Julie - Une nouvelle vie: Défilé dans la cité (Partie 20) - I - histoire érotique

===== Bon comme ce chapitre de Julie est super long il avait été coupé, voici donc une nouvelle version pour tous les fans de notre petite asiat': la belle nympho est de retour pour une nouvelle escapade sexuelle, bonne lecture! ^^ ===== Deux jours après la séance éreintante d’élargissement de ses trous dans la cave morbide du sex-shop, Julie se réveille et étire son corps revigoré par un repos bien mérité. Non seulement ses trous ont repris une forme presque normale, mais Marco lui a généreusement accordé deux journées de repos lorsqu’il l’aperçut boîter au service suivant.

Après une bonne douche, elle s’active dans l’appartement, nue sous sa serviette de coton, ses longs cheveux noirs séchant à l’air libre. Une fois l’appart rangé, elle se pose devant son café et sa tartine, et parcourt les dernières notifs de ses comptes insta préférés quand elle tombe sur un piercing de nombril.

Le souvenir de la conversation de Dimitri avec sa sexfriend remonte instantanément à la surface, accompagné de cette frustration qu’elle ressent à chaque fois qu’elle repense à son tatoueur: “Au fait, c’est quoi un labia?” se demande-t’elle en parcourant les différentes descriptions de piercing.

Elle effectue quelques recherches sur Internet et après quelques corrections sur ses critères, elle trouve sa réponse. A l’opposé du piercing labial qui se positionne à divers endroits de la lèvre buccale, le labia se trouve plutôt sur les plis vaginaux.

“Et si?” Une idée est en train de germer dans l’esprit frustré de la jeune asiatique! “Il veut de l’originalité?” Après constatation que tous les labiae qu’elle trouve se font sur les grandes lèvres, elle lui demanderait bien de lui percer les deux petites lèvres! Mais voilà? Comment aborder le sujet?

Pour l’heure, la belle n’est pas peu fière de son plan et elle prend une dernière gorgée de café, un sourire coquin sur les lèvres à l’idée de se faire percer par son tatoué de colocataire : “Bon, il est temps de se faire belle!”
Les jours qui suivent se ressemblent un peu, la jeune fille fait quelques recherches pour ne pas paraître trop cruche lorsqu’elle en discutera avec Dimitri et entre deux services, elle vérifie l’état de ses orifices. Elle ne veut pas avoir la vulve trop “hall de gare” lorsqu’il lui placera les prothèses.

Le seul vrai regret qu’elle ait reste l’absence de contact avec ce salaud de Dimitri. Avec le décalage entre ses heures au PMU et celles nocturnes du tatoueur perceur, elle n’arrive pas à le coincer et elle est trop crevée après son service pour l’attendre jusqu’à des heures impossibles.

En cette fin de semaine, alors qu’elle finit de préparer le repas en attendant l’arrivée de son père avec qui elle a accepté de passer le week-end, la belle remarque son téléphone s’illuminer au loin dans le salon.

Alors que ces derniers jours avaient été reposant pour la belle brune, ne plus avoir à se soucier de la réputation de Lilie, ne plus être à la merci du gros rital, isolée de la brutalité des turcs, cette lumière dans le salon la ramène à la réalité.

Elle, qui avait pu, l’espace de quelques jours, se concentrer sur elle-même et ses propres besoins doit à nouveau répondre à ses engagements, et mettre son désir entre parenthèses.
Nue dans la pénombre de l’appartement illuminé par les lumières de la nuit, elle attrape son appareil et lit le message: “Prochain tournage lundi 14h00. RDV demain 10h00 au labo pour le test VIH/MST.

Je t’enverrai l’adresse plus tard!” Un petit frisson d’excitation lui parcourt le dos, un sourire lui vient aux lèvres. Elle tapote sur son clavier: “Besoin d’une tenue?”, lorsqu’elle appuie sur envoi, elle a déjà une idée de comment elle se présentera lundi. La coquine sait déjà ce qu’elle va réclamer à son père, elle a repéré une magnifique petite robe qui devrait faire son petit effet.

Alors qu’elle va dans sa chambre se préparer pour la soirée, le téléphone s’illumine à nouveau: “Nan on a ce qui faut, ramène juste ton petit cul d’asiat, et un test nickel’”. Comme ça les choses sont claires, elle n’aura pas le choix de sa tenue, donc quitte à perdre le contrôle. “Autant que je me fasse plaisir alors!” se dit-elle d’un hochement d’épaules, et ce n’est pas comme si elle n’avait pas mérité un petit cadeau de son paternel.

Quelques heures plus tard, après un bon petit repas partagé entre père et fille, Julie tente une première approche pour convaincre Eric de lui offrir la petite robe blanche qu’elle avait repérée dans le magasin de la soeur à Michel. Mais même sa dextérité à sucer son père après le repas, à s’offrir à lui pour la nuit et à lui administrer une pipe des plus gourmandes à son réveil, ne suffisent pas à amadouer Eric qui refuse catégoriquement de faire plaisir à sa fille.

Devant l’insistance pourtant adroite et la gourmandise des prestations de Julie, le bougre ne bronche pas et lui refuse toute considération quant à l’achat de sa petite robe:
-Tu vas pas me forcer la main comme ta mère!
-Mais papa! Sérieux, elle est faite pour moi cette robe!

Elle avait tenté le tout pour le tout, et nue dans ses stilettos qui les avait tant ravi lui et les turcs le soir de l’emménagement, elle s’essaye à une ultime tentative de séduction:
-Tu me laisserais y aller comme ça? .... Toute nue? Une légère moue tristounette pour l’amadouer.
-Vous croyez vraiment que vous pouvez toujours obtenir tout ce que vous voulez? Conclue-t’il en colère.

