Julie - Une nouvelle vie: Julie au garage 2/3 (Partie 18)
Récit érotique écrit par Silveradd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2018 dans la catégorie En solitaire
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Julie - Une nouvelle vie: Julie au garage 2/3 (Partie 18)
<CLING CLING> Une petite cloche signale l'arrivée de la belle dans la salle de restaurant. Une dizaine de tables vides pour recevoir les routiers de passage, un bar occupant les trois quarts du mur en face pour asseoir les clients supplémentaires, la pièce reste fonctionnelle. Une porte vitrée sur la droite donne accès à l'atelier, et Julie peut y voir d'un peu plus près un mécanicien aux bras énormes et apparemment bien bâti s'afférer sur son véhicule, la tête plongée dans le compartiment moteur.
Une porte aux carreaux fumés s'ouvre derrière le bar, laissant s'échapper une forte odeur de tabac froid et de fumée de cigare. En sort un gros bonhomme, la soixantaine, un cigare à moitié mâchouillé au coin de la bouche, le crâne dégarni mal recouvert d'une mèche de cheveux gras, la chemise trop étroite et à moitié débraillée laissant apparaitre sa grosse bedaine entre les boutons.
Interloqué par la petite bombe qui se tient timidement sur le seuil de sa porte, en contraste complet avec le style du lieu, le gros arrive tout de même à baragouiner un début de question:
-Qu'est-ce qu'on peut faire pour la p'tite dame?
-Bonjour, euh... je cherche Mr. Maurice, c'est Jeannot qui m'envoie, il me dit que je pourrais peut-être faire le service en échange d'une chambre pour la nuit.
-Ah mais t'es la p'tite Julie. C'nigau d'Jeannot m'avait pas dit qui m'envoyait un p'tit lot bien roulé! Y parait qu't'as fait l'service chez Marco?
-Oui c'est ça! Je me débrouillais plutôt bien même.
-Ouais j'vois bien comment tu d'vais te débrouiller. Bon écoute c'est simple, si ton p'tit cul peut m'faire v'nir du client, j'veux bien t'prendre. Les affaires, c'est pas tout à fait ça en ce moment...
-Je peux faire un essai ce midi si vous voulez, et si je vous conviens est-ce que vous m'autorisez à rester ici ce soir?
-HUMPH... Ouais, pourquoi pas, y pas beaucoup de clients mais on peut voir c'que tu vaux avec le temps.
Il fait mine de réfléchir quelques instants, puis il lance:
-Bon allez, p'tit cul, ramène tes miches j'te montre où tu pourras crêcher ce soir. Et après, tu prépareras la salle pour ce midi. Le service du soir, y en q pqs en ce moment. Donc si tu fais un seul service par jour, je pourrai juste te loger, si t'as b'soin de tunes, faudra qu'tu trouves aut' chose.
-Oui je vois, ça fera l'affaire pour le moment.
"Nickel, pas de contrat, pas d'obligation, j'me casse dès que je trouve autre chose" Ce poids enlevé de ses petites épaules, l'adolescente se sent un peu revivre, bien qu'elle s'inquiète un peu de la tournure que va pouvoir prendre le service à venir, sa tenue convenant mal à un service complet.
-Bon tu l'bouges ton p'tit cul? Y a pas beaucoup de clients, mais va falloir s'bouger tout d'même...
L'invective la sort de ses pensées et elle suit Mr. Maurice dans ... "L'atelier????"
-Alors v'là Jeanjean, le fiston. C'crétin passe son temps entre son banc d'muscu' et sa caisse pourrie. Mais c'est un brave garçon, un peu nœud nœud mais bien brave ... Eh grand con, j'te présente Julie, elle va v'nir me filer un coup de main l'midi.
Le grand barraqué se redresse de son mètre quatre-vingt quinze et se tourne vers la petite Julie, pas très beau garçon avec ses balafres et ses longs cheveux gras tenus par un élastique, mais taillé à la serpe:
-Bonj... Wow putain, où est-ce que t'as trouvé ça le vieux? Tu viens du bois là ou quoi?
-Euh ... non, c'est un peu compliqué... Lui répond la jeune fille embarrassée.
-Ben merde y a du monde au balcon, c'est sûr!
-Bon arrête tes âneries, elle est là pour bosser, pas pour te sucer la bite. Allez toi, suis moi, que j'te montre ta piaule.
Il la conduit au fond de l'atelier sur la gauche, et ouvre une porte sur un petit cagibi où se trouvent un lit, une table de nuit, une commode à tiroir, un vieux fauteuil un peu mité, le tout éclairé par un plafonnier et un grande fenêtre donnant sur la forêt, derrière le bâtiment.
-J'avais fait cette extension à l'époque, au cas où un chauffeur avait besoin d'un bon lit, mais d'nos jours leurs bahuts sont tellement confortables qu'ils préfèrent y dormir. Y z'ont l'internet pour leurs pornos, leur mini bar, tout l'tremblement quoi. Donc v'là tout c'que j'peux t'proposer.
-Ben écoutez, je vous remercie bien pour votre hospitalité. "En même temps c'est pas comme si j'avais le choix!" Et où est-ce que je peux me laver du coup?
-Viens, j'te montre.
Il la conduit à la porte adjacente, ouvrant sur un escalier montant apparemment à l'étage. Il la précède et la conduit en haut d'une volée d'escaliers, donnant sur une porte ouvrant sur une terrasse. "HUM... Bizarre, il est passé devant moi, il n'a même pas profité de la situation pour me mater le cul!" La jeune fille n'est pas habituée à ce qu'un mec ne lui reluque pas les fesses à la première occasion. Ils se retrouvent alors sur une terrasse au deuxième étage, de la surface du bâtiment et donnant directement sur la forêt en contrebas, et isolant l'avant du garage grâce à une rangée de pare-vues.
Sur la gauche, au-dessus du restaurant et du logis de la famille, elle remarque une sorte de cabine aux grandes baies vitrées opacifiées. Suivant le regard de la jeune fille, le vieux tend un doigt distrait vers le petit bâtiment.
-C'est là qu'mon Jeanjean fait sa gonflette. Et là sur la droite, c'est ta salle d'eau et tes chiottes!
Ils se dirigent tous deux vers une porte sur la droite de la cabine. Maurice l'ouvre et la fait entrer dans une petite pièce attenante à la salle de muscu de son fils, où se trouvent un wc, une douche sur la gauche, un simple bac entouré d'un vieux rideau plastic et équipé d'un pommeau couvert de calcaire. En face, elle voit le lavabo, lui aussi couvert des même résidus blanchâtres. Une fenêtre, sur la droite, apporte un surplus de lumière au petit plafonnier et au néon surplombant le miroir niché au-dessus du lavabo.
-Bon c'est pas un palace, mais les draps de ta chambre sont propres. Ici t'as même l'eau chaude, et je change la serviette de toilette toutes les semaines.
-Oui oui, merci beaucoup. C'est très bien, vous inquiétez pas. "Putain, si ce salaud d'Alex m'avait pas fait venir chez lui pour me lourder si sec, je pourrais encore être chez Marco, au lieu de ce trou pourri."
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, la belle asiatique lui fait son plus beau sourire et le remercie encore. Ils repartent vers l'escalier, et Julie remarque une chaise longue sur sa droite. Son nouvel hôte la remarque et lui précise:
-Lorsque tu as fini ton service, tu pourras venir te dorer la pilule ici si tu veux. J'demanderai au grand con de te préparer un parasol.
