Julie - Une nouvelle vie: Alex (Partie 17)

- Par l'auteur HDS Silveradd -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Julie - Une nouvelle vie: Alex (Partie 17) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Julie - Une nouvelle vie: Alex (Partie 17)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cette première soirée dans son appartement aura été un étalage de sexe et de perversion ultime pour Julie. Les trois bites de ses hommes auront laissé notre petite asiatique dans un état! Double anale, double vaginale, voir même une triple anale. Rien ne lui a été épargné, pour son plus grand bonheur d'ailleurs. Le réveil, lui, s'annonce beaucoup moins glamour. L'adolescente a passé sa nuit pliée en deux sur le canapé, scène improvisée de ses ébats, vêtue de sa guêpière, enserrée dans ses résilles, et chaussée de ses stilettos à plateforme. C'est ainsi qu'elle s'est endormie, couverte de sueur et de foutre puant.

Les rayons du soleil se promènent chaleureusement sur la peau douce de Julie. La jeune fille sort doucement de sa torpeur et se réveille petit à petit, mais elle ne peut pas profiter de la douceur de son oreiller, ou de la chaleur de sa couette. Seules sont présents les douleurs, les courbatures, et le cul en feu, résultats de sa soirée de débauche.

Les courbatures dans les cuisses et les épaules à chevaucher ses mâles dans des positions infernales, les douleurs dans la mâchoire à sucer les trois grosses queues et les vider à plusieurs reprises. Quant à son anus; "Putain qu'est-ce qu'ils m'ont mis dans le cul, les salauds!". Ils l'ont en effet bien débourrée, mais ils l'ont aussi bien fait jouir. Jusqu'où sa libido va-t-elle la mener? Qu'est-ce qu'ils vont bien pouvoir lui faire faire?

Julie se perd dans ses rêveries encore quelques instants, elle voudrait se faire un peu de bien pour attaquer la journée. Elle descend ses doigts vers son sexe ... "BERK, putain qu'est-ce que je suis crade!" Elle se sent tout à coup poisseuse, sa chatte l'irrite, son cul la brûle, le foutre séché lui tire la peau du visage, ses cheveux sont collés par différents fluides corporels. "Bon allez ma fille, à la douche!"

Elle se déchausse, se rend à la salle de bain et fouille dans ses affaires, "BINGO!" Heureusement que sa mère a eu la bonne idée de lui faire le plein de gels extra doux et apaisant. Avec ça elle va pouvoir se faire une bonne toilette intime avant de retrouver la douceur de son savon de douche préféré. Elle prend bien son temps sous la douche et se soulage au mieux les zones irritées et déformées par ses activités de la veille.

Une fois qu'elle a retrouvé un peu de fraîcheur, les dernières douleurs s'estompent sous l'effet calmant d'une bonne dose de crème hydratante sur sa pastille encore sensible. Pour finir, un petit moment de plaisir personnel grâce à son lait corporel parfumé qu'elle étale voluptueusement sur sa peau. Elle s'emmaillotte enfin dans une serviette de bain qu'elle noue au-dessus de sa poitrine généreuse, et décide de laisser sécher à l'air libre ses long cheveux noirs.

En traversant le couloir, elle s'assure que son père dort toujours profondément, avant de se rendre dans le salon pour y faire un grand rangement. Entre les odeurs nauséabondes de luxure, de sexe, de sueur, et les relents de pizzas froides, elle a pas mal de boulot. Elle démarre un café, ouvre en grand les fenêtres donnant sur la rue, et s'affaire à tout ranger, remettant régulièrement en place la serviette glissante.

Alors qu'elle met les dernières touches de ménages, penchée sur la table basse, dos à la fenêtre, elle est surprise par un sifflement provenant de ... "La rue? Qu'est-ce que ... ?" Elle se retourne et tombe nez à nez avec un groupe de jeunes hommes agglutinés à la fenêtre de l'immeuble d'en face. En bonne allumeuse, elle leur fait un petit sourire, une bise et referme sa fenêtre.

Elle se dirige ensuite de l'autre côté de la pièce récupérer la thermos de café sur le plan de travail. Cet appartement est bien équipé, elle s'y sent déjà bien. Quand elle revient vers le canapé, elle aperçoit son père sortir de la chambre, la tronche dans le cul, décoiffé, uniquement vêtu de son caleçon, la trique matinale bien apparente.

-Bonjour papa, ça va?

-La tête en vrac mais ça va! Bonne idée le café.

Il s'affale dans le canapé, théâtre de leurs dépravation incestueuse il y a seulement quelques heures. Pimpante et le pied léger, Julie sort un mug et vient le servir sur la table basse. Eric la matte du coin de l'œil dans sa serviette de bains. "Elle est quand même sacrément bonne cette petite pute!" Sa gaule reprend de la vigueur, ce qui n'échappe pas à sa fille. Julie s'assoit à côté de son père manifestement peu bavard ce matin. Elle lui boufferait bien la bite, mais elle se les gèle dans son petit bout de coton trempé.

Elle se serre tout de même un café et s'installe, calée dans le fond du sofa, les pieds appuyés sur le bord de la table. Blottie dans sa serviette, les mains sur le mug pour se réchauffer, Julie décide d'aller s’habiller maintenant que son père n'occupe plus la chambre. Elle s'éclipse sans un mot laissant son père à son décuvage, et fouille dans ses derniers achats pour y prendre les vêtements et sandales qu'elle décide de porter, puis elle file dans la salle de bains.

Coquette, elle se coiffe et laisse ses cheveux noirs lâchés sur les épaules. Elle se maquille légèrement avec un peu de fond de teint et de blush pour masquer la fatigue de la veille. Elle se crée un regard de biche avec un trait d'eyeliner pour entourer ses beaux yeux en amande, beaucoup de mascara noir pour allonger ses cils au maximum et du fard à paupière rose et blanc. Elle fouille dans sa trousse à maquillage et retrouve une barrette rose qu'elle met dans ses cheveux pour dégager légèrement son visage côté gauche. Elle met la touche finale avec un gloss rose clair, donnant un effet mouillé à ses lèvres pulpeuses.

Satisfaite, elle accroche sa serviette et passe ses vêtements. En guise de sous-vêtements, elle choisit un tout petit string blanc tout en satin, aussi bien pour le minuscule triangle qui cache à peine son pubis, que pour les bouts de ficelle qui font le tour de sa taille et se cachent entre ses fesses. Pour finir, elle passe une petite robe sexy toute blanche à fines bretelles avec un décolleté balconnet emprisonnant tant bien que mal sa lourde poitrine. Déjà courte, la robe semble l'être encore plus avec une taille posée très haut juste sous la poitrine, et soulignée par une petite dentelle laissant deviner en transparence la peau douce de son ventre plat. Évasée et fluide la robe courte cache ses petites fesses à croquer et juste quelques centimètres de ses cuisses bronzées.

Quasiment prête, Julie se pare d'une paire de sandales ouvertes à talons aiguilles. Elle ajuste les quelques brides autour de ses petits pieds et referme la boucle autour de sa cheville. Prenant un peu de recul par rapport au miroir, Julie est toute contente d'être aussi mignonne. Pour se contempler, elle fait virevolter sa robe, tournant sur elle-même sur la pointe des pieds surélevés par les petites plateformes de 3 centimètres. Pimpante et guillerette, la jeune fille sort de la salle de bains pleine d'entrain.

Elle se rend dans sa chambre récupérer son smartphone, en charge depuis la veille. "Merde, un message d'Alex, pourvu qu'il me lâche pas, faut absolument que je sorte Lilie de la merde!" <Désolé ma belle, mais j'ai une merde à gérer ce matin, je pourrai donc pas passer comme prévu.> Julie se retrouve bien embêtée pour sa copine, elle doit trouver un moyen de gérer ça aujourd’hui.

Le message date d'il y a seulement vingt minutes "Bon allez, je tente le tout pour le tout!" Elle lui répond dans la foulée <Bonjour Alex, je comprends et j'espère qu'il n'y a rien de grave. Eske j'peux passer vous voir à la place?> ... <Ouais bien sûr, tu sais où je crèche?> "Nickel, en plus il est dispo!" Julie lui répond qu'elle aimerait bien son adresse pour trouver le bon bus, et Alex lui envoie adresse et code d'entrée. "Bon ben y a plus qu'à!" Elle cherche ensuite sur l'appli des bus de la ville, puis prépare son petit sac à main rose, raccord avec la petite barrette dans ses cheveux.

