Je le connaissais 02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Je le connaissais 02
Je le connaissais 02
Dans les jours qui suivaient, dans ma tête je commençais la conception d'un dispositif plus petit que le mien, à la taille de ce garçon. Je sais, je n'était même pas sûr de le revoir, vous savez ces rencontres, ce sont souvent des rencontres sans lendemain …
Mais sait-on jamais, de plus je commençais à avoir une certaine expérience, les dispositifs, tous les dispositifs que j'avais réalisé jusque là étaient à ma taille, étaient pour ma queue. La seule référence que j'avais était ma taille …
Au début ça fait tout drôle, le premier dispositif me semblait tout petit. Je vous jure que le truc, quand on l'a dans la main, ça ne fait pas du tout le même effet que quand on l'a autour de la queue.
Je faisais des comparaisons. La taille de ma queue et celle de mon dispositif, de mes dispositifs. Je faisais la même comparaison avec ses dimensions et celles de la cage que je lui destinais.
Il fallait bien se le dire, c'est sa queue que je voyais dans cette cage, dans cette toute petite cage que je fabriquais à ce moment là. Je restais convaincu qu'il l'accepterait, qu'il ne ferait aucun problème, j'étais même convaincu que ça lui plairait …
Il fallait voir la tête qu'il faisait quand je lui avait donné le cockring à sa taille, il aimait lui aussi sentir cette pression autour de son sexe, à la base de son sexe. J'étais absolument convaincu qu'il adorerait sentir ce confinement autour de sa queue.
C'est pas la même sensation, si la cage est ajustée, c'est une pression douce et implacable. Ça peut même devenir très agréable par moment, pas toujours mais par moment. Quand une érection arrive, on sent cette contrainte autour de sa queue, on sent cette pression qui par moment ressemble à une caresse par moment à une tentative d'étranglement. Ça ne doit pas devenir douloureux mais ça peut être désagréable. Mais toujours, toujours, que ce soit une caresse, une tentative d'étranglement ou juste une sensation désagréable, toujours c'est une frustration.
Les jours passent et on reste privé de ce plaisir qui ne coûte rien, les jours passent et seule la frustration se fait sentir.
J'étais particulièrement frustré après son départ. Je l'avais sentir frémir, jouir en moi. J'avais senti son corps trembler dans mes bras, son souffle, ce gémissement de plaisir qu'il avait poussé au moment le plus intense. Enfin, au moment le plus intense pour lui …
Moi je n'avais pas vraiment eu de moment intense. Mais cette frustration de plaisir, c'est aussi du plaisir !
Pour l'anneau, le cockring, c'était facile et rapide. Je le réalisait sur le modèle du cockring que je lui avait donné, il semblait à la bonne taille, parfaitement ajusté. Pour la cage c'était une autre histoire …
Comme je vous disais je commence à bien maîtriser mon art. J'en faisais plusieurs. J'étais bien parti et j'en faisais trois. Trois taille différentes. La plus grande était à peine plus petite que celle que je portais. Et en comparant, je me disais que celle là je pourrais presque la mettre et que donc pour lui, ce serait trop gros.
La seconde, je ne l'aurais pas essayée, mais je la trouvais peut être encore trop large. J'en faisais donc une troisième.
Et là je me disais que sans faire un essayage je ne pourrais pas faire mieux.
Deux semaines passaient et j'avais presque oublié cette histoire. J'avais gardé le triple dispositif bien rangé, dans une petite boite et de temps en temps je le regardais, il était parfait mais me semblait vraiment tout petit.
Mais comme je le disais, je suis trapu de la bite, et donc mon dispositif est relativement large. C'était pas le cas de ces trois dispositifs.
Deux semaines donc passaient et on sonnait à ma porte. C'était lui ! Je le faisais entrer avec un large sourire. Aussitôt la porte fermée il me donnait un baiser.
– Alors tu le portes toujours ton truc ?
– Et toi tu portes toujours ton cockring ?