Ils redescendent et repassent de nouveau dans la salle à manger où Maurice lui montre où se trouvent nappes, assiettes, verres, et couverts. La jeune fille passe la demi heure suivante à préparer la salle dans sa petite robe exposant ses formes magnifiques à Jeanjean, qui a délaissé son bolide et se régale de ce spectacle improvisé. Maurice réparait et vérifie le travail de sa nouvelle serveuse:
-Bon c'est pas mal tu te débrouilles en effet très bien, mais si j'peux m'permettre une remarque, il faudrait q'tu t'attaches les ch'veux, on est dans une maison respectable ici, et l'hygiène c'est important!
"Quoi? Mes cheveux, mais c'est un sketch là? Son débile de fils me reluque les seins pendant une demi heure et lui y veut que j'mattache les cheveux? Heureusement pour lui que j'ai pas le choix!" Julie se contente de ravaler sa fierté, et veut profiter de l'occasion pour s'isoler un peu et retirer les boules dans son cul et toutes les petites chainettes qui oscillent avec les mouvements de son corps et de ses grosses mamelles. Ce mec qui la mâte, le mouvement des petites chaines sur sa peau, les trois boules qui lui massent l'intérieur. Malgré sa situation précaire, Julie sent sa chatte s'humidifier et son envie d'une bonne queue augmenter.
-Je peux aller me rafraîchir? J'en profiterai pour me faire une natte!
-Nan me p'tite, pas le temps, tes premiers clients arrivent. Toi l'grand, file lui ton élastique qu'elle s'attache les cheveux bien haut.
"Merde..." Déçue que son subterfuge ait échoué, elle s'approche de Jeanjean qui lui tend son élastique et, faisant face au miroir derrière le bar, elle décroche sa barrette et attache ses longs cheveux bien haut sur le crâne, dévoilant ses trois tatouages dorsaux d'un coup.
-Oh putain p'pa, j'peux faire le bar c'midi?
-Ben tiens! Bon OK, comme ça j'pourrai m'occuper d'ma paperasse.
Il présente vite fait le menu à Julie. Plutôt simple, il ne se compose que de quelques sandwichs préparés sur le pouce au bar, plusieurs desserts tous prêts et les boissons servies par Jeanjean devenu barman pour l'occasion.
<DING DING> Les deux seuls clients, les deux chauffeurs du parking apparemment, entrent ensemble dans le restaurant plaisantant d'une blague que la belle n'a pu entendre. Elle les accueillent d'un bonjour illuminé de son sourire radieux.
-Oh putain Jeanjean, c'est ta nouvelle gonzesse qui nous sert ou quoi? Plaisante le plus gros des deux.
Un bibendum hirsute, la barbe drue de deux jours encadrant son double menton, vêtu simplement d'un marcel, d'un short, et sandales/chaussettes aux pieds. "putain les beauf'... Mais dans quelle galère tu t'es fourrée ma vieille?"
-Déconne pas Raymond, si c'était ma meuf' j'te laisserais pas t'en approcher de si près.
-Ha ha ha ha... Bien vu p'ti! Momo, tu bouffes avec moi?
-Ouais, mais moi j'becte rien, sert moi juste un demi pression!
-OK Pas d'probs' ... Julie?
L'adolescente se tourne en direction du bar pour y prendre un plateau, la carte et le demi que Jeanjean est en train de servir.
-Putain mate moi si joli p'tit cul! Attends moi ici.
Julie entend le bruit de chaise glissant sur le carrelage et observe le gros Raymond se relever pour venir en direction du bar. "Grouille toi de servir c'te putain d'bière que j'puisse éviter ce gors porc!" Mais peine perdu, le verre est encore à moitié vide quand le gros sac en marcel s'approche de la belle, l'haleine aux relents fétides du réveil. <CLAC> Il lui claque un main sur son joli petit cul dénudé sous le tissu lâche du drapé.
-T'es vraiment une belle petite garce dis-moi avec tes airs de salope bonne à fourrer! Qu'est-ce que ça veut dire...
Il se recule un peu pour lui reluquer le bas des reins.
-...SPERM ADDICT? Avec un accent français à y accrocher son manteau, et caressant doucement le haut des cuisses de la petite chienne.
-Euh... La belle ne sait pas trop quoi répondre.
-C'est une ... Tente de répondre machinalement Momo qui ne comprend pas pourquoi son collègue ne sait pas traduire un terme aussi basic. Mais Raymond le coupe sec.
-TSK C'est à la p'tite que j'pose la question.
C'est la première fois que Julie est embarrassée par ce tatouage, et sans un Marco ou un Alex pour la protéger, elle va devoir lui répondre. Si elle y ajoute la proximité de cet ours mal léché, la moiteur de ses grosses paluches caressant ses cuisses dénudées, et le chapelet de boules dans son cul, tous les ingrédients sont en place pour la faire mouiller. "Oh putain c'est pas vrai! Pas maintenant!" Elle sent des fourmis dans sa chatte, une chaleur se propager dans son ventre, son clito la démange, elle pourrait presque le sentir gonfler. "Mais c'est pas vrai! Mais c'est pas vrai! Pourquoi t'enlèves pas tes mains, gros porc?"
-Euh... C'est... Euh... une personne qui ne peut... Euh... se passer de... Euh... Sperme. Lui sort-elle à voix basse.
La main caressant toujours ses cuisses douces, il tourne la tête vers son collègue.
-T'entends ça Momo? On dirait qu'on s'est trouvé une bouffeuse de jute!
Il commence alors à remonter sa grosse paluche dans l'entrecuisse de l'adolescente, et se rapproche dangereusement de la chatte ouverte et déjà humide de Julie, quand tout à coup, comme pour la sauver de cette situation délicate, Jeanjean annonce:
-C'est bon tu peux lui amener sa bière!
"OUF! C'était moins une!" La gamine fait un demi tour sur la gauche et contourne le gros routier pour aller servir son pote. Le gros Raymond suit la belle et se rassoit à table pour prendre sa commande. Julie prend note et retourne au bar préparer le plateau. Pendant que Jeanjean prépare les boissons, Julie s'affère au sandwich et quelques minutes plus tard, le repas est prêt à être servi.
La jeune serveuse fait le tour du zinc et récupère le plateau. Avec deux boissons, le casse croûte, les frites et le dessert, Julie est un peu désarçonnée par le déséquilibre d'un tel service. Plus habituée à distribuer des boissons, elle doit utiliser ses deux mains pour maintenir le tout en équilibre.
Elle est contrainte de se pencher vers l'avant pour déposer le repas sur la table de ses clients. Dans cette position, elle contente en une fois trois mecs qui n'ont pas les yeux dans leur poches. Le barman se régale de la chute de rein de la belle asiat' et remarque pour la première fois le reflet d'argent des maillons longeant la raie du cul de la jeune serveuse.
Quant aux deux clients, ils se régalent à la vue des grosses mamelles oscillantes dans l'entrebâillement du drapé plongeant. Raymond contemple sans vergogne la rondeur du gros sein sous son nez et remarque alors le collier qui passe bizarrement sous le tissu de la robe. Mais il décide de garder pour lui la remarque qu'il était sur le point de faire à sa serveuse si sexy.
