Jeune adulte 01 Le jour ou - histoire érotique

Jeune adulte 01Le jour où
'' le passage à l'âge adulte '' peut revêtir de nombreuses formes, dans ce milieu c'est un cérémonial qui le définie, pas seulement l'âge. Il se passe en général à l'âge de dix huit ans mais ce n'est pas définitif, ce n'est pas rigoureux, quelquefois c'est un peu plus tôt, c'est seulement l'âge limite.

Le jour, le grand jour attendu mais toujours un peu redouté. Le dix huitième anniversaire. Vous savez cet anniversaire ou vous passez de l'enfance à l'âge adulte, ou la vie va devenir plus sérieuse, le fameux jours ou vous mettrez un dispositif de chasteté.

On m'a dit que dans certains milieux il y a des hommes qui n'en portent pas. Ça fait frémir, vous ne trouvez pas ? Mais comment font-ils ces gents là ? Vous savez, dans ma famille on est très prude. On m'a expliqué que la masturbation par exemple n'est pas un choix de vie, enfin je veux dire n'est pas un bon choix de vie. On peut attraper des maladie, des ulcères par exemple ou encore des kystes. Enfin des trucs pas cool, à éviter quoi. Et je ne parle pas des effets négatifs sur l'environnement, tempêtes, inondations, raz de marrée et même des tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Et là tout le monde en subit les conséquences.

Dans notre milieu on évite aussi impérativement de se montrer nu, sauf si nécessité. Mon frère par exemple ne ferme jamais la porte de la salle de bain et je ne serait pas étonné qu'il en ait un jour, des kystes ou des maladies je veux dire …
A l'école après le sport, il y a les douches des petits, avec des cabines individuelles et les douches des grands, mais là je ne savais pas encore comment elles étaient … Mais les grands, ils portent un dispositif de chasteté, ils sont donc plus présentables et ils n'ont pas les même besoins ! Enfin c'est ce qu'on m'a expliqué mais j'ai pas tout compris.

Donc j'allais avoir l'âge. Dans certains milieux on faisait le passage à l'âge adulte deux ans plus jeunes mais chez nous on préférait attendre une certaine maturité. J'étais retourné, à la fois impatient et inquiet. Mon confesseur m'avait dit que j'avais le droit de me masturber avant de mettre le dispositif, il m'avait même conseillé d'en abuser. Cinq ou six fois dans la nuit qui précède n'est pas exagérer, il m'a dit que c'était plus facile, plus simple, il me parlait sur un ton bizarre, comme si je devais comprendre de quoi il parlait mais … j'ai pas tout compris.

Mais je suis discipliné et j'ai suivi son conseil … A demis mots, on est très prudes, on me disait qu'il ne fallait pas bander sinon ça ne passait pas, que ça posait des problèmes et que … et que … ? ...

Et bien pour moi ça a passé tout seul. Je vous jure que je ne bandais pas. Mon confesseur m'avait dit que je pouvais en profité, il m'avait même conseille de le faire aussi j'y ai passé la nuit !

Le lendemain j'étais reçu par le conseil des prudes. Ça c'était le plus gênant, j'avais pas l'habitude, mais bon, il y avait mon confesseur et mon médecin de famille. Ce dernier m'avait déjà vu nu. C'était le seul d'ailleurs.

Ils me parlaient, c'était autant pour me détendre, ça n'a pas marché, que pour s'informer que tout se passait bien pour moi, que j'avais bien compris ce qui se passait … Enfin c'était la protocole quoi. Ensuite je procédais …
Je baissais mon pantalon. J'étais pourpre de confusion, on me rassurait et on me réconfortait. Je passais l'anneau, comme on m'avait montré, je glissait ma nouille dans l'anneau, puis dans la cage, j'ajustais la cage sur l'anneau, ça faisait clic. Mon médecin, ce n'était pas mon médecin personnel, c'était juste le médecin de famille … Mon médecin donc intervenait et s'assurait que tout allait bien. Je ne bandais toujours pas.

C'est au creux de l'oreille qu'il me demandait si je m'étais masturbé dans la nuit. Il avait l'air un peu surpris quand je lui répondait '' huit fois ''. Mais sans me faire le moindre reproche il me répondait en hochant la tête … '' Oui, donc c'est normal, tout va bien … ''. Sur le coup j'ai pas vraiment compris de quoi il parlait mais il avait dit '' … tout va bien … ''. Ça me rassurait.

