Jeune adulte 09 A la maison
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 09 A la maison
Jeune adulte 09
A la maison
Nous arrivions rapidement à mon appartement. Thomas conduit bien mais il conduit vite. Je n'avais pas totalement récupéré de la soirée de fête, mais c'est vrai que je n'était pas habitué à boire et je ne savais pas gérer ce genre de situation.
L’éducation rigide que j'avais reçu ne prévoyait pas les soirées arrosées, éventuellement une flûte de champagne pour les événements importants. Mais pas plus ! Oulala non pas plus !
J'ai vu une fois une cousine qui était à moitié ivre après avoir mangé trop de ces petits chocolats à la liqueur de cerise. Remarquez on avait bien rigolé ce jour là, elle était toute rouge et ne savait plus ou se mettre.
J'installais Thomas dans une chambre et j'allais m'effondrer sur mon lit. Je m'endormais tout habillé. Je me suis réveillé bien plus tard, c'était le milieu d la nuit et Thomas était là, endormi à côté de moi, à poil, plus beau et plus sexy que jamais.
Ce n'était plus la première fois que je pouvais le contempler dans toute sa beauté. Il se retournait, sur le dos, un peu de travers, il faisait un bruit trop mignon avec son nez, sa queue s'étalait sur sa cuisse, elle était longue, large mais totalement molle.
J'avais envie de me la prendre dans la bouche, de m'amuser avec mais je me sentais trop fatigué, je m'installais confortablement à côté de lui et je me rendormais en contemplant sa beauté, la douceur de son grain de peau, de ses lèvres et de son nez avec lequel il faisait de la musique …
Le lendemain matin il était déjà levé quand je me réveillais. Il vivait sans heures. Il était là à déambuler dans l'appartement, il avait préparé le petit déjeuner. J'étais à poil quand j'arrivais dans la cuisine. Il était à poil lui aussi.
– Alors bien dormi ?
– Hun, hun …
Je m'asseyais à table, il me versait mon café, je le regardais, je l'admirais, il bougeait avec tellement de grâce. Il était beau, mince, musclé et sa queue au repos mais déjà imposante se balançait de droite à gauche. La mienne s'est révolté à ce moment, elle tentait le coup de force. Ma cervelle ne commandait plus rien et ne contrôlait plus ce qui se passait. Des bourrelets de peau gonflaient et laissait voir que, à l'intérieure de la cage il y avait de la pression.
Je tentais de rester calme, mais comment voulez-vous que je reste calme moi dans une telle situation. Il y avait un homme de rêve dans ma cuisine, il était beau comme un dieu, séduisant comme un ange, sexy comme un démon et moi je l'avais dans la peau. C'était pas bien vieux mais là je le savais, je le sentais, je l'avais dans la peau et même si à ce moment j'avais encore mal au cul, j'avais envie de l'avoir en moi de nouveau.
Nous déjeunions tranquillement, enfin, lui il déjeunait tranquillement. Il avait l'habitude de ce genre de situation, pas moi ! On a ensuite pris une douche et on est sorti se promener.
Il ne travaillait pas de la journée. Enfin je pense que moi aussi maintenant j'appelle son activité un travail. Mon confesseur m'entendrait il me plaindrait, il me dirait de prier, il me dirait … Oh et puis je me moquais de ce qu'il me dirait. Je venait de vivre plusieurs jours de folie complète et j'avais envie de recommencer, de continuer …
Thomas portait des vêtements très branchés mode, il avait de la classe. Moi j'étais plus classique, il était évident qu'il gagnait bien sa vie. Il avait une belle voiture de sport, une voiture de gigolo on dit mais c'était une belle voiture. Il me laissait la conduire, j'ai passé un après midi inoubliable. J'étais sous le charme. Il ne m'a laissé qu'à la fin de l'après midi.
Je suis rentré à la maison, j'étais un peu sonné, trop de bonheur, trop de plaisir, trop, c'était trop. J'ai remis de l'ordre dans l'appartement, j'ai soupé et je me suis couché. La soirée était brusquement très calme, plus rien ne bougeait autour de moi. Une tempête était entrée dans ma vie et j'étais comme dans l’œil de la tornade, tout était calme.
