Je veux du slow !
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je veux du slow !
"Dialogues Interdits" : une série de mini-nouvelles sans narration, uniquement faite de dialogues. Confessions crues, drôles et surprenantes entre amis...
Je veux du slow !
— C’est pas possible ! Je dois m’interdire de coucher avec des étudiantes et me tourner uniquement vers les quadras et les quinquas !
— Rien de plus facile. Tu appelles toutes tes copines et tu leur dis « passe-moi ta mère ».
— J’y réfléchirai.
— Qu’est-ce que t’as contre les minettes, ce ne sont pas des bons coups ?
— Pas des bons coups comme j’aime. Peut-être davantage comme tu aimes. Je te refile mon carnet d’adresses, si tu veux. J’ai de tout.
— Détrompe-toi, je suis pas hyper fan des trop jeunes non plus. Sur le moment elles m’attirent, et puis au pieu je les trouve décevantes.
— C’est la différence entre la génération slows et la génération twerk. Les filles d’aujourd’hui dansent le twerk, plus jamais le slow.
— Sexuellement parlant, je ne vois pas ce que ça change.
— Tu n’es pas au courant que le twerk reproduit des mouvements de coït ? Évidemment que ça a une influence sur la sexualité. D’ailleurs, TOUT a plus ou moins une influence. La malbouffe rend gras et fait baisser les performances, le X a décidé toutes les non-suceuses à se mettre à sucer, mais mal, et tous les mecs à sodomiser leurs copines... mal également.
— Notre attirance pour les moins jeunes viendrait de là ?
— Selon moi oui, en bonne partie. Une nana qui est sur moi et qui est de la slow génération exécutera des ronds lents et langoureux, certains petits, d'autres plus grands. Elle reproduira toutes les phases avec sa lune, ce n'est pas pour rien qu'un derrière on appelle ça une lune, en ancien argot.
— Toi la terre, elle la lune. Un peu prétentieux mais poétique.
— Rien de mieux pour qu'elle se fasse jouir, et me fasse jouir. Rien de mieux pour qu’elle se caresse le point G.
— Et tout ça grâce au slow ?
— En bonne partie, oui. Le slow apprend aux filles à remuer lentement les hanches et le popotin, à y prendre plaisir... et apprend aux mecs à aimer regarder, sentir, toucher, serrer. Y passer les mains dans le noir pour commencer, en espérant une suite.
— C'est vrai que c'était drôlement chouette les slows, maintenant que tu m'y fais repenser. Et justement, à y repenser on pouvait pas non plus dire que ça reproduisait pas des mouvements de coït.
— Toutes les danses sexy miment un coït, d’une façon ou d’une autre.
— Oui, toute danse sexy fait donc partie de l’éducation sexuelle. Quand je pense qu’il y a carrément des gamines qui font le twerk et d’autres danses à la con, pour imiter les grandes !
— De quoi en fait des dévergondées.
— Oh, peut-être pas au point de leur donner des envies aussi petites. Par contre, il est possible que ça les forme à devenir plus tard des mauvaises baiseuses.
— Tu m’étonnes ! Une jeunette de la génération twerk martyrisera ta queue en allant et venant une à deux fois par seconde. Une fille de cette trempe ne baise pas, elle gigote, limite genre crise d’épilepsie. Elle s'empale sur une bite et danse dessus jusqu'à explosion. La faute aux boites ! On ne passe plus de slows nulle part.
— Je crois pas que je vais abandonner les jeunes. Je vais me remettre à les draguer, et une fois à mon appart’ je passe des slows et danse avec elles. En m’y prenant bien, peut-être qu’elles vont se reprogrammer.
Je veux du slow !
— C’est pas possible ! Je dois m’interdire de coucher avec des étudiantes et me tourner uniquement vers les quadras et les quinquas !
— Rien de plus facile. Tu appelles toutes tes copines et tu leur dis « passe-moi ta mère ».
— J’y réfléchirai.
— Qu’est-ce que t’as contre les minettes, ce ne sont pas des bons coups ?
— Pas des bons coups comme j’aime. Peut-être davantage comme tu aimes. Je te refile mon carnet d’adresses, si tu veux. J’ai de tout.
— Détrompe-toi, je suis pas hyper fan des trop jeunes non plus. Sur le moment elles m’attirent, et puis au pieu je les trouve décevantes.
— C’est la différence entre la génération slows et la génération twerk. Les filles d’aujourd’hui dansent le twerk, plus jamais le slow.
— Sexuellement parlant, je ne vois pas ce que ça change.
— Tu n’es pas au courant que le twerk reproduit des mouvements de coït ? Évidemment que ça a une influence sur la sexualité. D’ailleurs, TOUT a plus ou moins une influence. La malbouffe rend gras et fait baisser les performances, le X a décidé toutes les non-suceuses à se mettre à sucer, mais mal, et tous les mecs à sodomiser leurs copines... mal également.
— Notre attirance pour les moins jeunes viendrait de là ?
— Selon moi oui, en bonne partie. Une nana qui est sur moi et qui est de la slow génération exécutera des ronds lents et langoureux, certains petits, d'autres plus grands. Elle reproduira toutes les phases avec sa lune, ce n'est pas pour rien qu'un derrière on appelle ça une lune, en ancien argot.
— Toi la terre, elle la lune. Un peu prétentieux mais poétique.
— Rien de mieux pour qu'elle se fasse jouir, et me fasse jouir. Rien de mieux pour qu’elle se caresse le point G.
— Et tout ça grâce au slow ?
— En bonne partie, oui. Le slow apprend aux filles à remuer lentement les hanches et le popotin, à y prendre plaisir... et apprend aux mecs à aimer regarder, sentir, toucher, serrer. Y passer les mains dans le noir pour commencer, en espérant une suite.
— C'est vrai que c'était drôlement chouette les slows, maintenant que tu m'y fais repenser. Et justement, à y repenser on pouvait pas non plus dire que ça reproduisait pas des mouvements de coït.
— Toutes les danses sexy miment un coït, d’une façon ou d’une autre.
— Oui, toute danse sexy fait donc partie de l’éducation sexuelle. Quand je pense qu’il y a carrément des gamines qui font le twerk et d’autres danses à la con, pour imiter les grandes !
— De quoi en fait des dévergondées.
— Oh, peut-être pas au point de leur donner des envies aussi petites. Par contre, il est possible que ça les forme à devenir plus tard des mauvaises baiseuses.
— Tu m’étonnes ! Une jeunette de la génération twerk martyrisera ta queue en allant et venant une à deux fois par seconde. Une fille de cette trempe ne baise pas, elle gigote, limite genre crise d’épilepsie. Elle s'empale sur une bite et danse dessus jusqu'à explosion. La faute aux boites ! On ne passe plus de slows nulle part.
— Je crois pas que je vais abandonner les jeunes. Je vais me remettre à les draguer, et une fois à mon appart’ je passe des slows et danse avec elles. En m’y prenant bien, peut-être qu’elles vont se reprogrammer.
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