Il me donnait alors la clé sur laquelle il y avait le petit verrou. Je glissait le verrou dans la fente, tournait la clé et la rendait à mon médecin. La cérémonie n'avait pas duré bien longtemps je remontais mon pantalon. Suivait un petit discours de mon confesseur, ses félicitations, là je me sentais fier et bombais le torse. Je venais de faire mon passage à l'âge adulte. De nouvelles responsabilités viendraient avec le temps, de nouveaux droits aussi et de nouvelles libertés …
C'était cool quoi …
Pour le reste, le quotidien, rien ne changeait, ça viendrait avec le temps mais nous étions dans l'année intermédiaire ou tous mes camarades participeraient à la cérémonie chacun leur tour, le jour de leur anniversaire. Mais déjà dans l'immédiat j'avais le droit de prendre ma douche dans la douche des grands.

La première fois que j'y suis rentré, j'étais déconcerté. Il n'y avait pas de cabines individuelles. C'était une grande salle, les pommeaux de douche accrochés au plafond sur toute la partie centrale de la salle, d'autres pommeaux avec flexibles étaient accrochés au mur du fond. Il y avait une seconde salle, les vestiaires séparés de la salle de douche par un mur ou il y avait deux grandes ouvertures, c'était sur l'ouverture de droite que se trouvait l'entrée des installations.

Je m'en souviens très bien, c'est là que je voyais pour la première fois mes camarades entièrement nus. Enfin ceux qui portaient un dispositif de chasteté bien sûr, sinon ça n'aurait pas été convenable. Je me demandais comment faisaient les gens qui vivent en dehors de nos convenances. Ils utilisent des douches avec cabines, dans les piscines dans les installations sportives, dans les endroit ou on est obligé de prendre une douche sur place, il ne reste pas d'autres solutions …
Pour le moment je ne changeais rien à mes habitudes. On m'avait dit que le dispositif me rendrait plus serein, me détendrait, me donnerait plus de concentration pour mes études et plus d'énergie pour le sport …
Soyons sérieux c'est quand même à moitié des conneries tout ça !

Plus d'énergie pour le sport, je ne dis pas, mais pour le reste … Je reste dubitatif même des années plus tard. Surtout au début.

Les premiers jours on se sent plus fort, plus déterminé, plus …
Je ne sais pas ce que je pourrais rajouter , je ne sais pas ' plus … ' quoi ? En fait ! Mais on s'y fait.

Au bout de quelques jours, disons une semaine. La situation devient plus désagréable. Quand au bout de quelques jours on recommence à bander, dès le lendemain en fait, je sais mais les premiers jours c'est pas trop impérieux, tout va bien. C'est seulement au bout de quelques jours supplémentaires que ça change vraiment. On sent sa queue confinée dans une cage trop petite, en fait la cage n'est pas trop petite mais quand la queue devient trop grosse on a l'impression que la cage est trop petite.

Au début ça ne gène pas vraiment, c'est même agréable par moment. C'est une pression douce, forte mais douce. Ce n'est pas douloureux, ça peut gêner un peu sous les couilles mais sans plus.

Avec le temps, quelques jours pas plus, comme je disait, la tension devient plus forte. En fait la tension, c'est dans la tête mais la gêne c'est au niveau de la queue et des couilles. La pression constante des anneau et des barreaux oblige le porteur à réajuster régulièrement le dispositif en tirant sur la peau. Là c'est moins cool …
Il y a les réveils nocturne, toujours pareil, il faut réajuster le dispositif. Une érection nocturne qui dure fini par provoquer de la gêne et même de la douleur. Ça peut devenir vraiment douloureux, on apprend vite qu'il suffit de réajuster le dispositif, ensuite une pose pipi et on retourne dormir. Le réveil peut être agréable … Oui je sais, peut être, mais c'est comme ça, peut être seulement …
Puis le temps passe, on s'habitue, on fini même par y prendre goût. On ne se réveille plus que rarement la nuit, et le matin la pression de la cage contre sa queue peut même devenir une source de confort et de plaisir, enfin tout du moins une source de satisfaction.

Quand on en est là, on n'a plus forcément envie de retirer le dispositif. On en ressent vraiment les avantages et les bénéfices. La concentration revient et devient plus forte qu'avant. On peut alors se focaliser bien plus sur ce que l'on fait, et au niveau physique en général, on est au top. Comme je le disais au début, physiquement on a plus d'énergie mais ça c'était déjà dès le premier jour.