Il se lève et attrape sa veste avant de sortir de l’appartement sans même un regard pour sa fille.

Renfrognée, Julie se vautre sur le canapé de cuir froid, ridicule dans son plus simple appareil et toujours vêtues de ses talons hauts. Elle se résigne à aller calmer sa frustration dans un bain bien chaud, le jet de la douche et son gode à manche pour compagnons de soirée.

Bien qu’elle n’arrive pas à se faire jouir, elle se contente d’une bonne séance dans le clapotis de l’eau savonneuse avant d’aller se coucher seule et triste que son père lui tourne le dos. Elle se serait bien donnée à lui ce soir!

Ce n’est que tard dans la nuit qu’un bruit dans l’entrée la réveille, mais personne ne la rejoint dans sa chambre; “ça doit être Dimitri!” Elle se rendort, toute frustrée que les deux hommes qui “partagent” sa vie ne veuillent lui donner du plaisir ce soir.

Soleil, lumière diffuse, chaleur sur son corps dénudé, Julie se réveille le dimanche matin une douce odeur de café flottant dans sa chambre. Elle tire instinctivement sur sa couette pour s’y emmitoufler.

-Allez debout ma p’tite marmotte!

Julie sent la présence d’Eric dans la chambre, mais lui refuse le plaisir paternel de s’occuper de sa petite fille chérie, quand un étrange bruit de papier accompagne la voix chaleureuse d’un père en repentir:
-Est-ce que ça pourrait te faire sortir du lit?

Un sac blanc fermé d’un noeud en soie apparaît dans le champs de vision de la jeune fille qui ne peut contenir un sourire. Elle éjecte sa couette, toute guillerette comme si ce matin était le matin de noël, attrape le paquet et se retourne pour faire face à Eric, à genoux sur le matelas.

-C’est pour moi? Je t’adore! Et elle lui saute au cou.

Julie arrache l’emballage et en sort une petite robe satinée juste au corps dont le décolleté appétissant est maintenu en place par un magnifique lacet rouge.

Ce n’est pas le modèle qu’elle voulait, mais celui-ci sera du plus bel effet avec sa paire de stilettos lorsqu’elle retrouvera Mr. Louis demain. Elle se voit déjà avec ses créoles, son trio de bracelets, et son ras le cou en soie. Mais pour l’heure, la belle décide de pardonner à son père et s’essaye à une petite gourmandise, inspirée par le nutella qu’Eric a eu la bonne idée d’apporter avec les tartines de sa fille.

La belle passe le reste de la journée à remercier son paternel en lui offrant la plus chocolatée de toutes les pipes, et un accès illimité à tous ses trous gourmands. Ce n’est que tard dans la soirée, après avoir commandé une pizza et remercié le livreur sous les yeux pervers de son père que les deux amants s’endorment après une dernière question d’Eric:
-Tu as l’adresse pour demain?

Surprise mais fatiguée de sa journée, elle lui répond:
-Oui bien sûr!
-Bien! Tu me la donneras demain matin, je te conduirai là-bas!
-Nan mais c’est pas la peine papa, je suis une grande fille tu sais?
-Oui je sais bien! Mais de toute façon j’ai pris ma journée …. il la regarde, et pass sa main sur le contour de sa joue avant de conclure; …. et ça me rassurera de t’y déposer.

Il se frotte l’arrière du crâne, visiblement gêné malgré la journée de luxure qu’ils viennent de passer:
-Je dois bien avouer que ça m’excite aussi de savoir que tu vas tourner ton premier film!

Elle éclate d’un rire chaud et franc avant de le taper sur le torse:
-Arrête! Me dit pas que t’es fier que ta fille tourne son premier porno, si?

Il sourit, encore plus gêné, elle le tape à nouveau:
-Hé mais t’es un vrai vicieux, en vrai!

Et ils s’endorment sans même entendre Dimitri s’éloigner de la porte entrouverte.

Le lendemain, Eric commence à regretter de s’être laissé aller à proposer d'accompagner sa fille. En effet, alors qu’il l’attend avec une impatience grandissante, Julie est encore dans la salle de bain à finir de se préparer. Il ne se rend pas compte de tous les préparatifs par lesquels elle doit passer pour satisfaire les exigences de Mr. Louis. Il regarde sa montre, impatient, et ne peut s’empêcher de presser sa fille:
-Grouille-toi, putain, on va être en retard!
-Oui oui j’arriiiiveuuuuh!

Après un quart d’heure de plus à attendre la jeune diva, il ne peut retenir un sourire devant la beauté absolue de sa fille: cheveux lâchés sur les épaules, créoles soulignant la ligne de sa nuque, maquillage travaillé au niveau des yeux, fard à paupières dégradé, ligne noire sur les paupières mobiles terminée d’une petite virgule au coin de l’oeil pour accentuer la courbe de sourcils parfaitement dessinés, pommettes accentuées de blush et lèvres pulpeuses brillamment dessinées au gloss rose pailleté, une seule remarque lui vient à l’esprit:”Elle va faire des ravage!”
Le huit parfait de son corps enveloppé dans la micro robe noire et allongé sur les hauteurs vertigineuses de ses stilettos est une ode à la beauté féminine. S’ils n’étaient pas si pressé, il lui arracherait volontiers le morceau de satin pour l’embrocher sur place.

Pour l’heure, il doit sortir de sa torpeur pour accompagner sa fille sur le lieu de tournage dans la banlieue nord.

-Bon alors on y va?
-Oui ça va relax, y a des bus toutes les cinq minutes! On n’est pas aux pièces, si?

Apparemment troublé, il se gratte la tête avant de répondre à Julie:
-Ben euh, en fait je voulais te faire la surprise, mais voilà, je me suis acheté une voiture!
-QUOI?

