Julie - Une nouvelle vie: Julie au garage 1/3 (Partie 18)
Récit érotique écrit par Silveradd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Julie - Une nouvelle vie: Julie au garage 1/3 (Partie 18)
Quelques semaines plus tard dans l'appartement d'Alex. Notre motard admire le derrière de la belle blonde qu'il prend plaisir à enculer en profondeur. Alors qu'elle jouit une nouvelle fois, il sent les sphincters élastiques du petit anus enserrer sa queue, "Un vrai délice cette petite chienne!" Il admire les longs cheveux, cachant son joli minois, onduler sous ses coups de bite. Il adore le mouvement des grosses mamelles secouées sous la poitrine de la gamine à chacun de ses coups de reins. Il est fan des courbes et de la calligraphie du "Sperm Addict" tatoué sur sa magnifique chute de reins. Et après quelques minutes supplémentaires, il ne peut plus se retenir, il est sur le point d'exploser...
-Ah Ah Putain, salope, je viens.
La jeune fille se dégage vivement de dessous le gros bide de son enculeur, et se retourne à genoux devant lui, pour le finir dans sa bouche. Qu'est-ce qu'il adore contempler cette magnifique petite asiatique avide de bite et de sperme. Depuis qu'elle est entrée dans sa vie, la petite Julie a été l'objet de toutes les attentions du pirate informatique. Le petit trou de la jeune salope est un délice de douceur pour sa bite, et sa bouche si douce, si chaude, si pulpeuse, est un véritable réservoir à foutre.
La petite asiat' le branle avec passion et lui caresse adroitement la bite du bout de la langue pour le mener à la jouissance. Elle sort sa langue percée d'un joli bijou pour lui titiller le frein et enlacer son gland tout gonflé de plaisir. Elle le masturbe ensuite avec ardeur, pointant le dard tendu en direction de ses lèvres charnues grandes ouvertes.
Elle lui sourit en le caressant, et lui se perd dans ce regard presque enfantin, et pourtant fardé d'un rouge intense dégradé vers un blanc magnifique. La sève monte dans sa bite en une jouissance intense. Une première giclée explose au fond de la gorge de la petite gourmande, qui gobe alors le gland du gros motard pour ne pas perdre une goutte de son nectar. Elle continue à le branler dans sa bouche et il se vide en elle, poussant un râle de plaisir presque bestial, savourant la douceur de ses belles lèvres.
"La pute! Elle sait vraiment y faire!" Il l'admire en train de lui branler la bite molissante, la bouche maintenant ouverte et la langue couverte de son sperme chaud et gluant, pour lui exposer le fruit de sa traite. Enfin, en bonne gourmande, Julie gobe le foutre chaud, et se lèche les babines affichant un joli sourire de satisfaction. L'esprit vide et soulagé, Alex admire toujours la belle, et se remémore ces dernières semaines passées en compagnie de cette petite bombe sexuelle, qu'il héberge depuis quelques temps.
Il faut dire qu'il ne lui aura pas fallu longtemps pour tomber sous le charme de cette ado complètement accro au cul. En effet, à part le coup de cœur qu'il avait pu avoir pour Lilie, il n'aurait jamais pensé tomber sur la plus parfaite représentation de ses fantasmes de geek. Une petite bombasse asiatique, imberbe, aux gros seins, et aux orifices aussi souples qu'affamés de bites, et qui lui a prouvé à maintes reprises ses capacités à encaisser des queues de tous calibres.
=====
C'est après l'avoir déposée chez Marco que tout s'était accéléré. La petite se faisait chier dans son rôle de serveuse. Les ivrognes du bar étaient incapables de la satisfaire, Marco et Éric avaient disparu pour une expédition avec le turc et son cousin, et ses deux acolytes Jeannot et Nono ne lui prêtaient que rarement attention, bien qu'elle ait commencé à tisser de vrais liens d'amitié avec le barman.
C'est après quelques semaines, une fois les rushs de la petite escapade de sa Lilie dans les sous-sols de ce bon vieux Monsieur Louis récupérés contre une somme d'argent conséquente, au'Alex avait émis l'idée que Julie bosse pour lui afin qu'il se rembourse sur son "p'tit cul".
-Super, me v'là redevable de vous et du turc maintenant! Lui avait-elle alors sorti sans réfléchir, avec sa mine de petite fille renfrognée.
Ce jour là, Alex eu bien du mal à reconnaitre la petite chaudasse. Il n'avait pas revu l'adolescente depuis trois semaines, et elle s'était teint les cheveux en un magnifique blond agrémenté de nombreuses mèches pour donner plus de relief à sa nouvelle crinière, et plaire à ses turcs. Enfin, comme si elle avait voulu changer de peau, la jeune asiatique avait demandé à son père qu'il lui paye un tatouage et un piercing. La belle rêvait apparemment depuis longtemps de se faire tatouer un Titi, et avait entendu dire qu'elle pourrait atteindre de nouveaux types de plaisirs avec le clitoris, et les tétons percés. Elle souhaitait aussi procurer de belles sensations à ses amants, en se perçant la langue.
Avant de partir, Éric, qui n'a jamais rien pu refusé à sa fille, avait accepté à la condition qu'il puisse la marquer d'un tatouage de SON choix. La belle accepta le deal et une fois affublée d'un magnifique Titi aux ailes d'anges sur la droite de son pubis, d'un anneau transperçant la base de son petit bouton complété d'un anneau à chaque téton, il lui fit tatouer une belle surprise dans le creux des reins, juste au dessus de la ceinture. Quelle fut sa surprise lorsqu'elle découvrit que son propre père avait osé marquer en une magnifique calligraphie un "SPERM ADDICT" bien lisible. Choquée sur le moment de montrer en public une passion si personnelle, elle en était maintenant fière, et l'affichait sans vergogne, ne portant plus que des vêtements à taille basse, et des petits hauts toujours très courts et très échancrés.
Comme toute personne tatouée, elle y avait pris goût, et moyennant quelques engagements avec certains clients de son paternel, elle avait pu se payer un petit lapin playboy sur la cheville gauche, de jolis nœuds tressés comme le laçage d'un corset, et imitant parfaitement la soie rouge derrière ses cuisses. Elle fit ajouter un troisième nœud, simple et noir, juste à la naissance de la raie des fesses. Il lui avait fallu pas moins de trois semaines pour compléter son œuvre d'une magnifique paire d'ailes d'anges aux courbes voluptueuses lui drapant la partie supérieure du dos.
=====
Sorti de ses pensées lorsque la belle libère sa bite et lui embrasse la joue en se relevant, Alex contemple maintenant les courbes de l'adolescente qui s'éloigne de lui, nue, dans un déhanché voluptueux. Il se perd de nouveau dans une sorte de nostalgie: "Trois semaines, déjà?" Trois semaines que la jeune nymphomane, en échange du gîte, du couvert, et plus si affinités, avait accepté de servir d'escort à certains partenaires du gros entrepreneur.
Le voyant perdu dans ses pensées, l'adolescente abandonne son gros motard et se retire dans sa chambre pour se préparer. Ses petits rituels du matin, après avoir satisfait les besoins du mâle de la maison, incluent un bon lavement pour des sodomies bien propres, une douche froide pour affermir ses chairs et pour le tonus, et le choix de sa tenue pour la journée.
Ce matin, elle veut faire plaisir à son hôte, qui depuis quelques temps s'absente très régulièrement et pour des durées de plus en plus longues. De peur de perdre un si bon amant, elle décide de mettre le paquet, elle s'enduit tout d'abord le corps de lait au monoï, puis applique un joli gloss rose pour faire ressortir ses belles lèvres. Elle se pare ensuite d'un joli dégradé rose/blanc sur les paupières complété d'un fin trait de liner et termine par une touche de rose sur ses jolies pommettes saillantes.
Elle revient ensuite dans sa chambre, entièrement nue, une petite barette rose dans les cheveux, et se pose devant sa commode pour réfléchir à ce qu'elle peut porter pour faire vibrer son geek. Elle sait que ses hommes aiment le contraste qu'elle apporte dans une apparente innocence parée de tenues de salope bonne à baiser. Alex, en acceptant de l'héberger, avait par ailleurs contraint la belle à se débarrasser de ses vieilles fringues, et elle du lui concéder le choix de sa toute nouvelle garde-robe.
Des petits hauts "crop top", pour la plupart le dos nu, et aux décolletés plus extravagants les uns que les autres. Des mini robes cachant le strict minimum, et n'offrant que peu ou pas de soutien à sa poitrine imposante. Des micro shorts, et micro jupes se résumant en général à un simple bandeau de stretch d'une petite vingtaine de centimètres de largeur. Elle ne porte, par ailleurs, quasiment plus de sous-vêtements, qui se résument à quelques soutiens gorge minimalistes cachant à peine ses aréoles bouffies, et quelques micro strings ficelle dont le triangle pubien est si petit qu'il couvre tout juste son pubis.
Il lui avait par ailleurs accordé un joli budget pour se chausser, mais uniquement d'escarpins plateforme d'au minimum 15cm de talons. Et pour ses tenues un peu plus citadines, composées de micro shorts denim ou stretch accompagnés de mini débardeurs très fins, elle s'était trouvé deux paires de "dunk heels", une bleu/blanc et une rose/noir. Elle avait tout de même pu conserver les micro bikinis et les sextoys offerts par Monsieur Louis. À la pensée de ses mini tenues de bains, la belle s'imagine parfois se rendre à la piscine municipale, chose qu'elle n'a pas encore eu l'occasion de faire cet été, en partie à cause de ses tatouages. "HUM... Et si..." La petite fouille dans son tiroir et en extrait un micro bikini blanc, qu'elle fourre dans son sac à main. "On sait jamais, si l'envie me prenait..."
-Bon c'est pas tout ça ma vieille, qu'est-ce que tu vas te foutre sur le cul, aujourd'hui?
Prise d'une lumière de génie, elle décide de faire plaisir à Alex et de porter la dernière petite extravagance qu'il lui avait fait livrer la veille. Elle s'accroupit pour fouiller dans son tiroir du bas et en dort deux sacs. Du premier, elle extrait une petite robe blanche et du second, ce qui ressemble à un ensemble de bijoux un peu emmêlés. Julie étend la petite robe sur son lit afin de choisir les escarpins qui vont le mieux s'accorder à cette forme pour le moins particulière. En effet, cette mini robe dos nu, a la particularité de concentrer en un seul vêtement tous les fantasmes d'Alex.
Le dos nu, d'une part, semble descendre très bas. Et pour rajouter de la profondeur, le tissu arrière est torsadé en son milieu, offrant ainsi un "V" plongeant au creux des reins, et un "V" inversé au niveau du plis fessier. "HUM... Je pense que je vais avoir bien du mal à cacher mon cul là-dedans!" Dubitative, l'adolescente contemple ensuite l'avant du vêtement, et se demande comment ses seins vont pouvoir tenir dans ce décolleté drapé très profond, dont les deux pans de tissu s'effilent vers le haut pour se terminer en deux fins lacets retenant l'ensemble d'un simple nœud derrière la nuque. "Bon allez! C'est pas comme si j'allais sortir comme ça non plus!"