Il y a ce manque qui ne disparaît pas, qui ne disparaît jamais totalement. On bande dans la cage, il peut arriver qu'on éjacule, il peut arriver qu'on jouisse, mais on bande. Enfin la plupart des porteurs bandent régulièrement, tous les jours. S'ils se concentrent sur une activité, s'il n'y font pas attention ça ne dure pas, sauf quand ça dure. S'il n'ont rien à faire, ça dure. Souvent avant de s'endormir, ça dure. Et quelquefois, sans raison, alors qu'on est perdu dans ses pensées, ça dure.

Pour ma part, ça s'est bien passé, un peu comme je le décris ici. J'en suis à ce niveau ou je n'ai plus du tout envie de retirer mon dispositif, il est très confortable et j'y suis très bien.

J'ai rejoint une école de garçons, entre garçons on peut plus facilement rester détendus. Interne, je partage une chambre avec deux camarades. C'est une école qui dépends de la PK Compagnie, vous connaissez peut être ? Une société internationale très sérieuse, les cours sont de grande qualité et la carrière est garantie. Une obligation toutefois, le port permanent et définitif du dispositif de chasteté …
Enfin dans le monde ou je vis tous les hommes de plus de seize ou dix huit ans en portent un. Nous serions quatre vingt dix pour cent dans cette situation. Les dix pour cent restants doivent être ridicules. Enfin comme on nous enseigne, il faut respecter les personnes qui conservent les mœurs déviantes.

Il est vrai que je n'ai jamais vu un homme nu sans son dispositif. Plus jeune dans ma famille nous étions très prudes, nous le sommes toujours bien sûr. Maintenant dans cette école on conserve et on nous apprend les bonne manière et les bonnes mœurs.

Étudier, travailler, faire du sport, mais on sait s'amuser, on fait la fête. Quelquefois le soir on descend dans le sous sol de l'école, la direction le sait mais laisse faire. On met alors de la musique très fort on boit du soda et on fait la fête.

On fait beaucoup de sport, c'est très important dans la formation de cette école. On m'a dit que même dans l'entreprise, une partie du temps de travail, du temps payé, est réservé à la pratique du sport qui est alors encadré par l'entreprise. J'ai vraiment envie de faire carrière dans une telle entreprise.

Après le sport le réconfort. Dans cette école il n'y a que la douche des grands. Bon maintenant on ne dit plus douche des grand, il n'y en a plus qu'une. On y passe tous très souvent, c'est un rendez vous obligatoire après la séance de sport. Si on vient à y passer à d'autres moment de la journée, c'est juste pour une douche rapide, juste pour se rafraîchir.

On n'a plus aucune gêne de se montrer nu devant les autres, le port du dispositif de chasteté est sensé nous libérer de toute gêne, et puis on n'est pas vraiment nus vous savez. Mais c'est vrai qu'il reste toujours un peu de pudeur, on évite de se toucher quand on est comme ça, presque nu, presque totalement nu.

Mais on préfère en rire. Je vais avoir bientôt dix neuf ans et le début de mon histoire correspond à mon dernier anniversaire, celui de mes dix huit ans. Déjà un an ! J'ai voulu tout raconter avant d'oublier. Avec le temps on fini toujours par oublier.

Maintenant je me sens bien, ce dispositif je ne le retirerais pour rien au monde. Je vais faire carrière au sein de la PK, je me marierai et j'aurai deux enfants. Un garçon et une fille ! Nous vivrons dans une très belle maison dans une banlieue chic.

Vous savez avec la technique moderne on n'es pas obligé de retirer le dispositif, on nous insémine. C'est rapide, ce n'est pas douloureux, c'est efficace, on peut même faire ça aux heures de travail, il suffit d'un pose de dix minutes et le résultat est plus sûr qu'avec les méthodes primitives …
Comme vous voyez, nous les étudiants à la PK nous ne somme pas différents des autres gens, on a les même rêves, les même désir, les même plaisir. Nous sommes tous pareil. Bien sûr on fait chambre à part, quand on est mariés je veux dire. Quelques couples font maison à part. Mais c'est quand on a les moyens économiques d'avoir plusieurs maisons et à la PK les responsables sont souvent obligés de se déplacer.

Une vie tranquille quoi, je ne demande rien de plus. Un chien, un chat, un poisson rouge, deux enfants …
Ah oui, leur mère aussi, j'oubliais !


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast