Jason 13 : Étranges coutumes
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jason 13 : Étranges coutumes
Jason 13 : Étranges coutumes
Le repas était surprenant, enfin pour Jason, pour les autres personnes tout était normal.
– Alors comment ton ami a-t-il trouvé Mathias ? Demandait Alexandre, le père de Ludo.
– Trop gros ! Lui répondait Ludo.
– Comment ça trop gros ? Mais enfin Mathias a un physique parfait et pas la moindre trace de graisse !
– Trop gros de la bite papa, sinon je crois que le reste lui a plu …
Alexandre se retournait vers Jason qui était tout rouge et piquait du nez dans son assiette. Il était tétanisé le pauvre et à ce moment il redoutait avant tout qu'on lui adresse la parole, qu'on lui demande quelque chose, il ne savait plus ou se mettre et très étrangement sa queue cessait de protester dans sa cage. Sur ce point il était à l'aise.
Mais c'était bien le seul point sur lequel il était à l'aise.
Il se demandait dans quel monde il était tombé. Il ne comprenait plus rien, rien ne ressemblait plus à la morale qu'on lui avait enseignée. Il était pourtant chez un membre de la PK qui enseignait cette morale.
– Et bien Jason, si tu me disais, toi, ce que tu en penses de cette affaire. Il n'était pas à ton goût Mathias ?
– Qué , woué , yé sous bat … Bafouillait Jason.
– Ah oui, tout de même ! Répondait Alexandre.
– Il faut quand même te dire un truc papa … – Je t'écoute fils …– Jason était puceau à la fin de l'année !
– Oui je m'en doute un peu mais puceau … Tu entends quoi par là ? Précise !
– Et bien, il n'avait jamais flirté avec une fille, avec un mec il n'y avait même jamais pensé. Il n'avait jamais touché à un cul qui n'était pas le sien et personne n'avait touché au sien … Cent pour cent PUCEAU !
– Bon ça va, c'est pas la peine d'en rajouter toi aussi. Lui répondait Jason sans relever la tête. Son nez touchait presque son assiette.
– Relève la tête s'il te plaît Jason, on est entre hommes, il ne faut pas te mettre dans cet état. C'est une chose bien naturelle. On est privé de certaines choses on se rattrape sur d'autres …– Chez pas mé cé po gomme que j'é pencher à voir les sauces.
Lui répondait Jason qui n'arrivait toujours par à articuler un mot quand il lui parlait et bien sûr sans relever la tête.
– Je suis tout à fait d'accord avec toi Jason . Mais si tu ne relèves pas la tête un minimum, tu va finir par te mettre de la sauce dans l’œil, tu en as déjà plein sur le nez.
Jason relevait enfin la tête, il était tout rouge de confusion et avait une petite trace de mayonnaise sur le bout du nez. Ludo pouffait de rire.
– Ne te moque pas de ton amis espèce de fils d'abruti.
Lui répliquait Alexandre en essuyant avec douceur le nez de Jason, ce qui le faisait loucher.
– Il ne faut pas te formaliser, à la PK les règles de la morale sont assez étranges. Si tu portes un dispositif, tu peux faire ce que tu veux, tu es sans fautes. A moins bien sûr de te faire défoncer le cul sur la place publique. On évite d'en parler en société mais, ici, on est entre nous !
– On teup bas parler mais t'on peut faire ? Tentait d'articuler Jason.
– C'est tout à fait ça. On ne peut pas en parler mais on peut faire ! Tu as tout compris.
Jason était sonné, il mangeait machinalement, il ne devait même plus savoir ce qu'il mangeait mais de toutes façons c'était délicieux.
– Ce qui m'étonne un peu, c'est que tu sois amis avec mon fils qui est totalement déluré.
– Je suis pas totalement déluré !
– Tu n'es pas seulement déluré, tu veux dire.
– Meu ! Papa pourquoi tu es méchant avec moi ?
– Mais je ne suis pas méchant avec toi fils, mais il faut quand même reconnaître que tu es déluré. Depuis plus d'un an, à chaque fois que nous avons eu un nouvel employé, tu as absolument voulu l'essayer avant qu'il ne mette le dispositif de chasteté.