Dans une étonnante politesse, il remercie la belle qui peut enfin s'éloigner de cette ours mal léché. Le repas se passe très vite, Momo commande son troisième demi et Raymond se contente d'un verre de vin pour accompagner la fin de son repas.
Au fur et à mesure Julie les débarasse et repasse à chaque fois derrière le bar pour faire sa vaisselle au fur et à mesure, une habitude qu'elle avait prise chez Marco. Ça lui éviterait de passer plus de temps qu'il n'en faut avec ces porcs. Elle n'entend pas tous ce qu'ils se disent mais elle se doutent bien à leur regard lubrique qu'ils lui reluquent les seins alors qu'elle s'affaire à sa vaisselle.
Après avoir bu leurs cafés, alors que Julie pensait qu'ils allaient prendre congé, elle prend l'initiative de venir débarrasser leur tasse et de passer un coup de lavette sur la table. Mais loin de partir, ils se contentent de tourner leurs chaises pour mieux faire face au décolleté de la belle. Il lui reluquent ouvertement les seins oscillant de gauche à droite, entrainant dans leur mouvement le collier d'or blanc.
-Dis-moi Momo! Tu trouves pas qu'y a un truc bizarre avec tous ses colliers? ...
"Mes colliers? Mais de quoi il parle ce con?" Julie ne comprend pas trop où il veut en venir sur le moment. Ce n'est que lorsque Momo tend la main vers son décolleté, et qu'elle sent la paluche de Raymond remonter le long de ses cuisses, qu'elle comprend!
Ils ont repéré les chainettes attachées à ses piercings, et apparemment le gros Raymond entend bien découvrir ce qui se cache dans son cul. Elle veut s'esquiver mais Momo tiens déjà les trois chaines attachées à ses piercings. La jeune fille ne peut se dégager des deux hommes, les anneaux au bout de ses mamelons font leur office et déclenchent une vague de frissons sur ton son corps.
-Hey mate moi ça vieux, ça lui fait de l'effet.
Momo tend le tissu du drapé sur le sein gauche de la serveuse, faisant deviner le mamelon tout dur de la belle. Il passe ensuite sa main sous le tissu, et pince le gros mamelon en le faisant tourner. Instantanément, Julie se cambre en arrière les deux mains en appui sur la table. Son petit cul se tend en arrière, libérant la chainette qu'elle essayait de garder entre ses lobes fessiers depuis le début du service. Raymond, glisse son doigt entre les fesses ouvertes, et commence à tirer sur la chaine à laquelle est ancré le chapelet anal.
-HUN... Julie se mord la lèvre inférieure désarçonnée par la vague de désir provoquée par ses tétons étirés et triturés par Momo. Et, pour couronner le tout, la première boule est sur le point de sortir de son anus.
Le gros porc rapproche dangereusement ses doigts jusqu'à la pastille de la belle, tout en maintenant une certaine tension sur la chaine.
-Me dis pas que... Il tire un peu plus et sent la première boule à l'orée du sphincter anal.
-Putain mais t'es une vraie...
<DING DING> Sauvée par le gong! La porte d'entrée s'ouvre sur un livreur poussant devant lui deux valise.
-Excusez-moi, je cherche une Mademoiselle Julie Ixsse.
Distraits pendant une fraction de seconde, les deux compères relâchent leur prise. Julie en profite pour se dégager et se redresse en direction de son sauveur.
-Oui... HUM HUM... Elle s'éclaircit la gorge. Oui c'est moi!
-Tenez, vous pouvez me signer ça? C'est pour vous.
La belle s'éloigne de la table avec son plateau, les tasses et sa lavette, ressert les fesses en marchant pour ne pas laisser s'échapper la première boule de son chapelet, et signe de sa main libre le bon de livraison. Le jeune homme, éberlué par cette beauté, lui tend maladroitement une enveloppe non cachetée, dans laquelle Julie trouve un message manuscrit par Alex:
<Encore désolé ma belle, mais heureusement que tu es partie, j'ai eu juste le temps de préparer ces valises et de contacter Nono, qui m'a donné cette adresse. J'y ai mis toutes tes affaires, et j'espère que tu seras bien là pour les recevoir. Je pars dans l'urgence, les mecs dont je te parlais ce matin viennent d'arriver avec du renfort. Je disparais pour le moment et je te contacte dès que possible pour qu'on termine notre discussion. Bon courage! Et encore désolé!>
Perdue dans ses pensées et ses regrets de ne pas avoir su mieux gérer la situation avec Alex, elle n'entend pas les deux camionneurs se lever de table. Elle est ramenée à la réalité lorsque le gros Raymond lui calque la fesse droite en passant derrière elle.
-Bon c'est pas tout ça, j'ai encore du taffe et Momo doit reprendre la route. À plus ma belle! Hey grand, t'as c'que j't'ai d'mandé?
Julie n'avait même pas noté que Jeanjean n'était plus derrière le bar. Il ressort de l'atelier, trois flacons en plastic à la main, deux blancs et un bleu, qu'il tend à Raymond.
-T'as du bol vieux, c'est mes dernières doses. La prochaine fois, préviens à l'avance.
-Ben t'es marrant toi, j'pouvais pas deviner. Il se tourne vers la belle, lui lance un petit clin d'œil, un sourire vicieux au lèvres.
Il sort de son caleçon une liasse de billets, et paye Jeanjean. Julie ne comprend pas vraiment la scène qui se joue devant elle, mais à la vue des billets, elle se tourne vers la table sur laquelle trône une petite coupelle avec la note et le règlement. Délaissant le groupe de vicelards, elle retourne à sa table et récupère l'argent et la note pliée autour d'un billet de 10€. La serveuse retourne à la caisse, et curieuse déplie le bout de papier sur lequel elle peut lire:
<Je repars dans cinq heures, si tu veux te faire un petit extra vient me rejoindre, dans la même tenue, derrière mon bahut. Raymond>
"Y manque pas d'air ce gros porc!" Julie récupère son pourboire au moment où Mr. Maurice sort de son bureau.
-Eh ben dis donc, on dirait en effet que tu connais ton job, c'est pas commun les pourliches dans un bouiboui comme le mien.
-Merci Monsieur. Je viens de recevoir mes bagages, est-ce que je peux aller dans ma chambre et me faire un brin de toilette?
-Oui bien sûr, p'ti cul. Comme je te l'ai dit, j'ai besoin de toi le midi. Une fois qu't'as fini tu fais c'que tu veux d'ton cul.
Presque soulagée de pouvoir enfin retrouver un peu d'intimité, elle prend congé de son nouveau patron, attrape ses valises et traverse l'atelier, étonnamment désert, pour se rendre dans sa chambre. Elle se déchausse, range ses valises et referme la porte derrière elle. Instinctivement, elle cherche la clé pour s'isoler, mais elle en est dépourvue. Et la petite ne voit nul par un moyen de bloquer sa porte qui en plus a la bonne idée de s'ouvrir vers l'extérieur. "Merde c'est bien ma veine ça!"
Contemplant les deux valises préparées par Alex, elle se rend compte qu'un des avantages d'avoir des micro fringues c'est que ça ne prend pas de place. Elle ouvre la plus petite valise sur son lit, et constate que c'est celle où se trouve toute sa garde robe. Ensuite elle se retourne, allonge la deuxième valise, plus grosse mais plus légère, sur le sol. Elle l'ouvre à son tour et y trouve tous ses escarpins, et sur le côté dans un compartiment, elle voit tous ses sextoys, les gros godes trônant au-dessus de tout le reste.