Mais avant d'enfiler cette "robe", elle extirpe du petit tas de bijoux une chainette de taille, en or blanc, dont le fermoir avant est équipé d'un petit brillant, et reliée sur l'arrière par les ailes d'un ange au bout duquel, pendouille une autre chainette terminée d'un joli trio de boules en résine bleue translucide. Julie enduit les boules de vaseline pour le confort, passe la chainette autour de sa taille pour la refermer juste en dessous de son nombril, puis elle attrape la première sphère qu'elle insère en douceur dans sa pastille, encore détendue de sa sodomie matinale. Les deux dernières ne tarde pas à la rejoindre, et Julie pousse un léger soupir de plaisir à sentir le chapelet anal en elle.
La petite asiat' attrape ensuite un magnifique pendentif très fin, en or blanc lui aussi, au bout duquel pendent trois autres petites chaines terminées chacune d'un fermoir. Elle en attache une à chaque anneau de ses seins et la troisième vient se positionner tout naturellement sur l'anneau transperçant son clitoris. Elle complète sa panoplie de deux boucles d'oreille créoles et du trio de bracelets que lui avait offert sa Lilie.
Dans le doux tintement du métal qui s'entrechoque, la belle passe sa petite robe, qu'elle fixe derrière sa nuque d'une simple boucle. Elle ajuste ensuite les deux pans du décolleté sur chacun de ses obus, et vérifie le tombé du vêtement sur sa chute de rein dans le miroir du placard. Elle passe ensuite ses longs cheveux par dessus son épaule droite afin de libérer son dos. Le rendu est très joli pour un show privé, l'arrondi de la poitrine qui dépasse de chaque côté du décolleté, le dos nu qui laisse apparaître les magnifiques ailes de son dos, le petit nœud à la naissance de sa raie du cul, le "SPERM ADDICT" qui invite tous les mâles en rut à se vider en elle, et le "V" inversé du tissu plissé qui épouse le galbe de son pli fessier et laisse tout juste apparaître la chainette qui se perd dans son petit cul musclé.
Elle se penche pour attraper la paire de talons aiguilles à plateforme blancs et liserets roses. Elle peut admirer, dans le miroir, ses grosses mamelles pendouillant librement sous sa poitrine, et à peine couvertes par le doux tissu du décolleté. Une fois les petites sangles refermées sur ses chevilles, elle se redresse et réajuste le drapé en dessous de son nombril pour bien dégager le collier reliant ses piercings.
Machinalement, elle attrape son sac à main et sort de sa chambre pour rejoindre son enculeur préféré en bas des escaliers du loft. En bonne, show girl, elle s'arrête sur le seuil pour attirer l'attention de son hôte. Il ne faudrait pas qu'il loupe l'entrée en scène de sa salope de locataire. Elle observe le gros informaticien encore nu dans son fauteuil, téléphone portable dans la main, et la queue mollassone entre les jambes, en train de s'exciter avec son interlocuteur.
-Merde putain tu fais chier! Je t'avais prévenu, ça fait presque trois semaines maintenant, et là j'vais devoir rendre des comptes à...
La petite toussote pour attirer l'attention de son geek. Il tourne enfin la tête, et lance un regard éberlué en direction de sa coloc'. Les yeux fixés sur elle, la bouche ouverte, il bug. La vie autour de lui s'interrompt l'espace d'une seconde. Puis il se ressaisit et, terminant sa conversation houleuse, il lance :
-Bon... Euh... Écoute mec, j'vois c'que j'peux faire et j'te rappelle!
Il raccroche et se frotte la tête avec un air confus, et bien malgré lui, sa bite reprend de la vigueur à la seule vue de la salope qui s'apprête à le rejoindre. D'un pas léger, la belle descend nonchalamment les escaliers, les mouvements de ses gros seins libres faisant onduler les pans de tissu en une danse langoureuse. D'un sourire gourmand, elle admire le vît de chair reprendre vie entre les cuisses musclées de son amant. Une fois au pied des escaliers, le regard interrogateur, l'index droit sur la bouche, elle hésite:
-J'arrive peut-être au mauvais moment...
Elle laisse la question en suspend. Alex la regarde, toujours un peu perdu.
-Non non, pas du tout, c'est juste que j'ai des problèmes à régler en ce moment et t'avoir en permanence ici, me distrait.
-Qu'est-ce que...
Julie est perturbée, elle s'est fait ultra sexy pour lui, elle a passé les meilleures semaines de ses vacances en sa compagnie, malgré son rôle d'escort pour ses partenaires lubriques, à se déguiser en jeune étudiante sexy pour pervers lubriques, à sucer des bites dégueulasses sous des tables de restaurant, à se faire enculer par des machines à baiser, attachée au sol, pendant que des sadiques lui pissaient dessus dans des caves/donjon. Et là, elle a l'impression qu'il est sur le point de briser son bonheur.
Il observe l'incrédulité prendre place sur les traits fins de la petite chienne qui s'occupe de lui et de ses partenaires depuis quelques semaines: Il voit bien sur le visage de l'adolescente qu'elle se doute de ce qu'il est sur le point de lui annoncer, mais il ne peut plus reculer.
-Écoute ma belle, tu es magnifique, tu as un cul d'enfer et tu suces comme une déesse. J'ai vraiment adoré ces dernières semaines avec toi, mais...
-Mais quoi? T'es sérieux là? Tu me traites comme une princesse, et tu m'habilles comme une trainée pour le bénéfice de tes potes, et tout ça pour quoi?
-Eh mollo, ma belle, j'te rappelle que t'étais une trainée bien avant de me rencontrer. Ensuite t'étais bien contente que je débourse une petite fortune pour récupérer les vidéos de ta copine, non?
Il n'avait pas tord, il avait payer le prix fort pour récupérer les vidéos de la session de cul de Lilie, alors qu'elle et sa copine n'avait pas eu à sacrifier trop de leur personne. Et Julie doit bien avouer qu'elle a pris son pied à plusieurs reprises lors de ces dernières semaines. Mais elle n'a jamais monnayé ses services, et elle prend conscience que se faire lourder par Alex maintenant, revenait pour elle à se retrouver à la rue avec pas grand chose à se mettre sur le cul.
Alex, la queue toujours dure comme du bois devant la beauté de l'adolescente en rogne devant lui, baisse la tête en se frottant le crâne.
-Le truc, c'est que je suis dans la merde et je dois me mettre au vert quelques temps pour me faire oublier et bosser sur un autre projet... personnel...
-Quoi? Non, mais c'est pas possible? Et j'fais quoi moi? Je crèche où? Je peux au moins rester chez toi le temps de me trouver une nouvelle piaule?
-Ben le problème c'est que dès que je mets les voiles, y a toute une bande de rapaces qui va s'approprier tout ce que je laisse derrière moi. Et crois-moi, t'as pas envie d'être là quand ils défonceront les portes de l'appart'.
-Mais non! Mais non! Mais non, c'est pas possible! J'ai plus personne ici, Lilie s'est barrée chez son oncle, mon père a disparu je ne sais où avec Marco et les turcs, il est hors de question que je retourne chez ma mère! J'ai combien de temps?
Un long silence lourd s'installe entre les amants.
-... Deux jours, tout au plus! Deux jours et je serai plus en mesure de protéger mes biens.
-Espèce d'enculer! Deux jours? Mais comment je vais faire moi?
<VLAM> Elle lui balance une baffe majestueuse, ses nibards se balançant de gauche à droite sous l'impact, puis, fouille dans son sac et balance son trousseau de clés au milieu de l'appart'. La belle sort de l'appartement comme une furie, claquant la porte derrière elle. Elle dévale les escaliers, traverse les parkings déserts à cette heure de la journée, et se précipite hors de la cité oubliant complètement l'indécence de sa tenue. Une seule chose l'inquiète, "Putain, mais j'vais crécher où moi?" Elle monte machinalement dans un bus, sans prêter attention au regard outré des bonnes femmes de la cité qui vont faire leurs courses à la superette du coin.
Ce n'est qu'au moment où elle aperçoit son reflet dans la vitre en face d'elle, alors que le bus passe un peu vite sur un dos d'âne, et que ces seins sans soutien sont bringuebalés de haut en bas au rythme des mouvements du bus, qu'elle prend conscience du regard inquisiteur des mégères qui l'entourent. Elle tente vainement de couvrir sa poitrine de la main pour lui offrir un peu de soutien, et cache machinalement son entrejambe avec son petit sac à main. À l'arrêt suivant, la jeune délurée se précipite au fond du bus pour se faire oublier.
Les minutes passent et la petite retrouve enfin un peu de sérénité. La situation, si elle n'était pas si désespérée, pourrait la faire sourire. De fil en aiguille, elle repense aux événements qui l'ont conduite ici. Les premières pipes dans le bus, l'entretien d'embauche dans le bar, le turc, Moussa et Tarik, Monsieur Louis, les ouvriers et les peintres. Rationalisant quelque peu, elle fait le point et envisage ses options. Tout d'abord, envoyer un texto à Nono, "On sait jamais, ma chambre chez Marco est peut-être encore dispo..." Tarik et Moussa sont en vacances en Croatie, donc c'est mort de ce côté-là.
Elle pourrait rejoindre Lilie à la campagne, mais elle n'a même pas de quoi se payer le billet de train. <BZZT BZZT...BZZT BZZT> Les vibrations de son portable la tire de ses pensées. C'est Nono <Désolé ma grosse, mais y a plus de chambre de dispo! Je vais voir avec le vieux s'il a pas une idée.> <Qu'est-ce qui t'arrive, t'es plus chez ton motard???> Elle tapote vite fait une réponse sur son écran <Histoire compliquée - j'te raconterai> "Merde j'vais quand même pas devoir aller chez ce porc de Monsieur Louis? Et si j'me pointe fringuée comme ça au sexshop, j'vais morfler! En même temps, vaut mieux pas que j'croise un groupe de mâles en rut, ils pourraient bien me baiser sur place, et y a personne qui me viendrait en aide!"
<BZZT BZZT...BZZT BZZT> Nouveau message de Nono, <C'est bon, le vieux Jeannot a ptet' un plan pour toi - Son cousin Maurice tiens un relais routier à la sortie de la ville - Il l'a appelé et si tu veux bien l'aider pour le service du midi il est OK pour te crécher quelque temps - Voilà l'adresse et son 06 - Tu peux aller le voir maintenant, si tu veux> "Bon c'est toujours mieux que rien, et pis ça peut pas être pire que chez Marco!"
Elle vérifie l'adresse et le trajet à prendre en bus, et deux changements, et quelques regards de travers plus tard, elle se trouve au bout de la ligne en bordure de la forêt. L'adolescente très court vêtue repère sans peine le relais routier en face de l'arrêt de bus. Un petit établissement qui ne paye pas de mine avec deux pompes à essence, un petit garage/atelier attenant au bâtiment principal et un énorme parking pouvant recevoir pas mal de semi-remorques. Apparemment un jeune homme en bleu de travail bosse sur une BM rabaissée, et le parking n'est occupé que par deux camions aux rideaux tirés.