– C’est toujours bon de savoir qui on embauche ! Répondait Ludo d'un air dégagé.
– En plus tu collectionnes les godes …– C'est pô vrai !
– Tu en as combien ?
– Je sais pas moi … plusieurs … – Tu en as douze ! A chaque fois que nous nous rendons à la PK Compagnie, il faut que tu en ramène un nouveau.
– Douze ! Tu es sûr ?
– Oui … Ils sont tous rangé dans ta commode au pied de ton lit, tiroir du bas !
La discussion entre le père et le fils durait encore un moment sur ce ton léger et taquin ce qui finissait pas détendre Jason qui avait repris ses couleurs au moment du dessert.
Jason apprenait que le fabriquant des godes, la société '' Le Manoir '' était une filiale de la société '' Le Château '' qui était à l'origine de la PK Compagnie !
Jason apprenait plein de choses que tous les spécialistes et économistes savaient mais que le grand public ignorait …
– Au fait fils, comment tu as trouvé le petit dispositif que tu as rapporté de ta dernière visite il n'y a pas deux semaines ?
– Ah celui-là aussi tu l'avait repéré ?
– Mais tu me prends pour qui ?
– Mon papa, mon indiscret papa …– Ça ne répond pas à ma question.
– Je l'ai pas encore essayé mais de toutes façons il ne doit pas être terrible, il est tout petit …– Ne te fie pas au calibre mon petit bonhomme, tu vas être surpris.
Pour terminer Alexandre leur confirmait qu'ils recevraient leurs clés le lendemain mais dans un même temps leur demandait de bien vouloir garder leur dispositif …
– Il va y avoir pendant deux jours une réunion importante ici, avec quelques grands responsables de la PK et je voudrais que vous ne vous fassiez pas remarquer. Ou alors en bien.
– Mais enfin papa !
– Je ne voudrais pas en voir un à poil sans son dispositif autour de la piscine . N'est-ce pas Ludovic !
– Mais enfin papa, j'ai jamais fait ça ! Enfin si mais la dernière fois c'était la veille du jour ou on m'a fait porter ce truc…– C'est vrai et si je me souviens tu t'étais bien tenu.
– Tu me fais un cadeau pour me remercier d'avoir été sage dis ?
Alexandre préférait ignorer ce dernier commentaire ...
– Si vous portez un maillot de bain, on se posera des questions et si on voit que vous ne portez pas de dispositif ça fera des histoires.
Jason qui avait toujours du mal à articuler se contentait de faire oui de la tête.
Après le repas les deux jeunes se retrouvaient autour de la piscine.
– J'ose même plus retirer mon maillot de bain ! Expliquait Jason à son ami.
– Mais il n'y a pas de quoi en faire une histoire. Tu t'imagines sans doute que dans la PK School et la PK université les choses étaient différentes à l'époque de nos parents ou de nos grand parents ?
– Non … Enfin si … C'est vrai que je ne m'étais jamais posé la question.
– Ce que nous vivons, que nous croyons découvrir, ce sont tous ceux qui nous ont précédé qui l'ont inventé.
– Ce que nous croyons découvrir ?
– Parfaitement, je suis allé une fois chez Monsieur Jérémy Brosso. Les employés vivent et travaillent comme ici. Un ancien employé m'a raconté.
– Tu connais Mr J Brosso ! Le grand père de l'autre abruti de Philippe. (Les absents ont toujours tort … Note de l'auteur)– Oui, mon père le rencontre de temps en temps et le connaît très bien. Il est absolument charmant mais je crois encore plus déluré que moi … C'est tout dire !
Ils finissaient par se retrouver en tenue dans la piscine. Elle était plus petite que dans l'autre propriété mais comme je vous le disais, c'était une maison de ville.
Ils remontaient un peu plus tard. Ludo passait la serviette autour de lui pour aller plus vite et laissait ses vêtements sur place. Jason faisait pareil. Ils se retrouvaient tous les deux dans la chambre à Ludo.
– Tu me fais voir tes godes dis ?
Sans attendre la réponse Jason ouvrait le tiroir du bas. En effet il y avait douze beaux godes de toutes les tailles, et au dessus des autres, le dernier.