Julie ne peut cacher sa surprise devant cette annonce, après toutes ses années à refuser d’acheter une voiture, et à la contraindre à prendre le bus quand tous ses copains étaient véhiculés, elle avait fini par croire que ni son père ni sa mère n’avaient leur permis de conduire. Il finit par lui avouer:
-C’est ta mère qui a toujours refuser que je me fasse plaisir! Mais sache qu’avant de l’épouser j’adorais ma voiture et mes motos!
-DES motos? Elle insiste sur le pluriel.
-Oui mais c’était dans une autre vie! Il fait une pause avant d’enchaîner; Aller viens que je te montre!

La GT-R garée dans la cour subjuguerait presque le jeune asiatique, pas vraiment la voiture en elle-même, mais plutôt l’idée que son père puisse être au volant de ce bolide. Mais après l’avoir vu opérer l’engin dans les rues la menant aux portes de la cité, elle doit bien s’avouer être sous le charme de son “rebelle” de père.
Ne prenant pas le risque de se faire repérer avec son bolide, ils se garent un peu à l’extérieur de l’enceinte de la cité et ils s’aventurent à la rencontre de Mr. Louis non sans déclencher les sifflets de la faune locale. Heureusement, Karim ne tarde pas à les rejoindre:
-Eh ben ma salope! Même en sachant la qualité de ce qui se cache là-dessous, je t’arracherais volontiers tout ça pour te fourrer ici devant mon crew! Sans vous manquer de respect, monsieur.
-AHAHAHA ne t’inquiète pas fils! Je connais bien les talents de ma fille!

Même s’il joue les gros bras, Karim ne manquerait pas de respect au père de la jeune salope.

-Bon je peux te la confier, alors?
-Oui monsieur, vous inquiétez pas! Allez bouge ton p’ti cul maintenant!

La boule au ventre, Julie s’éloigne de son père escortée par Karim. Elle ne peut retenir un regard par dessus son épaule alors qu’elle s’enfonce dans le dédale des immeubles imposants et impersonnels de la cité. L’adolescente regarde non sans appréhension Eric s’en retourne à son bolide alors qu’elle va, dans quelques instants affronter l’italien et ses idées lubriques.

Inquiète du regard que les jeunes de la cité lui porte lors de cette traversée, elle commence à regretter de s’être si peu vêtue. Si Karim n’était pas là, elle aurait déjà eu de gros ennuis et tournerait son porno plus vite que prévu. Elle l’observe la détailler des pieds à la tête:
-Eh ben dis moi ma salope, on peut dire que t’as pas froid aux yeux de te pointer ici sapée comme ça!

Elle n’en mène pas large, mais assume ses choix, et, les bras croisés sous le décolleté elle enchaîne:
-Faut bien se faire belle, vous les mecs vous bandez sur les putes et les salopes, donc j’ai voulu combiner les deux! C’est pour tourner un porno quand même.
-AHAHAHAHA On peut dire que t’as réussi! Conclut le jeune lascar en jetant un coup d’oeil autour d’eux.
- Si tu me trouve belle c’est le principal.

Le jeune fille est toute fière de son effet et se dandine au bras de son lascar sur ses talons immenses. Ils arrivent devant un hall d’immeuble, Karim sonne à l’interphone et lui ouvre la lourde porte. Julie passe devant lui.

-Putain, t’as pas trouvé plus court, ça cache à peine ton cul!

Une petite claque sur les fesses, il l’invite à avancer vers l'ascenseur.

Arrivé dans l'ascenseur, il se font face alors qu’ils montent dans les étages.

Karim a les yeux bloqués sur les seins de Julie découverts par le profond décolleté et souligné par le lacet rouge. Julie se met à rire.
Qu’est-ce qu’il y a?

-Tu verrais ta tête! tu kéblo sur mes seins comme un crevard-T’es trop bandante, tu vas voir ce que je vais te mettre . Tu riras moins avec ma bite dans ta bouche.

L'ascenseur s’ouvre Julie sort devant lui en tortillant du cul, et le taquine par-dessus son épaule:
-Ouais c’est ça, des belles paroles!
-T’inquiètes, mais pour l’instant on nous attend je crois.

La porte en face de l’ascenseur s’ouvre sur Monsieur Louis qui les attend impatiemment:
-Tu vas pas commencer à faire ta diva si? T’as vu l’heure?
-Désolée Monsieur Louis, mais j’ai juste 10 minutes de retard, c’est grave?
-On n’a pas la journée, bouge ton cul, faut encore qu’on te prépare et que tu chauffes les gars!

Il ouvre la porte sur un trio improbable:
-Je crois que vous vous connaissez!

Julie est presque déçue, elle s’attendait à des beaux mecs bodybuildés pour son premier tournage, mais son regard se porte sur les faciès patibulaires de Michel, Moussa et un de leur pote de baise qui l’avait chauffée dans le bus que conduisait le grand black le jour où sa vie a basculée.

-Alors Moussa? On t’avais pas dit qu’elle était trop bandante cette petite salope?

Michel, comme à son habitude, la subjugue par son tact et ses bonnes manières. Il l’attrape par la taille et lui roule une pelle aux relents de tabac froid:
-Putain tu pues toujours autant d’la gueule!

Julie s’écarte, le visage déconfit à l’idée de tourner son premier porno avec la bande.

-Bon les mioches, c’est pas tout ça, il faut que la “star” se prépare!

Elle regarde l’italien avec sa moue de gamine capricieuse pour attendrir le patron, mais il reste insensible à son charme:
-Je vous plaît pas comme ça?
-C’est mignon! La gratifie-t’il d’une claque sur la fesse droite; mais c’est pas dans le thème du jour! Fous toi à poil et va voir Cassandre, elle va s’occuper de ta face. Il fait une pause; Au fait t’as tes tests?
-Oui oui! Elle sort une enveloppes de sa pochette et la tend au rital.
-HUM HUM … HUM HUM … OK c’est bon les mecs, ce sera sans latex on dirait!