– Oui il est super, confortable, doux au toucher. C'est simple je ne l'ai pas retiré depuis l'autre jour.
Disant cela il tirait sur son pantalon et me montrait. Il était fraîchement épilé et commençait à bander. J'en faisais de même, il pouvait voir que je portais toujours ma cage à bite.
– Mais tu peux vraiment garder ce truc tout le temps ?
– Je peux me laver sous la douche comme il faut, donc oui !
Il ne cachait pas qu'il était impressionné et terminait par bander. Sa queue se relevait maintenant avec force …
Il se mettait à genoux devant moi, baissait mon pantalon et commençait à me tripoter les couilles. Je le laissais faire. Ça semblait bien l'amuser cette affaire, il me léchait les testicules. Il s'amusait avec ma cage, avec mon cockring et je devinais qu'il bandait toujours aussi ferme.
Je retirais ma chemise, il faisait tomber mon pantalon, je me retrouvais nu. Il se relevait et avec un large sourire me toisait de haut en bas en insistant lourdement sur ma cage à bite. Il retirait ses vêtement à son tour.
Là c'est moi qui me mettais à genoux et lui suçait la queue. A mon tour je m'amusait avec son cockring. J'en profitais pour constater que la taille était parfaite. Elle le tenait bien serré mais pas trop. Elle tenait juste comme il fallait.
Il était excité, super excité même je pourrais dire. Il me caressait les cheveux et appuyait sur ma tête. Sa queue glissait contre ma langue sans difficulté. Elle entrait avec facilité jusque dans ma gorge. Comme je vous disait, il n'avait pas les mensurations d'un géants et finalement c'était largement plus agréable.
Je l'entendais gémir, il continuait et son ventre s'écrasait avec une régularité de métronome sur mon visage, sa queue s'écrasait au fond de ma gorge après avoir écarté ma glotte. C'était génial de se prendre un queue avec autant de facilité. Trop gros dans la bouche c'est pas toujours le pied.
Ses mouvements devenaient plus violents, moins réguliers, plus désordonné, moins retenus. Il se lâchait, il se retenait, je ne parvenait pas à savoir ou en était son plaisir mais je m'en moquais. Moi je ne mollissais pas, je ne fatiguais pas.
Brusquement, sans prévenir il se retirait, ressortait, je le voyais juste devant mon nez, il se masturbait. Oh pas bien longtemps, quelques secondes, quelques mouvement de la main pas plus et il me giclait généreusement à la figure.
Je me prenais la première giclée dans l’œil ! Mais c'est que ça fait mal, ça pique … Essayez donc si vous ne connaissez pas. C'était un peu de ma faute, c'est vrai, j'aurais du m'en douter mais bon. Les giclées suivantes arrivaient sur mon nez, sur mes lèvres, sur mes cheveux puis ça se calmait.
Une petite dernière atterrissait sur mon front mais là je l'avais vu venir et je fermais les yeux. J'étais servi. Lui, il gémissait de plaisir et respirait fort. Je relevais la tête et le regardais d'un œil, oui voilà, celui qui n'avait rien pris. Il avait un sourire satisfait.
– Excuse moi, j'aurais peut être du prévenir mais …– Y a pas de mal !
– C'est ton truc aussi, ça m'excite aussi, tu ne peux pas imaginer.
– J'en ai une petite idée ! Répondais-je en m'essuyant le visage.
On continuer à discuter pendant que je me rinçais l’œil. Non, non, je veux dire me rinçait vraiment l’œil sous le robinet, comme je vous disais … Ça pique !
Je revenais, il s'était allongé sur le tapis, j'en ai un très épais, on s'enfonce jusqu'au genoux, enfin peut être pas mais presque … Je m'allongeais contre lui et lui faisait un câlin, il me rendait mon câlin et je le lui rendais de nouveau et il … Bon enfin bref, ça a duré un long moment.
– Alors ça t'excite tant que ça mon truc ?
– Qu'est ce qui te fait dire ça ?
