Julie - Une nouvelle vie: Julie au garage 3/3 (Partie 18)
Récit érotique écrit par Silveradd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 27 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Silveradd ont reçu un total de 233 954 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2018 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 3 845 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Julie - Une nouvelle vie: Julie au garage 3/3 (Partie 18)
Tout à coup, un bruit strident derrière elle la sort de sa bulle de jouissance <COUIIIC...> "Putain de merde..." Le grincement l'interrompt brutalement dans son plaisir, juste au moment où elle allait jouir comme une folle. Le cœur battant la chamade, paniquée, l'ado remet en place les deux triangles de tissu. Elle a tout juste le temps d'éteindre le vibro et de le cacher sous son cul quand une ombre approche de sa droite et se dessine sur son corps.
-Alors on se détend bien Juju? ... Je peux t'appeler Juju? Lui sort Jeanjean de sa voix nasillarde, les yeux fixés sur la poitrine généreuse, aux tétons hyper gonflés, de l'adolescente.
-HUM... HUM... Oui bien sûr! Toussote Julie, la bouche asséchée par sa petite séance de massage vaginal.
La pauvre Julie ne sait pas comment elle va se sortir de cette situation. La main gauche le long corps elle tente de dissimuler son vibro, et sa main droite est encore toute couverte de cyprine. Pour couronner le tout ces gros tétons gonflés distendent le fin tissu qui les couvre, le rendant encore plus transparent, faisant apparaître clairement les anneaux qui les transpercent. Du côté de sa chatte, c'est un tantinet plus facile. En relevant sa cuisse droite, elle a réussi à cacher en partie son pubis et sa chatte ouverte et trempée de mouille.
Quant au pauvre bougre, il ne peut détacher son regard des mamelons appétissants exposés devant lui dans leur petit écrin blanc. Sa bite, gonflée par des années de prise de pilules, se tend dans son jean's qu'il a troqué contre son bleu de travail. Julie, assise en contrebas de l'entrejambe du jeune homme, ne peut s'empêcher, quant à elle, de reluquer la tige de chair pulsant, contre la jambe gauche, sous le pantalon trop serré.
Elle l'imagine en train de déboutonner son falsare et lui offrir une bonne grosse bite gorgée de sperme chaud et gluant à souhait. "Mais qu'est-ce qui t'arrive ma pov' fille!" Et c'est reparti, sa chatte la grattouille. Tant pis pour Raymond, une queue est une queue, ses muqueuses vaginales se remettent à sécréter de la mouille à l'idée de se faire empaler par une bonne bite bien dure. Mais ce con gâche de nouveau son plaisir en lui offrant la main en même temps qu'une invitation inattendue:
-Viens voir, j'ai fini d'installer le film sur ta fenêtre.
"Nan mais il est sérieux lui?" La belle asiatique n'en revient pas. Ce nase a sous le nez une bombasse presque à poil et il ne pense qu'à son film opacifiant? "Mais il est vraiment con en fait!" Oubliant l'état de ses doigts encore trempés, la belle lui tend la main. Un regard interrogateur éclair un instant le visage du nigaud baraqué, alors qu'il la tire à lui.
Jugeant mal sa force, il la soulève comme un fétu de paille, et dans la précipitation, Julie manque de faire valdinguer son vibro. Lâchant la main fine de son invitée, il porte ses doigts de mécanicien à son nez pour tenter d'identifier le liquide qui les imprègne. Julie profite de la distraction pour attraper la serviette de sa main gauche, y dissimulant l'objet de son délice. Elle saisit ensuite son sac et se dirige vers la salle d'eau pour y récupérer sa robe, suivie de près par le bon vieux Jeanjean, toujours en train de renifler ses doigts.
-Dis-moi, c'est pas d'la transpiration ça!
-J't'ai jamais dit que c'en était... Lui lance-t'elle tournant les épaules et la tête de trois quart et soulignant sa remarque de son plus joli sourire et d'un petit clin d'œil.
Julie ouvre la porte de la salle de bain et tente une manœuvre complexe pour déposer la serviette, garder le vibro dans la main et le replacer dans son sac alors qu'elle attrape sa robe. Elle y parvient presque, lorsque Jeanjean lui attrape la main gauche pour la mener vers les escaliers, trop pressé de lui montrer son travail. Ce qui la contraint à laisser le petit appareil dans la serviette. "Pourvu que personne ne le trouve avant que je puisse le récupérer!"
Le grand dadet, apparemment inconscient de sa propre force, et de la différence entre ses pas et ceux de la petite asiatique, la tire derrière lui. La jeune fille tente de tenir la cadence, et se faisant met de nouveau en spectacle le balancement de ses grosses mamelles à peine soutenues par le soutien gorge qui manque de se déloger à chaque pas. "Heureusement que je suis montée pieds nus, je me serais sûrement tordu une cheville avec cet animal!" De sa main libre, elle plaque sa petite robe et son sac à main sur sa poitrine pour éviter d'arriver les seins nus en bas des marches.
Ils entrent dans la chambre et Jeanjean lui présente son travail. De ce qu'elle en voit, Julie est impressionnée, on ne voit presque plus l'extérieur, et étonnamment une douce lumière envahit la pièce.
-Alors je suis désolé, mais j'ai voulu te mettre une prise sous la fenêtre, tu vois, là? Comme ça si tu veux charger ton phone et tout... J'avais même bougé ta valise à chaussures pour pas la salir, mais j'avais oublier que l'paternel avait juste fait une cloison de s'côté. Du coup en perçant avec la scie cloche j'ai fait un trou vers le dehors. J'ai r'mis l'bout d'plâtre tu vois?
Il lui montre en effet qu'un disque de plusieurs couches plâtre-polystyrène-PVC de 6-7cm de diamètre se déloge de la cloison à quelques centimètre en dessous de la fenêtre, et un peu moins d'un mètre du sol.
-S'te plait le dit pas au vieux! Si on le remet comme ça... Il le remet en place. On voit même plus que j'ai fait une connerie.
Touchée par la naïveté de ce grand sifflet, Julie lui fait un sourire et lui propose même de mettre le fauteuil devant pour encore mieux cacher sa faute. Il la remercie, et s'excuse encore mille fois pour sa bêtise. "Décidément un grand benêt apparemment bien gâté par la nature, je vais peut-être bien me plaire ici." Il la quitte alors pour se rendre en ville mais fait une pause devant les escaliers menant à la terrasse, il cherche apparemment quelque chose dans ses poches.
Il disparaît dans les escaliers pour redescendre quelques instants plus tard, son portefeuille à la main, et sortir par l'atelier. La petite remarque qu'il n'arrête pas de se sentir les doigts. "S'il savait le pauvre, il m'aurait surement sauté à l'heure qu'il est!" Revenant à la réalité, l'adolescente doit à tout prix remonter chercher son vibro dans la salle de bain,. Mis alors qu'elle s'apprête à sortir dans sa chambre, elle aperçoit Mr. Maurice sortir de son bureau pour lui aussi monter sur la terrasse. La petite épie la porte et le voit redescendre quelques minutes plus tard, un tas de serviettes en boule à la main, grommelant un truc inaudible.
Le sérieux de la situation la rattrape. Inquiète, elle se précipite sur la terrasse et dans la salle d'eau. "Merde! Merde! Merde!" La serviette qu'elle avait laissé en boule a disparu, remplacée par une nouvelle, toute propre et bien pliée. En désespoir de cause, elle fouille tout de même la pièce avec l'espoir que son vibro soit tombé à terre. "HUM... Ça aurait été trop beau!" Aucune trace du petit jouet sexuel, et impossible de savoir qui du père ou du fils a pu le trouver. La jeune fille redescend en douceur, histoire de ne pas alerter le propriétaire, puis retourne dans sa chambre, elle ne va quand même pas aller demander au vieux s'il a trouver son vibro?
Comment faire? Dépitée, adossée à la porte de sa chambre, la jeune fille tente de résumer la situation dans sa tête, le grand Jeanjean peut très bien l'avoir vue se branler, et aura précipiter le retour dans la chambre. Mais bon c'est un peu tiré par les cheveux vu le QI du bonhomme. Comment savoir si Mr. Maurice a trouvé l'objet du délit? Elle se met à imaginer le vieux sentir le petit objet en imaginant la jeune asiatique se branler. Cette simple pensée suffit à déclencher un fourmillement dans le ventre de la belle nymphomane. Et s'il était allé rejoindre ce vicelard de Raymond?
"Raymond..." Est-ce que le gros routier fantasme sur elle en matant des vidéos pornos sur la couchette de son bahut, la queue à la main. À cette pensée, la chatte de Julie la chauffe, une goutte de cyprine perle sur la ficelle du string, prisonnière de sa vulve, et coule le long de sa cuisse. Elle n'en peut plus, il lui faut une queue, et l'autre salaud qui l'a interrompue. Ses doigts se remettent en mouvement, la main gauche libère un téton en érection, et la droite fouille adroitement son minou lubrifié de mouille.
"HUN... Nan mais faut que j'arrête mon délire là! C'est pas possible ma fille!" L'adolescente abandonne sa branlette, et essaye d'oublier le gros sadique en rangeant ses vêtements et en organisant sa chambre. Elle va passer une bonne heure et demi à ranger et nettoyer la pièce et la rendre un peu plus vivable pour une jeune fille. Sa collection de mini shorts, ses hauts courts et décolletés, ses micro jupes, tout trouve sa place dans la commode.
Elle range ensuite sa collection de chaussures, les plateformes transparentes à talons aiguilles que son père lui a offert, les sandales à bout rond qu'elle portait lors de sa première double anale avec les turcs, etc... Tous ces souvenirs rappellent de nouveau le gros chauffeur à sa mémoire, et lui titillent la chatte. Pour couronner le tout, sa micro robe est toujours sur son lit aux côtés de la grosse valise contenant encore sa collection de sextoys. Elle ne tient plus, elle fouille la malle à la recherche de son gode à manche.
"Mais attend... Qu'est-ce que c'est que ce merdier?" Le compartiment où sont rangés ses jouets a été fouillé, elle en est certaine. Les gros godes ne sont plus au-dessus de la pile, son chapelet anal est en bordel, les masselottes ne sont plus avec leurs pinces... "Putain! Putain! Putain! Ce con a fouiller mes affaires, je vais avoir l'air fin maintenant!" L'adolescente ne sait pas trop comment réagir, si ce n'est qu'elle n'a plus vraiment besoin de cacher sa collection. Elle ne va pas l'afficher aussi ouvertement que chez Marco ou Alex, mais elle n'a pas non plus besoin de les laisser dans sa valise. Ils seront plus facile d'accès dans un tiroir de la commode.
