque fois que tu me désobéiras, tu goûteras à ma cravache », lui dit-elle en brandissant cette dernière.
Surpris et soumis par cette première humiliation, il se relève et s’agenouille humblement pour s’excuser.
Afin qu’il puisse lui prouver sa bonne foi, elle l’oblige de ramper dans le box. Humilié et terrorisé, il préfère lui obéir. Devinant le trouble chez Adrien, elle parcourt le bout de sa cravache sur son sexe, à travers le pantalon de son employé potentiel toujours à genoux.
Aurélien est très excité et il obéit quand Murielle lui ordonne d’ouvrir sa braguette et de sortir son sexe… et comme elle s’y attendait, il bande comme un âne !
Il n’en peut plus et il tente de se soulager, mais Murielle l’arrête.
« Tssss… un chien n’utilise pas ses pattes… Allons ! »« S’il vous plaît, Madame, je n’en peux plus… S’il vous plaît… », la supplie-t-il.
Murielle sait très bien ce qu’elle fait, elle veut tester sa docilité, tout en s’amusant et lui accorde le droit de se masturber contre l’une de ses bottes à la condition de baisser pantalon et boxer.
Sans hésiter, Aurélien ne cesse de lui obéir et commence à se masturber.
S’emparant d’un fouet, elle le flagelle pendant que le jeune homme se frotte le sexe contre le cuir de la botte. Il découvre le mélange du plaisir sexuel avec la douleur de la lanière lui lacérant la peau des fesses.
Rapidement, il éjacule et répand son sperme en grande partie sur la botte.
Murielle, bien que satisfaite, se moque de lui en le traitant de sale chien et fini par lui tendre la botte maculée sans dire un mot mais en pointant son doigt dans la direction de son pied.
Il comprend ce qu’elle demande de faire.
« Oh non, Madame, pitié, pas ça. »Sans lui répondre, Murielle reprend ses coups de fouet.
«Allez, sale chien, lèche sinon je vais te fouetter jusqu’à ce que tu obéisses.
Adrien obtempère et lèche le cuir de la botte pour enlever toute trace de sperme.
Au bout d’un moment, quand il a terminé de nettoyer la botte avec sa langue, Murielle lui lance :« Bon, tu es embauché, je veux te voir demain matin à 8h00 précises. Tout retard sera sanctionné et si tu ne viens pas, je comprendrais que tu n’es pas digne de moi et il sera inutile d’essayer de me revoir. Des questions ? »« Non, Madame. »« A présent, tu dégages. A demain. » Aurélien s’en va, heureux d’avoir subi la loi féminine et de découvrir qu’il est né pour être l’esclave d’une femme. Mais d’un autre côté, il a peur d’aller trop loin dans ses fantasmes de soumission.
Le lendemain, Aurélien ne se présente pas au rendez-vous.
Le temps passant, il sait qu’il ne peut plus se présenter devant Murielle et très vite, il s’en veut de s’être montré lâche, de ne pas avoir eu le courage d’aller au bout de ses désirs.
Aurélien trouve enfin un emploi en CDI dans une entreprise importante comme Chef de Service de la maintenance des réseaux et du matériel informatique sous l’autorité du Chef de Division des Services immobiliers.
Sur le plan administratif, il dispose de l’aide d’un membre du personnel, Carole, qui assure le secrétariat de son service. C’est une femme dans la quarantaine, plutôt belle mais son allure et ses tenues vestimentaires sont des plus classiques.
Bien qu’il pourrait faire intervenir des entreprises extérieures pour des travaux de maintenance, il arrive qu’il réalise des petits travaux dans la plupart des cas. Il se déplace donc souvent dans les bureaux dont le personnel est essentiellement féminin.
Les premiers rapports avec Carole sont tendus du fait de son ancienneté au sein de l’entreprise et du caractère autoritaire de celle-ci. La tension entre eux montre une cohabitation difficile si bien que Carole donne sa démission. Elle est remplacée par une jeune secrétaire avec laquelle les rapports sont cordiaux et professionnels. Et là comme c’est la saison froide, Aurélien la découvre parfois avec de jolies bottes pour son plus grand plaisir.
Néanmoins il préfère ne pas mélanger le travail avec ses petits plaisirs et se montre discret et réservé avec elle, ce qui n’est pas du tout évident quand on connaît son fétichisme.