<KNOCK KNOCK>-Euh... Julie? C'est Jeanjean...
"C'est peut-être des porcs, mais au moins ils sont polis"-Oui entre!
-Voilà... Euh... J'me disais, comme t'as pas de volets ou d'rideaux et que l'vieux y t'en mettra pas, voilà... Y m'reste du film opacifiant pour les voitures, je peux couvrir ta f'nêtre si tu veux?
-Ah ben... Euh, ouais j'y avais pas pensé, mais ce serait cool en effet.
-Si tu veux j'te l'fais maintenant, après j'dois descendre en ville et je s'rai plus dispo.
-Ah ben OK alors, c'est vraiment sympa. Du coup j'te laisse faire, j'vais prendre un peu le soleil en attendant. "Merde, v'là que j'parle comme eux!"
Julie se retourne pour attraper son sac à main et constate avec effroi que la valise où se trouve ses godes est encore ouverte. De panique elle la ferme précipitamment et comme elle a déjà accepté la proposition du nigaud, n'a d'autre choix que de s'éclipser de la chambre pour laisser la place à Jeanjean. "Pourvu qu'il ait rien vu!"
Elle ne le sait pas encore, mais Jeanjean a bien vu les formes phalliques dans la valise. Le sourire aux lèvres, il se réjouit de l'idée qu'il a eu de lui installer des films opacifiant. S'il ne se goure pas en les installant, la petite salope ne pourra pas voir ce qui se passe dehors, alors que de l'extérieur, on voit très bien l'intérieur de la pièce.
Quelque peu paniquée, la jeune fille se précipite dans les escaliers et déboule sur la terrasse, le cœur palpitant d'un mélange délicieux d'effroi et d'excitation. Appuyée contre la porte du cagibi menant à l'escalier, elle tente de se calmer en respirant profondément. Elle fait ensuite le tour de la petite cabane et constate avec joie que Jeanjean avait mis le parasol en place au-dessus de la chaise longue.
"Ils sont pas si méchants en fait! Un peu rustre et naïfs, surement, mais pas méchant!" Sous la douce chaleur du soleil, Julie décide de prendre un peu de bon temps et, repensant à son micro bikini encore dans son sac, elle se dirige vers la salle d'eau pour s'y changer. Elle referme la porte derrière elle et constate que de nouveau, cette pièce est tout aussi dépourvue de verrou, et pour permettre un accès à la pièce, cette porte aussi s'ouvre vers l'extérieur.
Bon gré mal gré, l'adolescente retire sa robe, déconnecte les boucles de ses piercings, dégrafe le collier à sa taille et dans un soupir de bonheur retire une à une les boules anales encore enduites de vaseline. Elle se regarde dans le miroir, retire l'élastique qui emprisonne encore ses cheveux, et le passe autour de son poignet droit.
Ensuite, elle ouvre son sac à main, en extrait le deux pièces et, une fois les boules dégraissées avec un peu de papier toilette, range ses bijoux dans la pochette aux côtés de son vibro de voyage, cadeau lui aussi de Monsieur Louis. Elle passe ensuite, pour la première depuis qu'il lui a offert, le micro maillot de bain en provenance du sexshop.
Le bas n'est autre qu'un micro string ficelle blanc, au minuscule triangle en mesh quasi transparent couvrant à peine le pubis de la belle. Quant à la ficelle de coton très doux, elle se loge confortablement entre les lèvres gonflées de Julie et contre sa pastille encore détendue.
Le haut quant à lui n'est composé que de deux minuscules triangles en mesh eux aussi et juste assez grands pour couvrir les tétons percés de Julie et laissant apparaître le pourtour de ses aréoles. Elle en attache les ficelles de coton derrière la nuque et dans le dos, et ajuste les deux triangles sur les deux protubérances percées de ses tétons.
"Putain, si j'étais un mec, je me baiserais directe!" Se dit-elle, admirant son look d'allumeuse dans le miroir. La petite asiat' attrape la serviette de toilette et essaye de l'attacher autour de sa poitrine, mais ce n'est pas une serviette de bain, et elle doit abandonner tout espoir de faire le tour de son corps. Elle ressort donc de la salle d'eau dans cette nouvelle tenue de salope et s'allonge sur le transat après avoir déposé sa serviette et son sac sur une chaise plastic toute proche.
Le froid du plastic lui procure un frisson, et le parasol, parfaitement installé, protège son doux visage des rayons du soleil. Julie se détend alors confortablement, le corps bien chauffé par les doux rayons, et se laisse aller à repenser à sa journée et aux nouveaux hommes avec qui elle partage sa vie. Loin de se douter des manigances que Jeanjean est en train de concocter dans son cerveau pervers, elle les trouve tous touchants à leur manière, même ce gros porc de Raymond. "Raymond..." Pourquoi pense-t'elle à ce goujat?
"Raymond..." La belle commence à se caresser les cuisses en repensant aux grosses mains du routier bourru. "Putain, il s'en est fallu de peu pour que ce porc me doigte la chatte!" Les sensations des gros doigts remontant son entrejambe, Momo qui la tient par le pendentif tirant sur ses tétons durcis par les frissons alors que l'autre gros sac est sur le point de faire sortir une boule de son cul.
Machinalement, l'adolescente remonte sa main droite sur son pubis et de sa main gauche, elle commence à caresser un mamelon à travers le frêle tissu du "soutien gorge". Elle écarte le triangle quasi transparent et libère son téton, puis joue avec l'anneau en tirant dessus, imaginant le vieux Momo lui faire du bien. Sa main droite remonte le long de sa cuisse et caresse son clitoris au travers du léger string. Les mouvements rotatifs de ses doigts autour de son bouton, tirent sur la ficelle qui s'enfonce dans la fente humide de sa chatte.
"Raymond..." Pourquoi est-ce que ce gros porc la met dans ces états? Elle se pince le mamelon, le tord, l'anneau qui le perce lui envoie des décharges de plaisir à travers le corps. La petite dégage la ficelle du string, écarte ses grandes lèvres entre son index et son annulaire, et se branle le clitoris à trois doigts. Sa chatte dégouline de cyprine, et l'adolescente y insère ses doigts sans difficulté.
Elle se branle maintenant avec vigueur, tirant sur son sein gauche pour se téter le mamelon hypersensible par ses caresses. Hystérique, la jeune nymphomane a besoin d'une bonne grosse bite, elle cherche à l'aveugle son sac de la main gauche, et en sort son vibro de voyage. La main droite fourrée dans la chatte à se branler avec vigueur et dextérité, la belle allume l'appareil qui se met à vibrer dans sa main gauche. Elle applique le bout de métal sur son bouton gorgé de sang par l'excitation et hypersensibilisé par le piercing.
-HUN... HUN... Ouuuuuuuu... Aaaah AaaaH AaaaH!!!!
Elle est sur le point de jouir. "Encore un peu... HUN... HUN... Ça vieeeeent..." L'adolescente accélère le mouvement de sa main dans sa vulve, appuie le vibro sur le petit anneau qui amplifie les vibrations dans son clito. Elle se mord la lèvre inférieure sous les vagues de plaisir qui l'envahisse.
Tout à coup, un bruit strident derrière elle la sort de sa bulle de jouissance <COUIIIC...> "Putain de merde..." Le grincement l'interrompt brutalement dans son plaisir, juste au moment où elle allait jouir comme une folle. Le cœur battant la chamade, paniquée, l'ado remet en place les deux triangles de tissu. Elle a tout juste le temps d'éteindre le vibro et de le cacher sous son cul quand une ombre approche de sa droite et se dessine sur son corps.
Une porte aux carreaux fumés s'ouvre derrière le bar, laissant s'échapper une forte odeur de tabac froid et de fumée de cigare. En sort un gros bonhomme, la soixantaine, un cigare à moitié mâchouillé au coin de la bouche, le crâne dégarni mal recouvert d'une mèche de cheveux gras, la chemise trop étroite et à moitié débraillée laissant apparaitre sa grosse bedaine entre les boutons.
Interloqué par la petite bombe qui se tient timidement sur le seuil de sa porte, en contraste complet avec le style du lieu, le gros arrive tout de même à baragouiner un début de question:
-Qu'est-ce qu'on peut faire pour la p'tite dame?
-Bonjour, euh... je cherche Mr. Maurice, c'est Jeannot qui m'envoie, il me dit que je pourrais peut-être faire le service en échange d'une chambre pour la nuit.
-Ah mais t'es la p'tite Julie. C'nigau d'Jeannot m'avait pas dit qui m'envoyait un p'tit lot bien roulé! Y parait qu't'as fait l'service chez Marco?
-Oui c'est ça! Je me débrouillais plutôt bien même.
-Ouais j'vois bien comment tu d'vais te débrouiller. Bon écoute c'est simple, si ton p'tit cul peut m'faire v'nir du client, j'veux bien t'prendre. Les affaires, c'est pas tout à fait ça en ce moment...
-Je peux faire un essai ce midi si vous voulez, et si je vous conviens est-ce que vous m'autorisez à rester ici ce soir?
-HUMPH... Ouais, pourquoi pas, y pas beaucoup de clients mais on peut voir c'que tu vaux avec le temps.
Il fait mine de réfléchir quelques instants, puis il lance:
-Bon allez, p'tit cul, ramène tes miches j'te montre où tu pourras crêcher ce soir. Et après, tu prépareras la salle pour ce midi. Le service du soir, y en q pqs en ce moment. Donc si tu fais un seul service par jour, je pourrai juste te loger, si t'as b'soin de tunes, faudra qu'tu trouves aut' chose.
-Oui je vois, ça fera l'affaire pour le moment.
"Nickel, pas de contrat, pas d'obligation, j'me casse dès que je trouve autre chose" Ce poids enlevé de ses petites épaules, l'adolescente se sent un peu revivre, bien qu'elle s'inquiète un peu de la tournure que va pouvoir prendre le service à venir, sa tenue convenant mal à un service complet.
-Bon tu l'bouges ton p'tit cul? Y a pas beaucoup de clients, mais va falloir s'bouger tout d'même...
L'invective la sort de ses pensées et elle suit Mr. Maurice dans ... "L'atelier????"
-Alors v'là Jeanjean, le fiston. C'crétin passe son temps entre son banc d'muscu' et sa caisse pourrie. Mais c'est un brave garçon, un peu nœud nœud mais bien brave ... Eh grand con, j'te présente Julie, elle va v'nir me filer un coup de main l'midi.
Le grand barraqué se redresse de son mètre quatre-vingt quinze et se tourne vers la petite Julie, pas très beau garçon avec ses balafres et ses longs cheveux gras tenus par un élastique, mais taillé à la serpe:
-Bonj... Wow putain, où est-ce que t'as trouvé ça le vieux? Tu viens du bois là ou quoi?
-Euh ... non, c'est un peu compliqué... Lui répond la jeune fille embarrassée.
-Ben merde y a du monde au balcon, c'est sûr!
-Bon arrête tes âneries, elle est là pour bosser, pas pour te sucer la bite. Allez toi, suis moi, que j'te montre ta piaule.
Il la conduit au fond de l'atelier sur la gauche, et ouvre une porte sur un petit cagibi où se trouvent un lit, une table de nuit, une commode à tiroir, un vieux fauteuil un peu mité, le tout éclairé par un plafonnier et un grande fenêtre donnant sur la forêt, derrière le bâtiment.
-J'avais fait cette extension à l'époque, au cas où un chauffeur avait besoin d'un bon lit, mais d'nos jours leurs bahuts sont tellement confortables qu'ils préfèrent y dormir. Y z'ont l'internet pour leurs pornos, leur mini bar, tout l'tremblement quoi. Donc v'là tout c'que j'peux t'proposer.
-Ben écoutez, je vous remercie bien pour votre hospitalité. "En même temps c'est pas comme si j'avais le choix!" Et où est-ce que je peux me laver du coup?
-Viens, j'te montre.
Il la conduit à la porte adjacente, ouvrant sur un escalier montant apparemment à l'étage. Il la précède et la conduit en haut d'une volée d'escaliers, donnant sur une porte ouvrant sur une terrasse. "HUM... Bizarre, il est passé devant moi, il n'a même pas profité de la situation pour me mater le cul!" La jeune fille n'est pas habituée à ce qu'un mec ne lui reluque pas les fesses à la première occasion. Ils se retrouvent alors sur une terrasse au deuxième étage, de la surface du bâtiment et donnant directement sur la forêt en contrebas, et isolant l'avant du garage grâce à une rangée de pare-vues.
Sur la gauche, au-dessus du restaurant et du logis de la famille, elle remarque une sorte de cabine aux grandes baies vitrées opacifiées. Suivant le regard de la jeune fille, le vieux tend un doigt distrait vers le petit bâtiment.
-C'est là qu'mon Jeanjean fait sa gonflette. Et là sur la droite, c'est ta salle d'eau et tes chiottes!
Ils se dirigent tous deux vers une porte sur la droite de la cabine. Maurice l'ouvre et la fait entrer dans une petite pièce attenante à la salle de muscu de son fils, où se trouvent un wc, une douche sur la gauche, un simple bac entouré d'un vieux rideau plastic et équipé d'un pommeau couvert de calcaire. En face, elle voit le lavabo, lui aussi couvert des même résidus blanchâtres. Une fenêtre, sur la droite, apporte un surplus de lumière au petit plafonnier et au néon surplombant le miroir niché au-dessus du lavabo.
-Bon c'est pas un palace, mais les draps de ta chambre sont propres. Ici t'as même l'eau chaude, et je change la serviette de toilette toutes les semaines.
-Oui oui, merci beaucoup. C'est très bien, vous inquiétez pas. "Putain, si ce salaud d'Alex m'avait pas fait venir chez lui pour me lourder si sec, je pourrais encore être chez Marco, au lieu de ce trou pourri."
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, la belle asiatique lui fait son plus beau sourire et le remercie encore. Ils repartent vers l'escalier, et Julie remarque une chaise longue sur sa droite. Son nouvel hôte la remarque et lui précise:
-Lorsque tu as fini ton service, tu pourras venir te dorer la pilule ici si tu veux. J'demanderai au grand con de te préparer un parasol.