La belle traverse la nationale menant à l'autoroute, le voisinage lui rappelle quelque chose mais elle ne se souvient plus vraiment. En courant pour éviter les voitures, elle sent ses mamelles se balancer librement sous le tissu du drapé. Pour ne pas causer d'accident, elle les couvre de sa main droite. Une fois en sécurité sur le trottoir d'en face, elle ajuste le bas de sa robe afin de couvrir son joli cul. Le cœur battant la chamade, elle se dirige vers la porte d'entrée principale.
<CLING CLING> Une petite cloche signale l'arrivée de la belle dans la salle de restaurant
-Ah Ah Putain, salope, je viens.
La jeune fille se dégage vivement de dessous le gros bide de son enculeur, et se retourne à genoux devant lui, pour le finir dans sa bouche. Qu'est-ce qu'il adore contempler cette magnifique petite asiatique avide de bite et de sperme. Depuis qu'elle est entrée dans sa vie, la petite Julie a été l'objet de toutes les attentions du pirate informatique. Le petit trou de la jeune salope est un délice de douceur pour sa bite, et sa bouche si douce, si chaude, si pulpeuse, est un véritable réservoir à foutre.
La petite asiat' le branle avec passion et lui caresse adroitement la bite du bout de la langue pour le mener à la jouissance. Elle sort sa langue percée d'un joli bijou pour lui titiller le frein et enlacer son gland tout gonflé de plaisir. Elle le masturbe ensuite avec ardeur, pointant le dard tendu en direction de ses lèvres charnues grandes ouvertes.
Elle lui sourit en le caressant, et lui se perd dans ce regard presque enfantin, et pourtant fardé d'un rouge intense dégradé vers un blanc magnifique. La sève monte dans sa bite en une jouissance intense. Une première giclée explose au fond de la gorge de la petite gourmande, qui gobe alors le gland du gros motard pour ne pas perdre une goutte de son nectar. Elle continue à le branler dans sa bouche et il se vide en elle, poussant un râle de plaisir presque bestial, savourant la douceur de ses belles lèvres.
"La pute! Elle sait vraiment y faire!" Il l'admire en train de lui branler la bite molissante, la bouche maintenant ouverte et la langue couverte de son sperme chaud et gluant, pour lui exposer le fruit de sa traite. Enfin, en bonne gourmande, Julie gobe le foutre chaud, et se lèche les babines affichant un joli sourire de satisfaction. L'esprit vide et soulagé, Alex admire toujours la belle, et se remémore ces dernières semaines passées en compagnie de cette petite bombe sexuelle, qu'il héberge depuis quelques temps.
Il faut dire qu'il ne lui aura pas fallu longtemps pour tomber sous le charme de cette ado complètement accro au cul. En effet, à part le coup de cœur qu'il avait pu avoir pour Lilie, il n'aurait jamais pensé tomber sur la plus parfaite représentation de ses fantasmes de geek. Une petite bombasse asiatique, imberbe, aux gros seins, et aux orifices aussi souples qu'affamés de bites, et qui lui a prouvé à maintes reprises ses capacités à encaisser des queues de tous calibres.
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C'est après l'avoir déposée chez Marco que tout s'était accéléré. La petite se faisait chier dans son rôle de serveuse. Les ivrognes du bar étaient incapables de la satisfaire, Marco et Éric avaient disparu pour une expédition avec le turc et son cousin, et ses deux acolytes Jeannot et Nono ne lui prêtaient que rarement attention, bien qu'elle ait commencé à tisser de vrais liens d'amitié avec le barman.
C'est après quelques semaines, une fois les rushs de la petite escapade de sa Lilie dans les sous-sols de ce bon vieux Monsieur Louis récupérés contre une somme d'argent conséquente, au'Alex avait émis l'idée que Julie bosse pour lui afin qu'il se rembourse sur son "p'tit cul".
-Super, me v'là redevable de vous et du turc maintenant! Lui avait-elle alors sorti sans réfléchir, avec sa mine de petite fille renfrognée.
Ce jour là, Alex eu bien du mal à reconnaitre la petite chaudasse. Il n'avait pas revu l'adolescente depuis trois semaines, et elle s'était teint les cheveux en un magnifique blond agrémenté de nombreuses mèches pour donner plus de relief à sa nouvelle crinière, et plaire à ses turcs. Enfin, comme si elle avait voulu changer de peau, la jeune asiatique avait demandé à son père qu'il lui paye un tatouage et un piercing. La belle rêvait apparemment depuis longtemps de se faire tatouer un Titi, et avait entendu dire qu'elle pourrait atteindre de nouveaux types de plaisirs avec le clitoris, et les tétons percés. Elle souhaitait aussi procurer de belles sensations à ses amants, en se perçant la langue.
Avant de partir, Éric, qui n'a jamais rien pu refusé à sa fille, avait accepté à la condition qu'il puisse la marquer d'un tatouage de SON choix. La belle accepta le deal et une fois affublée d'un magnifique Titi aux ailes d'anges sur la droite de son pubis, d'un anneau transperçant la base de son petit bouton complété d'un anneau à chaque téton, il lui fit tatouer une belle surprise dans le creux des reins, juste au dessus de la ceinture. Quelle fut sa surprise lorsqu'elle découvrit que son propre père avait osé marquer en une magnifique calligraphie un "SPERM ADDICT" bien lisible. Choquée sur le moment de montrer en public une passion si personnelle, elle en était maintenant fière, et l'affichait sans vergogne, ne portant plus que des vêtements à taille basse, et des petits hauts toujours très courts et très échancrés.
Comme toute personne tatouée, elle y avait pris goût, et moyennant quelques engagements avec certains clients de son paternel, elle avait pu se payer un petit lapin playboy sur la cheville gauche, de jolis nœuds tressés comme le laçage d'un corset, et imitant parfaitement la soie rouge derrière ses cuisses. Elle fit ajouter un troisième nœud, simple et noir, juste à la naissance de la raie des fesses. Il lui avait fallu pas moins de trois semaines pour compléter son œuvre d'une magnifique paire d'ailes d'anges aux courbes voluptueuses lui drapant la partie supérieure du dos.
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Sorti de ses pensées lorsque la belle libère sa bite et lui embrasse la joue en se relevant, Alex contemple maintenant les courbes de l'adolescente qui s'éloigne de lui, nue, dans un déhanché voluptueux. Il se perd de nouveau dans une sorte de nostalgie: "Trois semaines, déjà?" Trois semaines que la jeune nymphomane, en échange du gîte, du couvert, et plus si affinités, avait accepté de servir d'escort à certains partenaires du gros entrepreneur.
Le voyant perdu dans ses pensées, l'adolescente abandonne son gros motard et se retire dans sa chambre pour se préparer. Ses petits rituels du matin, après avoir satisfait les besoins du mâle de la maison, incluent un bon lavement pour des sodomies bien propres, une douche froide pour affermir ses chairs et pour le tonus, et le choix de sa tenue pour la journée.
Ce matin, elle veut faire plaisir à son hôte, qui depuis quelques temps s'absente très régulièrement et pour des durées de plus en plus longues. De peur de perdre un si bon amant, elle décide de mettre le paquet, elle s'enduit tout d'abord le corps de lait au monoï, puis applique un joli gloss rose pour faire ressortir ses belles lèvres. Elle se pare ensuite d'un joli dégradé rose/blanc sur les paupières complété d'un fin trait de liner et termine par une touche de rose sur ses jolies pommettes saillantes.
Elle revient ensuite dans sa chambre, entièrement nue, une petite barette rose dans les cheveux, et se pose devant sa commode pour réfléchir à ce qu'elle peut porter pour faire vibrer son geek. Elle sait que ses hommes aiment le contraste qu'elle apporte dans une apparente innocence parée de tenues de salope bonne à baiser. Alex, en acceptant de l'héberger, avait par ailleurs contraint la belle à se débarrasser de ses vieilles fringues, et elle du lui concéder le choix de sa toute nouvelle garde-robe.
Des petits hauts "crop top", pour la plupart le dos nu, et aux décolletés plus extravagants les uns que les autres. Des mini robes cachant le strict minimum, et n'offrant que peu ou pas de soutien à sa poitrine imposante. Des micro shorts, et micro jupes se résumant en général à un simple bandeau de stretch d'une petite vingtaine de centimètres de largeur. Elle ne porte, par ailleurs, quasiment plus de sous-vêtements, qui se résument à quelques soutiens gorge minimalistes cachant à peine ses aréoles bouffies, et quelques micro strings ficelle dont le triangle pubien est si petit qu'il couvre tout juste son pubis.
Il lui avait par ailleurs accordé un joli budget pour se chausser, mais uniquement d'escarpins plateforme d'au minimum 15cm de talons. Et pour ses tenues un peu plus citadines, composées de micro shorts denim ou stretch accompagnés de mini débardeurs très fins, elle s'était trouvé deux paires de "dunk heels", une bleu/blanc et une rose/noir. Elle avait tout de même pu conserver les micro bikinis et les sextoys offerts par Monsieur Louis. À la pensée de ses mini tenues de bains, la belle s'imagine parfois se rendre à la piscine municipale, chose qu'elle n'a pas encore eu l'occasion de faire cet été, en partie à cause de ses tatouages. "HUM... Et si..." La petite fouille dans son tiroir et en extrait un micro bikini blanc, qu'elle fourre dans son sac à main. "On sait jamais, si l'envie me prenait..."
-Bon c'est pas tout ça ma vieille, qu'est-ce que tu vas te foutre sur le cul, aujourd'hui?
Prise d'une lumière de génie, elle décide de faire plaisir à Alex et de porter la dernière petite extravagance qu'il lui avait fait livrer la veille. Elle s'accroupit pour fouiller dans son tiroir du bas et en dort deux sacs. Du premier, elle extrait une petite robe blanche et du second, ce qui ressemble à un ensemble de bijoux un peu emmêlés. Julie étend la petite robe sur son lit afin de choisir les escarpins qui vont le mieux s'accorder à cette forme pour le moins particulière. En effet, cette mini robe dos nu, a la particularité de concentrer en un seul vêtement tous les fantasmes d'Alex.
Le dos nu, d'une part, semble descendre très bas. Et pour rajouter de la profondeur, le tissu arrière est torsadé en son milieu, offrant ainsi un "V" plongeant au creux des reins, et un "V" inversé au niveau du plis fessier. "HUM... Je pense que je vais avoir bien du mal à cacher mon cul là-dedans!" Dubitative, l'adolescente contemple ensuite l'avant du vêtement, et se demande comment ses seins vont pouvoir tenir dans ce décolleté drapé très profond, dont les deux pans de tissu s'effilent vers le haut pour se terminer en deux fins lacets retenant l'ensemble d'un simple nœud derrière la nuque. "Bon allez! C'est pas comme si j'allais sortir comme ça non plus!"
Mais avant d'enfiler cette "robe", elle extirpe du petit tas de bijoux une chainette de taille, en or blanc, dont le fermoir avant est équipé d'un petit brillant, et reliée sur l'arrière par les ailes d'un ange au bout duquel, pendouille une autre chainette terminée d'un joli trio de boules en résine bleue translucide. Julie enduit les boules de vaseline pour le confort, passe la chainette autour de sa taille pour la refermer juste en dessous de son nombril, puis elle attrape la première sphère qu'elle insère en douceur dans sa pastille, encore détendue de sa sodomie matinale. Les deux dernières ne tarde pas à la rejoindre, et Julie pousse un léger soupir de plaisir à sentir le chapelet anal en elle.
