Jeune adulte 20 Entre les prises - histoire érotique

Jeune adulte 20
Entre les prises


En dehors des prises de vue, l'ambiance devenait étonnamment très soft. Le sexe c'était le boulot mais on n'allait pas bosser tout le temps. On faisait des poses, les techniciens, éclairagiste, preneur de son, décorateur … Donc le technicien, bein oui il n'y en avait qu'un et il faisait un peu tout. Bref le technicien avait de quoi faire. Moi je donnais un coup de main.

Les autres restaient dans la tenue ou ils étaient. Il était beaux à voir mais rapidement on ne faisait plus attention.

C'est comme ça le porno, c'est pas du tout ce que l'on pense, même dans le porno, il n'y a pas que le cul ou la bite … Titian se promenait à poil, par moment sa queue se relevait et se balançait à l'horizontal, il y avait aussi mon doudou Tommy, lui aussi il bandait. Mais lui j'avais l'habitude de le voir à poil, remarquez j'aime bien le voir à poil.

Ça ne me laisse jamais indifférent, quand je le vois comme ça la queue à l'air qui se balance et qui se redresse, la mienne aussi veut faire pareil, elle tente de se relever, elle prend alors de l'importance ou au moins essaye. Elle pousse contre les barreaux de la cage, et là ça devient inconfortable. Rien ne se voit, même si je suis à poil on ne voit presque rien mais moi je vous jure que je le ressent, et c'est pas vraiment agréable.

Les scènes se suivaient, on finissait par boucler la prise de vue de la journée. Là c'était la détente.

Tommy venait vers moi, il était nu et magnifique, il venait de se faire défoncer le cul, j'aurais aimé être à sa place. Il me prenait dans ses bras et m'embrassait. Un peu taquin il me caressait doucement les couilles et finissait par me les tripoter au travers de mon pantalon.

J'ai un peu regretté de ne pas avoir mis de sous vêtements à ce moment.

Avec l'équipe de production, le cameraman, le scénariste, le producteur, le réalisateur, le … Oui enfin les deux boss, eux aussi faisaient plusieurs choses à la fois. En fait si on regarde de près, il y avait surtout des acteurs, aussi quand il n'étaient pas devant la caméra ils étaient derrière. Et ils participaient aussi au tournage.

Le soir on se retrouvait dans une auberge. On était tous très occupés, on n'allait pas en plus faire la cuisine.

Le soir mon doudou ne m'a pas fait l'amour, il avait travaillé toute la journée et il était fatigué, moi j'ai donc fait ceinture, je me suis blotti contre lui, tout contre lui. Ma queue protestait dans sa cage, ça commençait à faire long, j'étais dans cet état depuis le début de la matinée.

J'ai finalement très mal dormi.

Le lendemain matin c'était la scène avec Tanguy et David. Tanguy jouait le rôle du valet de chambre et David celui du client de l'hôtel. Il me semble que le film parlait d'un hôtel, mais vous savez avec ces films il ne faut surtout pas proposer une histoire trop compliquée, donc on restait dans le vide …

Le corps magnifique de David apparaissait sous les draps, il bougeait lentement, il se retournait et se retrouvait allongé sur le dos. Dans les dernière secondes de son sommeil il devait faire un rêve très agréable, il se caressait, repoussait doucement le drap et laissait apparaître une très belle bite en érection.

Ah érection du matin … Vous savez moi j'ai un peu oublié … Je devrais plutôt dire, dans mon cas, frustration du matin !

Il était vraiment beau et avec la nuit que j'avais passé ma queue n'attendait que ça pour se réveiller et pour protester tout ce qu'elle pouvait.

Les rideaux étaient fermés et c'était une lumière tamisée qui éclairait la scène. David n'ouvrait pas les yeux, il n'essayait même pas. Il se caressait le torse, sa mains descendait jusqu'à son sexe, il se grattait distraitement les couilles et se caressait longuement la queue, longuement, oui, parce qu'elle était longue.

La porte s'ouvrait doucement, un plateau à roulette entrait, il était poussé par le garçon d'étage, ou valet de chambre, les auteurs n'avaient pas réussi à se mettre d'accord.

Tanguy était très bel homme lui aussi, on voyait une grosse bosse très prometteuse entre ses cuisses, l'étoffe du tissus semblait très fine et la forme de son gland apparaissait très clairement.

Il approchait du lit, se caressait la queue au travers de son pantalon puis allait ouvrir les rideaux. La lumière envahissait la chambre et David posait sa main devant ses yeux et gémissait.

Il poussait comme une plainte, une longue plaine. C'est alors que Tanguy s'approchait du lit, il regardait du haut de son mètre quatre vingt le client qui était allongé entièrement nu sur le dos, puis sans rien demander se penchait sur lui. Il se penchait sur son sexe. David bandait déjà, vous savez, ça fait souvent ça le matin. Tanguy lui prenait la queue dans la bouche avec une grande tendresse.

D'abord le gland, lentement, en prenant bien son temps Tanguy lui caressait le gland avec sa langue, il y mettait surtout de la douceur, beaucoup de douceur et imperceptiblement la queue de David entrait un peu plus profond à chaque fois que la langue de Tanguy passait et glissait sur cette partie particulièrement sensible du corps de David.

David gémissait, il caressait les cheveux de Tanguy et appuyait sur sa tête avec douceur. Tout était dans la douceur, dans la lenteur des mouvements, des caresses. Tout était dans le plaisir que l'un donnait et que l'autre recevait.