Les quatre compères exultent de joie de pouvoir enfiler la belle en nature. Mais pour l’instant, Julie doit se préparer.
Une séance de maquillage et d’habillage plus tard, alors que le gros directeur finit de donner ses instructions au caméraman et au perchiste, Julie fait une apparition remarquée. Perchée sur une paire de plateformes crystal, elle attire tous les regards seulement vêtue d’un micro bikini bleu pétrole de gogodanceuse. Le string est relié à un tour de cou assorti par un petit lacet noir brillant ce qui lui donne un petit côté fetish des plus provocants. La tenue se complète d’une jarretière bleu pétrole brillante qui maintient quelques brides entourées autour de la jambe droite de Julie comme une résille exagérément large.

La belle cligne des yeux, gênée par ses faux cils chargés de mascara. Il a fallu plus d’une demi-heure à la maquilleuse, mais le résultat en vaut la peine. Julie n’a jamais trouvé son visage aussi sublimé par du maquillage, c’est parfait, chargé mais très joli, très sexy. Ses yeux sont parfaitement dessinés, entouré d’un trait d’eye-liner largement étiré vers l’extérieur pour agrandir son regard. La paupière supérieure fardée d’un bleu pétrole et l’arcade d’un rose soutenu font ressortir ses jolis yeux. Une couche de mascara noir à paillettes lui confère des yeux de biche à faire fondre un iceberg.

Pour équilibrer son visage, la maquilleuse a juste blusher légèrement ses pommettes pour privilégier un travail plus important sur les lèvres de Julie. Bordées d’un large coup de crayon gras bordeau et revêtues d’un gloss carmin pailleté, ses lèvres paraissent plus pulpeuses que jamais, lui donnant une bouche à pipe des plus aguichantes.

Les cheveux détachés, les créoles ondulant au rythme de ses pas, et les doux son des trois bracelets à ses poignets fait taire toute l'assemblée lorsqu’elle rejoint le directeur qui, lui aussi, a bien du mal à détourner le regard du déhanché de la belle.

“Bien on dirait que je fais mon petit effet, hein connard? Et j’ai rien de spécial?” Si seulement Dimitri pouvait la voir au milieu de tous ses mâles en rut! Mais pour l’heure Monsieur Louis reprend la direction des opérations et leur explique le scénario dans les grandes lignes:
-... vous improvisez mais vous la défoncez bien. Pour les prises de vue, j’en veux pas plus de deux à la fois sur elle! Un dans sa chatte ou dans son cul, et l’autre dans sa bouche, compris?
-Oui! Collégial, la réponse est presque militaire, l’italien sait mener son équipe!

“Putain on dirait qu’il a fait ça toute sa vie!” Julie est perdue dans sa rêverie, deux bites à la fois en permanence? Ca fait limite tournante, mais le rital la tire de son inattention d’un claquement de doigts:
-... et toi? Tu écartes bien les cuisses qu’on voit bien les détails des tes trous dilatés! Compris?

Intimidée par le ton autoritaire, elle lui répond:
-Oui oui, enfin je crois! J’vais essayer!
-T’as intérêt, j’veux de belles prises de vue! Si c’est pas bon on recommence tant que j’ai pas ce que je veux!

La prestance de Monsieur Louis interpelle Julie qui ne le pensait pas si autoritaire, ni si exigeant, elle lui répond timidement:
-Je vais faire de mon mieux, mais c’est la première fois que je fais ça moi!
-Tu croyais qu’on allait faire quoi? Un truc d’amateur à la J&M? Nan on va faire un scénar et tu vas bien écarter tout ça pour que les gros plans soient parfaits.

Les quatre potes n’en mènent pas large non plus, ils déconnent avec trois colosses apparemment chargés de sécuriser les prises de vue dans la cité. Changeant de ton, le directeur s’adresse à l’ensemble de l’équipe:
-On va commencer par le début du scénar. Karim, t’es le photographe et vous faites un shooting dans la cité. Toi, Julie, c’est ton job les photos sexy, donc t’as intérêt à nous faire chauffer la bite. Faut qu’on y croit. Lascive, sexy, chaudasse. Ok?
- Heu, ok.
- Oublie la caméra, fait comme si y’avait personne et que t’étais avec ton mec. Allez c’est parti.

Toute la petite équipe chargée de matériel descend bruyamment les 4 étages de l’immeuble par les escaliers, Julie a du mal à suivre le rythme cramponnant la rampe bien handicapée par ses talons de 17 cm.

Deux des colosses ouvrent la marche, alors que leur collègue reste à l’arrière avec la starlette. Lorsqu’ils débouchent sur le parking, Julie repère immédiatement toute l’équipe qui l’attend autour de la BM rutilante de Karim. Ce dernier l’attend, apparemment à l’aise avec le gros appareil réflexe qu’il tient en main comme un pro.

Louis prend la parole:
-Bon alors Karim tu vas prendre le volant, faire le tour du parking, et on shoot comme si vous arriviez. Tu la coaches pour qu’elle prenne des poses sur le capot, et …
Karim l’interrompt presque comme un réflexe:
-Ah non elle pose pas son cul de salope sur ma peinture!

Sans sourcier, l’italien reprend le fil de son discours:
-... soit elle pose son petit cul de salope comme je le dis, soit tu dégages du tournage, on trouve une autre caisse et tu te vides pas les couilles. ok?
- Ok, mais toi tu fais gaffe ok?!
-T’inquiètes Karim, je vais faire attention.
-Ouais t’as plutôt intérêt!
-Bon z’avez fini vos gamineries là! Maintenant on va faire un premier essai, le début c’est hyper simple, n’en faites pas des caisses, toi la gamine, t’es là pour faire des poses, donc tu le laisses te guider, j’ai pas envie d’y passer des plombes!