– Bein, tu bandes à mort là !
– Retourne toi, allonge toi sur le ventre.
Je m'allongeais pensant naïvement qu'il allait me faire un câlin et paf, sans prévenir il m'a enculé l'animal.
Il y est allé directe, sans préambules, sans prévenir, sans rien demandé à personne. C'est vrai que j'avais un tube de gel sur la table basse, il aura pris ça comme une invitation. J'ai bien un peu râlé mais c'était la surprise et le plaisir. J'en ai pris des bien plus grosse et sa queue est entrée sans difficulté. Et je vous jure que j'ai aimé, vraiment beaucoup aimé.
Il y allait de bon cœur et maintenant c'est sur mes fesses que son ventre s'écrasait avec force, avec violence, avec délectation pour moi. Enfin je pense qu'il devait apprécier aussi de son côté.
Il avait le souffle court et fort, il râlait sous l'effort contre mon oreille et je sentais le plaisir monter lentement. Vous savez ce ne sont pas forcément les bites monstrueuses qui donnent le plus de plaisir. Là il m'en donnait. C'est vrai que sa queue n'était pas aussi petite que ça et en plus elle était vigoureuse.
Le plaisir montait et je respirait fort à mon tour. Il s'était en parti redressé et s'appuyait contre mes omoplates. Il se concentrait sur les coups qu'il me donnait. Ils étaient de plus en plus violents.
Au bout d'un long moment, il se laissait retomber sur moi. Je sentais son cœur qui battait à tout rompre, j'entendais son souffle contre ma nuque. Il ne bougeait plus et tous les deux on se calmait.
Sans prévenir il se relevait et là je remarquais que s'il ne s'était pas calmé, il bandait toujours autant. De nouveau il me limait le cul avec force, le plaisir montait encore plus haut. Je tremblais et je sentais comme une zone de plaisir qui me remplissait le ventre, se répandait et quand mes bras commençaient à trembler avec force je touchais l'extase, je jouissais. Je ne sais même pas si je jutais ou pas mais je jouissais.
Ma queue semblait parfaitement calme à sa place, dans la cage. Le contact de cette cage était agréable, doux, ferme et fort. Mais tellement doux. Je contractait ma queue qui me donnait à ce moment un plaisir total. Et là je l'ai entendu hurler, il jouissait, c'était la deuxième fois en moins d'une heure mais là il a vraiment hurlé … Dans mon oreille, un truc à vous filer des acouphènes, je vous jure il y en a …
Ensuite j'ai senti tout son corps devenir tout mou, il s'est laissé glisser à côté de moi, au moment ou il est ressorti de mon cul il m'a donné un dernier plaisir, je vérifiais ou j'en était, je n'avais pas juté …
On récupérait tranquillement, il me caressait le corps et je le laissais faire. Il me tripotait les couilles.
– Ça fait mal ?
– Non.
– Ça ne t'empêche pas de bouger, ça ne te gêne pas dans tes mouvements ?
– En aucun cas. Répondais-je.
Il m'embrassait et me caressait.
– Tu veux essayer ? Lui demandais-je.
Il ne répondait pas tout de suite mais là, il ne bougeait plus. Il tentait une réponse mais se ravisait, il allait bafouiller et ça se voyait. Il continuait à réfléchir et cachait son embarras derrière un sourire qui se voulait jovial. Il rigolait avec maladresse.
– J'ai ce qu'il te faut. Continunais-je.
– Une cage, pour moi ?
– Quand je t'ai vu avec un anneau de rideau sur ton sexe, je me suis dit qu'un dispositif plus sophistiqué te conviendrait, te plairait.
Il ne savait pas quoi répondre, j'allais chercher le dispositif et le lui présentais.
Il avait l'air amusé et gêné. Il regardait avec attention … '' Trois cages ? '' … me faisait-il remarquer, puis il continuait à manipuler le dispositif.
– Et la clé ? Demandait-il.
– Je la garde !
Il relevait la tête et me regardait droit dans les yeux ...
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Dans les jours qui suivaient, dans ma tête je commençais la conception d'un dispositif plus petit que le mien, à la taille de ce garçon. Je sais, je n'était même pas sûr de le revoir, vous savez ces rencontres, ce sont souvent des rencontres sans lendemain …
Mais sait-on jamais, de plus je commençais à avoir une certaine expérience, les dispositifs, tous les dispositifs que j'avais réalisé jusque là étaient à ma taille, étaient pour ma queue. La seule référence que j'avais était ma taille …
Au début ça fait tout drôle, le premier dispositif me semblait tout petit. Je vous jure que le truc, quand on l'a dans la main, ça ne fait pas du tout le même effet que quand on l'a autour de la queue.
Je faisais des comparaisons. La taille de ma queue et celle de mon dispositif, de mes dispositifs. Je faisais la même comparaison avec ses dimensions et celles de la cage que je lui destinais.
Il fallait bien se le dire, c'est sa queue que je voyais dans cette cage, dans cette toute petite cage que je fabriquais à ce moment là. Je restais convaincu qu'il l'accepterait, qu'il ne ferait aucun problème, j'étais même convaincu que ça lui plairait …
Il fallait voir la tête qu'il faisait quand je lui avait donné le cockring à sa taille, il aimait lui aussi sentir cette pression autour de son sexe, à la base de son sexe. J'étais absolument convaincu qu'il adorerait sentir ce confinement autour de sa queue.
C'est pas la même sensation, si la cage est ajustée, c'est une pression douce et implacable. Ça peut même devenir très agréable par moment, pas toujours mais par moment. Quand une érection arrive, on sent cette contrainte autour de sa queue, on sent cette pression qui par moment ressemble à une caresse par moment à une tentative d'étranglement. Ça ne doit pas devenir douloureux mais ça peut être désagréable. Mais toujours, toujours, que ce soit une caresse, une tentative d'étranglement ou juste une sensation désagréable, toujours c'est une frustration.
Les jours passent et on reste privé de ce plaisir qui ne coûte rien, les jours passent et seule la frustration se fait sentir.
J'étais particulièrement frustré après son départ. Je l'avais sentir frémir, jouir en moi. J'avais senti son corps trembler dans mes bras, son souffle, ce gémissement de plaisir qu'il avait poussé au moment le plus intense. Enfin, au moment le plus intense pour lui …
Moi je n'avais pas vraiment eu de moment intense. Mais cette frustration de plaisir, c'est aussi du plaisir !
Pour l'anneau, le cockring, c'était facile et rapide. Je le réalisait sur le modèle du cockring que je lui avait donné, il semblait à la bonne taille, parfaitement ajusté. Pour la cage c'était une autre histoire …
Comme je vous disais je commence à bien maîtriser mon art. J'en faisais plusieurs. J'étais bien parti et j'en faisais trois. Trois taille différentes. La plus grande était à peine plus petite que celle que je portais. Et en comparant, je me disais que celle là je pourrais presque la mettre et que donc pour lui, ce serait trop gros.
La seconde, je ne l'aurais pas essayée, mais je la trouvais peut être encore trop large. J'en faisais donc une troisième.
Et là je me disais que sans faire un essayage je ne pourrais pas faire mieux.
Deux semaines passaient et j'avais presque oublié cette histoire. J'avais gardé le triple dispositif bien rangé, dans une petite boite et de temps en temps je le regardais, il était parfait mais me semblait vraiment tout petit.
Mais comme je le disais, je suis trapu de la bite, et donc mon dispositif est relativement large. C'était pas le cas de ces trois dispositifs.
Deux semaines donc passaient et on sonnait à ma porte. C'était lui ! Je le faisais entrer avec un large sourire. Aussitôt la porte fermée il me donnait un baiser.
– Alors tu le portes toujours ton truc ?
– Et toi tu portes toujours ton cockring ?
