JASON 16 : Un rien les habille - histoire érotique

JASON 16 : Un rien les habille


Les deux jeunes se réveillaient tranquillement le lendemain matin. Ils étaient tous les deux dans le lit à Jason. Il était tôt, c'est vrai que la veille ils s'étaient couché très tôt et leur petite sauterie n'avait pas durée dans la nuit. Ils prenaient longuement le temps de s'étirer.

– Personne ne vient nous réveiller pour l'entraînement de sport ? Demandait Ludo.
– Tu as raison c'est pas normal, remarque, il n'est pas encore cinq heures.

Quelques instants avant les cinq heures, ils étaient debout, toujours à poil, l'un enfilait une tunique pour descendre l'autre cherchait la sienne ... Mathias entrait dans leur chambre.

– Plus un geste les jeunes ! Vous pensez faire quoi avec cette tunique et ces chaussures de sport ?
– Bein on allait partir pour l'entraînement matinal ... Tu sais comme tous les matins ... Sport quoi ... Lui bafouillait Ludo qui visiblement ne comprenait pas cette intervention.
– Et montrer à tout le monde votre tout nouveau dispositif de chasteté, qui est je vous le rappelle un prototype secret ...
– C'est vrai, j'avais oublié le détail, les dernière consignes ... PFFF. Il est compliqué mon papa en ce moment, c'est pourtant pas la première fois qu'il reçoit les responsable des créations.
– Et on va faire quoi alors ? Demandait bêtement Jason.
– Vous ferez votre entraînement plus tard, on réservera la salle de sport pour vous et le fond du jardin. La piscine vous est interdite !
– Et en plus il paraît qu'il devrait faire chaud. Disait Ludo.
– Ils l'ont dit à la télé, la météo ... Rajoutait Jason.
– Oh la météo, ils ont déjà du mal à prédire le temps qu'il faisait la veille ... Concluait Mathias. Donc vous avez bien compris les consignes, vous ne vous faites pas remarquer et surtout vous ne montrez à personne votre dispositif. Enfin pas avant le début d'après midi. Après vous pourrez reprendre vos habitudes !
– C'est juste pour la matinée alors ? Demandait Ludo.
– Exactement. Je vous reverrai après le repas, et je vous préparerai pour la présentation.
– Mais on fera quoi exactement ? Demandait Jason.
– Vous n'aurez qu'à vous montrer, avec le dispositif. Nos hôtes n'ont pas encore vu ce dispositif sur quelqu'un ! Personne ne l'a encore jamais porté.

Mathias les laissait. Ils terminaient leur nuit. Mathias venait les chercher plus d'une heure plus tard pour les accompagner à la salle de sport. Les invités s'étaient réunis dans une grande salle et parlaient budget, investissement, marchés ... Ça bossait dur !

Après leur séance de sport, Mathias leur proposait un petit massage.

– Oh non Mathias, laisse moi récupérer s'il te plaît. Lui répondait Ludo.
– Moi pareil, j'ai eu ma dose hier soir, surtout que pour une première fois ... Rajoutais Jason.
– Bien comme vous voudrez les jeunes. Leur répondait Mathias en se dirigeant vers la porte pour sortir.
– Par contre, j'ai rien contre un petit massage moi ! Rajoutait Ludo.
– Moi pareil. Continuait Jason.
– Mais c'est que vous n'êtes pas facile à suivre tous les deux ... Et je vous proposais quoi à l'instant ?

Ludo et Jason se regardait l'air un peu bête quand d'une toute petite voie Ludo tentait '' Heu ... Massage ? '' comme réponse.

– On va y arriver ! allez allongez vous sur la table.

Jusqu'à ce moment la queue de Jason l'avait laissé tranquille ce matin mais c'est ce moment qu'elle avait choisi pour se réveiller à son tour. Comme la première fois, Mathias passait de Jason à Ludo, puis revenait, leur demandait de se retourner. Leurs deux cage se relevaient avec force et ça se voyait quand ils étaient sur le dos. Le masseur n'en tenait pas compte et ils était tous les deux tout mou quand il les invitait à passer dans un bain moussant avant de prendre un douche de rinçage.

Une fois habillés ils avaient le droit de faire ce qu'il voulaient. Ils voulaient aller faire un peu de tourisme dans la ville. Alexandre leur laissait la Rolls avec son chauffeur ... Ils étaient de retour avant le dîner et avaient largement le temps de se changer pour passer à table. Les invités prenaient leur temps.

– Au fait je voudrais savoir si quelqu'un a déjà essayé le dispositif. Demandait Mr Antoine Brosso d'une voie vive et forte.

Ludo regardait son père avec un air idiot et rajoutait.

– Là j'ai rien dit moi ! Je ne suis qu'un fils d'idiot !