Une fois tous ses jouets, ses chaussures et ses vêtements rangés, elle met de côté ses deux valises et contemple son œuvre. Elle est plutôt satisfaite! Ne reste plus que sa micro robe encore sur son lit aux côtés de son sac à main. La petite ouvre son sac, en sort son étrange collier et le chapelet de boules anales. Elle y trouve aussi la note du repas de Raymond et relit l'invitation.
Après vérification de l'heure sur son smartphone, elle se fait la remarque que le goujat est encore là pour deux bonnes heures. Et après avoir rangé toutes ses fringues, une constatation se manifeste en elle, la réalisation que la fin août est là, que Septembre approche et qu'elle n'a que des fringues d'été, si courtes et échancrées qu'elle ne passera pas l'automne et encore moins l'hiver à venir. Et ce n'est pas avec ce qu'elle a sur son compte en banque qu'elle va pouvoir s'habiller en conséquence.
De plus Mr. Maurice lui a bien stipulé que si elle avait besoin de tunes, ce n'est pas lui qui pourrait lui en donner. "Ben je crois que t'as pas beaucoup de choix ma vieille!" Et ce porc de Raymond est apparemment prêt à payer pour la revoir avant son départ. L'idée de faire la pute ne l'enchante guère, mais apparemment elle n'est plus bonne qu'à ça et a faire le service, et c'est pas avec juste un Bac en poche qu'elle va pouvoir trouver un boulot.
En plus, elle n'a toujours pas d'inscription confirmer pour la rentrée. "Eh ben ma vieille! Te voilà dans de beaux draps!" Elle se résigne donc à ôter le micro bikini et se rhabille pour aller voir si elle peut soulager un pauvre routier dans le besoin. Elle remet en place les chaines du collier, mais les appendices percées sont tellement sensibles que son corps est parcouru de frissons au moindre mouvement des chaines. Même supplice pour remettre en place les boules de son chapelet anal. Elle a vraiment besoin d'une bonne baise, alors avec un gros pervers ou un grand nigaud...
Elle attache ses cheveux très haut sur le crâne, et se remaquille en bonne pute, des tons roses et blancs sur les paupières. Elle insiste ensuite sur le mascara pour donner un beau volume à ses cils, tapisse ses lèvres d'un joli rose brillant qu'elle souligne au crayon sur le pourtour pour les rendre encore plus pulpeuses et gourmandes. Elle se redessine les pommettes à la poudre et d'un coup de crayon accentue le circonflexe très fin de ses sourcils épilés. Elle sort enfin les jolis escarpins cristal de son tiroir et en attache les brides sur ses chevilles délicates.
"Voilà qui devrait faire l'affaire!" Elle sort de sa chambre et se rend dans le restaurant pour accéder au parking, la chatte en feu et son petit trou impatient de se faire défoncer. Au tintement de la cloche, Mr. Maurice sort en trombe de son bureau, et l'interpelle avant qu'elle ne sorte.
-Hey p'ti cul! Lui lance-t'il, la déshabillant d'un regard différent de celui avec lequel il la reçut quelques heures plus tôt. J'ai refait un peu mes comptes depuis tout à l'heure, et si tu es prête à faire un peu de ménage à droite à gauche, je peux te donner 40€ de la semaine. Bon je sais que c'est pas grand chose, mais ça te prendrait pas plus d'une heure par jour de faire un peu la poussière ici et dans la salle du haut.
-Vous voulez dire...
-Euh, oui, j'voulais dire la piaule de Jeanjean, tu sais? À côté de la salle d'eau. Ça m'dépan'rait pas mal, quoi!
"Putain, 40 balles, il est pas chier lui! Mais bon ce serait toujours ça!" Elle fait mine de réfléchir avant de formuler une réponse.
-Ben je veux bien essayer et on verra! Ça vous convient?
-Ouais bien sûr! Merci ma p'tite. J'ai plus la forme de mes vingt ans, et ce nigaud fait pas beaucoup d'effort pour m'aider, tu vois?
Attendrie par le pépère, l'adolescente lui sourit avec sincérité avant de prendre poliment congé. "J'espère que l'autre enfoiré va me proposer mieux que les maigres 40€ de papy Maurice!" Dubitative, l'adolescente se rend dans le parking.
Le cœur battant la chamade dans sa poitrine, la belle est à la fois excitée et anxieuse de se retrouver seule avec ce parfait inconnu sans aucune protection, ce moment lui rappelle sa rencontre avec le turc. Mais elle est littéralement exposée au milieu de ce terrain vague à l'orée du bois, la canopée au-dessus d'elle illumine le lieu de faisceaux de lumière enchanteurs, une magie en parfait contraste avec la froideur du parking et l'énorme semi-remorque garé sur le côté du restaurant.
Perchée sur ses talons aiguilles transparents, elle donne l'impression de flotter. Un contraste flagrant avec le rebondi de sa grosse poitrine non soutenu sous le doux drapé. Le mouvement des chaines reliées à ses piercings, et le massage des boules anales excite la jeune fille. Mais à l'approche du véhicule au nez allongé et à la cabine imposante à l'américaine, Julie hésite. L'engin est juste impressionnant avec sa semi à trois essieux.
Le chrome de la calandre lui retourne son reflet un tantinet déformé, l'intérieur de la cabine "décorée" de poster de filles à poil, une plaque affichant son prénom derrière le pare-brise, les gros pot d'échappement à la verticale derrière les portes, les gros réservoirs sous la jupe, la casquette au-dessus du pare-brise, mais pas de trace de son client. La belle passe sur la gauche du tracteur, et cherche à droite et à gauche mais à part une voiture entourée de quatre mecs, garée à l'autre bout du parking, aucune trace du routier, ni autour, ni dans la cabine. Elle s'avance alors, hésitante, en direction de la remorque, et passe la couchette.
Tout à coup elle sent une tension sur le haut de son cou, et là c'est la catastrophe. Le tissu glisse sur sa peau, et en une seconde, qui lui paraît une éternité, la robe s'efface le long de ses seins, et de son cul, pour atterrir à ses pieds. Julie pousse un cri de surprise et d'instinct fait demi tour sur elle même, couvrant seins et pubis de ses mains en croisant les jambes. Elle fait face au routier qui d'un rire sadique, atterrit lourdement devant la belle caméra à la main, il s'était caché entre la cabine et la remorque pour la surprendre et filmer la mise à nue de cette petite salope.
-HA HA HA HA HA HA HA, j'en rêve depuis tout à l'heure de celle-là!
Il lui claque la fesse droite en la contournant, admirant les belles courbes de la jeune salope.
-Allez p'tit cul, montre moi la marchandise, tu vas pas faire ta prude maintenant?
Le sadique tire doucement sur la main droite couvrant à peine la grosse poitrine, dévoilant les tétons percés. Il attrape le collier, et titille les mamelons qui se gonflent instantanément de plaisir. Il l'attire à lui par le collier et dans le même geste lui emprisonne le poignet droit qu'il bloque dans son dos en une clé de bras. La petite est plaquée contre le gros bide poilu débordant du marcel, et Raymond lui claque une pelle à l'haleine fétide, lui fouillant instantanément la bouche de sa grosse langue baveuse.
L'adolescente était bien loin d'imaginer se retrouver si vite à poil en plein air. Elle entend les voitures passer derrière le colosse poilu, elle se demande si son cri n'a pas attiré l'attention du groupe de mec à l'autre bout du parking. Mais ces pensées s'estompent lorsqu'elle sent le pieu de chair gonfler le long de sa cuisse droite.
Le gros poilu relâche la pression contre les lèvres douces de la petite chienne, et s'écarte d'elle. Il passe sa paluche droite entre ses cuisses et sans ménagement commence à lui fouiller la chatte de son majeur. Se penchant à son oreille, il lui souffle:
-Eh ben dis-moi salope, t'es déjà toute trempée! Combien ça va m'coûter de te baiser? T'es bien v'nu pour ça non?
L'esprit dans le vague de se faire doigter par cette brut, l'adolescente réalise qu'elle s'est engagée dans cette galère sans réfléchir. Elle n'a même pas penser aux tarifs qu'elle pourrait prendre. Le colosse caresse sa peau douce, et, tout en continuant à la doigter, il la contourne et passe son bras gauche sous la poitrine pour lui soupeser le sein droit, et masser son téton. Plus habituer à sauter des vieilles putes pas chères sur le bord des routes, il se régale de goûter à une gamine aussi mignonne et douce. Elle gémit doucement sous les légères vagues de plaisir qui la gagnent, et improvise une somme pour les quelques prestations qu'elle pourrait proposer:
-HUN... HUN... c'est 20€ la pipe... HUUUUN... 30€ si j'avale... HUN... 50€ la passe et... Ouuuh... AH... 60€ la sodo
-Tu t'fous d'ma gueule p'tit cul? Tu vois les mecs là-bas? Il lui fourre un deuxième doigt dans la chatte, lui attrape les joues de sa main gauche, et l'oriente en direction de la voiture toujours garée à une vingtaine de mètres d'eux. Tu vois ce mecs là-bas, ils te baiseront pas pour plus de 20 balles. Ton p'ti cul d'salope ne vaut pas plus que ça dans le coin. Alors j'te propose 30 boules et tu m'appartiens pendant une heure. À prendre ou à laisser!
Julie, les yeux dans le vague, prend conscience que le gros vicieux la présente de trois quart au groupe d'hommes penchés autour de la voiture. Mais contrairement à ce qu'elle pensait initialement, ils ne sont pas réunis pour discuter entre eux, mais plutôt en train de mâter un couple assis à l'avant du véhicule. Elle n'a pas le temps d'analyser mieux la situation, ni de réaliser que si l'un des mecs la repère ça pourrait vite dégénérer, qu'une nouvelle vague de plaisir lui parcoure le corps lorsque le gros Raymond lui branle le clito de son pouce droit.
Le routier accélère le pistonnage de la chatte détrempée, il s'imagine déjà en train de la baiser, et grâce aux pilules qu'il a acheté à Jeanjean il se voit la sauter dans tous les sens. Il faut dire que ça fait presque trois heures qu'il se branle dans sa cabine à mater des vidéos de petites asiatiques enculées, abusées, exploitées, couvertes de sperme dans des bukkake épiques, et défoncées par des queues de black démesurées. Il a bien fait attention de s'arrêter, à chaque fois, juste à la limite de l'explosion, afin d'honorer la belle d'une bonne dose de jute dont il a le secret.
Il faut dire qu'avec Jeanjean ils se lancent des défis débiles depuis qu'il fréquente régulièrement le relais à chacune de ses livraisons. Le dernier jeu en date consiste à savoir qui des deux emplira un préservatif de la plus grosse quantité de foutre. Le grand con, qui le bat à chaque fois a fini par lui avouer les techniques et les drogues qu'il utilise, et Julie va être la première victime de notre Raymond. La petite nymphomane est bien loin de se douter de ce qui l'attend, et il est bien content d'être tomber sur cette petite "SPERM ADDICT" bandante à souhait.