Enjouée que tout se passe finalement bien, elle ne peut s'empêcher de jeter un œil à sa nouvelle collection de jouets sexuels, que son père a rapidement balancé dans un carton lorsqu'il s'est emparé de son matelas la veille. Le cœur de la jeune vicieuse accélère, un petit sourire amusé se dessine sur ses lèvres brillantes de gloss, une idée se forme dans son esprit "Et si..." Et si en bonne salope elle avait toujours sur elle un trousseau pour les petites urgences. Elle fouille dans la boîte et en sort le petit vibromasseur, la chaîne anale, le doigt chinois, le rosebud, et le tube de lubrifiant. Elle les aligne sur son lit à côté de son sac. "HUM... Tout ne rentrera pas, il va falloir faire un choix ma vieille!"

Julie prend sa décision, le tube de lubrifiant et trop volumineux, et son cul lui fait trop mal ce matin pour y enfiler son rosebud, elle emballe donc les trois autres articles, et fière d'elle, ressort de la pièce pour annoncer à son père qu'elle file chez Alex. Lorsqu'elle arrive dans le salon, Éric est subjugué par la beauté de sa fille, elle n'a plus rien à voir avec la fille studieuse et mal fringué, et pourtant elle est plus bandante que vêtue du corset dans lequel lui et les turcs ont déversés leur perversité et leur foutre la veille. Dans son attirail blanc et rose, on dirait une lolita de manga, un bonbon que l'on voudrait croquer tout cru.

-Eh ben, ma salope, viens un peu ici que papa profite un peu de toi! Lui dit-il, sa virilité gonflant dans le caleçon crade de la veille.

-J'veux bien, mais il faut que je file! Un truc à régler pour Lilie. C'est vraiment important.

-Woh woh woh! Tu peux pas te présenter devant moi, bandante à souhait, et me laisser comme ça la queue toute dure et les bourses pleines.

C'est vrai que la petite cochonne n'a d'yeux que pour l'entrejambe de son vicelard de père.

-Bon juste une pipe alors! Je me suis fait toute belle et j'ai encore le cul en feu après la dérouillée d'hier soir!

-Allez! J'vais pas faire le difficile! Viens voir papa...

Il se vautre dans le sofa, et écarte les cuisses pour accueillir la jeune nymphomane. Julie s'approche langoureusement, un doigt dans la bouche, le regard gourmand rivé dans les yeux de son paternel. Elle soulève le bas de sa robe, mais fait attention de ne pas trop en montrer, puis s'agenouille entre les jambes poilues. Elle fait vraiment lolita, avec sa barrette dans les cheveux et le chouchou qui lui entoure le poignet. Éric n'a pas assez de place dans son froc pour contenir sa virilité, il sent ses boules gonfler comme jamais, son cœur bat la chamade.

-T'es une vraie salope, tu sais? Allez bouffe-moi la queue!

-HUN! Oui, je suis ta salope... J'ai envie de ta bite, et de ton foutre bien chaud!

Elle lui touche délicatement les genoux, remonte d'une langoureuse caresse le long des adducteurs et passe ses doigts sous le tissu du caleçon. Sa main droite entre en contact avec la peau fine et douce du sexe dur comme un barre de fer, pendant que son autre main fouille les profondeurs du sous-vêtement à la recherche des énormes bourses. Ces dernières se contractent au contact de ses doigts fins.

-HUM, oui comme ça! Branle moi ma chérie!

Un frisson le parcours sur tout le corps. Il n'en peut plus d'être enfermé dans ce bout de tissu, il soulève son derrière et se débarrasse prestement de son falzar. Julie se retrouve nez à nez avec le gland gorgé de sang de son père. Les relents de fluides corporels séchés de la veille agressent son joli nez retroussé, elle ne peut retenir une grimace. Les grosses baloches en main, les doigts sur le haut du vît de chair, la petite vicieuse tente tout de même de le lécher sur toute la longueur, mais le goût est encore pire que l'odeur "Il aurait pu se laver ce porc!" Mais maintenant qu'elle est bien chauffée, il est hors de question qu'elle n'ait pas sa dose de protéines.

Reprenant la branlette, mais de la main gauche, elle se retourne, et d'un geste rapide plonge une petite cuiller dans le pot de confiture à la fraise que son père avait laissé sur la table basse. Elle s'en nappe la langue. Lorsqu'elle embouche la grosse bite de son père, le contact doux et froid de la gelée sucrée l'électrise, et Julie sent le gros membre gonflé dans sa bouche renforcé par un nouvel afflux de sang dans le membre dur.

