Je t'achète
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Je t'achète
J’étais assis, le boss en face de moi avait la cinquantaine, en forme, un beau visage mais dur. Il relisait mon cv. J’étais inconfortable. Pour tout dire, je ne portais pas un sous vêtement ordinaire. Depuis quelques mois déjà je voyais des hommes. J’avais justement vu un amant la nuit même – un amant qui aimait la lingerie sur ses partenaires. Je portais donc un string dentelle sous mon jean. Il me serrait à présent.
Au bout d’une minute le boss releva le regard.
« James. Tu as un bon CV. Mais à vrai dire tu n’es pas exactement ce que je recherche. »
Je suis décu, « Ah bon. Et vous recherchez quoi au juste ? »
Il réfléchit. « En fait, quelqu’un de plus… flexible. »
Je ne comprends pas vraiment. Mon regard doit refléter ma confusion. Il me sourit.
« Ecoute, sinon décris toi un peu, personnellement. »
« Eh bien je suis une personne créative, ouverte – »
« Ouverte ? Ah oui ? Comment ça ? »
« Et bien, j’aime les nouvelles opportunités, l’inconnu… »
Il sourit, « Je vois. Et donc tu es encore étudiant c’est bien ça ? »
« Oui. »
« Difficulté financières ? »
« Si j’en ai ? Oui bien sur, comme tous les étudiants. »
« Tu as déjà travaillé au black ? »
Je n’ai pas su comment réagir.
« Je te pose cette question parce que j’ai un post qui te conviendrait peut-être plus. » Il se détend, se reposant dans sa chaise. Puis il sort son porte feuille. Il pose un billet de deux cent sur la table. Il sourit à nouveau. L’homme se lève. Il est costaud, rien à dire.
Je rougis. Je ne sais vraiment pas comment réagir. L’homme s’approche de moi.
« Je te donne ce billet si tu suis à la lettre mes instructions. Commence par te déshabiller. »
C’était tellement direct que je suis resté sans bouger. Il y a cinq minutes la conversation était professionnelle, contrôlée. Sans réfléchir, j’obéis. Lentement je me dévêtis. J’enlève le haut d’abord – un tshirt noir, puis je déboutonne le jean. Je le tire vers le bas. L’homme voit mon string.
« Hmmm, toi ma petite, t’es parfaite. »
Il passe une main sur mes fesses. Je frissonne. Il me fait tourner sur moi même. Il me caresse, m’observe. Puis il déboutonne son pantalon, me prend la main et la guide. Elle frôle la braguette, le tissu sobre du caleçon. Je sens une bosse durcissante. Elle est grosse. J’appréhende un peu. Je suis encore très nerveux mais l’excitation se fait ressentir. Il presse ma main contre son sexe. Je sers les doigts. La verge est lourde et satisfaisante entre mes doigts, au travers le tissu.
Il est totalement raide à présent. Il relâche prise, se laissant aller à mes caresses. Je le branle à travers le coton à présent. Le tissu est légèrement humide, collant de liquide pré séminal.
« Sors la. »
Cette fois je n’hésite pas. J’ai envi de la sucer, la sentir entre mes lèvres. Je sors ce bel engin. Elle est vraiment superbe – dans les 20-22 centimètres facile. J’avoue accorder une importance particulière à l’envergure des membres de mes partenaires. Celui-ci ne me déçoit en rien. Je me sens relaxé à présent. Je veux satisfaire cet homme, le sentir en moi, le goûter, avaler son foutre. Je me mets à le branler, vigoureusement. Je me colle à lui. Il halète lourdement. Je gémis doucement pour l’exciter d’avantage. Je glisse les doigts de ma main gauche dans son pantalon, je sers ses boules fermes. Il est rasé, j’adore. Je préfère également rester imberbe.
Après une longue branlette attentionnée, je me laisse glisser à genoux. Je lui lance un dernier regard langoureux depuis ses pieds. Je sais qu’il a une vue imprenable sur mes fesses. Tandis qu’il me matte, je lui titille le gland avec ma langue. Je parcours le long de sa verge, puis ses boules que je prends en bouche. Je les suçote une à une. Puis je remonte, une main fermement autour de sa verge. Je commence par lui téter le gland. Il a un goût sucré, je sens une goûte de sperme perler contre ma langue. Je le titille. Il veut que je le prenne en bouche. Enfin, après une longue torture délicieuse, je fais glisser mes lèvres le long de son phallus énorme. J’engloutis son sexe jusqu’à la moitié, ne pouvant aller plus loin. Je reste immobile un moment. Mes yeux sont toujours levés vers lui. Il me fixe, souriant. Il pose une main sur ma tête.