Ils redescendent et repassent de nouveau dans la salle à manger où Maurice lui montre où se trouvent nappes, assiettes, verres, et couverts. La jeune fille passe la demi heure suivante à préparer la salle dans sa petite robe exposant ses formes magnifiques à Jeanjean, qui a délaissé son bolide et se régale de ce spectacle improvisé. Maurice réparait et vérifie le travail de sa nouvelle serveuse:
-Bon c'est pas mal tu te débrouilles en effet très bien, mais si j'peux m'permettre une remarque, il faudrait q'tu t'attaches les ch'veux, on est dans une maison respectable ici, et l'hygiène c'est important!
"Quoi? Mes cheveux, mais c'est un sketch là? Son débile de fils me reluque les seins pendant une demi heure et lui y veut que j'mattache les cheveux? Heureusement pour lui que j'ai pas le choix!" Julie se contente de ravaler sa fierté, et veut profiter de l'occasion pour s'isoler un peu et retirer les boules dans son cul et toutes les petites chainettes qui oscillent avec les mouvements de son corps et de ses grosses mamelles. Ce mec qui la mâte, le mouvement des petites chaines sur sa peau, les trois boules qui lui massent l'intérieur. Malgré sa situation précaire, Julie sent sa chatte s'humidifier et son envie d'une bonne queue augmenter.
-Je peux aller me rafraîchir? J'en profiterai pour me faire une natte!
-Nan me p'tite, pas le temps, tes premiers clients arrivent. Toi l'grand, file lui ton élastique qu'elle s'attache les cheveux bien haut.
"Merde..." Déçue que son subterfuge ait échoué, elle s'approche de Jeanjean qui lui tend son élastique et, faisant face au miroir derrière le bar, elle décroche sa barrette et attache ses longs cheveux bien haut sur le crâne, dévoilant ses trois tatouages dorsaux d'un coup.
-Oh putain p'pa, j'peux faire le bar c'midi?
-Ben tiens! Bon OK, comme ça j'pourrai m'occuper d'ma paperasse.
Il présente vite fait le menu à Julie. Plutôt simple, il ne se compose que de quelques sandwichs préparés sur le pouce au bar, plusieurs desserts tous prêts et les boissons servies par Jeanjean devenu barman pour l'occasion.
<DING DING> Les deux seuls clients, les deux chauffeurs du parking apparemment, entrent ensemble dans le restaurant plaisantant d'une blague que la belle n'a pu entendre. Elle les accueillent d'un bonjour illuminé de son sourire radieux.
-Oh putain Jeanjean, c'est ta nouvelle gonzesse qui nous sert ou quoi? Plaisante le plus gros des deux.
Un bibendum hirsute, la barbe drue de deux jours encadrant son double menton, vêtu simplement d'un marcel, d'un short, et sandales/chaussettes aux pieds. "putain les beauf'... Mais dans quelle galère tu t'es fourrée ma vieille?"
-Déconne pas Raymond, si c'était ma meuf' j'te laisserais pas t'en approcher de si près.
-Ha ha ha ha... Bien vu p'ti! Momo, tu bouffes avec moi?
-Ouais, mais moi j'becte rien, sert moi juste un demi pression!
-OK Pas d'probs' ... Julie?
L'adolescente se tourne en direction du bar pour y prendre un plateau, la carte et le demi que Jeanjean est en train de servir.
-Putain mate moi si joli p'tit cul! Attends moi ici.
Julie entend le bruit de chaise glissant sur le carrelage et observe le gros Raymond se relever pour venir en direction du bar. "Grouille toi de servir c'te putain d'bière que j'puisse éviter ce gors porc!" Mais peine perdu, le verre est encore à moitié vide quand le gros sac en marcel s'approche de la belle, l'haleine aux relents fétides du réveil. <CLAC> Il lui claque un main sur son joli petit cul dénudé sous le tissu lâche du drapé.
-T'es vraiment une belle petite garce dis-moi avec tes airs de salope bonne à fourrer! Qu'est-ce que ça veut dire...
Il se recule un peu pour lui reluquer le bas des reins.
-...SPERM ADDICT? Avec un accent français à y accrocher son manteau, et caressant doucement le haut des cuisses de la petite chienne.
-Euh... La belle ne sait pas trop quoi répondre.
-C'est une ... Tente de répondre machinalement Momo qui ne comprend pas pourquoi son collègue ne sait pas traduire un terme aussi basic. Mais Raymond le coupe sec.
-TSK C'est à la p'tite que j'pose la question.
C'est la première fois que Julie est embarrassée par ce tatouage, et sans un Marco ou un Alex pour la protéger, elle va devoir lui répondre. Si elle y ajoute la proximité de cet ours mal léché, la moiteur de ses grosses paluches caressant ses cuisses dénudées, et le chapelet de boules dans son cul, tous les ingrédients sont en place pour la faire mouiller. "Oh putain c'est pas vrai! Pas maintenant!" Elle sent des fourmis dans sa chatte, une chaleur se propager dans son ventre, son clito la démange, elle pourrait presque le sentir gonfler. "Mais c'est pas vrai! Mais c'est pas vrai! Pourquoi t'enlèves pas tes mains, gros porc?"
-Euh... C'est... Euh... une personne qui ne peut... Euh... se passer de... Euh... Sperme. Lui sort-elle à voix basse.
La main caressant toujours ses cuisses douces, il tourne la tête vers son collègue.
-T'entends ça Momo? On dirait qu'on s'est trouvé une bouffeuse de jute!
Il commence alors à remonter sa grosse paluche dans l'entrecuisse de l'adolescente, et se rapproche dangereusement de la chatte ouverte et déjà humide de Julie, quand tout à coup, comme pour la sauver de cette situation délicate, Jeanjean annonce:
-C'est bon tu peux lui amener sa bière!
"OUF! C'était moins une!" La gamine fait un demi tour sur la gauche et contourne le gros routier pour aller servir son pote. Le gros Raymond suit la belle et se rassoit à table pour prendre sa commande. Julie prend note et retourne au bar préparer le plateau. Pendant que Jeanjean prépare les boissons, Julie s'affère au sandwich et quelques minutes plus tard, le repas est prêt à être servi.
La jeune serveuse fait le tour du zinc et récupère le plateau. Avec deux boissons, le casse croûte, les frites et le dessert, Julie est un peu désarçonnée par le déséquilibre d'un tel service. Plus habituée à distribuer des boissons, elle doit utiliser ses deux mains pour maintenir le tout en équilibre.
Elle est contrainte de se pencher vers l'avant pour déposer le repas sur la table de ses clients. Dans cette position, elle contente en une fois trois mecs qui n'ont pas les yeux dans leur poches. Le barman se régale de la chute de rein de la belle asiat' et remarque pour la première fois le reflet d'argent des maillons longeant la raie du cul de la jeune serveuse.
Quant aux deux clients, ils se régalent à la vue des grosses mamelles oscillantes dans l'entrebâillement du drapé plongeant. Raymond contemple sans vergogne la rondeur du gros sein sous son nez et remarque alors le collier qui passe bizarrement sous le tissu de la robe. Mais il décide de garder pour lui la remarque qu'il était sur le point de faire à sa serveuse si sexy.
Dans une étonnante politesse, il remercie la belle qui peut enfin s'éloigner de cette ours mal léché. Le repas se passe très vite, Momo commande son troisième demi et Raymond se contente d'un verre de vin pour accompagner la fin de son repas.