*SLURP* *SLURP* *SLURP* *SLURP* *SLURP* Julie s'active et le pompe avec gourmandise. Elle caresse ses grosses bourses et lui titille le périnée du bout des doigts.

-Putain comme c'est bon! Suce moi bien profond salope! Oui..... HUN

Goulument et avec dextérité, Julie concentre ses efforts sur la tête du sexe raide, elle l'aspire, la lèche. Éric sent les lèvres et les joues de sa fille se serrer contre son gland. La chaleur et l'humidité de cette bouche lui procurent un plaisir à nul autre pareil. Sa salope de fille s'améliore à chaque nouvelle pipe, il est déjà sur le point d'exploser dans cette délicieuse bouche.

-AH! AH! Oui vas-y ma puce, suce moi bien! Je viens! HUN! HUN! OUF!

Il veut lui attraper la tête pour lui baiser le fond de la gorge, mais se retient, les lèvres de sa fille sont bien mieux que son œsophage. Julie sent le gland de son père gonfler sur sa langue. Elle veut sentir le foutre gluant sur sa langue, hors de question qu'il explose dans sa gorge. Elle ouvre alors la bouche, et, la langue en gouttière, lui lèche le dessous du frein tout en lui branlant la verge avec un extrême douceur. Elle veut absolument le terminer en beauté, et décide de stopper la branlette pour concentrer tous les plaisirs d'Éric sur son gland en le léchant avec douceur et gourmandise, ensuite elle arrête ses léchouilles pour reprendre la masturbation du vît de chair tendu. Elle alterne ainsi entre masturbation et léchouilles pour désarçonner son amant.

Éric est parcouru de vagues de chaleur par les différents attouchements de sa fille, et il se régale en observant la servitude de sa fille, à ses genoux, en train de lui administrer une fellation magistrale. Elle le branle en douceur, les yeux fermés, la bouche, aux magnifiques lèvres couvertes de gloss brillant, grande ouverte, et la langue tirée prête à recevoir sa dose de semence. Il ne tient plus, il sent la sève monter dans son membre durcit, il se détend un maximum.

Le goût est unique, la substance visqueuse se repend en douceur sur la fine couche de confiture qui lui couvre encore la langue. Julie se délecte, elle adore ce goût âpre mélangé à la douceur de la fraise sucrée, puis c'est l'explosion, Éric ne peut plus se retenir, et il éjacule des jets puissants de foutre gluant dans la bouche ouverte.

-Oh putain! Salope! Qu'est-ce que c'est bon! Branle moi bien! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah!

Au premier éjaculat, Julie s'active de nouveau sur la queue de son père et le fait juter dans sa bouche. Elle referme ses lèvres sur la grosse bite pour être sûre de ne pas perdre une goutte de son nectar favori. Elle aspire sur son nouveau jouet pour bien le vider, puis dans un *MOUAC* visqueux, elle libère son père et lui montre le fruit de sa traite en lui exposant sa langue noyée dans le mélange blanc et rose. Elle lui sourit, et déglutit sa dose de sperme dans un *GLUP* bruyant. Elle lui embrasse enfin le bout de la queue pour y récolter la dernière goutte et se relève.

-Bon allez papa, faut que j'y aille! J'vais être à la bourre!

Éric admire alors sa princesse s'éloigner, tortillant du cul sur ses talons, il adore voir le tissu léger révéler ses globes fessiers alternativement d'un pas sur l'autre.

Le trajet pour aller chez Alex ne fut pas aussi tranquille que Julie l'imaginait. En effet, la ville organisait aujourd'hui sa braderie annuelle, et les rues du centre où se trouve le PMU de Marco sont le théâtre d'une multitude de stands plus ou moins improvisés pour y vendre tous types d'objets. Cet événement attire un maximum de monde et la petite a du mal à se frayer un chemin dans la foule dense, avant d'atteindre le bus qui la mènerait chez celui qui, elle l'espérait, pourrait sortir sa Lilie de la merde.