La queue de David disparaissait totalement dans la gorge de Tanguy. David réagissait et se contractait sous le plaisir que donnait cette caresse. Cette caresse oui, cette caresse de la langue de l'un sur le gland de l'autre.

Tanguy relevait la tête, il laissait réapparaître la bite du client puis le masturbait doucement. Avec la main il lui caressait le gland, il refermait fermement la main autour de la queue et il la massait avec autant de fermeté, de force que de douceur.

David se laissait faire, il savait apprécier et affichait sur son visage un sourire béat. Il s'installait confortablement, se glissait un oreiller sous la tête et regardait Tanguy.

Tanguy ne se laissait pas distraire et continuait à s'activer. Il baissait la tête et la relevait. Quand il la baissait, la queue de David disparaissait, quand il la relevait il laissait apparaître une très belle queue. David était très bien proportionné, il avait une belle queue bien longue, bien large.

Son gland brillait, il avait un gros gland bien lisse, qui semblait tellement doux et fragile, la peau très fine à cette endroit de son corps semblait sous tension et donnait envie, on avait envie de le sucer mais on était en plein boulot et seul Tanguy avait le droit d'en profiter. Seul Tanguy avait le droit de s'amuser avec ce très beau jouet.

C'est vrai qu'il faisait envie avec sa grosse queue.

Je regardais ça de loin, et je vous jure, il n'aurait pas fallu insister bien longtemps pour que je me la prenne dans le cul. Ça faisait deux jours que le tournage avait commencé, deux jours que je pouvais regarder et deux jours que je n'avait droit à rien. A peine un petit câlin la veille au soir dans les bras de mon doudou.

Vous imaginez que ça se passe comment le tournage d'un film porno ?

Et bien non. Dans le porno, le sexe, c'est le boulot et là on bossait. Les deux acteurs étaient concentrés sur leur travail, il n'était pas question d'éjaculer, enfin pas avant le bosse ne le demande.

Oui bon, ça la théorie, dans la pratique ça ne marche pas toujours comme on voudrait. Et moi je n'était pas devant la caméra. Moi j'étais un peu comme un spectateur.

Un spectateur en manque, un spectateur qui n'avait qu'une seule envie, se faire défoncer le cul. Bein oui quoi, je suis sûr que vous me comprenez, juste un tout petit câlin la veille et c'est tout. La queue dans une cage qui avait diminué en taille depuis deux jours. Elle était de plus en plus petite cette maudite cage.

De plus pendant le boulot, là, je n'étais que spectateur.Mon tour viendrait mais quand.

Tanguy caressait le corps de David tout en continuant à le sucer. Une main glissait sur le torse de David puis c'étaient les lèvres de Tanguy qui glissaient sur tout le corps de son client.

Là David, s'effondrait sous son poids sur le lit. Les bras en croix il était aux anges. Il gémissait de plaisir, sauf bien sûr quand les lèvres de l'un rencontraient les lèvres de l'autre. Tanguy embrassait avec beaucoup de chaleur les lèvres de David.

A ce moment, les mains de Tanguy continuaient à glisser sur le corps de David. Une en particulier continuait à lui caresser les sexe et à lui tripoter les couilles. David se laissait faire.

Tanguy de nouveau embrassait le torse de David, avec ses lèvres, avec le bout de sa langue, avec beaucoup de tendresse. David bandait avec fermeté, sa bite se relevait et se plaquait contre son ventre avec force.

Tanguy revenait et de nouveau la prenait dans sa bouche, de nouveau elle entrait et ressortait de sa bouche, un peu plus profond on la devinait qui devait s'écraser au fond de la gorge et on croyait apercevoir le cou qui devait gonfler quand elle s'enfonçait bien à fond, était-ce réel ou était-ce une impression. C'était difficile à dire.

Les mouvements devenaient plus rapides, David relevait son bassin et donnait à Tanguy des coups de bassin dans la figure, des coups de bite maintenant violents, dans la gorge.

Tanguy encaissait. J'étais en transe !

Mais vous connaissez tous ça, il faut savoir rester professionnel. Et je suis un pro.

J'ai été héroïque !

J'ai résisté, je n'ai pas tremblé quand je tenais la perche ou quand je dirigeais un projecteur, on en avait un petit …

Le réalisateur faisait un signe et les deux acteurs le lâchaient. David relevait son bassin de plus en plus vite, de plus en plus violemment. Il appuyait en même temps sur la tête de Tanguy, l'obligeant ainsi à bien avaler sa queue. Il savait faire ça bien le beau Tanguy.

Il encaissait il savait bien montrer le plaisir de recevoir la semence de son camarade. David jouissait et le faisait savoir. Il éjaculait et Tanguy savait relever la tête pour que la caméra puisse filmer le détail.

Tanguy fermait les yeux et se mettait juste en face du jet. Il recevait plusieurs giclées de sperme épais et appétissant.

J'ai bien failli défaillir à cet instant mais là encore je suis resté héroïque. Je n'ai pas bronché. Ma queue me faisait presque mal, elle protestait et malgré le temps, malgré les mois qui s'étaient écoulés depuis que je portais ce dispositif, ma queue n'avait toujours pas renoncé.

Il n'était pas rare que je médite sur ma situation. Je savais sans vouloir en être véritablement conscient que je ne le retirerais probablement jamais.

Dans mon milieu, la clé est donnée, à la femme quand le porteur se marie. En règle générale elle la donne à son confesseur qui la garde jusqu'au moment ou …

En fait … souvent jamais !



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast