Julie - Une nouvelle vie: le départ (Partie 2)
Récit érotique écrit par Silveradd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2016 dans la catégorie Plus on est
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Julie - Une nouvelle vie: le départ (Partie 2)
Ça fait donc deux mois que Julie attend des nouvelles d’Hector au sujet d’un appartement qu’elle pourrait louer en ville. Elle s’ennuie, elle est en maque d’une bonne queue, et profite des codes qu’elle a piqué à son père pour se branler devant des vidéos de jeunes filles se faisant bien défoncer et avalant de belles quantités de sperme. Sa mère, qui a failli la surprendre un doigt dans le cul et un gros gode dans la chatte, lui annonce l’arrivée d’Hector. Ce dernier, porteur de bonne nouvelles, s’apprête à lui annoncer de bonnes nouvelles.
Elle se souvient encore du grand gars baraqué qui venait souvent voir sa mère à la maison, mais c'était avant le clash avec son père il y a bien 8 ans. Julie n'a jamais su ce qui s'était passé entre eux. Elle fut très surprise en ouvrant la porte, de se retrouvée nez à nez avec un quinqua bedonnant. Il était, certes, toujours aussi grand, et on devinait encore l'homme qu'il avait été, mais le temps ne l'avait pas épargné. Julie reconnaissait pourtant bien ce regard dur et ces mains très fortes, elle lui sauta au cou comme si les années n'avaient pas fait leurs ravages.
- He ben, quel accueil dis-moi ! Mais c'est pas possible, regarde-moi ça comme tu as bien grandi. Et y a tout s'ki faut là où y faut en plus.
- ça va, n'en fait pas trop quand même ! Maman, Hector est arrivé.
- Salut ma belle.
- Bonjour charmeur.
Julie sent bien à ce moment la relation qui a pu lier cet homme à sa mère par le passé. Mais pour l'instant, tout ce qui l'intéresse c'est de savoir si Hector a pu lui trouver un logement. Et en effet, il lui a bien dégoté une petite chambre en ville et dans son budget. Il la met en relation avec Marco, un de ses vieux potes antillais, quinquagénaire comme lui. Folle d'excitation, Julie s'empresse de contacter Marco :
- ... Oui, allo ?
- Bonjour monsieur, je m'appelle Julie et je vous contacte de la part d'Hector qui me dit que vous avez peut-être un petit logement à me proposer ?
- Ah oui, la p'tite Julie. En effet, Hector m'a parlé de toi. Est-ce que tu es disponible cet après-midi pour une visite ?
- Oui, oui pas de problème.
- Bon tu vas voir, ça paye pas de mine, mais c'est salubre et c'est pas cher.
- Et le quartier ? C'est comment ?
- Ben c'est sûr que c'est pas le 16ème, hahahaha. Mais bon, en plus de mon PMU au rez de chaussé tu trouveras tous les services à proximité.
- Super, à tout à l'heure alors.
- Sache tout de même que j'ai pas mal de monde sur le coup. Mais Hector est un bon pote alors je vais quand même te faire visiter et tu me donneras ta réponse ensuite, OK ?
Merde, ça c'était un coup dur. Premier obstacle à passer, y a déjà de la concurrence juste pour se loger. Qu'à cela ne tienne, elle ne va pas se démoraliser si vite.
- Très bien, je vous retrouve à votre adresse pour 16H00 ?
- Oui 16H00 c'est bien. Noé s'occupera du bar, ça devrait l'faire.
Julie raccroche alors et retrouve les adultes, mais avec un air un peu renfrogné à l'idée de devoir se battre pour un malheureux logement à deux balles.
Sa mère se lève alors et se rend à la cuisine pour préparer un café. Julie s'assoit à côté d'Hector qui se rend compte de son désarroi.
- Qu'est-ce qui s’passe ? Marco a pas été cool ?
- Nan, c'est pas ça ! Mais v'là qu'y m'dit qu'y a déjà pas mal de monde sur le coup. Bon, il a bien noté que je venais de ta part, mais j’voudrais pas que cet appart' me passe sous le nez.
- Oh, ça c'est rien, t'inquiète. Mignone comme t'es t'auras aucun problème à avoir l'appart’ !
- Comment ça ?
- Ben c'est simple, Marco il aime bien les belles poulettes, tu vois ? Il te suffit de mettre tes beaux atouts en valeur, et j'te garantis que l'appart' il est pour toi.
- Nan mais t'es pas net, maman acceptera jamais que j'montre mon cul pour obtenir c'que j'veux!
- D'abord elle a pas besoin de l’savoir (Hector souligne sa remarque d'un petit clin d'œil). Ensuite, dans la vie il faut te battre pour obtenir ce que tu veux. Et là t'utilises toutes les cartes que t'as en main, y a pas de pitié.
Julie se perd alors dans ses pensées, c'est vrai qu'en général, les mecs aiment bien la mater. Elle sait qu'elle est bien foutue et c'est pour ne pas se faire emmerder par tous les lourdauds qu'elle cache ses formes. Du coup elle ne sait pas vraiment comment se mettre en valeur et il ne lui reste pas énormément de temps pour se préparer.
- Est-ce qu'au moins tu as des trucs un peu sexy à te mettre ?
- Ben j'ai bien un slim et quelques débardeurs mais je n'ai que des soutifs et des culottes banals.
- Bon le slim et le débardeur c'est déjà pas mal, mais prends un truc bien décolleté, j'le connais le Marco, il aime bien les grosses loches. Par contre pour les sous-vêtements, je te dirais bien d'y aller en mode commando si tu vois s'que j'veux dire (et encore un petit clin d'œil pour appuyer l'allusion).
- Tu veux dire sans rien en dessous (chuchotant au cas où sa mère l'entende) ? Je sais pas si je peux, c'est un peu gênant quand même !
- En même temps tu fais comme tu veux, c'est pas moi qui ai envie de cet appart' après tout.
- Ouais, bon j'vais voir.
- Bon, il faudrait peut-être te préparer ma puce. Lui lance sa mère en entrant le pot de café et deux tasses à la main.
Julie fait un bisou à sa mère et se dirige vers sa chambre pour se préparer. Elle fouille dans ses placards et en sort un slim blanc de coton fin et quelques débardeurs qu'elle étale sur son lit pour mieux faire son choix. Elle en sélectionne un blanc, moulant à fines bretelles mais relativement long et un autre modèle blanc aussi, en mousseline très fine et dos nu, un peu plus court et bien décolleté, que sa cousine lui avait donné l'été dernier au grand dam de sa mère.
Elle commence par enfiler son pantalon puis essaye le premier débardeur. Elle se dirige alors vers son grand miroir et l'image qu'il lui retourne et celle d'une jolie fille, certes, mais un peu banale. C'est vrai que sa culotte est bien voyante et que son soutien-gorge est bien trop visible dans ce débardeur. Julie prend une grande respiration et se décide à suivre les conseils d'Hector. Elle se déshabille de nouveau, mais cette fois c'est complètement nue qu'elle remet son slim blanc et qu'elle passe le dos nu. Elle enfile une paire de bottines à talons fin qui lui allongent la silhouette et retourne s'observer. Finalement, elle se plait bien dans cette tenue, c'est vrai qu'on voit bien la courbure de son petit cul, le beau galbe de ses jambes. Elle kiffe aussi ce petit haut en dos nu, mais elle se demande quand même si ce n'est pas un peu trop. En effet ses gros seins font remonter le fin tissu plissé bien au-dessus de son nombril, et la profondeur du V l'empêche de trop se pencher. Il faut dire que sa cousine n'avait pas ce genre de problèmes avec le peu de poitrine qu'elle a. Encore un moment d'hésitation puis elle se remémore les paroles d'Hector. C’est qu’elle en a envie de cet appartement. De toute façon, ça y est, elle est à la bourre, elle décide donc de couvrir un peu ses jolies formes avec une petite veste en jean's fine, attrape un petit sac dans lequel elle glisse ses papiers et son phone et c'est parti. Plus question de faire marche arrière.
Comme à son habitude, elle descend à toute vitesse les marches d'escalier, à la différence près qu'elle ne porte plus de soutien-gorge. Résultat, ses gros seins sont secoués de bas en haut au rythme de la descente d'escalier. Heureusement sa mère et Hector sont encore dans le salon, ils n'assistent donc pas au ballet de ses grosses miches secouées dans leur carcan de tissu. Ne voulant absolument pas être en retard, elle fait vite salut de la main aux deux adultes bien trop pris dans leur conversation pour faire attention à elle.
- Bisou m'man, à tout’ ! Bise Hector.
- Bon courage lui répondent-ils en cœur, avant d'éclater de rire.
Elle se rend alors compte à quel point ils ont dû être complices dans le passé, mais pour l'heure son avenir à elle est en jeu. Elle doit appuyer le pas si elle ne veut pas louper le bus. Mais ce n'est pas si facile d'avancer vite avec les miches qui se baladent dans tous les sens dans son joli décolleté. C'est sympa pour obtenir ce qu'elle veut, mais pas super pratique. De plus elle sent bien que son slim commence à lui rentrer dans la raie du cul. "Comment elles font celles qui ne portent que des strings ?". Julie arrive enfin à l'arrêt de bus, réajuste un peu son haut qui a tendance à laisser sortir ses gros seins. Merde ça à l'air désert, elle espère ne pas l'avoir loupé, nan c'est bon elle l'entend arriver derrière elle. Ouf, juste à temps. Confiante dans son avenir elle constate que tout s'enchaîne bien, sa mère la soutien, Hector lui donne de bons conseils, elle va même être à l'heure pour sa première visite. "Pourvu que tout continue aussi bien !".
Le trajet en bus est relativement long, elle en a pour une bonne heure quarante-cinq. Ce qui est bien en soit puisqu’elle sera obligée de se débrouillée seule. Ses parents adoptifs n'étant pas véhiculés, ils ne pourront pas lui venir en aide aussi facilement que lorsqu'elle était à la maison. Les portes battantes s'ouvrent et avec son plus joli sourire, elle demande un billet au chauffeur qui lui retourne son sourire et sa monnaie, mais elle constate tout de même que le regard de ce grand black ne cesse de faire des allés et retours entre ses yeux et sa poitrine. Un peu mal à l'aise Julie essaye de réajuster les pans de sa veste sur sa poitrine, mais ses gros nichons l’empêchent de mieux la couvrir. Mais ce n'est pas tout, elle comprend ce qui attire tant le regard du conducteur. Dans sa course, le mouvement de ses seins, ou peut-être le contact quasi direct avec l'air ambiant, ont faire grossir les pointes de ses mamelles. Déjà bien gros en général, ses tétons n'ont jamais été aussi volumineux à part peut-être lorsqu'elle se masturbe en se pinçant les seins. Mais là, elle voulait juste prendre le bus! Merde, merci du conseil Hector. Ça fait pas cinq minutes qu'elle est dehors qu'un mec lui reluque déjà les nichons. Il faut dire qu'avec le plongeant du décolleté, la finesse du tissu, et la dureté que prenait ses mamelons, ce grand black avait de quoi se rincer l'œil. C'est donc avec un petit sourire gêné qu'elle le remercie et se dirige au plus vite vers le fond du bus. Ce dernier redémarre avec un soubresaut, ce qui oblige notre jeune candide à se caler contre une des rambardes latérales, et sa poitrine d'osciller de nouveau au gré des bosses, des à-coups et des dos d'âne. Heureusement pour Julie, à cette heure de la journée le bus est vide, elle décide donc de rester appuyée à la rambarde, et attend l’arrêt suivant pour trouver une place assise. Dos à la vitre, les seins bondissant à chaque bosse et nid de poule de la route, elle offre un très joli spectacle au chauffeur qui, smartphone à l'oreille, l'observe dans son rétroviseur avec un sourire ravi.
Au bout de quelques minutes, qui lui semblèrent très longues, elle aperçoit enfin un arrêt. N'attendant pas l'arrêt du véhicule, elle se dirige tant bien que mal vers le fond pour au moins avoir un peu de tranquillité pour le restant du trajet. Elle se trouve une place sur la banquette du fond, au moment où le chauffeur stoppe son véhicule et ouvre les portes battantes. Comme c'est le dernier arrêt avant l'autoroute, une quinzaine de passagers entrent chacun leur tour et prennent place sans trop prêter attention à la jeune fille bien calée dans son coin. Le chauffeur met un certain temps avant de redémarrer ce qui inquiète un peu Julie puisqu'elle doit se trouver chez Marco dans moins de deux heures. Mais elle se dit que le chauffeur doit avoir des consignes pour assurer un meilleur service à ses usagers. Perdue dans ses pensées et ses inquiétudes, elle remarque à peine le groupe de jeunes d'une petite vingtaine d'années qui vient de prendre place bruyamment dans le fond du bus. Ils se charrient les uns les autres mais personne ne leur fait la moindre réflexion. De toute façon ce serait peine perdu, à cet âge ils jouent tous les petits caïds et de toute façon ils ne peuvent pas faire beaucoup de mal. De nouveau le soubresaut du départ, de nouveau ses gros seins qui oscillent dans son décolleté, de nouveau le plaisir de se rapprocher de son indépendance, seule l'ambiance a changé. L'attention du groupe de jeunes commence à se porter sur elle, en effet, elle croyait reconnaître vaguement certains d'entre eux.