Au fur et à mesure Julie les débarasse et repasse à chaque fois derrière le bar pour faire sa vaisselle au fur et à mesure, une habitude qu'elle avait prise chez Marco. Ça lui éviterait de passer plus de temps qu'il n'en faut avec ces porcs. Elle n'entend pas tous ce qu'ils se disent mais elle se doutent bien à leur regard lubrique qu'ils lui reluquent les seins alors qu'elle s'affaire à sa vaisselle.
Après avoir bu leurs cafés, alors que Julie pensait qu'ils allaient prendre congé, elle prend l'initiative de venir débarrasser leur tasse et de passer un coup de lavette sur la table. Mais loin de partir, ils se contentent de tourner leurs chaises pour mieux faire face au décolleté de la belle. Il lui reluquent ouvertement les seins oscillant de gauche à droite, entrainant dans leur mouvement le collier d'or blanc.
-Dis-moi Momo! Tu trouves pas qu'y a un truc bizarre avec tous ses colliers? ...
"Mes colliers? Mais de quoi il parle ce con?" Julie ne comprend pas trop où il veut en venir sur le moment. Ce n'est que lorsque Momo tend la main vers son décolleté, et qu'elle sent la paluche de Raymond remonter le long de ses cuisses, qu'elle comprend!
Ils ont repéré les chainettes attachées à ses piercings, et apparemment le gros Raymond entend bien découvrir ce qui se cache dans son cul. Elle veut s'esquiver mais Momo tiens déjà les trois chaines attachées à ses piercings. La jeune fille ne peut se dégager des deux hommes, les anneaux au bout de ses mamelons font leur office et déclenchent une vague de frissons sur ton son corps.
-Hey mate moi ça vieux, ça lui fait de l'effet.
Momo tend le tissu du drapé sur le sein gauche de la serveuse, faisant deviner le mamelon tout dur de la belle. Il passe ensuite sa main sous le tissu, et pince le gros mamelon en le faisant tourner. Instantanément, Julie se cambre en arrière les deux mains en appui sur la table. Son petit cul se tend en arrière, libérant la chainette qu'elle essayait de garder entre ses lobes fessiers depuis le début du service. Raymond, glisse son doigt entre les fesses ouvertes, et commence à tirer sur la chaine à laquelle est ancré le chapelet anal.
-HUN... Julie se mord la lèvre inférieure désarçonnée par la vague de désir provoquée par ses tétons étirés et triturés par Momo. Et, pour couronner le tout, la première boule est sur le point de sortir de son anus.
Le gros porc rapproche dangereusement ses doigts jusqu'à la pastille de la belle, tout en maintenant une certaine tension sur la chaine.
-Me dis pas que... Il tire un peu plus et sent la première boule à l'orée du sphincter anal.
-Putain mais t'es une vraie...
<DING DING> Sauvée par le gong! La porte d'entrée s'ouvre sur un livreur poussant devant lui deux valise.
-Excusez-moi, je cherche une Mademoiselle Julie Ixsse.
Distraits pendant une fraction de seconde, les deux compères relâchent leur prise. Julie en profite pour se dégager et se redresse en direction de son sauveur.
-Oui... HUM HUM... Elle s'éclaircit la gorge. Oui c'est moi!
-Tenez, vous pouvez me signer ça? C'est pour vous.
La belle s'éloigne de la table avec son plateau, les tasses et sa lavette, ressert les fesses en marchant pour ne pas laisser s'échapper la première boule de son chapelet, et signe de sa main libre le bon de livraison. Le jeune homme, éberlué par cette beauté, lui tend maladroitement une enveloppe non cachetée, dans laquelle Julie trouve un message manuscrit par Alex:
<Encore désolé ma belle, mais heureusement que tu es partie, j'ai eu juste le temps de préparer ces valises et de contacter Nono, qui m'a donné cette adresse. J'y ai mis toutes tes affaires, et j'espère que tu seras bien là pour les recevoir. Je pars dans l'urgence, les mecs dont je te parlais ce matin viennent d'arriver avec du renfort. Je disparais pour le moment et je te contacte dès que possible pour qu'on termine notre discussion. Bon courage! Et encore désolé!>
Perdue dans ses pensées et ses regrets de ne pas avoir su mieux gérer la situation avec Alex, elle n'entend pas les deux camionneurs se lever de table. Elle est ramenée à la réalité lorsque le gros Raymond lui calque la fesse droite en passant derrière elle.
-Bon c'est pas tout ça, j'ai encore du taffe et Momo doit reprendre la route. À plus ma belle! Hey grand, t'as c'que j't'ai d'mandé?
Julie n'avait même pas noté que Jeanjean n'était plus derrière le bar. Il ressort de l'atelier, trois flacons en plastic à la main, deux blancs et un bleu, qu'il tend à Raymond.
-T'as du bol vieux, c'est mes dernières doses. La prochaine fois, préviens à l'avance.
-Ben t'es marrant toi, j'pouvais pas deviner. Il se tourne vers la belle, lui lance un petit clin d'œil, un sourire vicieux au lèvres.
Il sort de son caleçon une liasse de billets, et paye Jeanjean. Julie ne comprend pas vraiment la scène qui se joue devant elle, mais à la vue des billets, elle se tourne vers la table sur laquelle trône une petite coupelle avec la note et le règlement. Délaissant le groupe de vicelards, elle retourne à sa table et récupère l'argent et la note pliée autour d'un billet de 10€. La serveuse retourne à la caisse, et curieuse déplie le bout de papier sur lequel elle peut lire:
<Je repars dans cinq heures, si tu veux te faire un petit extra vient me rejoindre, dans la même tenue, derrière mon bahut. Raymond>
"Y manque pas d'air ce gros porc!" Julie récupère son pourboire au moment où Mr. Maurice sort de son bureau.
-Eh ben dis donc, on dirait en effet que tu connais ton job, c'est pas commun les pourliches dans un bouiboui comme le mien.
-Merci Monsieur. Je viens de recevoir mes bagages, est-ce que je peux aller dans ma chambre et me faire un brin de toilette?
-Oui bien sûr, p'ti cul. Comme je te l'ai dit, j'ai besoin de toi le midi. Une fois qu't'as fini tu fais c'que tu veux d'ton cul.
Presque soulagée de pouvoir enfin retrouver un peu d'intimité, elle prend congé de son nouveau patron, attrape ses valises et traverse l'atelier, étonnamment désert, pour se rendre dans sa chambre. Elle se déchausse, range ses valises et referme la porte derrière elle. Instinctivement, elle cherche la clé pour s'isoler, mais elle en est dépourvue. Et la petite ne voit nul par un moyen de bloquer sa porte qui en plus a la bonne idée de s'ouvrir vers l'extérieur. "Merde c'est bien ma veine ça!"
Contemplant les deux valises préparées par Alex, elle se rend compte qu'un des avantages d'avoir des micro fringues c'est que ça ne prend pas de place. Elle ouvre la plus petite valise sur son lit, et constate que c'est celle où se trouve toute sa garde robe. Ensuite elle se retourne, allonge la deuxième valise, plus grosse mais plus légère, sur le sol. Elle l'ouvre à son tour et y trouve tous ses escarpins, et sur le côté dans un compartiment, elle voit tous ses sextoys, les gros godes trônant au-dessus de tout le reste.
<KNOCK KNOCK>-Euh... Julie? C'est Jeanjean...
"C'est peut-être des porcs, mais au moins ils sont polis"-Oui entre!