Les gamins s’exécutent, Karim démarre en trombe et fait le tour du parking et ils se mettent en place pour les premières poses. Le photographe amateur s’en sort plutôt bien et il guide Julie de manière à ne pas avoir à refaire de prises. Il ne veut ni décevoir son boss ni prendre le risque de ne pas enfiler la gamine qui le chauffe méchamment.

Par contre, Julie a plus de mal à trouver son rythme, elle se laisse guider par Karim mais Monsieur Louis semble toujours en vouloir plus:
-Nan coupez, Karim ça va, mais toi cambre plus tes reins … écarte ton cul là, il faut allumer l’audience! … Nan nan nan, écarte les jambes, imagine toi qu’ils sont tous là derrière toi pour t’enfiler si ça peut te motiver, mais allume les putain!

Ils enchaînent les prises autour et sur la voiture, sur une poubelle, devant un mur graphé. Lorsqu’une foule s’attroupe autour d’eux malgré la présence du cordon de molosses, ils changent d’endroit, cage d’escalier, ascenseur, et ils terminent sur les toit gravillonnés et l’ambiance néo industrielle projetée par les antennes.

-Bon c’est pas mal! On fait une petite pause? Toi! Maquillage!

Ordonne-t-il à Julie qui fait tout son possible pour éviter les réprimandes du directeur.

-Elle brille un peu trop du cul et des nichons, essaye d’arranger ça!

La maquilleuse et Julie s’isolent pour corriger le maquillage tandis que Monsieur Louis annonce la suite des événements au quatuor d’amis.

-J’espère que vous êtes en forme, ça va être à vous les mecs! Vous les trois lascars, vous les surprenez sur les toits … Toi c’est quoi ton nom?
-Euh … Moi c’est Michel M’sieur …-OK, alors Michel, t’es le caïd du groupe et ça t’arrange pas qu’on te dérange avec tes clients, toi et toi. Il désigne Moussa et le pote Issa; vous commencez à secouer la gamine pour la balancer dans les bras de Michel!

Les garçons entrent dans leur personnage sous les yeux de l’adolescente qui vient de les rejoindre.

-Alors ma belle? T’es prête à nous bouffer la bite?
-EHEHE, t’es vraiment bandante putain!

Louis les interrompt à nouveau:
-Bon allez on dirait que vous le tenez, continuez exactement comme ça! Et toi, soit convaincante, les choses commencent à chauffer pour ton p’ti cul! Et y a que Karim pour te protéger. Actiooonnnnnn …. On tourne!

La belle prend la pose devant Karim accroupi qui la shoote tout en la dirigeant :
-C’est bien, t’es belle, cambre-toi, le regard, allez-vas-y.

Les trois lascars s’approchent de Karim :
-Wesh, faites quoi là ?
-Heu, Salut, on fait des photos.
-Et ça te chamboule pas de venir me faire chier chez moi avec ta tepu?!
-Désolé, on savait pas, on n’en a plus pour longtemps.
-Yo! Tu remballes ta pute et ton reflex et tu bouges connard!
-Tu vois mec, on étaient en business là et tu nous casses la baraque là. Alors moi si tu me casses mon business, je te casses la tête! ok?

Les garçons sont dans leur rôles et commencent à pousser Karim alors que Julie ne sait pas trop quoi faire. Elle voit les gros yeux de Louis et se dit qu’il faut faire l’actrice, elle se dirige donc devant les garçons.

-Désolé, on a va y aller, lâchez-le. Promis on s’en va.

Moussa la prend par le poignet et la force à s’agenouiller faisant couiner la petite asiat’ à moitié à poil.

-Et mais dis-moi, elle est sacrément bonne sa chienne!
-Ouais, carrément.

Issa s’en mêle et s’accroupit aux côtés de la gamine qui feint à peine sa peur. Julie ne reconnaît pas le trio dans leur environnement, elle sent le désir animal qui les anime soudain.

-Les gars, les gars … S’interpose Michel: Vous voulez pas abîmer un joli petit lot comme ça!

Il repousse Issa et Moussa et redresse l'adolescente qui ne feint pas un regard de compassion, mais elle déchante rapidement lorsque le jeune homme; la clope au bec, se colle derrière elle et commence à lui palper les chairs.

Il cale sa tête dans le creux de l’épaule de sa victime et passe sa main gauche sur le haut du pubis de la gamine tout en lui palpant le sein droit à travers le tissu turquoise. Julie, en proie à une panique à peine surjouée, supplie Karim des yeux. Il tend les mains en avant comme pour calmer la situation:
-OK OK les gars, on se calme, comme elle vous l’a dit, on se casse, on veut pas de problèmes!
-Trop tard mec, t’as perturbé mon biz, là? ... faut payer! Michel colle son bassin sur le cul de Julie qui sent la bosse forcer entre ses fesses.

Julie a totalement oublié les caméras et l’équipe qui les entourent, elle se prend au jeu et endosse parfaitement le rôle de la victime.

-S’il vous plaît, on est juste là pour des photos, on voulait pas vous gêner!
-Et toi mec? T’as d’la maille pour nous payer avec mon crew? A moins qu’on trouve un autre arrangement?

Michel laisse la question en suspens avant d’ajouter, un sourire carnassier aux lèvres:
-Si tu veux, on peut se faire une réunion en privé! On a un coin tranquille pour ce genre de gazelle.