« Vas-y ma petite ».
J’exécute. Je lui taille une pipe parfaite – langoureuse et longue. Chaque va et viens est parfait, rythmé. Je pense qu’un homme sait toujours s’y prendre mais on m’a toujours dit que j’étais doué. Ma main taquine ses boules. Je sens sa verge pulser dans ma bouche chaude. Il se met à accompagner le mouvement avec ses hanches. Je sens qu’il veut guider. Je place mes deux mains derrière mon dos et le laisse me baiser la bouche, lentement puis rapidement. Après de longues minutes, je le reprends en main. Son gland est enflé entre mes doigts. Je le suce encore un peu. Enfin je le prends entre mes deux mains. Je le branle rapidement, d’un mouvement déterminé. Je lui fixe le regard, l’encourageant. Je veux sentir sa semence sur moi, dans ma bouche. Je sens qu’il est prêt à se lâcher. J’ouvre la bouche, je tends la langue. Je le sens se raidir de tout son corps. J’accélère le mouvement – me concentrant sur le gland de ma main droite et la verge avec la gauche. Un instant rien ne se passe et puis d’un coup, un jet puissant et épais fait éruption. Le sperme m’inonde le visage, le nez, les joues, puis enfin la bouche. La coulée puissante atteint le fond de ma gorge. J’avale. Je délecte. Vers la fin je le reprends en bouche. La fin de son orgasme se vide contre ma langue. Mon visage est collant, chaud et humide. Nous restons ainsi quelques instants. Il m’observe, souriant.
Je le sors de ma bouche et me lève. Il me tend le billet.
« Tu as le poste. Tu reviens la semaine prochaine. Porte un string comme cette fois. 300 pour la totale, ça te va ? »
Je fais oui de la tête. Il m’a acheté, et j’en suis ravi.
Au bout d’une minute le boss releva le regard.
« James. Tu as un bon CV. Mais à vrai dire tu n’es pas exactement ce que je recherche. »
Je suis décu, « Ah bon. Et vous recherchez quoi au juste ? »
Il réfléchit. « En fait, quelqu’un de plus… flexible. »
Je ne comprends pas vraiment. Mon regard doit refléter ma confusion. Il me sourit.
« Ecoute, sinon décris toi un peu, personnellement. »
« Eh bien je suis une personne créative, ouverte – »
« Ouverte ? Ah oui ? Comment ça ? »
« Et bien, j’aime les nouvelles opportunités, l’inconnu… »
Il sourit, « Je vois. Et donc tu es encore étudiant c’est bien ça ? »
« Oui. »
« Difficulté financières ? »
« Si j’en ai ? Oui bien sur, comme tous les étudiants. »
« Tu as déjà travaillé au black ? »
Je n’ai pas su comment réagir.
« Je te pose cette question parce que j’ai un post qui te conviendrait peut-être plus. » Il se détend, se reposant dans sa chaise. Puis il sort son porte feuille. Il pose un billet de deux cent sur la table. Il sourit à nouveau. L’homme se lève. Il est costaud, rien à dire.
Je rougis. Je ne sais vraiment pas comment réagir. L’homme s’approche de moi.
« Je te donne ce billet si tu suis à la lettre mes instructions. Commence par te déshabiller. »
C’était tellement direct que je suis resté sans bouger. Il y a cinq minutes la conversation était professionnelle, contrôlée. Sans réfléchir, j’obéis. Lentement je me dévêtis. J’enlève le haut d’abord – un tshirt noir, puis je déboutonne le jean. Je le tire vers le bas. L’homme voit mon string.