Le lendemain je me réveillais, j'avais récupéré. Je me préparais comme je le fais tous les matins et je partais pour la bibliothèque. Là j'y retrouvais mes camarades.
– Tu avais disparu ? Me faisait remarquer Salomo. c'est un ami qui fait des études avec moi.
– Rien de bien grave, j'ai été un peu soufrant. Mais maintenant ça va.
Nous avons travaillé, le midi Salomo m'a invité à dîner chez lui, sa mère cuisine très bien. Le reste de la journée nous sommes retourné à la bibliothèque. La journée s'est avérée palpitante, passionnante ! Oui je sais, là j'exagère, je me suis fait chier toute la journée. En fin d'après midi je ne savais plus si ces trois jours que j'avais vécu étaient vrais. Et Thomas ? Je me demandais si je n'avais pas rêvé Thomas. Si c'était un rêve il était magnifique et jamais je ne l'oublierais.
C'est un peu triste que je rentrais chez moi le soir, comme tous les soirs quand je rentrais, je rangeais mes livres sur mon bureau et je préparais le souper. Je marchais comme un automate, les gestes sans conviction, mécaniques.
– Et bien tu étais passé ou ?
Je sursautais, c'était Thomas, j'ai crié de joie et je lui ai sauté au cou.
– Thomas, tu es là ?
– Je te rappelle que tu m'as proposé de m'installer ici et que tu m'as donné la clé de l'appartement. Me répondait-il sur un ton un peu bête.
Je m'accrochais à lui et je l'embrassais tant que je pouvais. Je ne voulais plus le lâcher, il s'en amusait il me rendait quelques un de mes baisers.
C'était une période très trouble qui arrivait, tout allait à l'encontre de mon éducation, à l'encontre de ma famille et je ne savais pas comment j'allais agir sur ce point. Et puis il y avait mon petit frère qui habitait lui aussi avec moi, je ne savais pas comment il allait réagir.
Ce Thomas, je l'avais dans la peau, je ne voulais pas renoncer à lui, je ne voulais pas le lâcher, je ne savais plus quoi faire.
Il m'a pris par la main et m'a entraîner dans la salle de bain. Il avait envie de prendre une douche et il lui fallait quelqu'un pour lui frotter le dos. Vous pouvez vous rendre compte à quel point j'étais trouble, il me parlais de frotter le dos, et moi bêtement je pensais … Frotter le dos …
Il ne nous a fallu que quelques secondes pour nous retrouver à poil, on s'est glissé sous la douche et … Oui finalement on s'est aussi frotté le dos .
Il me prenait dans ses bras et me caressait tout le corps, la mousse du savon se formait je pouvais me voir dans le miroir, je me retournais et c'est sur son corps que la mousse se formait. On s'en amusait. Il me tripotait las couilles, m'invitant à en faire de même. Sa queue s'était redressée, la mienne protestait de toutes ses forces dans sa cage qui se redressait avec force. Ma queue tentait une sortie, c'était pathétique mais elle ne renonçait pas, il parait que pour certains elle ne renonce jamais.
Et si c'était mon cas ?
Au bout d'un an avec ce dispositif sur moi, j'arrivais le plus souvent à trouver un certain plaisir dans ces érections contrariées mais la présence de Thomas poussait mon excitation au plus fort et mes érections, même contrariées, devenaient plus forte et rapidement me conduisaient à la limite d'une certaine douleur, ce n'était que de la gène mais c'était une très forte gène.
Lui il bandait, tranquillement, il ne faisait rien pour ça, il ne se caressait pas, il ne se tripotait pas, il me laissait faire et c'est pas le dos que je lui ai lavé en premier. Ensuite je lui ai rincé la queue puis, il m'a juste dit … '' Suce ! ''. J'ai sucé.
Je prenais de plus en plus de plaisir à sucer sa queue. Lui aussi remarquez. Il appuyait sur ma tête, c'était récent mais c'était bon. En fait je crois que je n'attendais que ça et c'était sans doute pour cette raison si j'apprenais si vite.
– Tu sais que tu suces de mieux en mieux !
– Humm, humm, hummm …
– Tu es sûr que tu ne t'étais jamais entraîné avant ?
– Humm, humm, humm !
En fait je n'avais pas envie de parler, j'avais seulement envie de me délecter de lui. J'arrivais à prendre sa queue jusque dans ma gorge, dans ma tête c'était la folie, je ne savais pas ou ça allait s'arrêter.
Il me soulevait en passant ses mains sous mes bras, me prenais dans ses bras, me caressait tout le corps et m'embrassait. Je lui rendais ses câlins, ses caresses et ses baisers. Il me retournait contre le mur de la douche et avec douceur me lubrifiait le cul.
Je le laissais faire, je tremblais de désir, j'avais la trouille mais je le laissais faire. Il positionnais sa queue, bien comme il fallait et en se serrant très fort contre moi il me pénétrait. Là j'ai manqué d'air, c'était horrible mais j'en voulais, j'en voulais plus. Je sentais sa bite glisser entre mes reins, il me faisait mal et je respirait fort mais je ne voulais pas, en aucun cas le repousser. Il y allait avec douceur mais il avait une grosse queue et ça suffisait pour que ce soit violent.
La douleur n'augmentait pas alors qu'il s'enfonçait. Je le sentais de plus en plus profond en moi, mais peu à peu, je ne comprenais plus trop de qui se passait. La douleur intense au début, à peine supportable semblait diminuer.
Par moment elle revenait, par moment seulement, elle pouvait devenir intense mais c'était par moment. Sinon il y avait cette panique, j'avais l'impression que j'allais déchirer et là je ne pouvais m'en remettre qu'à lui. Cent fois j'ai voulu le repousser, hurler, tout arrêter mais je l'avais dans la peau et là, je l'avais en moi et je voulais le garder.
Cent fois je me suis retenu.
La douleur finissait pas passer et là c'était magique. Ce que je ressentais était intense, doux, dur, ferme, violent, tendre et ses bras autour de moi me soulevaient totalement du sol. J'étais bien.
J'avais encore mal mais il y avait autre chose et j'étais bien.
Avec des mouvements lents il se retirait et revenait. Avec douceur il me limait le cul. C'est ce que je voulais mais je ne voulais pas le demander, j'avais trop la trouille qu'il ne le fasse. Là il le faisait, j'étais terrifié, il pourrait me blesser, mais je le laissais faire. C'est à peine si je pouvais encore respirer, la tête me tournait. Je n'avais plus mal du tout.
Ses coups devenaient plus rapides, plus violents. Il se retirait maintenant totalement. Là c'était bon, puis il revenait lentement mais de plus en plus vite, il entrait sa queue sur toute la longueur et quand son ventre s'écrasait sur mes fesses il poussait encore et me massait les entrailles avec son gland au milieu de montre.
Par moment j'arrivais encore à gémir.
Il reprenait. Quand sa queue ressortait je commençais à jouir, je jutais. Je n'éjaculais pas mais un flot de sperme coulait de ma cage. Quand sa queue revenait et s'enfonçait de nouveau la sensation oscillait entre l'extase et l'enfer. À cette pensée je me disais que si c'était ça l'enfer, c'est là que je voulais aller ! Puis je ne pensais plus.
Il se lâchait ainsi sur moi pendant des heures, le temps ne passait plus, j'étais bien, j'étais mal, je ne savais même plus.
Deux ou trois coups de bassin plus violents lui échappaient et me rappelait à quel poins j'étais vulnérable entre ses bras. Il jouissait et me le faisait savoir par une longue plainte dans mon oreille. Il poussait encore un peu sa queue plus profond puis se retirait, là je jutais encore, je jutais longuement.
Ensuite il redevenait tendre, en fait il n'avais jamais cessé de l'être mais la taille de son membre me l'avait fait oublier. Il me lavait le cul avec douceur, sans me faire mal.
Il me retournait de nouveau et je me retrouvais dans ses bras, je l'embrassais. On a terminé de se doucher, on s'est shampooiné, on s'est câliné, on s'est sécher. Nous étions restés plus d'une demie heure sous la douche.
Ensuite on a mangé, on est resté à poil, j'aimais bien le voir nus, voir son corps élégants et ferme, doux et musclé. En plus il y avait cette grosse et lourde bite qui se balançait à chacun de ses mouvements.