Karim regarde son appareil, il semble être en train de tester ses options. Il regarde Julie qui joue le jeu et fait celle qui n’en revient pas qu’il se pose des questions quant à la suite des opérations. Il lui sourit, elle fait semblant de déglutir pour mimer le stress de la situation :
-Non? Tu vas quand même pas? ….

Michel l’interrompt:
-Laisse ton homme parler! C’est pas à toi de décider! Alors mec? Ta réponse!
-Je crois que j’ai pas le choix. Hein chéri? tu vas être obligée d’être gentille j’ai l’impression. Désolé ma belle.
-COUPEZ!!! Yes, c’était super! OK c’était pas mal et en une seule prise en plus! Bravo les gars! Et toi ma belle? Pas mal! … Pas mal du tout!

L’ambiance se détend d’un seul coup sur le toit. Les bruits de toute l’équipe en train de rassembler le matériel fait place aux bruits diffus de la scène qui vient de se jouer. Les cinq acteurs en herbe se mettent à déconner autour de Michel et Moussa en train de fumer une clope vite fait avant la reprise, alors que Karim et Issa se mettent à taquiner la jeune asiatique ne manquant pas de la peloter dès qu’ils le peuvent.

Le trajet dans les caves est tout aussi débridé, pendant que l’équipe technique va récupérer l’équipement et les lumières pour filmer en espace clos, Julie déconne avec ses collègues qui n’hésitent plus à la peloter et ne manque pas la moindre occasion de dévoiler les charmes de la belle sous les yeux amusés et gourmands de l’équipe de protection.
“J’en f’rais bien mon quatre heure!” Ne peut s’empêcher de penser la jeune fille bien chauffée par ses potes en taquinant du regard les trois grands blacks qui les entourent. Une légère adaptation du maquillage pour faire les raccords du passage de la lumière naturelle à celle plus chaude de la lumière artificielle.

L’équipe technique met en place les supports de lumière et les diffuseurs dans le parking souterrain, le transformant comme par magie en une boîte à lumière géante. Julie est surprise par le niveau de technique déployée pour le tournage, Monsieur Louis ne plaisantait pas lorsqu’il lui décrivait les frais engagés pour un tournage aussi court!
D’ailleurs, il prend immédiatement la parole, drivant toute son équipe.

Il explique le script, Julie boit ses paroles pleine d’attention. Personne ne trouve rien à redire, il lance le go. Julie ressent le trac pour la première fois.

-Bon ! On se prépare … CLAP CLAP
Le gros directeur claque des mains pour motiver ses troupes
-Allez! on se dépêche.

Les équipes techniques savent très bien ce qu’elles ont à faire, leur ballet autour des gros caissons de matériel montre leur professionnalisme et ils font tout leur possible pour satisfaire leur patron et ses attentes. Le regard satisfait du travail de ses hommes, il se tourne vers la bande d’amateurs venue se défouler sur sa starlette en herbe, et le regard sombre, il reprend d’un ton autoritaire et assuré:
-Le script est le suivant … Il s’adresse aux trois mâles:-Les garçons, vous arrivez par la rampe et vous me la bousculer bien la p’tite, mais faites gaffe qu’elle se vautre pas! Faut pas l’abîmer avant le tournage. Vous la coincez contre le mur et il y en un qui ouvre le box et amène le matelas contre le mur. Vous lui annoncez la couleur : “on va te baiser etc…” et toi la gamine, tu lâches l’affaire, tu veux pas te faire casser les dents alors tu dis que t’es ok, et que c’est openbar. OK. c’est clair pour tout le monde? Il y a des questions ?

Tout le monde se regarde, personne ne relève.

-Bon, c’est parti. La petite, tu chauffes les mecs, suce-les un peu qu’ils soient nickel. Après Cassandre, tu retouches. Bon, les autres bougez vous le cul pour le matos, vérifiez-moi tout ça et faites les essais.

Un peu perdue et stressée, Julie voit les garçons s’approcher d’elle. Moussa plaisante :
-Allez au boulot ma belle, chauffe-nous à point qu’on te démonte bien.

Julie pleine de trac s’accroupit mécaniquement l’esprit ailleurs.

-Faut que t’assure ma vieille, t’y es là, faut assurer.

Michel est le premier à se présenter devant elle. Pleine d’assurance et experte en la matière, elle ouvre sa braguette, descend elle-même son jean et son caleçon pour découvrir sa queue à demi-molle. Professionnellement, elle commence à le branler alors que Karim approche sa bite déjà un peu plus en forme qu’elle prend immédiatement en bouche.

Immédiatement, son trac s’évanouit; entourée de ces queues, Julie se retrouve dans son élément à faire ce qu’elle préfère. Elle passe de bite en bite à les sucer, les branler, les lécher du mieux possible s'enivrant de leur effluves et des remarques salaces des garçons pressés d’en découdre.

D’ailleurs, Monsieur Louis intervient :
-Wohh! mollo la salope! Va pas me les faire juter, je t’ai juste dit de les mettre en forme. Tu vas avoir tout le temps de bouffer de la bite, calme-toi un peu.

Recrachant la queue de Moussa, Julie s’excuse platement et s’exécute gratifiant les garçons juste de petites branlettes ou léchouilles. Après une petite dizaine de minutes, Julie constate que les équipes techniques sont prêtes, elle lève les yeux vers les garçons.

-Je crois que ça va être à nous.
-Enfin, putain! J’ai trop envie de te défoncer.

Julie sourit à Michel.

-Moi, j’ai pas de souci mais Monsieur Louis, il va gueuler si tu me repeints trop vite.

Toujours une bite dans chaque main, Julie se lève voyant arriver la maquilleuse avec Monsieur Louis.

-C’est bon les mecs. Branlez-vous tous seuls, faut qu’on refasse une beauté à la star.