Julie, dans sa tenue légère et au combien sexy, fait de nouveau l'objet de toutes les envies, jalousies et autres attouchements furtifs. Entre les regards gourmands des mecs pour ses seins soutenus de leurs triangles de tissu, les injures de leurs copines, les sifflements de tous les petits cons et autres pervers qui lui passent la main au cul à la moindre occasion. Sans compter son mini string qui était entrer dans sa chatte, frottant son clitoris à chaque pas, excitant, et gênant en même temps. Elle parvient tout de même à son arrêt de bus.

"Oh merde! Manquait plus que ça!" La foule agglutinée autour de l'abri lui rappelle son premier trajet chez le turc. "Bon allez tout va bien se passer!" Lorsque le bus arrive, elle se faufile à l'arrière, espérant trouver une place assise, mais manque de chance, elle se retrouve embarquée entre trois mecs, un barbu, un rouquin et une sorte de biker chauve, juste devant un étudiant à lunettes assis sur son strapontin. Le barbu au look hipster ne peut s'empêcher d'admirer la belle.

-Excusez-moi, je sais que ça va faire clicher, mais belle comme vous êtes, vous devez être modèle, non?

Julie n'est pas sûre de la réaction qu'elle doit avoir. On ne lui avait encore jamais fait ce genre de compliment. Elle passait complétement inaperçue jusqu'à il y a quelques jours, et depuis elle n'avait cessé de servir de jouet sexuel. Un sourire timide, le regard vers le sol, elle repasse délicatement ses cheveux derrière son oreille gauche.

-Non pas du tout! Je suis juste serveuse dans un bar...

Le barbu se présente, Alain, lui et ses potes. Jacques dit "Jacky" et Momo, sont producteurs/photographes et ils recherchent de nouveaux modèles pour leurs productions. Ils en ont marre des modèles trop classiques avec lesquels ils bossent, et cherchent de nouveaux talents.

-Si ça t'intéresse de faire une séance de shooting, on serait ravi de te recevoir. Tiens voilà notre carte, appelle-nous quand tu veux.

Il tend sa carte de visite à la jeune fille, qui ouvre son sac à main pour l'y ranger. *BOUM* *BOUM* Un dos d'âne pris un peu trop rapidement, et Alain fait tomber le petit carton au sol, entre les jambes dénudées de la belle. "OUPS! Merde!" Julie, par reflexe, fait un demi-tour et s'accroupit jambes écartées, au pied de l'étudiant assis devant elle. Sans prêter attention au jeune homme, elle ouvre ses jambes et son sac devant lui, exposant son mini string coincé entre les grandes lèvres de sa chatte, et les sextoys mal rangés dans son petit sac rose.

Le gamin n'en revient pas, une si belle gamine, qui lui rappelle les personnages de manga sur lesquels il fantasme depuis des années, s'expose et affiche un attirail de jouets sexuels, juste pour lui. Il en profite pour la snapper, le string transparent à cause de la mouille, les lèvres imberbes, les sextoys, il ne rate rien. Les trois potes, eux, observent la scène, un large sourire sur les lèvres.

-Bon, c'est pas tout ça! Nous, on descend là. Mais tu nous appelle hein?

-J'y réfléchi, j'vous tiens au courant, promis! Un photoshoot, l'idée ne lui déplait pas, elle n'y avait juste jamais pensé.

Un nouveau groupe de personne se presse dans le bus, obligeant Julie à reculer, et le jeune homme à se lever de son siège escamotable. Il n'en revient pas, une magnifique poupée asiatique aux gros nibards, collée à lui. Il sent la fente de son joli cul sur sa cuisse, le parfum de ses jolis cheveux noirs, la vue plongeante sur cette belle paire de loches. C'en est trop, il a une trique de malade. Julie sent la bosse de l'entrejambe du gamin durcir dans son dos. Elle n'a aucune idée de la taille de sa bite, mais il durcit bien.

"Oh putain, non! Pas encore!" Mais le jeune homme est trop timide pour tenter quoique ce soit. Maladroitement, il caresse le tissu de la jupe, Julie ne bouge pas. Il s'enhardit, lui soulève le bas de la robe et ses doigts entre en contact avec la peau satinée du petit cul rebondi. L'adolescente, bloquée par les autres voyageurs, accepte ce doux contact. Elle s'appuie sur la barre verticale devant elle, cambre ses reins, "Vas-y bonhomme! Régale-toi!" L'étudiant sent les fesses se soulever et s'ouvrir sur ses longs doigts. Il suit la ficelle coton du string, passe doucement sur la pastille sensible de la gamine, le long du périnée et atteint le graal; la douce vulve humide de sa nymphe. *HUN* Julie ne peut réprimer un soupir de plaisir à son contact, elle ferme les yeux et se mord la lèvre. Mais l'inexpérience de l'étudiant est flagrante, il coulisse sa phalange sur la chatte humide de cyprine, mais n'arrive pas à branler correctement la belle.