La petite asiat' attrape ensuite un magnifique pendentif très fin, en or blanc lui aussi, au bout duquel pendent trois autres petites chaines terminées chacune d'un fermoir. Elle en attache une à chaque anneau de ses seins et la troisième vient se positionner tout naturellement sur l'anneau transperçant son clitoris. Elle complète sa panoplie de deux boucles d'oreille créoles et du trio de bracelets que lui avait offert sa Lilie.
Dans le doux tintement du métal qui s'entrechoque, la belle passe sa petite robe, qu'elle fixe derrière sa nuque d'une simple boucle. Elle ajuste ensuite les deux pans du décolleté sur chacun de ses obus, et vérifie le tombé du vêtement sur sa chute de rein dans le miroir du placard. Elle passe ensuite ses longs cheveux par dessus son épaule droite afin de libérer son dos. Le rendu est très joli pour un show privé, l'arrondi de la poitrine qui dépasse de chaque côté du décolleté, le dos nu qui laisse apparaître les magnifiques ailes de son dos, le petit nœud à la naissance de sa raie du cul, le "SPERM ADDICT" qui invite tous les mâles en rut à se vider en elle, et le "V" inversé du tissu plissé qui épouse le galbe de son pli fessier et laisse tout juste apparaître la chainette qui se perd dans son petit cul musclé.
Elle se penche pour attraper la paire de talons aiguilles à plateforme blancs et liserets roses. Elle peut admirer, dans le miroir, ses grosses mamelles pendouillant librement sous sa poitrine, et à peine couvertes par le doux tissu du décolleté. Une fois les petites sangles refermées sur ses chevilles, elle se redresse et réajuste le drapé en dessous de son nombril pour bien dégager le collier reliant ses piercings.
Machinalement, elle attrape son sac à main et sort de sa chambre pour rejoindre son enculeur préféré en bas des escaliers du loft. En bonne, show girl, elle s'arrête sur le seuil pour attirer l'attention de son hôte. Il ne faudrait pas qu'il loupe l'entrée en scène de sa salope de locataire. Elle observe le gros informaticien encore nu dans son fauteuil, téléphone portable dans la main, et la queue mollassone entre les jambes, en train de s'exciter avec son interlocuteur.
-Merde putain tu fais chier! Je t'avais prévenu, ça fait presque trois semaines maintenant, et là j'vais devoir rendre des comptes à...
La petite toussote pour attirer l'attention de son geek. Il tourne enfin la tête, et lance un regard éberlué en direction de sa coloc'. Les yeux fixés sur elle, la bouche ouverte, il bug. La vie autour de lui s'interrompt l'espace d'une seconde. Puis il se ressaisit et, terminant sa conversation houleuse, il lance :
-Bon... Euh... Écoute mec, j'vois c'que j'peux faire et j'te rappelle!
Il raccroche et se frotte la tête avec un air confus, et bien malgré lui, sa bite reprend de la vigueur à la seule vue de la salope qui s'apprête à le rejoindre. D'un pas léger, la belle descend nonchalamment les escaliers, les mouvements de ses gros seins libres faisant onduler les pans de tissu en une danse langoureuse. D'un sourire gourmand, elle admire le vît de chair reprendre vie entre les cuisses musclées de son amant. Une fois au pied des escaliers, le regard interrogateur, l'index droit sur la bouche, elle hésite:
-J'arrive peut-être au mauvais moment...
Elle laisse la question en suspend. Alex la regarde, toujours un peu perdu.
-Non non, pas du tout, c'est juste que j'ai des problèmes à régler en ce moment et t'avoir en permanence ici, me distrait.
-Qu'est-ce que...
Julie est perturbée, elle s'est fait ultra sexy pour lui, elle a passé les meilleures semaines de ses vacances en sa compagnie, malgré son rôle d'escort pour ses partenaires lubriques, à se déguiser en jeune étudiante sexy pour pervers lubriques, à sucer des bites dégueulasses sous des tables de restaurant, à se faire enculer par des machines à baiser, attachée au sol, pendant que des sadiques lui pissaient dessus dans des caves/donjon. Et là, elle a l'impression qu'il est sur le point de briser son bonheur.
Il observe l'incrédulité prendre place sur les traits fins de la petite chienne qui s'occupe de lui et de ses partenaires depuis quelques semaines: Il voit bien sur le visage de l'adolescente qu'elle se doute de ce qu'il est sur le point de lui annoncer, mais il ne peut plus reculer.
-Écoute ma belle, tu es magnifique, tu as un cul d'enfer et tu suces comme une déesse. J'ai vraiment adoré ces dernières semaines avec toi, mais...
-Mais quoi? T'es sérieux là? Tu me traites comme une princesse, et tu m'habilles comme une trainée pour le bénéfice de tes potes, et tout ça pour quoi?
-Eh mollo, ma belle, j'te rappelle que t'étais une trainée bien avant de me rencontrer. Ensuite t'étais bien contente que je débourse une petite fortune pour récupérer les vidéos de ta copine, non?
Il n'avait pas tord, il avait payer le prix fort pour récupérer les vidéos de la session de cul de Lilie, alors qu'elle et sa copine n'avait pas eu à sacrifier trop de leur personne. Et Julie doit bien avouer qu'elle a pris son pied à plusieurs reprises lors de ces dernières semaines. Mais elle n'a jamais monnayé ses services, et elle prend conscience que se faire lourder par Alex maintenant, revenait pour elle à se retrouver à la rue avec pas grand chose à se mettre sur le cul.