La maquilleuse reprend le visage de Julie et lui redessine avec soin la bouche et retouche son fond de teint. Elle s'affaire également à matifier son corps. Monsieur Louis en profite pour rappeler ses exigences auxquelles Julie acquiesce sans broncher. En moins de deux minutes, Julie est prête et s’éloigne avec les garçons remontant la rampe d’accès au parking. Une fois invisibles de la caméra, il attendent le signal.

-Action !

La petite bande descend la rampe, Michel pousse Julie devant eux. Un peu surprise, Julie manque de se tordre la cheville perchée sur ses plateformes cristal. Alors qu’elle se récupère comme elle peut, Moussa l’attrape par les cheveux et lui gueule dessus.

-Avance Salope !

Malmenée par les garçons, Julie joue la fille effrayée à merveille. Issa la choppe brutalement il lui tire les cheveux en arrière d’une main et de l’autre la maintient d’une clé de bras douloureuse. Ils passent dans l’allée centrale devant les caméras et arrivent au bout du parking, Julie plaquée au mur par Issa.

-Arrêtez-s’il vous plaît, vous me faites mal.
-Ferme ta gueule la pute!

Michel et Moussa ouvre un box plein de bordel et en sortent un matelas qu’ils jettent au pieds de Julie. Issa balance la petite asiat’ sur le matelas. Julie tombe lourdement à plat ventre. Consciente de la caméra, Julie contient une douleur vive dans le bras et tourne le visage vers les lascars, Karim étant légèrement en retrait.

-S’il vous plait, je veux pas d’ennuis, pas besoin de me cogner.
-donc tu feras ce qu’on veut?
-Oui promis, je ferai tout ce que vous voudrez. pas de souci, demandez moi n’importe quoi, mais je veux pas de problème.
-donc t’es prête à te faire baiser ?
-Oui, faites moi ce que vous voulez.

Se prenant à son petit jeu d’actrice, Julie s’est agenouillée sur le matelas jouant avec ses cheveux du bout des doigts et se mordillant les lèvres. Elle joue de son regard pour la caméra et les observe avec une moue à la limite entre peur et supplique, qu’ils fassent d’elle ce qu’il veulent mais avec le moins de violence possible.

Les garçons se laissent prendre au jeu, contrairement à Julie, ils en oublient la caméra et commencent à s’occuper de leur proie. Michel prends la direction des opérations, il se débraille le futal et extrait sa bite à moitié dégonflée avant d’attraper la jeune asiatique par les cheveux et descend son visage pour l’intimider:
-Tu vas commencer par nous faire bander p’tite salope!

Il lui tire les cheveux en arrière, lui arrachant un petit cri non simulé, et profite de sa bouche ouverte pour la galocher de son haleine aux fortes odeurs de tabac. Etrangement, Julie commence à aimer se faire un peu bousculer de la sorte, même si les relents de ce connard ne sont pas agréable, elle aime son rôle de vide couilles.

Alors qu’il est en train de lui fouiller la bouche de sa langue agile, Moussa ne reste pas inactif et, la queue bien tendue à l’air, il se place derrière la gamine plaquant ses grandes mains de pianiste sur les obus à peine couverts de leur proie.

-HUM …
Le contact brutal de ses bourreaux commence à faire de l’effet à Julie qui répond au baiser de Michel. Il entortille les longs cheveux noirs de la belle dans une poigne puissante et ferme avant de rompre le contact avec ses lèvres. Julie soupire un air chaud à force de se faire peloter et malmener de la sorte par les deux caïds, mais le boss de la petite troupe entend bien jouer son rôle.

Il la tire à nouveau en arrière alors que Moussa arrache les deux triangles de tissu pour exposer les obus pointant de leur victime à genoux sur le matelas. Ses gros seins sont exagérément mis en valeur par la cambrure qu’ils lui imposent en la tirant par les cheveux à genoux à leurs pieds:
-HUN …. AH ….

La bouche grande ouverte par le double traitement, Julie reçoit un premier glaviot dans la bouche avant que le lascar ne lui colle son gland aux relents musqués entre les lèvres:
-Allez fait moi bien bander petite chienne!

Julie a tout juste le temps de prendre une petite respiration, après la surprise du crachat, que la brute lui colle son sexe encore un peu mou tout au fond de la bouche. Ses poils pubiens chatouillent déjà le petit nez retroussé de la belle lorsque le gland commence à appuyer sur la luette encore toute fermée de l’adolescente.

-Oh putain les mecs, qu’est-ce qu’elle encaisse bien!

Moussa enchaîne, lui tiraillant les tétons comme s’il trayait une vache:
-C’est ça p’tite salope! Avale bien qu’on te ken à fond!
-Eh ben eh ben frère! Tu te défoules sur la p’tite pute, ou quoi?
-Wesh, t’as vu comment elle nous chauffe c’te salope?

Issa se mêle à la partie et commence à malaxer la chair ferme de la belle, ses cuisses, son ventre tendu et arqué, son fessier rebondi. Julie est toute excitée de sentir ces mâles en rut autour d’elle. Faisant de son mieux, elle aspire la queue de Michel et lui masse les couilles de ses petits doigts manucurés. Impatient Issa prend la main de la gamine pour la coller sur son boxer bien gonflé. Du coin de l’oeil, tout en suçant Michel, Julie extirpe le braquemart qu’elle commence à branler sous les encouragements des garçons.

Sa nature fait vite surface, elle les allume du regard abusant de coup de langues sur leur belles queues. Amusée, elle recherche un peu du regard la caméra et monsieur louis pour savoir si elle se comporte correctement. En bonne salope, elle espère que les garçons s'impatientent pour la contraindre à des gorges profondes éprouvantes. Un à un, il l'attrapent par les cheveux et abusent de sa bouche gourmande.