Nous avons vécu ainsi pendant deux semaines, il n'était pas toujours à la maison, mais quand il était là on savait se donner du plaisir. Pas tous les soirs, je n'aurais pas survécu, et puis il travaillait …
A suive
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
A la maison
Nous arrivions rapidement à mon appartement. Thomas conduit bien mais il conduit vite. Je n'avais pas totalement récupéré de la soirée de fête, mais c'est vrai que je n'était pas habitué à boire et je ne savais pas gérer ce genre de situation.
L’éducation rigide que j'avais reçu ne prévoyait pas les soirées arrosées, éventuellement une flûte de champagne pour les événements importants. Mais pas plus ! Oulala non pas plus !
J'ai vu une fois une cousine qui était à moitié ivre après avoir mangé trop de ces petits chocolats à la liqueur de cerise. Remarquez on avait bien rigolé ce jour là, elle était toute rouge et ne savait plus ou se mettre.
J'installais Thomas dans une chambre et j'allais m'effondrer sur mon lit. Je m'endormais tout habillé. Je me suis réveillé bien plus tard, c'était le milieu d la nuit et Thomas était là, endormi à côté de moi, à poil, plus beau et plus sexy que jamais.
Ce n'était plus la première fois que je pouvais le contempler dans toute sa beauté. Il se retournait, sur le dos, un peu de travers, il faisait un bruit trop mignon avec son nez, sa queue s'étalait sur sa cuisse, elle était longue, large mais totalement molle.
J'avais envie de me la prendre dans la bouche, de m'amuser avec mais je me sentais trop fatigué, je m'installais confortablement à côté de lui et je me rendormais en contemplant sa beauté, la douceur de son grain de peau, de ses lèvres et de son nez avec lequel il faisait de la musique …
Le lendemain matin il était déjà levé quand je me réveillais. Il vivait sans heures. Il était là à déambuler dans l'appartement, il avait préparé le petit déjeuner. J'étais à poil quand j'arrivais dans la cuisine. Il était à poil lui aussi.
– Alors bien dormi ?
– Hun, hun …
Je m'asseyais à table, il me versait mon café, je le regardais, je l'admirais, il bougeait avec tellement de grâce. Il était beau, mince, musclé et sa queue au repos mais déjà imposante se balançait de droite à gauche. La mienne s'est révolté à ce moment, elle tentait le coup de force. Ma cervelle ne commandait plus rien et ne contrôlait plus ce qui se passait. Des bourrelets de peau gonflaient et laissait voir que, à l'intérieure de la cage il y avait de la pression.
Je tentais de rester calme, mais comment voulez-vous que je reste calme moi dans une telle situation. Il y avait un homme de rêve dans ma cuisine, il était beau comme un dieu, séduisant comme un ange, sexy comme un démon et moi je l'avais dans la peau. C'était pas bien vieux mais là je le savais, je le sentais, je l'avais dans la peau et même si à ce moment j'avais encore mal au cul, j'avais envie de l'avoir en moi de nouveau.
Nous déjeunions tranquillement, enfin, lui il déjeunait tranquillement. Il avait l'habitude de ce genre de situation, pas moi ! On a ensuite pris une douche et on est sorti se promener.
Il ne travaillait pas de la journée. Enfin je pense que moi aussi maintenant j'appelle son activité un travail. Mon confesseur m'entendrait il me plaindrait, il me dirait de prier, il me dirait … Oh et puis je me moquais de ce qu'il me dirait. Je venait de vivre plusieurs jours de folie complète et j'avais envie de recommencer, de continuer …
Thomas portait des vêtements très branchés mode, il avait de la classe. Moi j'étais plus classique, il était évident qu'il gagnait bien sa vie. Il avait une belle voiture de sport, une voiture de gigolo on dit mais c'était une belle voiture. Il me laissait la conduire, j'ai passé un après midi inoubliable. J'étais sous le charme. Il ne m'a laissé qu'à la fin de l'après midi.
Je suis rentré à la maison, j'étais un peu sonné, trop de bonheur, trop de plaisir, trop, c'était trop. J'ai remis de l'ordre dans l'appartement, j'ai soupé et je me suis couché. La soirée était brusquement très calme, plus rien ne bougeait autour de moi. Une tempête était entrée dans ma vie et j'étais comme dans l’œil de la tornade, tout était calme.
Le lendemain je me réveillais, j'avais récupéré. Je me préparais comme je le fais tous les matins et je partais pour la bibliothèque. Là j'y retrouvais mes camarades.