Alex, la queue toujours dure comme du bois devant la beauté de l'adolescente en rogne devant lui, baisse la tête en se frottant le crâne.
-Le truc, c'est que je suis dans la merde et je dois me mettre au vert quelques temps pour me faire oublier et bosser sur un autre projet... personnel...
-Quoi? Non, mais c'est pas possible? Et j'fais quoi moi? Je crèche où? Je peux au moins rester chez toi le temps de me trouver une nouvelle piaule?
-Ben le problème c'est que dès que je mets les voiles, y a toute une bande de rapaces qui va s'approprier tout ce que je laisse derrière moi. Et crois-moi, t'as pas envie d'être là quand ils défonceront les portes de l'appart'.
-Mais non! Mais non! Mais non, c'est pas possible! J'ai plus personne ici, Lilie s'est barrée chez son oncle, mon père a disparu je ne sais où avec Marco et les turcs, il est hors de question que je retourne chez ma mère! J'ai combien de temps?
Un long silence lourd s'installe entre les amants.
-... Deux jours, tout au plus! Deux jours et je serai plus en mesure de protéger mes biens.
-Espèce d'enculer! Deux jours? Mais comment je vais faire moi?
<VLAM> Elle lui balance une baffe majestueuse, ses nibards se balançant de gauche à droite sous l'impact, puis, fouille dans son sac et balance son trousseau de clés au milieu de l'appart'. La belle sort de l'appartement comme une furie, claquant la porte derrière elle. Elle dévale les escaliers, traverse les parkings déserts à cette heure de la journée, et se précipite hors de la cité oubliant complètement l'indécence de sa tenue. Une seule chose l'inquiète, "Putain, mais j'vais crécher où moi?" Elle monte machinalement dans un bus, sans prêter attention au regard outré des bonnes femmes de la cité qui vont faire leurs courses à la superette du coin.
Ce n'est qu'au moment où elle aperçoit son reflet dans la vitre en face d'elle, alors que le bus passe un peu vite sur un dos d'âne, et que ces seins sans soutien sont bringuebalés de haut en bas au rythme des mouvements du bus, qu'elle prend conscience du regard inquisiteur des mégères qui l'entourent. Elle tente vainement de couvrir sa poitrine de la main pour lui offrir un peu de soutien, et cache machinalement son entrejambe avec son petit sac à main. À l'arrêt suivant, la jeune délurée se précipite au fond du bus pour se faire oublier.
Les minutes passent et la petite retrouve enfin un peu de sérénité. La situation, si elle n'était pas si désespérée, pourrait la faire sourire. De fil en aiguille, elle repense aux événements qui l'ont conduite ici. Les premières pipes dans le bus, l'entretien d'embauche dans le bar, le turc, Moussa et Tarik, Monsieur Louis, les ouvriers et les peintres. Rationalisant quelque peu, elle fait le point et envisage ses options. Tout d'abord, envoyer un texto à Nono, "On sait jamais, ma chambre chez Marco est peut-être encore dispo..." Tarik et Moussa sont en vacances en Croatie, donc c'est mort de ce côté-là.
Elle pourrait rejoindre Lilie à la campagne, mais elle n'a même pas de quoi se payer le billet de train. <BZZT BZZT...BZZT BZZT> Les vibrations de son portable la tire de ses pensées. C'est Nono <Désolé ma grosse, mais y a plus de chambre de dispo! Je vais voir avec le vieux s'il a pas une idée.> <Qu'est-ce qui t'arrive, t'es plus chez ton motard???> Elle tapote vite fait une réponse sur son écran <Histoire compliquée - j'te raconterai> "Merde j'vais quand même pas devoir aller chez ce porc de Monsieur Louis? Et si j'me pointe fringuée comme ça au sexshop, j'vais morfler! En même temps, vaut mieux pas que j'croise un groupe de mâles en rut, ils pourraient bien me baiser sur place, et y a personne qui me viendrait en aide!"
<BZZT BZZT...BZZT BZZT> Nouveau message de Nono, <C'est bon, le vieux Jeannot a ptet' un plan pour toi - Son cousin Maurice tiens un relais routier à la sortie de la ville - Il l'a appelé et si tu veux bien l'aider pour le service du midi il est OK pour te crécher quelque temps - Voilà l'adresse et son 06 - Tu peux aller le voir maintenant, si tu veux> "Bon c'est toujours mieux que rien, et pis ça peut pas être pire que chez Marco!"
Elle vérifie l'adresse et le trajet à prendre en bus, et deux changements, et quelques regards de travers plus tard, elle se trouve au bout de la ligne en bordure de la forêt. L'adolescente très court vêtue repère sans peine le relais routier en face de l'arrêt de bus. Un petit établissement qui ne paye pas de mine avec deux pompes à essence, un petit garage/atelier attenant au bâtiment principal et un énorme parking pouvant recevoir pas mal de semi-remorques. Apparemment un jeune homme en bleu de travail bosse sur une BM rabaissée, et le parking n'est occupé que par deux camions aux rideaux tirés.
La belle traverse la nationale menant à l'autoroute, le voisinage lui rappelle quelque chose mais elle ne se souvient plus vraiment. En courant pour éviter les voitures, elle sent ses mamelles se balancer librement sous le tissu du drapé. Pour ne pas causer d'accident, elle les couvre de sa main droite. Une fois en sécurité sur le trottoir d'en face, elle ajuste le bas de sa robe afin de couvrir son joli cul. Le cœur battant la chamade, elle se dirige vers la porte d'entrée principale.
<CLING CLING> Une petite cloche signale l'arrivée de la belle dans la salle de restaurant
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