-Voilà... Euh... J'me disais, comme t'as pas de volets ou d'rideaux et que l'vieux y t'en mettra pas, voilà... Y m'reste du film opacifiant pour les voitures, je peux couvrir ta f'nêtre si tu veux?
-Ah ben... Euh, ouais j'y avais pas pensé, mais ce serait cool en effet.
-Si tu veux j'te l'fais maintenant, après j'dois descendre en ville et je s'rai plus dispo.
-Ah ben OK alors, c'est vraiment sympa. Du coup j'te laisse faire, j'vais prendre un peu le soleil en attendant. "Merde, v'là que j'parle comme eux!"
Julie se retourne pour attraper son sac à main et constate avec effroi que la valise où se trouve ses godes est encore ouverte. De panique elle la ferme précipitamment et comme elle a déjà accepté la proposition du nigaud, n'a d'autre choix que de s'éclipser de la chambre pour laisser la place à Jeanjean. "Pourvu qu'il ait rien vu!"
Elle ne le sait pas encore, mais Jeanjean a bien vu les formes phalliques dans la valise. Le sourire aux lèvres, il se réjouit de l'idée qu'il a eu de lui installer des films opacifiant. S'il ne se goure pas en les installant, la petite salope ne pourra pas voir ce qui se passe dehors, alors que de l'extérieur, on voit très bien l'intérieur de la pièce.
Quelque peu paniquée, la jeune fille se précipite dans les escaliers et déboule sur la terrasse, le cœur palpitant d'un mélange délicieux d'effroi et d'excitation. Appuyée contre la porte du cagibi menant à l'escalier, elle tente de se calmer en respirant profondément. Elle fait ensuite le tour de la petite cabane et constate avec joie que Jeanjean avait mis le parasol en place au-dessus de la chaise longue.
"Ils sont pas si méchants en fait! Un peu rustre et naïfs, surement, mais pas méchant!" Sous la douce chaleur du soleil, Julie décide de prendre un peu de bon temps et, repensant à son micro bikini encore dans son sac, elle se dirige vers la salle d'eau pour s'y changer. Elle referme la porte derrière elle et constate que de nouveau, cette pièce est tout aussi dépourvue de verrou, et pour permettre un accès à la pièce, cette porte aussi s'ouvre vers l'extérieur.
Bon gré mal gré, l'adolescente retire sa robe, déconnecte les boucles de ses piercings, dégrafe le collier à sa taille et dans un soupir de bonheur retire une à une les boules anales encore enduites de vaseline. Elle se regarde dans le miroir, retire l'élastique qui emprisonne encore ses cheveux, et le passe autour de son poignet droit.
Ensuite, elle ouvre son sac à main, en extrait le deux pièces et, une fois les boules dégraissées avec un peu de papier toilette, range ses bijoux dans la pochette aux côtés de son vibro de voyage, cadeau lui aussi de Monsieur Louis. Elle passe ensuite, pour la première depuis qu'il lui a offert, le micro maillot de bain en provenance du sexshop.
Le bas n'est autre qu'un micro string ficelle blanc, au minuscule triangle en mesh quasi transparent couvrant à peine le pubis de la belle. Quant à la ficelle de coton très doux, elle se loge confortablement entre les lèvres gonflées de Julie et contre sa pastille encore détendue.
Le haut quant à lui n'est composé que de deux minuscules triangles en mesh eux aussi et juste assez grands pour couvrir les tétons percés de Julie et laissant apparaître le pourtour de ses aréoles. Elle en attache les ficelles de coton derrière la nuque et dans le dos, et ajuste les deux triangles sur les deux protubérances percées de ses tétons.
"Putain, si j'étais un mec, je me baiserais directe!" Se dit-elle, admirant son look d'allumeuse dans le miroir. La petite asiat' attrape la serviette de toilette et essaye de l'attacher autour de sa poitrine, mais ce n'est pas une serviette de bain, et elle doit abandonner tout espoir de faire le tour de son corps. Elle ressort donc de la salle d'eau dans cette nouvelle tenue de salope et s'allonge sur le transat après avoir déposé sa serviette et son sac sur une chaise plastic toute proche.
Le froid du plastic lui procure un frisson, et le parasol, parfaitement installé, protège son doux visage des rayons du soleil. Julie se détend alors confortablement, le corps bien chauffé par les doux rayons, et se laisse aller à repenser à sa journée et aux nouveaux hommes avec qui elle partage sa vie. Loin de se douter des manigances que Jeanjean est en train de concocter dans son cerveau pervers, elle les trouve tous touchants à leur manière, même ce gros porc de Raymond. "Raymond..." Pourquoi pense-t'elle à ce goujat?
"Raymond..." La belle commence à se caresser les cuisses en repensant aux grosses mains du routier bourru. "Putain, il s'en est fallu de peu pour que ce porc me doigte la chatte!" Les sensations des gros doigts remontant son entrejambe, Momo qui la tient par le pendentif tirant sur ses tétons durcis par les frissons alors que l'autre gros sac est sur le point de faire sortir une boule de son cul.
Machinalement, l'adolescente remonte sa main droite sur son pubis et de sa main gauche, elle commence à caresser un mamelon à travers le frêle tissu du "soutien gorge". Elle écarte le triangle quasi transparent et libère son téton, puis joue avec l'anneau en tirant dessus, imaginant le vieux Momo lui faire du bien. Sa main droite remonte le long de sa cuisse et caresse son clitoris au travers du léger string. Les mouvements rotatifs de ses doigts autour de son bouton, tirent sur la ficelle qui s'enfonce dans la fente humide de sa chatte.
"Raymond..." Pourquoi est-ce que ce gros porc la met dans ces états? Elle se pince le mamelon, le tord, l'anneau qui le perce lui envoie des décharges de plaisir à travers le corps. La petite dégage la ficelle du string, écarte ses grandes lèvres entre son index et son annulaire, et se branle le clitoris à trois doigts. Sa chatte dégouline de cyprine, et l'adolescente y insère ses doigts sans difficulté.
Elle se branle maintenant avec vigueur, tirant sur son sein gauche pour se téter le mamelon hypersensible par ses caresses. Hystérique, la jeune nymphomane a besoin d'une bonne grosse bite, elle cherche à l'aveugle son sac de la main gauche, et en sort son vibro de voyage. La main droite fourrée dans la chatte à se branler avec vigueur et dextérité, la belle allume l'appareil qui se met à vibrer dans sa main gauche. Elle applique le bout de métal sur son bouton gorgé de sang par l'excitation et hypersensibilisé par le piercing.
-HUN... HUN... Ouuuuuuuu... Aaaah AaaaH AaaaH!!!!
Elle est sur le point de jouir. "Encore un peu... HUN... HUN... Ça vieeeeent..." L'adolescente accélère le mouvement de sa main dans sa vulve, appuie le vibro sur le petit anneau qui amplifie les vibrations dans son clito. Elle se mord la lèvre inférieure sous les vagues de plaisir qui l'envahisse.
Tout à coup, un bruit strident derrière elle la sort de sa bulle de jouissance <COUIIIC...> "Putain de merde..." Le grincement l'interrompt brutalement dans son plaisir, juste au moment où elle allait jouir comme une folle. Le cœur battant la chamade, paniquée, l'ado remet en place les deux triangles de tissu. Elle a tout juste le temps d'éteindre le vibro et de le cacher sous son cul quand une ombre approche de sa droite et se dessine sur son corps.
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