Elle n’y peut pas grand chose, mais Mr. Louis la mate d'un regard sévère, elle comprend qu’elle doit les inviter à lui fouiller les trous!

A genoux sur son matelas, les quatre lascars se succèdent et s'enfoncent profondément dans sa gorge, les mains sur ses tempes ou l'attrapant par les cheveux, les larmes coulent sur ses joues à force de lutter contre les réflexes au fond de sa gorge.

Les caméras tournent autour de la gamine, elle se sent belle, la chaleur des spots court sur sa peau, on lui tiraille les seins, on lui pince les tétons avant de les vriller violemment. Julie cambre ses reins afin de tendre au maximum son cul en arrière, les fessées claquent aléatoirement sur sa peau tendue.

On la positionne à quatre pattes, on lui expose le cul, elle se laisse diriger par ses bourreaux comme elle s’y est engagée. Les coups de claques tombent avec plus ou moins d’adresse et de violence sur la peau tendue de ses fesses gourmandes. La petite est une invitation aux perversions les plus salaces.

Perdue au milieu de ses bourreaux, elle ne peut plus identifier qui lui fouille la chatte ou qui s’enfonce dans la pastille détendue de ton trou du cul. Les mains et les doigts qui s’enfoncent dans ses chairs sous l’oeil affûté des caméras la font mouiller comme jamais.

Une queue tendue se présente à ses lèvres charnues, elle ouvre la bouche pour l’inviter en elle, Michel ne ménage pas sa proie, il lui burine la bouche sans vergogne et entreprend presque immédiatement une gorge profonde, collant son gros gland gonflé au fond de la gorge qui s’est déjà resserrée.

-Putain cette petite chienne encaisse comme une pro les mecs.

Les doigts qui lui fouillent la vulve se retire subitement et un gland tuméfié prend la place entre les lèvres labiales complètement éclosent et dégoulinantes de cyprine. Issa se plante au fond de la belle d’un seul et puissant coup de reins. Julie a envie de fondre sur place tellement les salauds lui font du bien à la fouiller de la sorte.

Elle est sur le point de succomber aux délices de cette baise violente mais, fidèle à elle même, la jeune asiatique donne tout et fait l’effort de maintenir sa cambrure et d’encaisser les coups puissants et profonds qui lui comblent la chatte et la gorge. Les caméramans suivent la progression de la belle et ne loupe pas un instant de cette baise. Les points de vue et les rollings se succèdent sous l’oeil intransigeant du gros rital.

Secouée comme un morceau de viande d’avant en arrière sous la force des coups de bites, Julie est aux anges. Elle joue du regard avec la caméra, elle se laisse guider par Michel qui dégage son joli visage poupon pour l’objectif, en la guidant d’une poigne de fer, les longs cheveux noirs lovés dans sa main directrice.

La petite asiatique a pleinement conscience d’être une bonne petite chienne, elle est même fière de s’offrir en gros plan afin d’alimenter les fantasmes de tous les pervers qui ne vont pas manquer de se branler en la regardant. Cette pensée lubrique la fait sourire intérieurement et la motive à encore plus donner d’elle même.

Les garçons ont dû le sentir, en effet, le fouet des doigts qui claquent sa peau commencent à laisser des marques rougeâtre sur ses fesses. Les mains qui malaxent ses gros seins lui tiraillent les tétons, les étirent et les tordent avec une violence renouvelée. La gamine oscille d’elle même son gros cul bombé et son torse tellement elle prend du plaisir à se faire maltraiter.

-Allez préparez lui le cul les gars!

L’ordre éructe comme un coup de fouet cinglant de la gorge d’un Michel encore plus autoritaire qu’à l’accoutumée. Il lui glace presque les sangs, et malgré la surprise, Julie sent sa gorge se libérer dans un bruit de gargouillis, un long filet de bave la reliant au gland brillant de morve.

Simultanément, une paire de mains puissantes lui écarte brutalement les lobes fessiers pour lui exposer la pastille, tirant violemment sur son sillon interfessier. La chaleur d’un glaviot attire son attention sur sa nouvelle réalité: “Putain, ils vont me péter le cul!”
Elle a tout juste le temps de formuler cette pensée qu’une nouvelle bite, large et heureusement pas trop longue, s’immisce entre ses lèvres pour les écarter sans ménagement avant de lui ramoner à nouveau la bouche. Ses gros seins sont libérés de l’emprise manuelle et oscillent librement sous sa poitrine au rythme des coups de bites qui la défoncent.

Ses gémissements sont étouffés par la grosse queue, mais si elle le pouvait, elle crierait volontiers son bonheur de se faire maltraiter comme la dernière des traînées, et les deux pouces qui viennent de s’enfoncer dans les profondeurs de son cul ne l’aide pas à contrôler sa libido exacerbée.

Son baiseur lui écarte les sphincters en même temps qu’il ralentit les vas et vient entre les lèvres de sa vulve aux abois. Moussa et Karim présentent leurs gros calibres de part et d’autre de son visage, ce qui la conduit à déduire que Issa est en train de lui baiser la bouche et que Michel s’acharne comme un forcené sur sa chatte et son cul.

Réajustant ses cheveux libérés autour de ses oreilles pour les caméras, elle attrape ensuite les deux longues bites bien épaisses pour les branler tout en aspirant le sexe trapu d’Issa, dans des bruits humides de baves qu’elle exagère intentionnellement pour ses futurs fans.

Elle subit l’écartement douloureux des deux pouces qui lui travaillent les sphincters en cambrant au maximum ses reins, offrant son cul à Michel en cambrant au maximum ses reins dans l’espoir impatient qu’une bonne grosse bite vienne la prendre.

-COUUUUUUUU - PEZ!!!!!!!