– Celui-ci, je ne l'ai pas encore essayé. Expliquait Ludo.
– C'est celui dont ton père parlait ?
– Oui. Tiens prends celui-ci !
– Il est beaucoup trop gros pour moi, ça ne passera jamais.
– Mais pour toi, bourrique, pour moi. Regarde tu le fixes comme ça.
Ludo fixait le gode sur la cage de Jason.
– Il m'a dit que j'étais déluré, il ne faut pas faire mentir ses parents !
Ludo prenait alors dans ses bras son ami Jason qui semblait n'attendre que ça. Lui aussi refermait ses bras sur Ludo. Ils s'embrassaient avec douceur en se caressant avec force puis s'embrassait avec force et se caressaient avec passion.
La queue en plastique de Jason se relevait presque à la verticale quand la cage qu'il portait se relevait. De nouveau c'était la pression la dedans, mais il faut bien reconnaître que c'était un peu normal.
Ludo repoussait Jason sur le dos, s’asseyait à califourchon sur son bassin et le caressait partout, l'embrassait partout, puis se rendait compte qu'il tenait toujours dans la main le petit dispositif dont tout le monde parlait. Ça n'avait pas l'air bien méchant ce genre de petit truc, petit diamètre, longueur moyenne enfin bonne moyenne tout de même …
– Tu veux essayer ce truc ? Moi je le trouve trop petit pour moi. Tout le monde en parle il parait que c'est un gros succès depuis des années, un classique …
Jason faisait oui de la tête. Ludo sans plus attendre lubrifiait le bidule, relevait les jambes de son copain et le lui enfilait vite fait. L’objet disparaissait dans le cul de Jason qui n'avait vraiment fait la grimace que quand il était rentré. Ensuite il avait lissé tout seul. Ludo attrapait un téléphone et lançait un programme au hasard.
Il se laissait ensuite tombé sur son camarade qui déjà commençait à gémir de plaisir.
– C'est très agréable ce truc tu sais. Vraiment très agréable !
Ludo caressait son ami et l'embrassait sur tout le corps. Il le sentait trembler de plaisir mais, c'est vrai qu'il n'était pas habitué aux gros diamètre et c'était donc normal si l’objet lui faisait déjà de l'effet. Ensuite Ludo lubrifiait généreusement la bite en plastique de Jason et s'empalait dessus.
Jason regardait ça l'air incrédule, il faisait de grand yeux ronds entre deux vibrations et une grimace pendant les vibrations. Les grimaces devenaient de plus en plus horribles à voir. Elles suivaient la force des vibration. Puis un violent coup de bassin lui échappait. Ludo se prenait le gode bien à fond avec force. Il râlait de plaisir mais il râlait … '' Tu pourrais prévenir !''.
– C'est pas ma faute, c'est le truc que … Il terminait sa phrase par un râle de plaisir et donnait en même temps un autre violent coup de bassin.
Ludo regardait le visage de son ami qui se déformait sous l'effet d'un plaisir qui ne cessait de monter. Suivaient plusieurs coups de bassin. Le gode lui éclatait la rondelle, il tremblait d'un plaisir douloureux. Ce plaisir qu'on a du mal à encaisser, qui fait peur quand on est prévenu mais qu'on redemande quand tout est fini. Mais là ça ne faisait que commencer.
Jason se tordait dans tous les sens et assis sur lui Ludo ne pouvait que suivre, là, lui il ne contrôlait plus rien. Ses pieds avaient glissé, ses jambes écartées allongées de chaque côté de Jason l'obligeaient à prendre le gode en entier, il ne pouvait plus que subir.
Ludo demandait grâce et finalement Jason le retournait sur le dos et continuait à le pilonner en suivant les mouvements qu'il ressentait dans son cul. Par moment c'était doux et le plaisir montait, à d'autres moment c'était violent et rapide. Ludo refermait les jambes dans le dos de Jason et encaissait, après les premiers coups qui l'avaient surpris. Il parvenait à encaisser, par moment il semblait ne plus comprendre ce qui lui arrivait, mais il tenait bon.
