Julia et Lena (2eme partie) - histoire érotique

Néanmoins, les muscles de son corps se sont raidis. La jeune femme n’a pas compris. Elle était avec sa sexfriend, son amie. Et là… Julia, elle, a capté tout de suite que sa copine de jeux lesbiens avait du mal à se libérer. Ça l’a étonnée. D’habitude, Lena n’était pas la dernière pour coquiner. Julia n’a reculé devant rien et elle a pris les devants. Qui plus est dans ce contexte où elle avait envie de Lena.



– Tu es nerveuse ?

– Hmm… Un petit peu.



Julia a posé ses mains sur le haut du buste de sa partenaire.



– T’inquiètes pas.



Julia ne résistait pas à l’appel de toucher cette brunette qu’elle désirait.



– Je vais tout faire pour que tu aimes ce moment, Lena.



Ni une, ni deux, la jolie rousse s’est mise à masser le cou, la nuque et les épaules de Lena.


De fil en aiguille, Julia a trouvé les mots, les baisers et les caresses justes afin de permettre à Lena de savourer du mieux possible ce moment intime et sensuel qu’elles partageaient toutes les deux. La sensualité de la jeune rouquine n’en a été que plus débridée. Inutile de préciser qu’elle s’en est donnée à cœur joie. Elle a débranché la partie consciente de son cerveau et n’a écouté que ses désirs les moins assouvis, ses lubies les plus pressantes et intenses. Julia s’est faite joueuse et séductrice. Charmeuse et tentatrice. Elle n’a laissé aucune chance à sa consœur étudiante. Dès le départ, ça en est fait de Lena. Lena a plié… et Lena a rompu. Son amie rousse s’est donnée les moyens pour la séduire au sens de la faire sortir du droit chemin. Les yeux dans les yeux, Julia a dit à Lena qu’elle a de beaux yeux bleus. Poitrine contre dos, Julia a dit à Lena qu’elle a la peau douce. Son visage dans le cou de Lena, Julia lui a dit que le parfum de son corps est exquis. En réalité, Julia avait le diable au corps. C’en était fait d’elle, aussi. De toute façon, c’est clair, net et précis : Julia n’avait d’yeux que pour Lena quand les deux jeunes femmes se retrouvaient.


De fil en aiguille, Lena a lâché du lest. Sa peau s’est couverte de chair de poule tant les attentions de son amie lui faisaient quelque chose et la mettaient sens dessus dessous. Elle a succombé aux coups de langue de Julia sur sa gorge et dans son cou, à ses petits baisers sur ses joues ainsi qu’à ses succions sur le lobe de ses oreilles.


Curieuse de ce corps qu’elle a mis à nu petite touche par petite touche, Julia a été songeuse et s’est demandée ce qu’il pouvait bien se passer dans la tête de Lena pendant qu’elle s’occupait d’elle. La jeune brunette était sa chasse gardée et Julia avait bien l’intention de lui faire oublier la fac et les cours, le temps de leurs câlins. Ça a été ainsi que l’émoustillante Julia a abaissé les bretelles du soutien-gorge en dentelle blanche de sa coquine de copine. Lentement, les bretelles ont glissé le long des bras de Lena. L’étape suivante, ça a été que Julia a libéré les deux jolis petits seins des bonnets de tissu qui les retenaient prisonniers. Une fois dénudés, Julia les a pris délicatement dans le creux de ses mains. Ce contact a fait fondre Lena et ça a eu aussi pour conséquence de la faire soupirer.


Julia les a empaumés et pressés l’un contre l’autre, ces deux petits melons tout mignons qui font que Lena est la femme qu’elle est. Chaque fois que la rousse les voit, ce n’est pas compliqué : il faut qu’elle les touche, qu’elle les caresse. Qu’elle les empaume, qu’elle les empoigne. Qu’elle en titille les tétons, qu’elle joue avec, qu’elle les pince. Lena allongée confortablement, Julia n’a pas résisté à l’idée…et à l’envie de les goûter, ces beaux seins. Elle s’en est… délectée.


Lena a commencé à dire oui au plaisir tant c’était… bon, le plaisir que Julia lui procurait. La jeune femme savait s’y prendre en matière de baisers, de coups de langue et de succions. Lena a fermé les yeux et s’est abandonnée. La couette du lit de Julia était chaude, juste ce qu’il fallait. Elle était fraîche et sentait bon la lessive à la lavande. Elle était douce au toucher et confortable. C’était agréable. C’était parfait. L’étudiante brune y était bien, allongée sur le dos. Si on y combinait la sensualité avec laquelle Julia a honoré son corps tout entier, Lena ne pouvait qu’être à l’aise et se sentir comme au paradis. Ses lèvres et sa langue sur un sein, Julia a laissé carte blanche à sa main droite pour s’occuper de l’autre sein. La bouche et les doigts de la rousse ont fait chavirer la brune. Les yeux fermés et les lèvres entrouvertes, Lena a exprimé crescendo le plaisir qu’elle avait.


Julia a été subjuguée par la beauté et la grâce de ce qu’elle a eu sous les yeux. Elle en a été bouche bée.


Ni une, ni deux, Julia s’est provisoirement détachée de l’étreinte qu’elle partageait avec son amie et s’est relevée mais que de très peu. Ça n’a été que pour retirer la chemisette blanche qu’elle portait. Là, Lena ne pouvait que voir la parure de lingerie en dentelle rouge bordeaux dont sa copine rousse s’était vêtue, à savoir le soutien-gorge et la culotte assortie. Si Julia a fait ça, c’est parce qu’elle savait qu’elle ferait mouche et que Lena ne résisterait pas à l’appel de ses tout petits seins. C’est ce qu’il s’est passé. Julia s’est laissée embrasser à son tour, puis toucher et enfin caresser.