– Oui il est super, confortable, doux au toucher. C'est simple je ne l'ai pas retiré depuis l'autre jour.
Disant cela il tirait sur son pantalon et me montrait. Il était fraîchement épilé et commençait à bander. J'en faisais de même, il pouvait voir que je portais toujours ma cage à bite.
– Mais tu peux vraiment garder ce truc tout le temps ?
– Je peux me laver sous la douche comme il faut, donc oui !
Il ne cachait pas qu'il était impressionné et terminait par bander. Sa queue se relevait maintenant avec force …
Il se mettait à genoux devant moi, baissait mon pantalon et commençait à me tripoter les couilles. Je le laissais faire. Ça semblait bien l'amuser cette affaire, il me léchait les testicules. Il s'amusait avec ma cage, avec mon cockring et je devinais qu'il bandait toujours aussi ferme.
Je retirais ma chemise, il faisait tomber mon pantalon, je me retrouvais nu. Il se relevait et avec un large sourire me toisait de haut en bas en insistant lourdement sur ma cage à bite. Il retirait ses vêtement à son tour.
Là c'est moi qui me mettais à genoux et lui suçait la queue. A mon tour je m'amusait avec son cockring. J'en profitais pour constater que la taille était parfaite. Elle le tenait bien serré mais pas trop. Elle tenait juste comme il fallait.
Il était excité, super excité même je pourrais dire. Il me caressait les cheveux et appuyait sur ma tête. Sa queue glissait contre ma langue sans difficulté. Elle entrait avec facilité jusque dans ma gorge. Comme je vous disait, il n'avait pas les mensurations d'un géants et finalement c'était largement plus agréable.
Je l'entendais gémir, il continuait et son ventre s'écrasait avec une régularité de métronome sur mon visage, sa queue s'écrasait au fond de ma gorge après avoir écarté ma glotte. C'était génial de se prendre un queue avec autant de facilité. Trop gros dans la bouche c'est pas toujours le pied.
Ses mouvements devenaient plus violents, moins réguliers, plus désordonné, moins retenus. Il se lâchait, il se retenait, je ne parvenait pas à savoir ou en était son plaisir mais je m'en moquais. Moi je ne mollissais pas, je ne fatiguais pas.
Brusquement, sans prévenir il se retirait, ressortait, je le voyais juste devant mon nez, il se masturbait. Oh pas bien longtemps, quelques secondes, quelques mouvement de la main pas plus et il me giclait généreusement à la figure.
Je me prenais la première giclée dans l’œil ! Mais c'est que ça fait mal, ça pique … Essayez donc si vous ne connaissez pas. C'était un peu de ma faute, c'est vrai, j'aurais du m'en douter mais bon. Les giclées suivantes arrivaient sur mon nez, sur mes lèvres, sur mes cheveux puis ça se calmait.
Une petite dernière atterrissait sur mon front mais là je l'avais vu venir et je fermais les yeux. J'étais servi. Lui, il gémissait de plaisir et respirait fort. Je relevais la tête et le regardais d'un œil, oui voilà, celui qui n'avait rien pris. Il avait un sourire satisfait.
– Excuse moi, j'aurais peut être du prévenir mais …– Y a pas de mal !
– C'est ton truc aussi, ça m'excite aussi, tu ne peux pas imaginer.
– J'en ai une petite idée ! Répondais-je en m'essuyant le visage.
On continuer à discuter pendant que je me rinçais l’œil. Non, non, je veux dire me rinçait vraiment l’œil sous le robinet, comme je vous disais … Ça pique !
Je revenais, il s'était allongé sur le tapis, j'en ai un très épais, on s'enfonce jusqu'au genoux, enfin peut être pas mais presque … Je m'allongeais contre lui et lui faisait un câlin, il me rendait mon câlin et je le lui rendais de nouveau et il … Bon enfin bref, ça a duré un long moment.
– Alors ça t'excite tant que ça mon truc ?
– Qu'est ce qui te fait dire ça ?
– Bein, tu bandes à mort là !
– Retourne toi, allonge toi sur le ventre.
Je m'allongeais pensant naïvement qu'il allait me faire un câlin et paf, sans prévenir il m'a enculé l'animal.
Il y est allé directe, sans préambules, sans prévenir, sans rien demandé à personne. C'est vrai que j'avais un tube de gel sur la table basse, il aura pris ça comme une invitation. J'ai bien un peu râlé mais c'était la surprise et le plaisir. J'en ai pris des bien plus grosse et sa queue est entrée sans difficulté. Et je vous jure que j'ai aimé, vraiment beaucoup aimé.
Il y allait de bon cœur et maintenant c'est sur mes fesses que son ventre s'écrasait avec force, avec violence, avec délectation pour moi. Enfin je pense qu'il devait apprécier aussi de son côté.
Il avait le souffle court et fort, il râlait sous l'effort contre mon oreille et je sentais le plaisir monter lentement. Vous savez ce ne sont pas forcément les bites monstrueuses qui donnent le plus de plaisir. Là il m'en donnait. C'est vrai que sa queue n'était pas aussi petite que ça et en plus elle était vigoureuse.
Le plaisir montait et je respirait fort à mon tour. Il s'était en parti redressé et s'appuyait contre mes omoplates. Il se concentrait sur les coups qu'il me donnait. Ils étaient de plus en plus violents.
Au bout d'un long moment, il se laissait retomber sur moi. Je sentais son cœur qui battait à tout rompre, j'entendais son souffle contre ma nuque. Il ne bougeait plus et tous les deux on se calmait.
Sans prévenir il se relevait et là je remarquais que s'il ne s'était pas calmé, il bandait toujours autant. De nouveau il me limait le cul avec force, le plaisir montait encore plus haut. Je tremblais et je sentais comme une zone de plaisir qui me remplissait le ventre, se répandait et quand mes bras commençaient à trembler avec force je touchais l'extase, je jouissais. Je ne sais même pas si je jutais ou pas mais je jouissais.
Ma queue semblait parfaitement calme à sa place, dans la cage. Le contact de cette cage était agréable, doux, ferme et fort. Mais tellement doux. Je contractait ma queue qui me donnait à ce moment un plaisir total. Et là je l'ai entendu hurler, il jouissait, c'était la deuxième fois en moins d'une heure mais là il a vraiment hurlé … Dans mon oreille, un truc à vous filer des acouphènes, je vous jure il y en a …
Ensuite j'ai senti tout son corps devenir tout mou, il s'est laissé glisser à côté de moi, au moment ou il est ressorti de mon cul il m'a donné un dernier plaisir, je vérifiais ou j'en était, je n'avais pas juté …
On récupérait tranquillement, il me caressait le corps et je le laissais faire. Il me tripotait les couilles.
– Ça fait mal ?
– Non.
– Ça ne t'empêche pas de bouger, ça ne te gêne pas dans tes mouvements ?
– En aucun cas. Répondais-je.
Il m'embrassait et me caressait.
– Tu veux essayer ? Lui demandais-je.
Il ne répondait pas tout de suite mais là, il ne bougeait plus. Il tentait une réponse mais se ravisait, il allait bafouiller et ça se voyait. Il continuait à réfléchir et cachait son embarras derrière un sourire qui se voulait jovial. Il rigolait avec maladresse.
– J'ai ce qu'il te faut. Continunais-je.
– Une cage, pour moi ?
– Quand je t'ai vu avec un anneau de rideau sur ton sexe, je me suis dit qu'un dispositif plus sophistiqué te conviendrait, te plairait.
Il ne savait pas quoi répondre, j'allais chercher le dispositif et le lui présentais.
Il avait l'air amusé et gêné. Il regardait avec attention … '' Trois cages ? '' … me faisait-il remarquer, puis il continuait à manipuler le dispositif.
– Et la clé ? Demandait-il.
– Je la garde !
Il relevait la tête et me regardait droit dans les yeux ...
A suivre
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