L'arrêt est maintenant proche, et Julie, déçue, se dégage de ce plouque pour se frayer un passage dans la foule. Elle sort enfin du bus, mais reste bouche bée de surprise de se retrouver dans une cité de tours et de parking maussades et ternes. Elle pensait pourtant qu'Alex était blindé de tunes. Comment est-ce qu'un mec des cités pourrait l'aider?

Elle vérifie l'adresse, et oui c'est pourtant bien ici. Le cœur prêt à exploser dans sa poitrine, elle s'engage sur le premier parking, et les premiers sifflements et autres "Putain, matez la chaudasse!" ne tardent pas à fuser autour d'elle. Il faut dire qu'elle dénote de singularité dans sa tenue de poupée de manga. Surmontant sa peur, comme elle a surmonté la triple anale de la veille, elle se rend vers un groupe hétéroclite de jeunes blancs, noirs, basanés, asiatiques et leur demande s’ils savent où elle peut trouver Alex. Étonnamment, les railleries cessent immédiatement, et presque poliment, ils se proposent de l'accompagner à sa cage d'escaliers.

Julie, très surprise de ce retournement de situation, se laisse guider par ses nouveaux "amis" jusqu'à une porte aussi délabrée que le reste de l'immeuble. Elle constate pourtant une magnifique BM décapotable, à côté de laquelle sont garées deux magnifiques motos portant le même emblème. Une des deux ressemble à un truc moche un peu rétro et sans carénages, en parfait contraste avec la grosse sportive qu'elle reconnait immédiatement, pour l'avoir vue si souvent devant chez le beau-père d'Aurélie.

Depuis quelques jours, cette marque ne manque pas de rappeler à Julie la salade gracieusement assaisonnée de foutre par les deux peintres dans l'arrière-boutique de Mr. Louis. La belle laisse ses pensées s'égarer, elle se ferait bien une bonne dose de foutre. "C'est sa faute aussi à l'autre naze à me titiller la chatte..." Elle est tirée de ses songes par un des garçons de son escorte:

-Hey princesse! C'est là! Il habite au quatrième. Appart' 404

Julie passe la porte en utilisant le code d'accès fourni par son hôte, puis s'engage dans la cage d'escalier aux relents de pisse. Elle ose à peine toucher la rembarde ou les murs tapissés de graphes obscènes tels que des bites mal dessinées, ou encore des textes très poétiques du genre "Noémie = garage à bite", ou encore "Fatou réservoir à foutre". Mais bon maintenant qu'elle est là il faut qu'elle s'assure que ce type ne les a pas mitonnés et qu'il peut l'aider à sortir sa copine de la merde.

Elle arrive devant la porte du 404 et s'apprête à sonner lorsque cette dernière s'ouvre. Julie est à moitié bousculée par une midinette. La jeune beurette, vêtue d'une robe très légère à manches longue ouvertes sur les poignets, tenue à la nuque par un ras le cou, décolletée jusqu'au nombril sur un joli 95D, cintrée à la taille par un gros ceinturon élastique, et très évasée à la base juste en dessous du pli fessier, est toute aussi surprise de la croiser. Elle l'invite à entrer, non sans la toiser de la tête aux pieds, et lui lâcher une petite remarque:

-Eh ben il est insatiable le gros...

Elle se retourne et crie dans l'appart:

-Au revoir Mr. Alex, à la semaine prochaine!

Semblant venir de bien loin dans un appartement aux apparences étriquées:

-Au revoir ma petite Yamina, toujours un plaisir!

Julie entre, et s'arrête nette, surprise par la vraie taille de ce loft. Elle a l'impression de se retrouver dans la tente d'Harry Potter, petite de l'extérieur, mais immense à l'intérieur. Il semblerait qu'il ait acheter plusieurs appartements pour les unirent en un seul et même loft. La jeune fille tente de faire connaître sa présence.

-Euuh ... Alex? ... Bonjour ... c'est Julie, l'amie de Lilie ...