Les deux garçons se caressaient, s'embrassait. Les mouvements de bassins devenaient plus lents, puis tout reprenait. Par surprise sans prévenir. Jason semblait pleurer sous l'effet du petit monstre qu'il avait dans son ventre et convulsait. Il entraînait dans ses convulsions son ami Ludo, qui ne devait pas s'attendre à ça et devait regretter le choix du gode qu'il avait fixé lui même à la cage de son ami. '' Plus petit, j'aurais du prendre plus petit '' se disait Ludo. Surtout qu'un gode ça ne débande pas, ça ne débande jamais.
Ludo jutait, Ludo jouissait mais il avait du mal aussi. Il avait par moment des gestes réflexes pour se dégager mais Jason pris d'une véritable fièvre diabolique se cramponnait à lui. Il jutais lui aussi, ou plutôt il avait juté, il avait joui. Maintenant ce n'étaient plus que des convulsions désordonnées, ce n'était plus que de la folie. Il avait l'impression que son cœur allait lâcher, qu'il allait étouffer, s'évanouir quand tout cessait. Dans son ventre tour redevenait calme. Le programme venait de prendre fin.
Il se laissait retomber sur son ami, ils étaient en sueur, ils tremblaient encore, Ludo se dégageait en le repoussant et Jason s'écroulait à côté de lui amorphe. Ils n'avait plus la force de se relever et de tenir debout. Il leur a fallut un moment avant de réagir.
– Mais c'était quoi ça ? Qu'est ce qui t'a pris ? Demandait Ludo complètement hagard.
– C'est ton truc là, que tu m'a mis dans le cul. C'est un truc de malade je ne te dis pas.
Ludo prenait son téléphone pour voir quel programme il avait choisi.
– Arrête ! Hurlait Jason complètement paniqué. Ne le relance pas je t'en supplie !
Le programme du dispositif indiquait : Programme sept (sur dix) , Délices des enfers.
Ludo regardait son ami qui ne récupérait que lentement et se souvenait de ce que son père lui avait dit … '' ... Ne te fie pas au calibre mon petit bonhomme, tu vas être surpris … ''
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le repas était surprenant, enfin pour Jason, pour les autres personnes tout était normal.
– Alors comment ton ami a-t-il trouvé Mathias ? Demandait Alexandre, le père de Ludo.
– Trop gros ! Lui répondait Ludo.
– Comment ça trop gros ? Mais enfin Mathias a un physique parfait et pas la moindre trace de graisse !
– Trop gros de la bite papa, sinon je crois que le reste lui a plu …
Alexandre se retournait vers Jason qui était tout rouge et piquait du nez dans son assiette. Il était tétanisé le pauvre et à ce moment il redoutait avant tout qu'on lui adresse la parole, qu'on lui demande quelque chose, il ne savait plus ou se mettre et très étrangement sa queue cessait de protester dans sa cage. Sur ce point il était à l'aise.
Mais c'était bien le seul point sur lequel il était à l'aise.
Il se demandait dans quel monde il était tombé. Il ne comprenait plus rien, rien ne ressemblait plus à la morale qu'on lui avait enseignée. Il était pourtant chez un membre de la PK qui enseignait cette morale.
– Et bien Jason, si tu me disais, toi, ce que tu en penses de cette affaire. Il n'était pas à ton goût Mathias ?
– Qué , woué , yé sous bat … Bafouillait Jason.
– Ah oui, tout de même ! Répondait Alexandre.
– Il faut quand même te dire un truc papa … – Je t'écoute fils …– Jason était puceau à la fin de l'année !
– Oui je m'en doute un peu mais puceau … Tu entends quoi par là ? Précise !
– Et bien, il n'avait jamais flirté avec une fille, avec un mec il n'y avait même jamais pensé. Il n'avait jamais touché à un cul qui n'était pas le sien et personne n'avait touché au sien … Cent pour cent PUCEAU !
– Bon ça va, c'est pas la peine d'en rajouter toi aussi. Lui répondait Jason sans relever la tête. Son nez touchait presque son assiette.
– Relève la tête s'il te plaît Jason, on est entre hommes, il ne faut pas te mettre dans cet état. C'est une chose bien naturelle. On est privé de certaines choses on se rattrape sur d'autres …– Chez pas mé cé po gomme que j'é pencher à voir les sauces.
Lui répondait Jason qui n'arrivait toujours par à articuler un mot quand il lui parlait et bien sûr sans relever la tête.
– Je suis tout à fait d'accord avec toi Jason . Mais si tu ne relèves pas la tête un minimum, tu va finir par te mettre de la sauce dans l’œil, tu en as déjà plein sur le nez.
Jason relevait enfin la tête, il était tout rouge de confusion et avait une petite trace de mayonnaise sur le bout du nez. Ludo pouffait de rire.
– Ne te moque pas de ton amis espèce de fils d'abruti.
Lui répliquait Alexandre en essuyant avec douceur le nez de Jason, ce qui le faisait loucher.
– Il ne faut pas te formaliser, à la PK les règles de la morale sont assez étranges. Si tu portes un dispositif, tu peux faire ce que tu veux, tu es sans fautes. A moins bien sûr de te faire défoncer le cul sur la place publique. On évite d'en parler en société mais, ici, on est entre nous !
– On teup bas parler mais t'on peut faire ? Tentait d'articuler Jason.
– C'est tout à fait ça. On ne peut pas en parler mais on peut faire ! Tu as tout compris.
Jason était sonné, il mangeait machinalement, il ne devait même plus savoir ce qu'il mangeait mais de toutes façons c'était délicieux.
– Ce qui m'étonne un peu, c'est que tu sois amis avec mon fils qui est totalement déluré.
– Je suis pas totalement déluré !
– Tu n'es pas seulement déluré, tu veux dire.
– Meu ! Papa pourquoi tu es méchant avec moi ?
– Mais je ne suis pas méchant avec toi fils, mais il faut quand même reconnaître que tu es déluré. Depuis plus d'un an, à chaque fois que nous avons eu un nouvel employé, tu as absolument voulu l'essayer avant qu'il ne mette le dispositif de chasteté.
– C’est toujours bon de savoir qui on embauche ! Répondait Ludo d'un air dégagé.
– En plus tu collectionnes les godes …– C'est pô vrai !
– Tu en as combien ?
– Je sais pas moi … plusieurs … – Tu en as douze ! A chaque fois que nous nous rendons à la PK Compagnie, il faut que tu en ramène un nouveau.
– Douze ! Tu es sûr ?
– Oui … Ils sont tous rangé dans ta commode au pied de ton lit, tiroir du bas !
La discussion entre le père et le fils durait encore un moment sur ce ton léger et taquin ce qui finissait pas détendre Jason qui avait repris ses couleurs au moment du dessert.
Jason apprenait que le fabriquant des godes, la société '' Le Manoir '' était une filiale de la société '' Le Château '' qui était à l'origine de la PK Compagnie !
Jason apprenait plein de choses que tous les spécialistes et économistes savaient mais que le grand public ignorait …
– Au fait fils, comment tu as trouvé le petit dispositif que tu as rapporté de ta dernière visite il n'y a pas deux semaines ?
– Ah celui-là aussi tu l'avait repéré ?
– Mais tu me prends pour qui ?
– Mon papa, mon indiscret papa …– Ça ne répond pas à ma question.
– Je l'ai pas encore essayé mais de toutes façons il ne doit pas être terrible, il est tout petit …– Ne te fie pas au calibre mon petit bonhomme, tu vas être surpris.
Pour terminer Alexandre leur confirmait qu'ils recevraient leurs clés le lendemain mais dans un même temps leur demandait de bien vouloir garder leur dispositif …
– Il va y avoir pendant deux jours une réunion importante ici, avec quelques grands responsables de la PK et je voudrais que vous ne vous fassiez pas remarquer. Ou alors en bien.
– Mais enfin papa !
– Je ne voudrais pas en voir un à poil sans son dispositif autour de la piscine . N'est-ce pas Ludovic !
– Mais enfin papa, j'ai jamais fait ça ! Enfin si mais la dernière fois c'était la veille du jour ou on m'a fait porter ce truc…– C'est vrai et si je me souviens tu t'étais bien tenu.