Soudain l'adolescente capitule, elle a besoin d'une bonne bite:
-Aaaah... HUUUUN... OK c'est bon pour 30 balles! Mais... Ouf ouf ouf...
Le routier accélère encore le va et vient dans le minou de la jeune chaudasse.
-Tu veux que j'te baise? C'est ça, hein?
-Oui! Oui!! Ouiii!!!
La gamine est sur le point de jouir, elle se mord la lèvre pour ne pas rameuter tout le quartier, et tend le bassin en avant à la rencontre de la main experte du gros vicieux. Elle se pince les nichons de désir, ça l'électrise encore plus. Elle sent la jouissance monter dans son ventre et il ne l'a pas encore sautée. Il accélère encore dans un <FOUIC FOUIC> bien humide, et au rythme endiablé. Les odeurs de mouille entourent la belle asiat'. Mais le salaud, en grand expert, interrompt la séance de branlette vaginale juste au point culminant précédent la jouissance de Julie.
La gamine est dans tous ses états! C'est la deuxième fois qu'on la prive de son plaisir. Elle veut de la bite, et se retourne face au gros poilu et s'accroupit devant lui pour attraper la queue dont le gland très gonfler apparaît dans l'entrebâillement du short. Mais la malheureuse est tirée vers le haut lorsque Raymond attrape les chainettes liées à ses mamelons, la contraignant à se relever.
-TSK TSK TSK, tu veux pas non plus que j'te baise au bord de la route?
La tête qui tourne, la chatte dégoulinant, Julie revient petit à petit à la réalité. Les mateurs à vingt mètres vont les remarquer s'ils ne bougent pas rapidement. Elle se tourne alors naturellement en direction de la cabine du tracteur pour qu'il puisse la baiser à l'abri des regards. Mais notre routier à une tout autre idée en tête.
-Non non non, ma p'tite! J'vais pas non plus dégueulasser ma couchette toute neuve pour baiser une trainée dans ton genre. En plus j'ai les burnes tellement pleines que j'risque de gicler partout.
Il ramasse la petite robe blanche et l'attache au support de son rétroviseur, puis il attrape la belle par la main et la tire vers le fond du parking, en direction d'une entrée taillée dans la végétation par de nombreux passages. La petite le suis sans résister pour attirer le moins possible l'attention, comme si une belle minette à poil trainée par un gros bonhomme poilu allait passé inaperçu.
La densité de la végétation alentour propose un bon abri, et rassure un peu Julie qui suit maintenant son client sur un chemin boisé. Ils font une dizaine de mètres et débouchent sur une aire de picnic tapissée d'une herbe très dense, et au milieu de laquelle trônent une table en bois et ses deux bancs attenants.
Sans un mot, il s'assoit sur un banc, adossé à la table, il s'accoude et écarte ses cuisses puissantes sous son gros bide. De sa main droite, il soulève le tissu de son short et Julie peut enfin admirer le morceau de chair qu'il lui dévoile.
Sa bite n'est pas encore totalement dure, malgré l'anneau pénien en silicone noir qui comprime les bourses gonflées. La petite ne se fait même pas prier, elle s'agenouille entre les jambes poilues et commence à masser le sexe entre les doigts de fée de sa main droite, caressant les grosses boules comprimées de l'autre. Elle admire les énormes veines gorgées de sang sous l'effet du petit anneau et embrasse du bout des lèvres, tout doucement, le gros gland violacé et gonflé de sang lui aussi. C'est à son tour de lui montrer ce qu'elle sait faire. Et sous la lumière chaleureuse du soleil, entourées des chants d'oiseaux et des bruits de voiture alentours, elle aspire goulument le gros sexe aux relents nauséabonds.
Raymond, qui a conservé sa caméra, filme la jeune salope qui lui bouffe la bite dans des <SLURP> humides. La chienne sait y faire, il la laisse le pomper et le masturber. Il gémit à grand râles de plaisir, même les putes, qu'il paye pourtant plus cher lors de ses voyages, ne le pompent pas avec autant d'ardeur et d'avidité. Il ne faut d'ailleurs pas longtemps à l'adolescente pour détendre sa luette et entamer la première gorge profonde qu'on n'ait jamais faite à ce gros vicieux.
-Oh oui! Putain, t'aime sucer d'la bite, espèce de p'tite pute.
Il lui plaque alors le visage dans ses poils pubiens sur le bourrelet de graisse surplombant son pubis, et continuant à filmer cette belle chienne, il L'attrape par la natte, se relève, lui inclinant la tête vers l'arrière. Il lui pilonne violemment la gorge dans un <GUAH GUAH> très bruyant et quelques instants plus tard ressort sa bite couverte de bave, un long filet pendouillant entre son gland et la bouche de la belle qui tente de reprendre sa respiration. Il lui baise la gorge une dizaine de fois, toujours avec la même violence, puis se rassoit, la bite bien dure et bien gonflée dressée fièrement et dégoulinant de bave et de glaire.
Le regard gourmand et plein de défi, la bouche maculée de bave, Julie le fixe dans les yeux et lui dit avec un sourire complice:
-T'inquiète pas mon gros, tu vas en avoir pour ton fric.
Elle se repositionne devant le vit de chair et l'emprisonne entre ses deux nibards pour le branler avec passion, avalant le gland à chaque descente dans des <FLOC FLOC> baveux. La petite est tellement experte, que malgré l'anneau et les pilules qu'il a avalé pour gagner en endurance, il est sur le point de cracher la purée. Il se dégage alors de la gamine et la redresse violemment pour la pousser en direction d'un vieux tronc sans écorce, incliné en appui sur un gros chêne. Il la place à califourchon sur le tronc, les deux grosses mamelles pendant de part et d'autre.
Julie remarque alors quatre gugus, à l'air patibulaire et sapés comme des ploucs, émerger des fourrés qui l'entoure, se branlant en matant le routier se placer derrière elle. Ils entourent le couple et Raymond demande à l'un d'eux, un type au pantalon 100% polyester, chemisette et pull sans manche, les cheveux gras plaqués sur le crâne, de les filmer. Le mec prend la caméra sans se faire prier, trop heureux de s'approcher d'une si belle salope pour faire des gros plans sur ses grosses mamelles. Il en profite même pour pincer un des tétons et secouer le sein de la belle dans tous les sens, lui arrachant un petit cri entre douleur et plaisir.
-Hey mec, c'est là qu'ça s'passe!
Raymond écarte les fesses de Julie et tire sur la petite chainette, jusqu'à apercevoir un petit bout de la boule de résine bleu écartant les sphincters striés. L'adolescente se cambre de plaisir. Le gros routier place son sexe à l'orée de la chatte bien ouverte et la pénètre d'un trait en même temps qu'il décule la pastille souple de la première boule de son chapelet. L'ado gémit de plaisir et le vieux goujat s'en donne à cœur joie de baiser la chatte étroite et gonflée de sang.
La petite asiat' prend un pied d'enfer, cette bite à l'énorme gland lui procure des sensations grisantes. Les chairs meurtries au contact du tronc et les mateurs qui se branlent autour d'elle, décuplent sa libido. La jouissance monte de nouveau dans son ventre et au creux de ses reins, et lorsque le gros routier lui retire une deuxième boule de son cul, elle hurle son plaisir, enserrant la queue qui lui pilonne la chatte dans sa gangue de chair, manquant à nouveau de faire jouir le gros poilu. Il se retire prestement pour ne pas exploser et s'écarte de la belle pour ne pas qu'elle se jette sur lui pour lui sucer la bite.
La petite reprend son souffle et fébrilement se dégage du tronc d'arbre. Les mateurs s'approchent d'elle et la caressent maladroitement. Elle s'accroupit entre les quatre et aspire leurs petites bites de plouc à tour de rôle. Raymond la laisse jouer avec les nouveaux arrivants afin de reprendre un peu ses esprits. Il n'en a pas fini avec elle.
Quelques minutes plus tard, il pousse les mateurs et relève sa chienne pour l'entrainer de nouveau vers la table. Il la plie en deux, et Julie prend tant bien que mal ses appuis, la main droite en extension sur le banc et le coude gauche en appui sur la table, alors que Raymond lui soulève la jambe droite, exposant à la caméra et aux trois autres mecs la chatte grande ouverte et les deux boules bleues oscillant à la sortie de la pastille striée. Il se tourne vers son caméraman:
-Cadre bien cette salope! Je veux qu'on voit bien ces loches qui s'balancent quand j'la saute!
Contraint de plier les genoux, le gros poilus a un peu de mal à positionner sa bite en face de la chatte gourmande. Il lui tire les cheveux pour la cambrer un maximum et d'un coup de rein la pénètre de nouveau avec violence, arrachant un râle de plaisir à l'adolescente. C'est un nouveau ballet de coups de bite et de claquements chair contre chair qui rythme les minutes qui suivent. La petite est secouée d'avant en arrière, les gros seins oscillant sous sa poitrine en rythme avec les coups de burin qu'elle encaisse.
Un des mateurs, un noir à lunette la bite toute molle dans la main s'approche de la petite pute. Mais il est vite rabroué par le routier.
-Hey mec, <CLAC CLAC> t'as goûté la marchandise <CLAC CLAC> mais si tu veux <CLAC CLAC> une part du gâteau <CLAC CLAC> tu craches l'oseille <CLAC CLAC> Pour 15 balles tu peux toucher et <CLAC CLAC> lui juter dessus <CLAC CLAC> où tu veux!
Sans se faire prier, ils sortent tous les quatres tout le fric qu'ils peuvent rassembler. Ils payent le poilu qui ne s'interrompt même pas pour encaisser l'oseille.
-HAN HAN <CLAC CLAC> Il manque des tunes <CLAC CLAC> y a même pas <CLAC CLAC> 40 balles là!
-Vas-y mec! Lui sort le noir. On n'a pas plus sur nous.
-Hey p'tite pute <CLAC CLAC> tu leur bouffes la queue pour 40? <CLAC CLAC>
-Oui HUN... HUN... Baisez moi la gorge HUN... HUN... mais HUN... HUN... la prochaine HUN... HUN... fois HUN... HUN... c'est Ooooh oui oui... 15 balles cha..a..a..cun Oui... oui... comme ça HUN... HUN... continuuuue ...
Le claquement du bide poilu contre les fesses musclées de la gamine s'accélère. Ses seins tapent contre le bois du plateau de la table à chaque coup de queue de Raymond au fond de sa chatte. Les quatre pervers se pressent autour de la petite, qui en prend pour son grade par un Raymond qui redouble de violence, et caressent ses formes douces et généreuses. Les attouchements de ces inconnus procurent beaucoup de plaisir à l'adolescente qui gémit encore plus sous les assauts de son amant.
Une nouvelle fois au bord de l'explosion, Raymond donne un grand coup de reins et s'ancre profondément dans la chatte de sa chienne. Il la tire violemment par les cheveux pour la redresser, et la soulève par les genoux. Il monte sur le banc et dépose la belle à genou sur la table mais l'empêche d'y poser les mains. Il la force à prendre appui sur le banc en contrebas. Le black présente sa bite à la belle qui l'avale goulument, les deux autres se branlant de chaque côté en lui malaxant les seins.
Raymond reprend le pilonnage de la chatte. Les cris de la belle étant maintenant étouffés, il s'en donne à cœur joie. De nouvelles vagues de jouissance pulsent dans le corps de l'adolescence lorsque les voyeurs lui titillent les nichons. Le gros poilu en profite pour lui retirer la dernière boule anale.
-HUUUUUUUUN..... HUN... HUN...
Le noir retire sa bite, un peu plus dure grâce à l'expertise de la belle dans son nouvel art de la pipe. Il cède la place à un de ses collège, un moustachu en jogging et mocassins. Il lui baise maladroitement la bouche, s'excitant comme un lapin sur le doux visage couvert de sueur et de bave. Il s'écarte à son tour et le troisième larron, un quadra presque chauve en costume bon marché, attrape le menton de la jeune fille, la forçant à lever la tête. Il se penche vers elle et lui place un doigt à la commissure des lèvres:
-Ouvre te bouche de suceuse, salope.
Julie s'exécute, et le sadique lui crache dans la bouche. Il lui pince ensuite le nez et lui fourre sa petite bite entre les lèvres. Il la baise à son tour, un souffle roque accompagnant les bruits humides de la double pénétration. Les trois acolytes, se relaient les uns les autres pour profiter des lèvres charnues de l'adolescente. La belle, subissant toujours les assauts de Raymond, réussit à prendre appui sur une main et entre deux fellation, crache dans sa main libre pour masturber le caméraman.
Le ballet des queues se poursuit, et ceux qui ne lui baisent pas la bouche, se régalent à maltraiter les obus oscillant dans le vide pour le plus grand plaisir de Julie. Lorsque tour à tour les trois pervers se vident dans la bouche et sur le visage enfantin. La petite est aux anges, la langue et le visage couverts de sperme chaud et dégoulinant.
Raymond, une nouvelle fois au bord de l'explosion, se retire de la chatte détrempée et lui écarte les lobes fessiers. Il lui lèche la pastille, et Julie tortille du cul sous les coups de langue experts. Le caméraman fait de son mieux pour cadrer le plus d'actions possible. Il fait un zoom sur le petit cul exposé lorsque le routier libère l'anus. Il monte ensuite sur la table, et appuie de toutes ses forces sur les reins de la belle pour la cambrer un maximum. Il présente son gros gland luisant contre l'anus offert et s'enfonce de tout son poids dans les sphincters, qui s'écartent au passage du pieu de chair.
-Oooooooooh putain, quel cul! T'es vraiment baisable par tous les trous espèce de p'tite chienne.
Julie accompagne la pénétration anale d'une longue plainte de plaisir, gratifiant son enculeur de la jouissance qu'il lui procure. Il se retire lentement, pour profiter au maximum des sphincters serrés de la gamine, et l'encule tout en douceur pendant quelques minutes de pur délice. La belle est aux anges et se délecte lorsque le caméraman lui baise la bouche à son tour. La petite se régale des deux bites qui l'envahissent par devant et par derrière, et aspire sur la bite pour procurer un maximum de plaisir à celui qu'elle suce. La chaleur et l'humidité de la bouche ont tôt fait de tirer une nouvelle dose de sperme des couilles du caméraman qui se vide au fond de la gorge de la belle.
Raymond quant à lui n'y tient plus, il est sur le point de jouir à son tour et il veut que le final soit fantastique, il accélère le mouvement de va et vient dans l'anus délicieux de l'adolescente. Avec précipitation, il décule la jeune asiat' et la redresse en la tirant par les cheveux. Le voyeur aux cheveux gras se recule un peu pour filmer toute la scène. Le gros poilu en short et marcel debout sur la table, se branle au-dessus de la jeune asiatique aux grosses loches à genoux devant lui le torse penché en arrière, en appui sur son bras gauche, et se branlant la chatte avec ferveur, la tête jetée en arrière et haletante de plaisir.
-Vas-y mec, approche toi, et fait moi un gros plan sur cette pute pendant que je lui jute dessus.
L'homme aux cheveux gras s'approche de la table et zoom sur le torse de la belle, cadrant le doux visage de la chienne et la bite aux grosses veines bien saillantes. Enfin, c'est l'apothéose! Dans un râle presque bestial, le gros routier crache une première dose de foutre magistrale, qui vient s'écraser dans la bouche ouverte de la belle. S'en suivent trois éjaculats tout aussi impressionnants qui viennent tapisser la poitrine opulente et il finit de se vider de cinq autres giclées un peu moins puissantes mais tout aussi volumineuses dont il tapisse copieusement le visage et les cheveux de Julie. Il finit de se vider dans la bouche de la belle qui aspire bruyamment la bite molissante comme si elle voulait en traire les dernières gouttes.
Raymond attrape la caméra et fait un dernier zoom sur la bouche ouverte et pleine de son liquide blanchâtre. Le petite se prend au jeu de la caméra et se gargarise la gorge, les bulles de sperme formant un gargouillis envoûtant. Julie joue avec le foutre visqueux, elle y tortille sa petite langue percée, puis en une déglutition bruyante avale la quantité impressionnante de foutre.
Repue, brisée, épuisée, Julie regarde les voyeurs se disperser et observe Raymond rangeant sa caméra. Elle est couverte de foutre dégoulinant sur ses cheveux, son visage et ses seins. "Merde j'ai même pas pris de lingettes, la conne, j'ai l'air fin maintenant!" Elle est sur le point de demander un coup de main à Raymond qui l'interrompt avec qu'elle ne puisse ouvrir la bouche:
-Bon alors voyons voir...
Il sort des billets de sa poche, et les rassemblent avec la monnaie récoltée auprès des voyeurs.
-Eh ben c'est pas si mal pour une première fois. 10, 20, 30, 35...
Il réfléchit un instant et lui tend trois billets roses et quelques pièces:
-Voilà ta part.
-Mais...
Julie calcule vite fait, 30€ pour Raymond et les 40€ maigrement récoltés pour les quatre pervers, elle devrait au moins se faire 70€.
-Il manque 35 balles là!
-Et ma commission? Espèce de p'tite pute ingrate! Tu t'rends compte que je viens de te trouver quatre clients faciles.
Il l'aurait baffer volontiers si elle n'était pas toute poisseuse de foutre. Au lieu de ça il se contente de partir, lui lançant tout de même:
-Au fait j'décolle dans cinq minutes, alors si tu veux récupérer tes fringues t'as plutôt intérêt à te bouger le train. HA HA HA HA HA
Et il disparaît dans les fourrés. "Mais qu'est-ce que j'ai encore fait?" Julie se relève difficilement, ses jambes ankylosées et meurtries par le bois de la table, le foutre dégoulinant sur son corps, son visage, et ses cheveux. Elle rassemble son fric, son chapelet anal, et détache son collier des trois piercings puis essaye de retrouver la sortie de la forêt. Elle entend tout à coup le vrombissement typique du démarrage d'un camion. "Le salaud, il avait dit cinq minutes! Je rêve là!"
Elle court, les seins bringuebalés dans tous les sens et du sperme giclant tout autour d'elle. Mais à l'orée du bois, c'est l'heure de la sortie des bureaux et c'est à un ballet incessant des voitures roulant sur la nationale longeant le relais routier, que doit faire face la belle en tenue d'Ève. Elle aperçoit le gros poilu au volant de son bahut, un sourire vicieux aux lèvres, sur le point de partir la robe virevoltante au vent, encore attachée au rétroviseur. Vu la quantité de ronces qui longe l'entrée du bois, elle n'a d'autre choix que de traverser la moitié du parking nue et toujours couverte de sperme.
"C'est ça, régale toi bien gros connard!" L'adolescente prend une grande inspiration et se lance en direction du camion. Dix mètres à parcourir, elle peut le faire! Huit mètres... Cinq mètres... Trois... Un... La jeune fille tend le bras et se saisit du vêtement. Mais le rétro est trop haut et le pervers se régale à la voire gigoter sur le marche-pied pour détacher le nœud.
La robe finalement en main, elle se précipite alors le long du camion pour le contourner espérant trouver refuge derrière la semi. Mais à peine en a-t'elle fait le tour que le salaud met sa machine infernale en route. "Bon tant pis, pas l'temps de réfléchir!" Elle se précipite à poil derrière le restaurant pour se rhabiller le plus vite possible et retrouver la sécurité de sa propre chambre.
Elle a encore le visage dégoulinant de foutre, et le tissu colle sur les traces de spermes en train de sécher sur sa peau, lorsqu'elle rentre dans le restaurant. La cloche trahit sa présence et Mr. Maurice sort de son bureau, juste au moment où elle ouvre la porte de l'atelier.
-Ah p'ti cul, alors où est-ce que t'avais disparu? Fait gaffe, le coin fait pas d'quartier pour les p'tis lots comme toi. L'Raymond c'est un enfant d'cœur comparé à la faune qui traine dans les parages. D'ailleurs le soir, si on ferme, c'est rapport au voisinage.
"Pourquoi est-ce qu'il me parle de Raymond? Et c'est quoi cette histoire de voisinage?" N'osant se retourner pour faire face à son patron couverte de sperme, l'adolescente se retourne de trois quarts et joue l'esquive grâce à son sourire angélique. Elle élucidera ce mystère plus tard, pour le moment elle veut juste prendre une bonne douche.
-Je suis un peu crevée là! Est-ce que ça vous dérange si je vais me laver?
-Non pas du tout! Tu fais bien com'tu veux. Ah au fait, en parlant de douche, tu peux éviter de laisser trainer les serviettes en boule. Ça a l'don d'me foutre en rogne. Déjà qu'le grand con range que dalle... D'ailleurs quand t'auras fini, j't'invite à aller visiter sa piaule, tu verras l'étendue des dégâts pour demain.
-Je suis désolée ça se reproduira plus! Et Jeanjean, il risque pas de mal le prendre si je rentre dans sa chambre sans lui demandé?
-Mouais... Non, pour mon nigaud d'fils, t'as pas à t'inquiéter, y rentrera pas avant au moins 3h00 du mat'.
Julie prend congé de Mr. Maurice et se précipite dans sa chambre, balance son maigre butin dans son sac à main accompagné de son collier et de son chapelet. Elle fouille sa commode, en sort un short en coton et un petit débardeur. Puis fonce se doucher à l'étage. Un peu mal à l'aise à l'idée de se laver la porte non verrouillée, elle relativise, une bande d'inconnu vient tout de même de la couvrir de jute. Elle récupère, sur on index, une dose de sperme coulant de son sein gauche et l'avale dans un sourire gourmand avant de refermer la porte de la salle de bain derrière elle. "Je vais peut-être me plaire ici finalement!"
-Alors on se détend bien Juju? ... Je peux t'appeler Juju? Lui sort Jeanjean de sa voix nasillarde, les yeux fixés sur la poitrine généreuse, aux tétons hyper gonflés, de l'adolescente.
-HUM... HUM... Oui bien sûr! Toussote Julie, la bouche asséchée par sa petite séance de massage vaginal.
La pauvre Julie ne sait pas comment elle va se sortir de cette situation. La main gauche le long corps elle tente de dissimuler son vibro, et sa main droite est encore toute couverte de cyprine. Pour couronner le tout ces gros tétons gonflés distendent le fin tissu qui les couvre, le rendant encore plus transparent, faisant apparaître clairement les anneaux qui les transpercent. Du côté de sa chatte, c'est un tantinet plus facile. En relevant sa cuisse droite, elle a réussi à cacher en partie son pubis et sa chatte ouverte et trempée de mouille.
Quant au pauvre bougre, il ne peut détacher son regard des mamelons appétissants exposés devant lui dans leur petit écrin blanc. Sa bite, gonflée par des années de prise de pilules, se tend dans son jean's qu'il a troqué contre son bleu de travail. Julie, assise en contrebas de l'entrejambe du jeune homme, ne peut s'empêcher, quant à elle, de reluquer la tige de chair pulsant, contre la jambe gauche, sous le pantalon trop serré.
Elle l'imagine en train de déboutonner son falsare et lui offrir une bonne grosse bite gorgée de sperme chaud et gluant à souhait. "Mais qu'est-ce qui t'arrive ma pov' fille!" Et c'est reparti, sa chatte la grattouille. Tant pis pour Raymond, une queue est une queue, ses muqueuses vaginales se remettent à sécréter de la mouille à l'idée de se faire empaler par une bonne bite bien dure. Mais ce con gâche de nouveau son plaisir en lui offrant la main en même temps qu'une invitation inattendue:
-Viens voir, j'ai fini d'installer le film sur ta fenêtre.
"Nan mais il est sérieux lui?" La belle asiatique n'en revient pas. Ce nase a sous le nez une bombasse presque à poil et il ne pense qu'à son film opacifiant? "Mais il est vraiment con en fait!" Oubliant l'état de ses doigts encore trempés, la belle lui tend la main. Un regard interrogateur éclair un instant le visage du nigaud baraqué, alors qu'il la tire à lui.
Jugeant mal sa force, il la soulève comme un fétu de paille, et dans la précipitation, Julie manque de faire valdinguer son vibro. Lâchant la main fine de son invitée, il porte ses doigts de mécanicien à son nez pour tenter d'identifier le liquide qui les imprègne. Julie profite de la distraction pour attraper la serviette de sa main gauche, y dissimulant l'objet de son délice. Elle saisit ensuite son sac et se dirige vers la salle d'eau pour y récupérer sa robe, suivie de près par le bon vieux Jeanjean, toujours en train de renifler ses doigts.
-Dis-moi, c'est pas d'la transpiration ça!
-J't'ai jamais dit que c'en était... Lui lance-t'elle tournant les épaules et la tête de trois quart et soulignant sa remarque de son plus joli sourire et d'un petit clin d'œil.
Julie ouvre la porte de la salle de bain et tente une manœuvre complexe pour déposer la serviette, garder le vibro dans la main et le replacer dans son sac alors qu'elle attrape sa robe. Elle y parvient presque, lorsque Jeanjean lui attrape la main gauche pour la mener vers les escaliers, trop pressé de lui montrer son travail. Ce qui la contraint à laisser le petit appareil dans la serviette. "Pourvu que personne ne le trouve avant que je puisse le récupérer!"
Le grand dadet, apparemment inconscient de sa propre force, et de la différence entre ses pas et ceux de la petite asiatique, la tire derrière lui. La jeune fille tente de tenir la cadence, et se faisant met de nouveau en spectacle le balancement de ses grosses mamelles à peine soutenues par le soutien gorge qui manque de se déloger à chaque pas. "Heureusement que je suis montée pieds nus, je me serais sûrement tordu une cheville avec cet animal!" De sa main libre, elle plaque sa petite robe et son sac à main sur sa poitrine pour éviter d'arriver les seins nus en bas des marches.
Ils entrent dans la chambre et Jeanjean lui présente son travail. De ce qu'elle en voit, Julie est impressionnée, on ne voit presque plus l'extérieur, et étonnamment une douce lumière envahit la pièce.
-Alors je suis désolé, mais j'ai voulu te mettre une prise sous la fenêtre, tu vois, là? Comme ça si tu veux charger ton phone et tout... J'avais même bougé ta valise à chaussures pour pas la salir, mais j'avais oublier que l'paternel avait juste fait une cloison de s'côté. Du coup en perçant avec la scie cloche j'ai fait un trou vers le dehors. J'ai r'mis l'bout d'plâtre tu vois?
Il lui montre en effet qu'un disque de plusieurs couches plâtre-polystyrène-PVC de 6-7cm de diamètre se déloge de la cloison à quelques centimètre en dessous de la fenêtre, et un peu moins d'un mètre du sol.
-S'te plait le dit pas au vieux! Si on le remet comme ça... Il le remet en place. On voit même plus que j'ai fait une connerie.
Touchée par la naïveté de ce grand sifflet, Julie lui fait un sourire et lui propose même de mettre le fauteuil devant pour encore mieux cacher sa faute. Il la remercie, et s'excuse encore mille fois pour sa bêtise. "Décidément un grand benêt apparemment bien gâté par la nature, je vais peut-être bien me plaire ici." Il la quitte alors pour se rendre en ville mais fait une pause devant les escaliers menant à la terrasse, il cherche apparemment quelque chose dans ses poches.
Il disparaît dans les escaliers pour redescendre quelques instants plus tard, son portefeuille à la main, et sortir par l'atelier. La petite remarque qu'il n'arrête pas de se sentir les doigts. "S'il savait le pauvre, il m'aurait surement sauté à l'heure qu'il est!" Revenant à la réalité, l'adolescente doit à tout prix remonter chercher son vibro dans la salle de bain,. Mis alors qu'elle s'apprête à sortir dans sa chambre, elle aperçoit Mr. Maurice sortir de son bureau pour lui aussi monter sur la terrasse. La petite épie la porte et le voit redescendre quelques minutes plus tard, un tas de serviettes en boule à la main, grommelant un truc inaudible.
Le sérieux de la situation la rattrape. Inquiète, elle se précipite sur la terrasse et dans la salle d'eau. "Merde! Merde! Merde!" La serviette qu'elle avait laissé en boule a disparu, remplacée par une nouvelle, toute propre et bien pliée. En désespoir de cause, elle fouille tout de même la pièce avec l'espoir que son vibro soit tombé à terre. "HUM... Ça aurait été trop beau!" Aucune trace du petit jouet sexuel, et impossible de savoir qui du père ou du fils a pu le trouver. La jeune fille redescend en douceur, histoire de ne pas alerter le propriétaire, puis retourne dans sa chambre, elle ne va quand même pas aller demander au vieux s'il a trouver son vibro?
Comment faire? Dépitée, adossée à la porte de sa chambre, la jeune fille tente de résumer la situation dans sa tête, le grand Jeanjean peut très bien l'avoir vue se branler, et aura précipiter le retour dans la chambre. Mais bon c'est un peu tiré par les cheveux vu le QI du bonhomme. Comment savoir si Mr. Maurice a trouvé l'objet du délit? Elle se met à imaginer le vieux sentir le petit objet en imaginant la jeune asiatique se branler. Cette simple pensée suffit à déclencher un fourmillement dans le ventre de la belle nymphomane. Et s'il était allé rejoindre ce vicelard de Raymond?
"Raymond..." Est-ce que le gros routier fantasme sur elle en matant des vidéos pornos sur la couchette de son bahut, la queue à la main. À cette pensée, la chatte de Julie la chauffe, une goutte de cyprine perle sur la ficelle du string, prisonnière de sa vulve, et coule le long de sa cuisse. Elle n'en peut plus, il lui faut une queue, et l'autre salaud qui l'a interrompue. Ses doigts se remettent en mouvement, la main gauche libère un téton en érection, et la droite fouille adroitement son minou lubrifié de mouille.
"HUN... Nan mais faut que j'arrête mon délire là! C'est pas possible ma fille!" L'adolescente abandonne sa branlette, et essaye d'oublier le gros sadique en rangeant ses vêtements et en organisant sa chambre. Elle va passer une bonne heure et demi à ranger et nettoyer la pièce et la rendre un peu plus vivable pour une jeune fille. Sa collection de mini shorts, ses hauts courts et décolletés, ses micro jupes, tout trouve sa place dans la commode.
Elle range ensuite sa collection de chaussures, les plateformes transparentes à talons aiguilles que son père lui a offert, les sandales à bout rond qu'elle portait lors de sa première double anale avec les turcs, etc... Tous ces souvenirs rappellent de nouveau le gros chauffeur à sa mémoire, et lui titillent la chatte. Pour couronner le tout, sa micro robe est toujours sur son lit aux côtés de la grosse valise contenant encore sa collection de sextoys. Elle ne tient plus, elle fouille la malle à la recherche de son gode à manche.
"Mais attend... Qu'est-ce que c'est que ce merdier?" Le compartiment où sont rangés ses jouets a été fouillé, elle en est certaine. Les gros godes ne sont plus au-dessus de la pile, son chapelet anal est en bordel, les masselottes ne sont plus avec leurs pinces... "Putain! Putain! Putain! Ce con a fouiller mes affaires, je vais avoir l'air fin maintenant!" L'adolescente ne sait pas trop comment réagir, si ce n'est qu'elle n'a plus vraiment besoin de cacher sa collection. Elle ne va pas l'afficher aussi ouvertement que chez Marco ou Alex, mais elle n'a pas non plus besoin de les laisser dans sa valise. Ils seront plus facile d'accès dans un tiroir de la commode.
Une fois tous ses jouets, ses chaussures et ses vêtements rangés, elle met de côté ses deux valises et contemple son œuvre. Elle est plutôt satisfaite! Ne reste plus que sa micro robe encore sur son lit aux côtés de son sac à main. La petite ouvre son sac, en sort son étrange collier et le chapelet de boules anales. Elle y trouve aussi la note du repas de Raymond et relit l'invitation.
Après vérification de l'heure sur son smartphone, elle se fait la remarque que le goujat est encore là pour deux bonnes heures. Et après avoir rangé toutes ses fringues, une constatation se manifeste en elle, la réalisation que la fin août est là, que Septembre approche et qu'elle n'a que des fringues d'été, si courtes et échancrées qu'elle ne passera pas l'automne et encore moins l'hiver à venir. Et ce n'est pas avec ce qu'elle a sur son compte en banque qu'elle va pouvoir s'habiller en conséquence.
De plus Mr. Maurice lui a bien stipulé que si elle avait besoin de tunes, ce n'est pas lui qui pourrait lui en donner. "Ben je crois que t'as pas beaucoup de choix ma vieille!" Et ce porc de Raymond est apparemment prêt à payer pour la revoir avant son départ. L'idée de faire la pute ne l'enchante guère, mais apparemment elle n'est plus bonne qu'à ça et a faire le service, et c'est pas avec juste un Bac en poche qu'elle va pouvoir trouver un boulot.
En plus, elle n'a toujours pas d'inscription confirmer pour la rentrée. "Eh ben ma vieille! Te voilà dans de beaux draps!" Elle se résigne donc à ôter le micro bikini et se rhabille pour aller voir si elle peut soulager un pauvre routier dans le besoin. Elle remet en place les chaines du collier, mais les appendices percées sont tellement sensibles que son corps est parcouru de frissons au moindre mouvement des chaines. Même supplice pour remettre en place les boules de son chapelet anal. Elle a vraiment besoin d'une bonne baise, alors avec un gros pervers ou un grand nigaud...
Elle attache ses cheveux très haut sur le crâne, et se remaquille en bonne pute, des tons roses et blancs sur les paupières. Elle insiste ensuite sur le mascara pour donner un beau volume à ses cils, tapisse ses lèvres d'un joli rose brillant qu'elle souligne au crayon sur le pourtour pour les rendre encore plus pulpeuses et gourmandes. Elle se redessine les pommettes à la poudre et d'un coup de crayon accentue le circonflexe très fin de ses sourcils épilés. Elle sort enfin les jolis escarpins cristal de son tiroir et en attache les brides sur ses chevilles délicates.
"Voilà qui devrait faire l'affaire!" Elle sort de sa chambre et se rend dans le restaurant pour accéder au parking, la chatte en feu et son petit trou impatient de se faire défoncer. Au tintement de la cloche, Mr. Maurice sort en trombe de son bureau, et l'interpelle avant qu'elle ne sorte.
-Hey p'ti cul! Lui lance-t'il, la déshabillant d'un regard différent de celui avec lequel il la reçut quelques heures plus tôt. J'ai refait un peu mes comptes depuis tout à l'heure, et si tu es prête à faire un peu de ménage à droite à gauche, je peux te donner 40€ de la semaine. Bon je sais que c'est pas grand chose, mais ça te prendrait pas plus d'une heure par jour de faire un peu la poussière ici et dans la salle du haut.
-Vous voulez dire...
-Euh, oui, j'voulais dire la piaule de Jeanjean, tu sais? À côté de la salle d'eau. Ça m'dépan'rait pas mal, quoi!
"Putain, 40 balles, il est pas chier lui! Mais bon ce serait toujours ça!" Elle fait mine de réfléchir avant de formuler une réponse.
-Ben je veux bien essayer et on verra! Ça vous convient?
-Ouais bien sûr! Merci ma p'tite. J'ai plus la forme de mes vingt ans, et ce nigaud fait pas beaucoup d'effort pour m'aider, tu vois?
Attendrie par le pépère, l'adolescente lui sourit avec sincérité avant de prendre poliment congé. "J'espère que l'autre enfoiré va me proposer mieux que les maigres 40€ de papy Maurice!" Dubitative, l'adolescente se rend dans le parking.
Le cœur battant la chamade dans sa poitrine, la belle est à la fois excitée et anxieuse de se retrouver seule avec ce parfait inconnu sans aucune protection, ce moment lui rappelle sa rencontre avec le turc. Mais elle est littéralement exposée au milieu de ce terrain vague à l'orée du bois, la canopée au-dessus d'elle illumine le lieu de faisceaux de lumière enchanteurs, une magie en parfait contraste avec la froideur du parking et l'énorme semi-remorque garé sur le côté du restaurant.
Perchée sur ses talons aiguilles transparents, elle donne l'impression de flotter. Un contraste flagrant avec le rebondi de sa grosse poitrine non soutenu sous le doux drapé. Le mouvement des chaines reliées à ses piercings, et le massage des boules anales excite la jeune fille. Mais à l'approche du véhicule au nez allongé et à la cabine imposante à l'américaine, Julie hésite. L'engin est juste impressionnant avec sa semi à trois essieux.
Le chrome de la calandre lui retourne son reflet un tantinet déformé, l'intérieur de la cabine "décorée" de poster de filles à poil, une plaque affichant son prénom derrière le pare-brise, les gros pot d'échappement à la verticale derrière les portes, les gros réservoirs sous la jupe, la casquette au-dessus du pare-brise, mais pas de trace de son client. La belle passe sur la gauche du tracteur, et cherche à droite et à gauche mais à part une voiture entourée de quatre mecs, garée à l'autre bout du parking, aucune trace du routier, ni autour, ni dans la cabine. Elle s'avance alors, hésitante, en direction de la remorque, et passe la couchette.
Tout à coup elle sent une tension sur le haut de son cou, et là c'est la catastrophe. Le tissu glisse sur sa peau, et en une seconde, qui lui paraît une éternité, la robe s'efface le long de ses seins, et de son cul, pour atterrir à ses pieds. Julie pousse un cri de surprise et d'instinct fait demi tour sur elle même, couvrant seins et pubis de ses mains en croisant les jambes. Elle fait face au routier qui d'un rire sadique, atterrit lourdement devant la belle caméra à la main, il s'était caché entre la cabine et la remorque pour la surprendre et filmer la mise à nue de cette petite salope.
-HA HA HA HA HA HA HA, j'en rêve depuis tout à l'heure de celle-là!
Il lui claque la fesse droite en la contournant, admirant les belles courbes de la jeune salope.
-Allez p'tit cul, montre moi la marchandise, tu vas pas faire ta prude maintenant?
Le sadique tire doucement sur la main droite couvrant à peine la grosse poitrine, dévoilant les tétons percés. Il attrape le collier, et titille les mamelons qui se gonflent instantanément de plaisir. Il l'attire à lui par le collier et dans le même geste lui emprisonne le poignet droit qu'il bloque dans son dos en une clé de bras. La petite est plaquée contre le gros bide poilu débordant du marcel, et Raymond lui claque une pelle à l'haleine fétide, lui fouillant instantanément la bouche de sa grosse langue baveuse.
L'adolescente était bien loin d'imaginer se retrouver si vite à poil en plein air. Elle entend les voitures passer derrière le colosse poilu, elle se demande si son cri n'a pas attiré l'attention du groupe de mec à l'autre bout du parking. Mais ces pensées s'estompent lorsqu'elle sent le pieu de chair gonfler le long de sa cuisse droite.
Le gros poilu relâche la pression contre les lèvres douces de la petite chienne, et s'écarte d'elle. Il passe sa paluche droite entre ses cuisses et sans ménagement commence à lui fouiller la chatte de son majeur. Se penchant à son oreille, il lui souffle:
-Eh ben dis-moi salope, t'es déjà toute trempée! Combien ça va m'coûter de te baiser? T'es bien v'nu pour ça non?
L'esprit dans le vague de se faire doigter par cette brut, l'adolescente réalise qu'elle s'est engagée dans cette galère sans réfléchir. Elle n'a même pas penser aux tarifs qu'elle pourrait prendre. Le colosse caresse sa peau douce, et, tout en continuant à la doigter, il la contourne et passe son bras gauche sous la poitrine pour lui soupeser le sein droit, et masser son téton. Plus habituer à sauter des vieilles putes pas chères sur le bord des routes, il se régale de goûter à une gamine aussi mignonne et douce. Elle gémit doucement sous les légères vagues de plaisir qui la gagnent, et improvise une somme pour les quelques prestations qu'elle pourrait proposer:
-HUN... HUN... c'est 20€ la pipe... HUUUUN... 30€ si j'avale... HUN... 50€ la passe et... Ouuuh... AH... 60€ la sodo
-Tu t'fous d'ma gueule p'tit cul? Tu vois les mecs là-bas? Il lui fourre un deuxième doigt dans la chatte, lui attrape les joues de sa main gauche, et l'oriente en direction de la voiture toujours garée à une vingtaine de mètres d'eux. Tu vois ce mecs là-bas, ils te baiseront pas pour plus de 20 balles. Ton p'ti cul d'salope ne vaut pas plus que ça dans le coin. Alors j'te propose 30 boules et tu m'appartiens pendant une heure. À prendre ou à laisser!
Julie, les yeux dans le vague, prend conscience que le gros vicieux la présente de trois quart au groupe d'hommes penchés autour de la voiture. Mais contrairement à ce qu'elle pensait initialement, ils ne sont pas réunis pour discuter entre eux, mais plutôt en train de mâter un couple assis à l'avant du véhicule. Elle n'a pas le temps d'analyser mieux la situation, ni de réaliser que si l'un des mecs la repère ça pourrait vite dégénérer, qu'une nouvelle vague de plaisir lui parcoure le corps lorsque le gros Raymond lui branle le clito de son pouce droit.
Le routier accélère le pistonnage de la chatte détrempée, il s'imagine déjà en train de la baiser, et grâce aux pilules qu'il a acheté à Jeanjean il se voit la sauter dans tous les sens. Il faut dire que ça fait presque trois heures qu'il se branle dans sa cabine à mater des vidéos de petites asiatiques enculées, abusées, exploitées, couvertes de sperme dans des bukkake épiques, et défoncées par des queues de black démesurées. Il a bien fait attention de s'arrêter, à chaque fois, juste à la limite de l'explosion, afin d'honorer la belle d'une bonne dose de jute dont il a le secret.
Il faut dire qu'avec Jeanjean ils se lancent des défis débiles depuis qu'il fréquente régulièrement le relais à chacune de ses livraisons. Le dernier jeu en date consiste à savoir qui des deux emplira un préservatif de la plus grosse quantité de foutre. Le grand con, qui le bat à chaque fois a fini par lui avouer les techniques et les drogues qu'il utilise, et Julie va être la première victime de notre Raymond. La petite nymphomane est bien loin de se douter de ce qui l'attend, et il est bien content d'être tomber sur cette petite "SPERM ADDICT" bandante à souhait.
Soudain l'adolescente capitule, elle a besoin d'une bonne bite:
-Aaaah... HUUUUN... OK c'est bon pour 30 balles! Mais... Ouf ouf ouf...
Le routier accélère encore le va et vient dans le minou de la jeune chaudasse.
-Tu veux que j'te baise? C'est ça, hein?
-Oui! Oui!! Ouiii!!!
La gamine est sur le point de jouir, elle se mord la lèvre pour ne pas rameuter tout le quartier, et tend le bassin en avant à la rencontre de la main experte du gros vicieux. Elle se pince les nichons de désir, ça l'électrise encore plus. Elle sent la jouissance monter dans son ventre et il ne l'a pas encore sautée. Il accélère encore dans un <FOUIC FOUIC> bien humide, et au rythme endiablé. Les odeurs de mouille entourent la belle asiat'. Mais le salaud, en grand expert, interrompt la séance de branlette vaginale juste au point culminant précédent la jouissance de Julie.
La gamine est dans tous ses états! C'est la deuxième fois qu'on la prive de son plaisir. Elle veut de la bite, et se retourne face au gros poilu et s'accroupit devant lui pour attraper la queue dont le gland très gonfler apparaît dans l'entrebâillement du short. Mais la malheureuse est tirée vers le haut lorsque Raymond attrape les chainettes liées à ses mamelons, la contraignant à se relever.
-TSK TSK TSK, tu veux pas non plus que j'te baise au bord de la route?
La tête qui tourne, la chatte dégoulinant, Julie revient petit à petit à la réalité. Les mateurs à vingt mètres vont les remarquer s'ils ne bougent pas rapidement. Elle se tourne alors naturellement en direction de la cabine du tracteur pour qu'il puisse la baiser à l'abri des regards. Mais notre routier à une tout autre idée en tête.
-Non non non, ma p'tite! J'vais pas non plus dégueulasser ma couchette toute neuve pour baiser une trainée dans ton genre. En plus j'ai les burnes tellement pleines que j'risque de gicler partout.
Il ramasse la petite robe blanche et l'attache au support de son rétroviseur, puis il attrape la belle par la main et la tire vers le fond du parking, en direction d'une entrée taillée dans la végétation par de nombreux passages. La petite le suis sans résister pour attirer le moins possible l'attention, comme si une belle minette à poil trainée par un gros bonhomme poilu allait passé inaperçu.
La densité de la végétation alentour propose un bon abri, et rassure un peu Julie qui suit maintenant son client sur un chemin boisé. Ils font une dizaine de mètres et débouchent sur une aire de picnic tapissée d'une herbe très dense, et au milieu de laquelle trônent une table en bois et ses deux bancs attenants.
Sans un mot, il s'assoit sur un banc, adossé à la table, il s'accoude et écarte ses cuisses puissantes sous son gros bide. De sa main droite, il soulève le tissu de son short et Julie peut enfin admirer le morceau de chair qu'il lui dévoile.
Sa bite n'est pas encore totalement dure, malgré l'anneau pénien en silicone noir qui comprime les bourses gonflées. La petite ne se fait même pas prier, elle s'agenouille entre les jambes poilues et commence à masser le sexe entre les doigts de fée de sa main droite, caressant les grosses boules comprimées de l'autre. Elle admire les énormes veines gorgées de sang sous l'effet du petit anneau et embrasse du bout des lèvres, tout doucement, le gros gland violacé et gonflé de sang lui aussi. C'est à son tour de lui montrer ce qu'elle sait faire. Et sous la lumière chaleureuse du soleil, entourées des chants d'oiseaux et des bruits de voiture alentours, elle aspire goulument le gros sexe aux relents nauséabonds.
Raymond, qui a conservé sa caméra, filme la jeune salope qui lui bouffe la bite dans des <SLURP> humides. La chienne sait y faire, il la laisse le pomper et le masturber. Il gémit à grand râles de plaisir, même les putes, qu'il paye pourtant plus cher lors de ses voyages, ne le pompent pas avec autant d'ardeur et d'avidité. Il ne faut d'ailleurs pas longtemps à l'adolescente pour détendre sa luette et entamer la première gorge profonde qu'on n'ait jamais faite à ce gros vicieux.
-Oh oui! Putain, t'aime sucer d'la bite, espèce de p'tite pute.
Il lui plaque alors le visage dans ses poils pubiens sur le bourrelet de graisse surplombant son pubis, et continuant à filmer cette belle chienne, il L'attrape par la natte, se relève, lui inclinant la tête vers l'arrière. Il lui pilonne violemment la gorge dans un <GUAH GUAH> très bruyant et quelques instants plus tard ressort sa bite couverte de bave, un long filet pendouillant entre son gland et la bouche de la belle qui tente de reprendre sa respiration. Il lui baise la gorge une dizaine de fois, toujours avec la même violence, puis se rassoit, la bite bien dure et bien gonflée dressée fièrement et dégoulinant de bave et de glaire.
Le regard gourmand et plein de défi, la bouche maculée de bave, Julie le fixe dans les yeux et lui dit avec un sourire complice:
-T'inquiète pas mon gros, tu vas en avoir pour ton fric.
Elle se repositionne devant le vit de chair et l'emprisonne entre ses deux nibards pour le branler avec passion, avalant le gland à chaque descente dans des <FLOC FLOC> baveux. La petite est tellement experte, que malgré l'anneau et les pilules qu'il a avalé pour gagner en endurance, il est sur le point de cracher la purée. Il se dégage alors de la gamine et la redresse violemment pour la pousser en direction d'un vieux tronc sans écorce, incliné en appui sur un gros chêne. Il la place à califourchon sur le tronc, les deux grosses mamelles pendant de part et d'autre.
Julie remarque alors quatre gugus, à l'air patibulaire et sapés comme des ploucs, émerger des fourrés qui l'entoure, se branlant en matant le routier se placer derrière elle. Ils entourent le couple et Raymond demande à l'un d'eux, un type au pantalon 100% polyester, chemisette et pull sans manche, les cheveux gras plaqués sur le crâne, de les filmer. Le mec prend la caméra sans se faire prier, trop heureux de s'approcher d'une si belle salope pour faire des gros plans sur ses grosses mamelles. Il en profite même pour pincer un des tétons et secouer le sein de la belle dans tous les sens, lui arrachant un petit cri entre douleur et plaisir.
-Hey mec, c'est là qu'ça s'passe!
Raymond écarte les fesses de Julie et tire sur la petite chainette, jusqu'à apercevoir un petit bout de la boule de résine bleu écartant les sphincters striés. L'adolescente se cambre de plaisir. Le gros routier place son sexe à l'orée de la chatte bien ouverte et la pénètre d'un trait en même temps qu'il décule la pastille souple de la première boule de son chapelet. L'ado gémit de plaisir et le vieux goujat s'en donne à cœur joie de baiser la chatte étroite et gonflée de sang.
La petite asiat' prend un pied d'enfer, cette bite à l'énorme gland lui procure des sensations grisantes. Les chairs meurtries au contact du tronc et les mateurs qui se branlent autour d'elle, décuplent sa libido. La jouissance monte de nouveau dans son ventre et au creux de ses reins, et lorsque le gros routier lui retire une deuxième boule de son cul, elle hurle son plaisir, enserrant la queue qui lui pilonne la chatte dans sa gangue de chair, manquant à nouveau de faire jouir le gros poilu. Il se retire prestement pour ne pas exploser et s'écarte de la belle pour ne pas qu'elle se jette sur lui pour lui sucer la bite.
La petite reprend son souffle et fébrilement se dégage du tronc d'arbre. Les mateurs s'approchent d'elle et la caressent maladroitement. Elle s'accroupit entre les quatre et aspire leurs petites bites de plouc à tour de rôle. Raymond la laisse jouer avec les nouveaux arrivants afin de reprendre un peu ses esprits. Il n'en a pas fini avec elle.
Quelques minutes plus tard, il pousse les mateurs et relève sa chienne pour l'entrainer de nouveau vers la table. Il la plie en deux, et Julie prend tant bien que mal ses appuis, la main droite en extension sur le banc et le coude gauche en appui sur la table, alors que Raymond lui soulève la jambe droite, exposant à la caméra et aux trois autres mecs la chatte grande ouverte et les deux boules bleues oscillant à la sortie de la pastille striée. Il se tourne vers son caméraman:
-Cadre bien cette salope! Je veux qu'on voit bien ces loches qui s'balancent quand j'la saute!
Contraint de plier les genoux, le gros poilus a un peu de mal à positionner sa bite en face de la chatte gourmande. Il lui tire les cheveux pour la cambrer un maximum et d'un coup de rein la pénètre de nouveau avec violence, arrachant un râle de plaisir à l'adolescente. C'est un nouveau ballet de coups de bite et de claquements chair contre chair qui rythme les minutes qui suivent. La petite est secouée d'avant en arrière, les gros seins oscillant sous sa poitrine en rythme avec les coups de burin qu'elle encaisse.
Un des mateurs, un noir à lunette la bite toute molle dans la main s'approche de la petite pute. Mais il est vite rabroué par le routier.
-Hey mec, <CLAC CLAC> t'as goûté la marchandise <CLAC CLAC> mais si tu veux <CLAC CLAC> une part du gâteau <CLAC CLAC> tu craches l'oseille <CLAC CLAC> Pour 15 balles tu peux toucher et <CLAC CLAC> lui juter dessus <CLAC CLAC> où tu veux!
Sans se faire prier, ils sortent tous les quatres tout le fric qu'ils peuvent rassembler. Ils payent le poilu qui ne s'interrompt même pas pour encaisser l'oseille.
-HAN HAN <CLAC CLAC> Il manque des tunes <CLAC CLAC> y a même pas <CLAC CLAC> 40 balles là!
-Vas-y mec! Lui sort le noir. On n'a pas plus sur nous.
-Hey p'tite pute <CLAC CLAC> tu leur bouffes la queue pour 40? <CLAC CLAC>
-Oui HUN... HUN... Baisez moi la gorge HUN... HUN... mais HUN... HUN... la prochaine HUN... HUN... fois HUN... HUN... c'est Ooooh oui oui... 15 balles cha..a..a..cun Oui... oui... comme ça HUN... HUN... continuuuue ...
Le claquement du bide poilu contre les fesses musclées de la gamine s'accélère. Ses seins tapent contre le bois du plateau de la table à chaque coup de queue de Raymond au fond de sa chatte. Les quatre pervers se pressent autour de la petite, qui en prend pour son grade par un Raymond qui redouble de violence, et caressent ses formes douces et généreuses. Les attouchements de ces inconnus procurent beaucoup de plaisir à l'adolescente qui gémit encore plus sous les assauts de son amant.
Une nouvelle fois au bord de l'explosion, Raymond donne un grand coup de reins et s'ancre profondément dans la chatte de sa chienne. Il la tire violemment par les cheveux pour la redresser, et la soulève par les genoux. Il monte sur le banc et dépose la belle à genou sur la table mais l'empêche d'y poser les mains. Il la force à prendre appui sur le banc en contrebas. Le black présente sa bite à la belle qui l'avale goulument, les deux autres se branlant de chaque côté en lui malaxant les seins.
Raymond reprend le pilonnage de la chatte. Les cris de la belle étant maintenant étouffés, il s'en donne à cœur joie. De nouvelles vagues de jouissance pulsent dans le corps de l'adolescence lorsque les voyeurs lui titillent les nichons. Le gros poilu en profite pour lui retirer la dernière boule anale.
-HUUUUUUUUN..... HUN... HUN...
Le noir retire sa bite, un peu plus dure grâce à l'expertise de la belle dans son nouvel art de la pipe. Il cède la place à un de ses collège, un moustachu en jogging et mocassins. Il lui baise maladroitement la bouche, s'excitant comme un lapin sur le doux visage couvert de sueur et de bave. Il s'écarte à son tour et le troisième larron, un quadra presque chauve en costume bon marché, attrape le menton de la jeune fille, la forçant à lever la tête. Il se penche vers elle et lui place un doigt à la commissure des lèvres:
-Ouvre te bouche de suceuse, salope.
Julie s'exécute, et le sadique lui crache dans la bouche. Il lui pince ensuite le nez et lui fourre sa petite bite entre les lèvres. Il la baise à son tour, un souffle roque accompagnant les bruits humides de la double pénétration. Les trois acolytes, se relaient les uns les autres pour profiter des lèvres charnues de l'adolescente. La belle, subissant toujours les assauts de Raymond, réussit à prendre appui sur une main et entre deux fellation, crache dans sa main libre pour masturber le caméraman.
Le ballet des queues se poursuit, et ceux qui ne lui baisent pas la bouche, se régalent à maltraiter les obus oscillant dans le vide pour le plus grand plaisir de Julie. Lorsque tour à tour les trois pervers se vident dans la bouche et sur le visage enfantin. La petite est aux anges, la langue et le visage couverts de sperme chaud et dégoulinant.
Raymond, une nouvelle fois au bord de l'explosion, se retire de la chatte détrempée et lui écarte les lobes fessiers. Il lui lèche la pastille, et Julie tortille du cul sous les coups de langue experts. Le caméraman fait de son mieux pour cadrer le plus d'actions possible. Il fait un zoom sur le petit cul exposé lorsque le routier libère l'anus. Il monte ensuite sur la table, et appuie de toutes ses forces sur les reins de la belle pour la cambrer un maximum. Il présente son gros gland luisant contre l'anus offert et s'enfonce de tout son poids dans les sphincters, qui s'écartent au passage du pieu de chair.
-Oooooooooh putain, quel cul! T'es vraiment baisable par tous les trous espèce de p'tite chienne.
Julie accompagne la pénétration anale d'une longue plainte de plaisir, gratifiant son enculeur de la jouissance qu'il lui procure. Il se retire lentement, pour profiter au maximum des sphincters serrés de la gamine, et l'encule tout en douceur pendant quelques minutes de pur délice. La belle est aux anges et se délecte lorsque le caméraman lui baise la bouche à son tour. La petite se régale des deux bites qui l'envahissent par devant et par derrière, et aspire sur la bite pour procurer un maximum de plaisir à celui qu'elle suce. La chaleur et l'humidité de la bouche ont tôt fait de tirer une nouvelle dose de sperme des couilles du caméraman qui se vide au fond de la gorge de la belle.
Raymond quant à lui n'y tient plus, il est sur le point de jouir à son tour et il veut que le final soit fantastique, il accélère le mouvement de va et vient dans l'anus délicieux de l'adolescente. Avec précipitation, il décule la jeune asiat' et la redresse en la tirant par les cheveux. Le voyeur aux cheveux gras se recule un peu pour filmer toute la scène. Le gros poilu en short et marcel debout sur la table, se branle au-dessus de la jeune asiatique aux grosses loches à genoux devant lui le torse penché en arrière, en appui sur son bras gauche, et se branlant la chatte avec ferveur, la tête jetée en arrière et haletante de plaisir.
-Vas-y mec, approche toi, et fait moi un gros plan sur cette pute pendant que je lui jute dessus.
L'homme aux cheveux gras s'approche de la table et zoom sur le torse de la belle, cadrant le doux visage de la chienne et la bite aux grosses veines bien saillantes. Enfin, c'est l'apothéose! Dans un râle presque bestial, le gros routier crache une première dose de foutre magistrale, qui vient s'écraser dans la bouche ouverte de la belle. S'en suivent trois éjaculats tout aussi impressionnants qui viennent tapisser la poitrine opulente et il finit de se vider de cinq autres giclées un peu moins puissantes mais tout aussi volumineuses dont il tapisse copieusement le visage et les cheveux de Julie. Il finit de se vider dans la bouche de la belle qui aspire bruyamment la bite molissante comme si elle voulait en traire les dernières gouttes.
Raymond attrape la caméra et fait un dernier zoom sur la bouche ouverte et pleine de son liquide blanchâtre. Le petite se prend au jeu de la caméra et se gargarise la gorge, les bulles de sperme formant un gargouillis envoûtant. Julie joue avec le foutre visqueux, elle y tortille sa petite langue percée, puis en une déglutition bruyante avale la quantité impressionnante de foutre.
Repue, brisée, épuisée, Julie regarde les voyeurs se disperser et observe Raymond rangeant sa caméra. Elle est couverte de foutre dégoulinant sur ses cheveux, son visage et ses seins. "Merde j'ai même pas pris de lingettes, la conne, j'ai l'air fin maintenant!" Elle est sur le point de demander un coup de main à Raymond qui l'interrompt avec qu'elle ne puisse ouvrir la bouche:
-Bon alors voyons voir...
Il sort des billets de sa poche, et les rassemblent avec la monnaie récoltée auprès des voyeurs.
-Eh ben c'est pas si mal pour une première fois. 10, 20, 30, 35...
Il réfléchit un instant et lui tend trois billets roses et quelques pièces:
-Voilà ta part.
-Mais...
Julie calcule vite fait, 30€ pour Raymond et les 40€ maigrement récoltés pour les quatre pervers, elle devrait au moins se faire 70€.
-Il manque 35 balles là!
-Et ma commission? Espèce de p'tite pute ingrate! Tu t'rends compte que je viens de te trouver quatre clients faciles.
Il l'aurait baffer volontiers si elle n'était pas toute poisseuse de foutre. Au lieu de ça il se contente de partir, lui lançant tout de même:
-Au fait j'décolle dans cinq minutes, alors si tu veux récupérer tes fringues t'as plutôt intérêt à te bouger le train. HA HA HA HA HA
Et il disparaît dans les fourrés. "Mais qu'est-ce que j'ai encore fait?" Julie se relève difficilement, ses jambes ankylosées et meurtries par le bois de la table, le foutre dégoulinant sur son corps, son visage, et ses cheveux. Elle rassemble son fric, son chapelet anal, et détache son collier des trois piercings puis essaye de retrouver la sortie de la forêt. Elle entend tout à coup le vrombissement typique du démarrage d'un camion. "Le salaud, il avait dit cinq minutes! Je rêve là!"
Elle court, les seins bringuebalés dans tous les sens et du sperme giclant tout autour d'elle. Mais à l'orée du bois, c'est l'heure de la sortie des bureaux et c'est à un ballet incessant des voitures roulant sur la nationale longeant le relais routier, que doit faire face la belle en tenue d'Ève. Elle aperçoit le gros poilu au volant de son bahut, un sourire vicieux aux lèvres, sur le point de partir la robe virevoltante au vent, encore attachée au rétroviseur. Vu la quantité de ronces qui longe l'entrée du bois, elle n'a d'autre choix que de traverser la moitié du parking nue et toujours couverte de sperme.
"C'est ça, régale toi bien gros connard!" L'adolescente prend une grande inspiration et se lance en direction du camion. Dix mètres à parcourir, elle peut le faire! Huit mètres... Cinq mètres... Trois... Un... La jeune fille tend le bras et se saisit du vêtement. Mais le rétro est trop haut et le pervers se régale à la voire gigoter sur le marche-pied pour détacher le nœud.
La robe finalement en main, elle se précipite alors le long du camion pour le contourner espérant trouver refuge derrière la semi. Mais à peine en a-t'elle fait le tour que le salaud met sa machine infernale en route. "Bon tant pis, pas l'temps de réfléchir!" Elle se précipite à poil derrière le restaurant pour se rhabiller le plus vite possible et retrouver la sécurité de sa propre chambre.
Elle a encore le visage dégoulinant de foutre, et le tissu colle sur les traces de spermes en train de sécher sur sa peau, lorsqu'elle rentre dans le restaurant. La cloche trahit sa présence et Mr. Maurice sort de son bureau, juste au moment où elle ouvre la porte de l'atelier.
-Ah p'ti cul, alors où est-ce que t'avais disparu? Fait gaffe, le coin fait pas d'quartier pour les p'tis lots comme toi. L'Raymond c'est un enfant d'cœur comparé à la faune qui traine dans les parages. D'ailleurs le soir, si on ferme, c'est rapport au voisinage.
"Pourquoi est-ce qu'il me parle de Raymond? Et c'est quoi cette histoire de voisinage?" N'osant se retourner pour faire face à son patron couverte de sperme, l'adolescente se retourne de trois quarts et joue l'esquive grâce à son sourire angélique. Elle élucidera ce mystère plus tard, pour le moment elle veut juste prendre une bonne douche.
-Je suis un peu crevée là! Est-ce que ça vous dérange si je vais me laver?
-Non pas du tout! Tu fais bien com'tu veux. Ah au fait, en parlant de douche, tu peux éviter de laisser trainer les serviettes en boule. Ça a l'don d'me foutre en rogne. Déjà qu'le grand con range que dalle... D'ailleurs quand t'auras fini, j't'invite à aller visiter sa piaule, tu verras l'étendue des dégâts pour demain.
-Je suis désolée ça se reproduira plus! Et Jeanjean, il risque pas de mal le prendre si je rentre dans sa chambre sans lui demandé?
-Mouais... Non, pour mon nigaud d'fils, t'as pas à t'inquiéter, y rentrera pas avant au moins 3h00 du mat'.
Julie prend congé de Mr. Maurice et se précipite dans sa chambre, balance son maigre butin dans son sac à main accompagné de son collier et de son chapelet. Elle fouille sa commode, en sort un short en coton et un petit débardeur. Puis fonce se doucher à l'étage. Un peu mal à l'aise à l'idée de se laver la porte non verrouillée, elle relativise, une bande d'inconnu vient tout de même de la couvrir de jute. Elle récupère, sur on index, une dose de sperme coulant de son sein gauche et l'avale dans un sourire gourmand avant de refermer la porte de la salle de bain derrière elle. "Je vais peut-être me plaire ici finalement!"
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Silveradd
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Shazam,
Merci pour ce petit message, je suis bien content que cela titille tes souvenirs :p
Je bosse encore sur la suite mais j'ai besoin de temps et de nouvelles inspirations ;)
Merci pour ce petit message, je suis bien content que cela titille tes souvenirs :p
Je bosse encore sur la suite mais j'ai besoin de temps et de nouvelles inspirations ;)
Salut, j'adore tes histoires. Cela me rappelle quelques petits souvenirs (même si je ne suis jamais allée aussi loin que Julie). :-)
Bientôt une suite ?
Bientôt une suite ?