Son père levait les yeux au ciel en soupirant bien fort.

A ce moment on avait expliqué à Mr Brosso que seul des reproduction en plastique absolument identiques en taille avait été essayée, c'était pour des raisons évidentes dues au système de verrouillage. Voyant la réaction d'Alexandre, Antoine Brosso se retournait vers lui et lui demandait.

– Des petits problèmes avec votre fils je suppose.
– Non rien de bien grave, Mr Brosso, rien de bien grave ...
– Je suis juste un fils d'abruti Mr Brosso ...

Son père passait la main sur son front comme s'il avait une migraine subite.

– Un petit rigolo, vous me faites penser à mon fils Philippe, jeune homme.
– Au fait il s'est marié ou pas ? Demandait brusquement Ludo, ce qui jetait un froid.
– Bon et bien puisque nous sommes entre nous, et que plusieurs d'entre vous sont déjà au courant ... Oui ma femme et moi avons du le marier discrètement. Son comportement était intolérable, il avait refusé de porter un dispositif de chasteté le jour de ses seize ans. Et récemment il a mis enceinte une jeune femme en abusant de sa situation pour la séduire.

Certains autour de la table étaient visiblement surpris mais de toutes évidences cette information devait éclairer plusieurs détails obscurs.

– Cette information sera rendue publique dans la presse dans les jours qui viennent. Quand je pense que, à tort, je le prenait pour une grosse tafiole comme ses deux oncles ... En fait c'est juste un branleur qui n'est pas fini et à qui il manque des pièces.
– Alors ça c'est bien vrai , il est pas fini . S'exclamait Ludo.
– Je vous rassure tous, il a été écarté de la direction de l'entreprise pour l'avenir.

Suivait un long moment de silence. Mr Brosso reprenait.

– J'espère que vous n'avez pas les mêmes problèmes avec votre fils ni avec son ami dont on connaît la famille.
– Je crois qu'ils vont vous surprendre très favorablement Mr Brosso. Concluait Alexandre.

Le pauvre Alexandre était en sueur, il transpirait tant il avait peur que son rejeton ne commette un impair. Mr Antoine Brosso était tout de même l'homme le plus riche de la planète et l'une des deux ou trois personnes les plus influentes et les plus puissantes.

Après le repas tout le monde se retrouvait autour de la piscine. Discrètement Mathias venait chercher les deux gamins. '' Il va falloir vous habiller. '' leur disait-il.

– Bé ! On n'est pas beaux comme ça ! Lui rétorquait Ludo.

Ici on s'habille pour passer à table et ils étaient toujours en tenue, costume cravate. Ils le suivaient tout de même. Dans la chambre de Ludo, ils retrouvaient Xavier un autre employé, qui les attendait. On leur montrait alors la tenue qui avait été choisie. Le haut était une tenue inspirée d'un uniforme qui met bien le corps en valeur, ils étaient déjà beau, avec ils seraient complètement craquants. C'était une sorte de blouson bien ajusté qui se terminait pas une ceinture. Il y avait aussi les chaussures noires et des chaussette blanches avec un petit liserer noir.

Les deux gamins regardaient ça, Jason avait un grand sourire mais Ludo faisait la moue.

– Dis moi Mathias, il ne manquerait pas un truc là ?
– Non, toute la tenue est là. Répondait Mathias.
– Là ! Faisait remarquer Ludo, c'est le haut, blouson, velours noir, plein de boutons, ceinturon ... Etc ...
– Oui . Répondait Mathias.

Jason fronçait les sourcils il cherchait à comprendre, il avait déjà commencé à se déshabiller pour essayer le blouson.

– Là, continuait Ludo, ce sont les chaussures et les chaussettes.
– Qui remontent presque jusqu’aux genoux. Rajoutait Mathias.
– C'est bien ce qui me semblait mais ... Entre les deux il ne manquerait pas un truc ?
– Tu parles du pantalon je suppose ! Et bien ... Non il n'y en a pas.

Les deux jeunes se regardaient l'air incrédule. Et Mathias reprenait.

– Mais enfin, c'est précisément ce que vous allez montrer, vos dispositifs.

Il a fallu insister pour les convaincre, puis finalement l'idée de montrer leur cul au big boss de la maison PK et de toutes ses filiales à fini par les séduire et les amuser. L'uniforme leur allait à merveille, ils se trouvaient tellement craquants qu'ils ont craqué. Leurs dispositifs de chasteté se relevait avec force, ils ne pouvaient plus rien contrôler.

– Là par contre il faut faire quelque chose. Leur disait Mathias.
– Ah moi j'y suis pour rien ! Lui répondait Ludo. Tu sais Mathias comme disait le poète ... '' La bandaison papa ça se commande pas ! ''
Visiblement agacé Mathias disparaissait quelques instants et revenait avec deux godes.