– Tu me fais un cadeau pour me remercier d'avoir été sage dis ?
Alexandre préférait ignorer ce dernier commentaire ...
– Si vous portez un maillot de bain, on se posera des questions et si on voit que vous ne portez pas de dispositif ça fera des histoires.
Jason qui avait toujours du mal à articuler se contentait de faire oui de la tête.
Après le repas les deux jeunes se retrouvaient autour de la piscine.
– J'ose même plus retirer mon maillot de bain ! Expliquait Jason à son ami.
– Mais il n'y a pas de quoi en faire une histoire. Tu t'imagines sans doute que dans la PK School et la PK université les choses étaient différentes à l'époque de nos parents ou de nos grand parents ?
– Non … Enfin si … C'est vrai que je ne m'étais jamais posé la question.
– Ce que nous vivons, que nous croyons découvrir, ce sont tous ceux qui nous ont précédé qui l'ont inventé.
– Ce que nous croyons découvrir ?
– Parfaitement, je suis allé une fois chez Monsieur Jérémy Brosso. Les employés vivent et travaillent comme ici. Un ancien employé m'a raconté.
– Tu connais Mr J Brosso ! Le grand père de l'autre abruti de Philippe. (Les absents ont toujours tort … Note de l'auteur)– Oui, mon père le rencontre de temps en temps et le connaît très bien. Il est absolument charmant mais je crois encore plus déluré que moi … C'est tout dire !
Ils finissaient par se retrouver en tenue dans la piscine. Elle était plus petite que dans l'autre propriété mais comme je vous le disais, c'était une maison de ville.
Ils remontaient un peu plus tard. Ludo passait la serviette autour de lui pour aller plus vite et laissait ses vêtements sur place. Jason faisait pareil. Ils se retrouvaient tous les deux dans la chambre à Ludo.
– Tu me fais voir tes godes dis ?
Sans attendre la réponse Jason ouvrait le tiroir du bas. En effet il y avait douze beaux godes de toutes les tailles, et au dessus des autres, le dernier.
– Celui-ci, je ne l'ai pas encore essayé. Expliquait Ludo.
– C'est celui dont ton père parlait ?
– Oui. Tiens prends celui-ci !
– Il est beaucoup trop gros pour moi, ça ne passera jamais.
– Mais pour toi, bourrique, pour moi. Regarde tu le fixes comme ça.
Ludo fixait le gode sur la cage de Jason.
– Il m'a dit que j'étais déluré, il ne faut pas faire mentir ses parents !
Ludo prenait alors dans ses bras son ami Jason qui semblait n'attendre que ça. Lui aussi refermait ses bras sur Ludo. Ils s'embrassaient avec douceur en se caressant avec force puis s'embrassait avec force et se caressaient avec passion.
La queue en plastique de Jason se relevait presque à la verticale quand la cage qu'il portait se relevait. De nouveau c'était la pression la dedans, mais il faut bien reconnaître que c'était un peu normal.
Ludo repoussait Jason sur le dos, s’asseyait à califourchon sur son bassin et le caressait partout, l'embrassait partout, puis se rendait compte qu'il tenait toujours dans la main le petit dispositif dont tout le monde parlait. Ça n'avait pas l'air bien méchant ce genre de petit truc, petit diamètre, longueur moyenne enfin bonne moyenne tout de même …
– Tu veux essayer ce truc ? Moi je le trouve trop petit pour moi. Tout le monde en parle il parait que c'est un gros succès depuis des années, un classique …
Jason faisait oui de la tête. Ludo sans plus attendre lubrifiait le bidule, relevait les jambes de son copain et le lui enfilait vite fait. L’objet disparaissait dans le cul de Jason qui n'avait vraiment fait la grimace que quand il était rentré. Ensuite il avait lissé tout seul. Ludo attrapait un téléphone et lançait un programme au hasard.
Il se laissait ensuite tombé sur son camarade qui déjà commençait à gémir de plaisir.
– C'est très agréable ce truc tu sais. Vraiment très agréable !
Ludo caressait son ami et l'embrassait sur tout le corps. Il le sentait trembler de plaisir mais, c'est vrai qu'il n'était pas habitué aux gros diamètre et c'était donc normal si l’objet lui faisait déjà de l'effet. Ensuite Ludo lubrifiait généreusement la bite en plastique de Jason et s'empalait dessus.
Jason regardait ça l'air incrédule, il faisait de grand yeux ronds entre deux vibrations et une grimace pendant les vibrations. Les grimaces devenaient de plus en plus horribles à voir. Elles suivaient la force des vibration. Puis un violent coup de bassin lui échappait. Ludo se prenait le gode bien à fond avec force. Il râlait de plaisir mais il râlait … '' Tu pourrais prévenir !''.
– C'est pas ma faute, c'est le truc que … Il terminait sa phrase par un râle de plaisir et donnait en même temps un autre violent coup de bassin.
Ludo regardait le visage de son ami qui se déformait sous l'effet d'un plaisir qui ne cessait de monter. Suivaient plusieurs coups de bassin. Le gode lui éclatait la rondelle, il tremblait d'un plaisir douloureux. Ce plaisir qu'on a du mal à encaisser, qui fait peur quand on est prévenu mais qu'on redemande quand tout est fini. Mais là ça ne faisait que commencer.
Jason se tordait dans tous les sens et assis sur lui Ludo ne pouvait que suivre, là, lui il ne contrôlait plus rien. Ses pieds avaient glissé, ses jambes écartées allongées de chaque côté de Jason l'obligeaient à prendre le gode en entier, il ne pouvait plus que subir.
Ludo demandait grâce et finalement Jason le retournait sur le dos et continuait à le pilonner en suivant les mouvements qu'il ressentait dans son cul. Par moment c'était doux et le plaisir montait, à d'autres moment c'était violent et rapide. Ludo refermait les jambes dans le dos de Jason et encaissait, après les premiers coups qui l'avaient surpris. Il parvenait à encaisser, par moment il semblait ne plus comprendre ce qui lui arrivait, mais il tenait bon.
Les deux garçons se caressaient, s'embrassait. Les mouvements de bassins devenaient plus lents, puis tout reprenait. Par surprise sans prévenir. Jason semblait pleurer sous l'effet du petit monstre qu'il avait dans son ventre et convulsait. Il entraînait dans ses convulsions son ami Ludo, qui ne devait pas s'attendre à ça et devait regretter le choix du gode qu'il avait fixé lui même à la cage de son ami. '' Plus petit, j'aurais du prendre plus petit '' se disait Ludo. Surtout qu'un gode ça ne débande pas, ça ne débande jamais.
Ludo jutait, Ludo jouissait mais il avait du mal aussi. Il avait par moment des gestes réflexes pour se dégager mais Jason pris d'une véritable fièvre diabolique se cramponnait à lui. Il jutais lui aussi, ou plutôt il avait juté, il avait joui. Maintenant ce n'étaient plus que des convulsions désordonnées, ce n'était plus que de la folie. Il avait l'impression que son cœur allait lâcher, qu'il allait étouffer, s'évanouir quand tout cessait. Dans son ventre tour redevenait calme. Le programme venait de prendre fin.
Il se laissait retomber sur son ami, ils étaient en sueur, ils tremblaient encore, Ludo se dégageait en le repoussant et Jason s'écroulait à côté de lui amorphe. Ils n'avait plus la force de se relever et de tenir debout. Il leur a fallut un moment avant de réagir.
– Mais c'était quoi ça ? Qu'est ce qui t'a pris ? Demandait Ludo complètement hagard.
– C'est ton truc là, que tu m'a mis dans le cul. C'est un truc de malade je ne te dis pas.
Ludo prenait son téléphone pour voir quel programme il avait choisi.
– Arrête ! Hurlait Jason complètement paniqué. Ne le relance pas je t'en supplie !
Le programme du dispositif indiquait : Programme sept (sur dix) , Délices des enfers.
Ludo regardait son ami qui ne récupérait que lentement et se souvenait de ce que son père lui avait dit … '' ... Ne te fie pas au calibre mon petit bonhomme, tu vas être surpris … ''
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