Un silence mal à l'aise, puis le bruit d'une chasse d'eau. Sortant des toilettes du fond, un bibendum au sourire jovial, torse nu, et à l'énorme bedaine débordant de toutes parts autour d'un vieux short bleu flash tout droit sorti des années 80'. Il lui tend les bras, en s'approchant d'elle.

-Ma p'tite Julie, depuis le temps... Putain, la vache, mais t'es un vrai canon!!!! Qu'est-ce que t'as fait de tes baggy?

-Ben euh ... mais ...

Devant la surprise de la jeune fille, Alex réalise qu'elle ne doit pas le reconnaître. Il faut dire que la dernière fois qu'ils se sont vus, il y a trois ans, il était beaucoup moins gros.

-Oui c'est bien moi t'inquiètes! Mais viens ici, un coca peut-être?

Tous deux s'assoient autour d'un bon verre rafraîchissant et Alex raconte à Julie comment il avait perdu un peu plus de 25kg il y a quatre ans pour sa copine de l'époque. Mais, comme elle le savait déjà, il lui a appris comment il avait alors flasher sur Aurélie, larguer sa meuf, tout ça pour que, quelques mois plus tard, Lilie ne daigne même plus lui adresser la parole sans raison apparente.

-Et voilà, 35kg plus tard et une petite dépression sympa, j'ai enfin pu me retrouver et oublier ta copine. Enfin, c'est ce que je croyais jusqu'à ce que tu me dises qu'elle avait des problèmes.

"HUM ... Ça va pas être simple tout ça. Il est devenu énorme à cause de Lilie, et pourtant il a bien voulu me voir, y a peut-être un coup à jouer ... Mais avant tout ..."

-Mais dites-moi, qu'est-ce que vous faites de un trou à rat comme ça?

-HA HA HA HA HA HA ... Il éclate d'un rire incroyable, Julie reconnaît bien là ce rire unique, elle aussi aurait pu craquer sur lui à l'époque.

-Le prenez pas mal, c'est sûr que votre appart' est génial, mais v'là la zone quoi!

Alex lui explique un peu son parcours et comment grâce au bug de l'an 2000 il s'est fait une réputation et obtenu les fonds pour monter plusieurs entreprises dans les nouvelles technologies et l'internet. Puis, comment il a pu se diversifier, entre autres dans des ressources lucratives comme le porno en ligne. Il vient juste de vendre certains de ses domaines et comptait bien profiter de sa fortune toute nouvelle. Il sait très bien que les trois piliers qui font tourner le monde sont l'alcool/drogue, l'argent et le sexe, il s'est donc associé à d'anciens potes militaires qu'il a connu lorsqu'il bossait en freelance pour le renseignement français. Ils se sont réfugiés dans cette cité paumée et bien en-dessous des radars de la justice. Tous les quatre se complètent en se fournissant mutuellement, contacts à l'étranger, filles, ressources et infrastructures pour mener à bien leurs entreprises respectives.

Julie ne comprend pas tout, mais elle est maintenant rassurée, c'est bien lui qui peut avoir les moyens de racheter les rushs originaux des ébats de sa copines chez Mr. Louis. Il faut pour ça rallumer la flamme qu'il a pu avoir un jour avec la jeune brunette.

-Vous savez Alex, Lilie ne vous a jamais vraiment oublié. Elle arrêtait pas de me raconter comment elle kiffait les balades que vous faisiez avec son beau-père et elle qui s'accrochait derrière vous.

-Tu m'étonnes quand même là!

-En fait c'était juste un mauvais concours de circonstance, elle a été obligée de couper les ponts avec vous. Mais je suis sûre que vous pourriez la reconquérir aujourd'hui!

-Ouais ... c'est bien gentil de me dire ça, elle est dans la merde apparemment, et maintenant ce serait à moi la bonne poire de l'en sortir!

Julie sent la tension dans ses mâchoires alors qu'il fait ces commentaires. Elle doit le calmer avant de tout faire capoter.

-Non non, pas du tout, elle sait même pas que je suis venu vous voir.

Et Julie lui explique alors, en édulcorant un peu la chose, comment elles se sont faites "piéger" par Mr. Louis et comment ce dernier exploitait les rushs pour monter des vidéos pornos qu'il revend à ses potes. Heureusement, il n'a pas assez de matière en ce qui concerne sa copine. Elle lui détaille ensuite son plan, et comment s’il rachetait les rushs, il pourrait briller aux yeux de la belle, et pourquoi pas, reprendre une relation avec elle.

Alex, dubitatif, semble soupeser ses options. Après quelques instants de silence, qui semblent durer des heures pour Julie, ils tombent tous les deux d'accord. Il faut faire quelque chose pour Aurélie, et Julie donne tous les détails sur les opérations de Mr. Louis.

-Merci encore Alex, vous êtes vraiment un type chouette. Je comprends pourquoi Lilie avait flasher sur vous.

-T'es mignonne.

-Par contre y va pt'ête falloir que j'y aille, je bosse demain.

-Je vais te raccompagner, c'est plus sûr. Tu aimes la moto?

-Euh, j'ai jamais essayé et je suis pas équipée.

De ce que lui avait raconté Aurélie, monter avec Alex était un vrai kiffe. "Il est hyper doux et les vibrations de l'engin ..." Elle avait laissé la phrase en suspens.

-T'inquiètes! Y a pas une grande distance à faire et j'ai toujours le casque que j'avais acheté pour Aurélie ... Attends ...

Il part fouiller dans une pièce à l'étage, puis redescend, vêtu d'un jean's, T-shirt et baskets, un casque dans chaque main. Il lui tend un joli casque jet rose à bandes blanche et une paire de gants moto dans les mêmes tons. "Il est raccord en plus!" Ils descendent ensemble la cage d'escaliers puis se préparent devant la grosse sportive. Alex enfourche son magnifique engin, une S1000RR noir mat, et démarre l'énorme quatre cylindres qui rugit sous les coups de poignée. Il déplie les petits repose-pieds passagers et invite la belle à le rejoindre.

Comme si elle montait à cheval, Julie se hisse sur son pied gauche et enjambe la petite plaque de mousse couverte de cuir qui fait office de selle passager. Sa robe est trop courte pour qu'elle puisse la passer sous ses fesses, elle se retrouve donc la chatte et l'anus en contact quasi direct avec le cuir de la selle. *WOUM* *WOUM* Les vibrations se propagent sur le clitoris et jusque dans les reins la belle. "Putain, enfoiré! La vache de sensation!" Elle va quand même pas jouir sur cet engin?

Par-dessus le ronronnement du gros moteur, Alex lui donne quelques indications.

-Tu te colles à moi, OK? Et tu suis bien le mouvement! Et lorsqu'on arrive sur un dos d'âne, surtout tu soulèves ton cul, sinon ... aïlle aïlle aïlle ... OK?

-Oui ... Je crois.

C'est parti, Ils ne sont pas encore sortis du parking que Julie sent le vent s'engouffrer sous sa robe. La jupe se soulève, exposant son derrière tout rond. "Roooo, la honte!" Mais les sensations sur sa chatte et son petit trou sont trop bonnes. Elle sent sa vulve fondre littéralement sous les sollicitations de son clitoris gonflé de sang. Elle ferme les yeux et profite de ce moment. Il a intérêt à l'emmener faire des tours de moto. Lilie avait raison, quelles sensations...

Quelques minutes et quelques dos d'âne plus loin, il dépose la belle devant la cour du PMU et la salue:

-J'espère que ça t'a plu. Si tu veux refaire un tour, tu me BIP, OK?

-Direct! Merci encore, vous me tenez au courant pour Mr. Louis et Lilie?

-T'inquiètes ma douce, j'm'en occupe.

Et il part dans un vacarme de motard, petit burn pour souligner son départ. Dans la contre cour, Julie ne peut s'empêcher de vérifier sa chatte, son mini string est gaugé de mouille. "Putain le vibro de la mort!" Elle se réajuste avant de retrouver son père à l'appartement mais avant qu'elle n'arrive à son étage, elle reçoit un message ... d' "Alex? Il est déjà chez lui?" C'est une vidéo. "Merde, le con!" Il semblerait que quelqu'un les ait suivis pour filmer son cul exposé sous la robe soulevée par le vent. Un petit message l'accompagne <Julie - un petit hommage de tes nouveaux amis - ils n'ont pas pu résister à ton joli p'ti cul>.

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Texte coquin : Julie - Une nouvelle vie: Alex (Partie 17)
Histoire sexe : Une rose rouge
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