– Tu les as pas pris dans ma chambre j'espère. Interrogeait Ludo.
– Enfin Ludo tu penses peut être que tu es le seul à utiliser ce genre de truc ici ? – Ils sont vibrants, vous vous les garez dans le cul tout de suite, vous vous videz les couilles et vous aurez débandé pour vous montrer à tout le monde.
– De mieux en mieux la morale PK ! Concluait Jason.

C'est avec un sourire coquin que Ludo s'exécutait, il prenait son temps, il enfonçait ce truc avec douceur, il faut dire aussi qu'ils avaient le temps. La réunion n'était pas encore commencée. Ludo s'allongeait sur le lit, et commençait à jouer avec son gode, il le ressortait, l'enfonçait avec des mouvements lents et calculés.

Jason restait l'air con avec le truc dans la main.

– Le mien est trop gros, il ne passera pas !
– Mais si ! lui répondait Mathias – Mais non ! C'est que je suis novice moi ! Je ne suis pas comme l'autre fils d'abruti qui est complètement déluré !


Ludo gémissait de plaisir, les godes étaient vibrants et il venait d'activer la seconde vitesse. Il enfonçait et retirait son gode de plus en plus vite. Jason n'arrivait toujours pas à introduire le gland du gode (juste le bout pour ceux qui ne connaissent pas) et il bandait toujours autant. Presque une demie heure s'était écouler et ça n'avançait pas cette histoire.

Ludo était en train de prendre son pied, il en redemandait et ce rythme ça pouvait encore durer une heure. Il faisait des pauses par moment. Jason était tout rouge, transpirait, il pleurait presque avant de déclarer.

– Ça ne passe pas ! Ça ne passera jamais ! Je renonce, il faut trouver une autre solution.

Il bandait toujours aussi ferme, plus peut être même. Son dispositif de chasteté se relevait avec tellement de force qu'on ne voyait que ça.

Mathias voyait l'heure tourner, il faisait un signe à con collègue qui se dirigeait vers Ludo et prenait les opérations en mains. Ludo se retournait sur le ventre, écartait bien les cuisses et laissait faire. Jason devenait tout pâle mais continuait à bander.

D'un geste expert Xavier manipulait le gode, avec des mouvements amples, il l'enfonçait le retirait, prenait bien soin de bien insister sur la prostate, pas trop mais juste comme il fallait ... Ludo gueulait et se tordait de plaisir.

– Pourrais-tu te pencher en avant et écarter les jambes mon petit Jason ? Lui demandait Mathias.
– Après tout pourquoi pas ! On est intimes maintenant ! Répondait Jason en s'exécutant.

Mathias préparait longuement le cul de Jason, le lubrifiait bien à fond, y glissait un puis deux doigt et commençait à lui masser la prostate. Jason gémissait de plaisir à son tour.

– Tu vas pas me faire mal ? Lui demandait Jason.
– Mais non fais moi confiance, tu vas aimer.

L'heure tournait et cette histoire n'avançais pas. Mathias enfonçait alors le gode dans le cul de Jason en un mouvement rapide. Jason hurlais mais en même temps il jutais. Il a aussi éprouvé du plaisir, si, si, un peu. Beaucoup de douleur et un peu de plaisir. C'est à ça qu'il faut s'attendre au début si on y va trop fort. Par la suite c'est le contraire ...

Je vois à vos réactions que vous connaissez bande de petits vicieux ( Ceci dit, si ce n'était pas le cas vous ne me liriez pas ) ... ( Note de l'Auteur )
C'était réglé pour un des deux, il ne bandait plus mais après ça il avait une tête de zombie. Mathias décidait de lui faire prendre une douche ... On se déshabille, on commence à avoir l'habitude, on passe sous la douche, Ludo qui avait fini par jouir à son tour ne bandait plus et courait rejoindre son copain sous la douche.

– Tu es sûr que ça va marcher ? Demandait Xavier à Mathias.
– Laisses moi faire je connais mon truc.

Mathias bloquait l'arriver d'eau à son maximum, refermait la porte de la douche et coupait l'eau chaude. Les deux gamins ont hurlé mais quand ils sont ressortis, il n'y avait plus la moindre trace d'érection et ils étaient tout propre.

Il fallait être au moins deux pour les sécher, ils ne voulaient plus se laisser faire, les rhabiller, ils continuaient à râler, les coiffer, ils avait à nouveau figure humaine.

Mathias sortait son téléphone et les prenait en photo. Ils n'ont pas eu le temps de réagir.

– Quand vous verrez cette photo dans quelques années ça vous fera des souvenirs ...

On était dans les délais, la conférence du concepteur de ces dispositifs venait de commencer. Les deux jeunes n'avait pas grand chose sur le cul mais il faut bien dire qu'un rien les habille.



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