– Tu avais disparu ? Me faisait remarquer Salomo. c'est un ami qui fait des études avec moi.
– Rien de bien grave, j'ai été un peu soufrant. Mais maintenant ça va.
Nous avons travaillé, le midi Salomo m'a invité à dîner chez lui, sa mère cuisine très bien. Le reste de la journée nous sommes retourné à la bibliothèque. La journée s'est avérée palpitante, passionnante ! Oui je sais, là j'exagère, je me suis fait chier toute la journée. En fin d'après midi je ne savais plus si ces trois jours que j'avais vécu étaient vrais. Et Thomas ? Je me demandais si je n'avais pas rêvé Thomas. Si c'était un rêve il était magnifique et jamais je ne l'oublierais.
C'est un peu triste que je rentrais chez moi le soir, comme tous les soirs quand je rentrais, je rangeais mes livres sur mon bureau et je préparais le souper. Je marchais comme un automate, les gestes sans conviction, mécaniques.
– Et bien tu étais passé ou ?
Je sursautais, c'était Thomas, j'ai crié de joie et je lui ai sauté au cou.
– Thomas, tu es là ?
– Je te rappelle que tu m'as proposé de m'installer ici et que tu m'as donné la clé de l'appartement. Me répondait-il sur un ton un peu bête.
Je m'accrochais à lui et je l'embrassais tant que je pouvais. Je ne voulais plus le lâcher, il s'en amusait il me rendait quelques un de mes baisers.
C'était une période très trouble qui arrivait, tout allait à l'encontre de mon éducation, à l'encontre de ma famille et je ne savais pas comment j'allais agir sur ce point. Et puis il y avait mon petit frère qui habitait lui aussi avec moi, je ne savais pas comment il allait réagir.
Ce Thomas, je l'avais dans la peau, je ne voulais pas renoncer à lui, je ne voulais pas le lâcher, je ne savais plus quoi faire.
Il m'a pris par la main et m'a entraîner dans la salle de bain. Il avait envie de prendre une douche et il lui fallait quelqu'un pour lui frotter le dos. Vous pouvez vous rendre compte à quel point j'étais trouble, il me parlais de frotter le dos, et moi bêtement je pensais … Frotter le dos …
Il ne nous a fallu que quelques secondes pour nous retrouver à poil, on s'est glissé sous la douche et … Oui finalement on s'est aussi frotté le dos .
Il me prenait dans ses bras et me caressait tout le corps, la mousse du savon se formait je pouvais me voir dans le miroir, je me retournais et c'est sur son corps que la mousse se formait. On s'en amusait. Il me tripotait las couilles, m'invitant à en faire de même. Sa queue s'était redressée, la mienne protestait de toutes ses forces dans sa cage qui se redressait avec force. Ma queue tentait une sortie, c'était pathétique mais elle ne renonçait pas, il parait que pour certains elle ne renonce jamais.
Et si c'était mon cas ?
Au bout d'un an avec ce dispositif sur moi, j'arrivais le plus souvent à trouver un certain plaisir dans ces érections contrariées mais la présence de Thomas poussait mon excitation au plus fort et mes érections, même contrariées, devenaient plus forte et rapidement me conduisaient à la limite d'une certaine douleur, ce n'était que de la gène mais c'était une très forte gène.
Lui il bandait, tranquillement, il ne faisait rien pour ça, il ne se caressait pas, il ne se tripotait pas, il me laissait faire et c'est pas le dos que je lui ai lavé en premier. Ensuite je lui ai rincé la queue puis, il m'a juste dit … '' Suce ! ''. J'ai sucé.
Je prenais de plus en plus de plaisir à sucer sa queue. Lui aussi remarquez. Il appuyait sur ma tête, c'était récent mais c'était bon. En fait je crois que je n'attendais que ça et c'était sans doute pour cette raison si j'apprenais si vite.
– Tu sais que tu suces de mieux en mieux !
– Humm, humm, hummm …
– Tu es sûr que tu ne t'étais jamais entraîné avant ?
– Humm, humm, humm !
En fait je n'avais pas envie de parler, j'avais seulement envie de me délecter de lui. J'arrivais à prendre sa queue jusque dans ma gorge, dans ma tête c'était la folie, je ne savais pas ou ça allait s'arrêter.