« Hmmm, toi ma petite, t’es parfaite. »
Il passe une main sur mes fesses. Je frissonne. Il me fait tourner sur moi même. Il me caresse, m’observe. Puis il déboutonne son pantalon, me prend la main et la guide. Elle frôle la braguette, le tissu sobre du caleçon. Je sens une bosse durcissante. Elle est grosse. J’appréhende un peu. Je suis encore très nerveux mais l’excitation se fait ressentir. Il presse ma main contre son sexe. Je sers les doigts. La verge est lourde et satisfaisante entre mes doigts, au travers le tissu.
Il est totalement raide à présent. Il relâche prise, se laissant aller à mes caresses. Je le branle à travers le coton à présent. Le tissu est légèrement humide, collant de liquide pré séminal.
« Sors la. »
Cette fois je n’hésite pas. J’ai envi de la sucer, la sentir entre mes lèvres. Je sors ce bel engin. Elle est vraiment superbe – dans les 20-22 centimètres facile. J’avoue accorder une importance particulière à l’envergure des membres de mes partenaires. Celui-ci ne me déçoit en rien. Je me sens relaxé à présent. Je veux satisfaire cet homme, le sentir en moi, le goûter, avaler son foutre. Je me mets à le branler, vigoureusement. Je me colle à lui. Il halète lourdement. Je gémis doucement pour l’exciter d’avantage. Je glisse les doigts de ma main gauche dans son pantalon, je sers ses boules fermes. Il est rasé, j’adore. Je préfère également rester imberbe.
Après une longue branlette attentionnée, je me laisse glisser à genoux. Je lui lance un dernier regard langoureux depuis ses pieds. Je sais qu’il a une vue imprenable sur mes fesses. Tandis qu’il me matte, je lui titille le gland avec ma langue. Je parcours le long de sa verge, puis ses boules que je prends en bouche. Je les suçote une à une. Puis je remonte, une main fermement autour de sa verge. Je commence par lui téter le gland. Il a un goût sucré, je sens une goûte de sperme perler contre ma langue. Je le titille. Il veut que je le prenne en bouche. Enfin, après une longue torture délicieuse, je fais glisser mes lèvres le long de son phallus énorme. J’engloutis son sexe jusqu’à la moitié, ne pouvant aller plus loin. Je reste immobile un moment. Mes yeux sont toujours levés vers lui. Il me fixe, souriant. Il pose une main sur ma tête.
« Vas-y ma petite ».
J’exécute. Je lui taille une pipe parfaite – langoureuse et longue. Chaque va et viens est parfait, rythmé. Je pense qu’un homme sait toujours s’y prendre mais on m’a toujours dit que j’étais doué. Ma main taquine ses boules. Je sens sa verge pulser dans ma bouche chaude. Il se met à accompagner le mouvement avec ses hanches. Je sens qu’il veut guider. Je place mes deux mains derrière mon dos et le laisse me baiser la bouche, lentement puis rapidement. Après de longues minutes, je le reprends en main. Son gland est enflé entre mes doigts. Je le suce encore un peu. Enfin je le prends entre mes deux mains. Je le branle rapidement, d’un mouvement déterminé. Je lui fixe le regard, l’encourageant. Je veux sentir sa semence sur moi, dans ma bouche. Je sens qu’il est prêt à se lâcher. J’ouvre la bouche, je tends la langue. Je le sens se raidir de tout son corps. J’accélère le mouvement – me concentrant sur le gland de ma main droite et la verge avec la gauche. Un instant rien ne se passe et puis d’un coup, un jet puissant et épais fait éruption. Le sperme m’inonde le visage, le nez, les joues, puis enfin la bouche. La coulée puissante atteint le fond de ma gorge. J’avale. Je délecte. Vers la fin je le reprends en bouche. La fin de son orgasme se vide contre ma langue. Mon visage est collant, chaud et humide. Nous restons ainsi quelques instants. Il m’observe, souriant.
Je le sors de ma bouche et me lève. Il me tend le billet.
« Tu as le poste. Tu reviens la semaine prochaine. Porte un string comme cette fois. 300 pour la totale, ça te va ? »
Je fais oui de la tête. Il m’a acheté, et j’en suis ravi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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bon recit que j ai aime ça me rappelle quand j étais jeune un amant que j avais il me faisait porter des s v de sa femme pour baiser et quand il avait fini il me mettais les billets roules dans mon trou du cul béant grâce a lui et a ces connaissances j ai eu une belle garde robe EMATIN.E ?