Il me soulevait en passant ses mains sous mes bras, me prenais dans ses bras, me caressait tout le corps et m'embrassait. Je lui rendais ses câlins, ses caresses et ses baisers. Il me retournait contre le mur de la douche et avec douceur me lubrifiait le cul.
Je le laissais faire, je tremblais de désir, j'avais la trouille mais je le laissais faire. Il positionnais sa queue, bien comme il fallait et en se serrant très fort contre moi il me pénétrait. Là j'ai manqué d'air, c'était horrible mais j'en voulais, j'en voulais plus. Je sentais sa bite glisser entre mes reins, il me faisait mal et je respirait fort mais je ne voulais pas, en aucun cas le repousser. Il y allait avec douceur mais il avait une grosse queue et ça suffisait pour que ce soit violent.
La douleur n'augmentait pas alors qu'il s'enfonçait. Je le sentais de plus en plus profond en moi, mais peu à peu, je ne comprenais plus trop de qui se passait. La douleur intense au début, à peine supportable semblait diminuer.
Par moment elle revenait, par moment seulement, elle pouvait devenir intense mais c'était par moment. Sinon il y avait cette panique, j'avais l'impression que j'allais déchirer et là je ne pouvais m'en remettre qu'à lui. Cent fois j'ai voulu le repousser, hurler, tout arrêter mais je l'avais dans la peau et là, je l'avais en moi et je voulais le garder.
Cent fois je me suis retenu.
La douleur finissait pas passer et là c'était magique. Ce que je ressentais était intense, doux, dur, ferme, violent, tendre et ses bras autour de moi me soulevaient totalement du sol. J'étais bien.
J'avais encore mal mais il y avait autre chose et j'étais bien.
Avec des mouvements lents il se retirait et revenait. Avec douceur il me limait le cul. C'est ce que je voulais mais je ne voulais pas le demander, j'avais trop la trouille qu'il ne le fasse. Là il le faisait, j'étais terrifié, il pourrait me blesser, mais je le laissais faire. C'est à peine si je pouvais encore respirer, la tête me tournait. Je n'avais plus mal du tout.
Ses coups devenaient plus rapides, plus violents. Il se retirait maintenant totalement. Là c'était bon, puis il revenait lentement mais de plus en plus vite, il entrait sa queue sur toute la longueur et quand son ventre s'écrasait sur mes fesses il poussait encore et me massait les entrailles avec son gland au milieu de montre.
Par moment j'arrivais encore à gémir.
Il reprenait. Quand sa queue ressortait je commençais à jouir, je jutais. Je n'éjaculais pas mais un flot de sperme coulait de ma cage. Quand sa queue revenait et s'enfonçait de nouveau la sensation oscillait entre l'extase et l'enfer. À cette pensée je me disais que si c'était ça l'enfer, c'est là que je voulais aller ! Puis je ne pensais plus.
Il se lâchait ainsi sur moi pendant des heures, le temps ne passait plus, j'étais bien, j'étais mal, je ne savais même plus.
Deux ou trois coups de bassin plus violents lui échappaient et me rappelait à quel poins j'étais vulnérable entre ses bras. Il jouissait et me le faisait savoir par une longue plainte dans mon oreille. Il poussait encore un peu sa queue plus profond puis se retirait, là je jutais encore, je jutais longuement.
Ensuite il redevenait tendre, en fait il n'avais jamais cessé de l'être mais la taille de son membre me l'avait fait oublier. Il me lavait le cul avec douceur, sans me faire mal.
Il me retournait de nouveau et je me retrouvais dans ses bras, je l'embrassais. On a terminé de se doucher, on s'est shampooiné, on s'est câliné, on s'est sécher. Nous étions restés plus d'une demie heure sous la douche.
Ensuite on a mangé, on est resté à poil, j'aimais bien le voir nus, voir son corps élégants et ferme, doux et musclé. En plus il y avait cette grosse et lourde bite qui se balançait à chacun de ses mouvements.
Nous avons vécu ainsi pendant deux semaines, il n'était pas toujours à la maison, mais quand il était là on savait se donner du plaisir. Pas tous les soirs, je n'aurais pas survécu, et puis il travaillait …
A suive
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