- Eh, mais j'te connais toi ! T'étais au lycée c't'année, non ?
Oh merde c'est bien ce qu'elle pensait aussi, celui qui vient de l'interpelée s'appelle Karim. Elle se rappelle bien de cette classe de Bac Pro qui emmerdait pas mal les filles un peu trop belles du bahut. C'est à cause de ce genre de petits cons qu'elle ne se mettait jamais en valeur. C'est bien son jour, tiens. Alors qu'elle sort un peu de sa coquille, la réalité la rattrape. Bon ce n'est pas grave, il suffit de l'ignorer et ça devrait se calmer tout seul.
- Vas-y, tu pourrais au moins nous dire bonjour au lieu de faire ta belle.
Boum boum, merde encore un maudit dos d'âne.
- Roooo la vache de paire de loches qu'elle a ta copine !
Ça c'est Michel un grand black qui traînait en dehors du lycée.
- Mais t'as vu comment ça bouge là-dessous. Vas-y fait voir !
Karim vient s'asseoir juste à côté d'elle sur la banquette, alors que Michel s'installe en face d'elle à genou sur la banquette de devant. Il reluque sans gêne les magnifiques obus qui bougent au gré des mouvements du bus.
- Salut les gars. Leur répond Julie, ne sachant pas trop quoi faire d'autre.
Les autres mecs commencent alors à se placer autour d'elle formant un rempart avec le reste du bus. Plus personne ne doit vraiment l'apercevoir, perdue au milieu de tous ces mecs.
- Fais nous au moins la bise, tu vas nous snober non plus ?
Karim lui tend la joue lui faisant signe de l'embrasser. Elle ne veut pas d'emmerdes, pas aujourd'hui, c’est trop important ! Il faut qu'elle affronte le moindre obstacle. Elle approche alors ses lèvres de la joue tendue de Karim, et là, mouvement de tête, il lui bloque le visage de ses gandes mains, plaque ses lèvres contre les siennes et lui roule une grosse galoche. Sa langue forçant les deux belles lèvres charnues de Julie, il l'embrasse goulument. Ces potes se mettent à hurler autour d'eux pour saluer cette belle victoire. Il continue de l'embrasser à pleine bouche. Boum boum, encore un putain de dos d'âne, c'est vraiment pas le moment !
- Putain les mecs, matez cette paire de insses, ça bouge sévère !
- Vas-y soupèse un peu pour voir.
La tête bloquée dans l'étau de chair de Karim, elle sent les mains baladeuses de Michel passer sous la mousseline fine de son débardeur. Il lui empoigne les deux loches à pleine main et commence à les peloter fermement.
- Merde, montre-nous, on voit rien.
Michel soulève alors un pan de tissu et tout le monde peut admirer son énorme téton qui commence à bander sous les caresses sauvages de ce connard.
- Allez-y les mecs profitez-en, c'est pas tous les jours qu'on pourra p'loter un morceau pareil.
En effet, de toute la cité où ils sévissent, le groupe de Karim est le plus faible. Ils ne récoltent donc que les boudins dont les autres bandes ne veulent pas. Alors se partager un beau petit lot comme Julie, c’est une aubaine qu’ils ne vont pas laisser passer. Ces paroles à peine prononcées, Karim repart à l'assaut de la bouche pulpeuse de notre malheureuse.
Michel s'occupe alors de sortir le deuxième nichon et en suce la pointe qui elle aussi se met à durcir. Il la mordille, et une deuxième main vient le peloter à son tour. Deux autres mains s'attaquent alors au premier nichon, le malaxant, pinçant et roulant entre les doigts la pointe qui bandait bien maintenant.
- Oh putain, y font au moins deux centimètres de long ses mamelons !
Contre toute attente Julie commence à éprouver un certain plaisir à se faire maltraiter de la sorte. Elle se remémore la petite asiatique de la vidéo de ce matin, est-ce qu’elle serait en train de vivre ce que subissent les meufs de « jesaisplusquoi-galons-de-sperme.com » ? Mais elle ne veut rien laisser paraître pour le moment, ce serait trop facile ! Elle se laisse aller à imaginer leurs queues et leur sperme lui remplir la bouche au moment où un autre mec lui mordille le deuxième téton. Et là elle ne peut plus se retenir, elle laisse échapper un petit râle de plaisir. Karim lui libère alors le visage, surpris de la voir prendre son pied.
- La chienne, putain, elle aime ça en plus. Attends, on va essayer un autre truc.
Il l'observe avec satisfaction rejeter la tête en arrière, les yeux mi-clos, se pinçant la lèvre inférieure, en train d'apprécier le pelotage de ses seins. Ses bourreaux alternent entre malaxage, succion, pinçage, mordillage. Karim se décale alors d'elle, la soulève un peu pour lui faire subrepticement changer de siège. Perdue dans son extase, Julie se laisse faire. Il change alors de place avec elle et un deuxième mec vient se placer à côté d'elle. Lui, elle ne le connaît pas, mais elle s'en fout. Il lui prend aussi le visage entre ses grosses mains de black et lui roule à son tour une grosse pelle bien baveuse. Alors que ses potes s'occupent des grosses loches et de la bouche de la belle, Karim lui prend la main droite et la dirige vers son entre-jambe. Il venait de dégrafer et de baisser son pantalon pour faire apparaître sa queue à moitié bandée. Julie laisse docilement Karim lui diriger la main vers son gros morceau de chair, elle commence à le masser de haut en bas, et le sent en train de bien durcir sous ses caresses. Toujours en prise avec la grosse langue du black, elle ne peut que deviner la taille de la queue qui grossit dans sa main. Elle a d'ailleurs bien du mal à en faire le tour avec ses petites mains fines. Elle semble être assez courte, mais bien grosse par contre. Il lui impose alors un mouvement de vas et vient le long de sa hampe puis décide de lui lâcher la main.
- Eh regardez les gars, elle me branle elle-même. On a tiré le gros lot cette fois je crois. Merci pour le tuyau Moussa, crie-t-il en direction du chauffeur.
C'était donc ça que tramait le chauffeur à téléphoner en conduisant et à attendre plus longtemps à l'arrêt de bus. Il avait prévenu ses potes ! Bon en même temps elle doit bien s’avouer qu’elle commence à aimer l’attention qu’ils lui portent. Elle n'a jamais ressenti ça, même en se branlant ce matin devant les pornos de son père adoptif. Cette sensation de ne plus rien contrôler la galvanise, l’excite ! L’anticipation de bouffer ces grosses queues, et peut-être sentir leur sperme chaud.
Et ce n'est pas son ex avec sa petite bite qui lui procurait le moindre plaisir. Il la sautait, se vidait en quelques minutes et pouf dodo. "Quand je pense que je lui ai donné ma virginité à ce bâtard !". Le deuxième black lâche un peu sa bouche pour, lui aussi, baisser son froc et la laisser le branler.
- Elle se débrouille bien c'te chienne, hein Mimi?
Ça devait être le nom du deuxième black. Oh la vache, ça c'est de la queue ! un peu plus fine que celle de Karim mais encore plus longue. Alors qu'elle imprime une bonne cadence à la branlette de ces deux belles queues, Karim se retire contre toute attente et apparemment laisse sa place à Michel qui lui aussi présente une bonne grosse bite aux caresses de la belle. Quelques instants plus tard, et dans un mouvement de contorsion, Karim enjambe la tête renversée de Julie, qui lui offre une belle bouche bien pulpeuse entre-ouverte. Il lui présente alors son gros gland bien gonflé que Julie aspire dans un gros bruit de succion.
- Merde ! Ça c'est vraiment de la chienne. On a bien fait de laisser tomber l'autre. Celle-là est bien plus docile que notre grande zabette.
Quoi, la grande zabette ? Mais ce serait pas sa cousine ça par hasard ? Mais pas le temps de tergiverser, Karim se met à lui pénétrer la bouche doucement pour commencer, afin de juger jusqu’à quelle profondeur il peut espérer entrer. Julie, elle, aspire ce gros dard, tente de bouger sa langue le long de ce vît de chair. La tête bien rejetée en arrière elle ouvre encore plus la bouche, détend sa gorge au maximum pour le laisser glisser toujours plus loin. Lui, semble bien profiter de cette position pour bien la posséder à fond et lui faire une bonne gorge profonde. Il arrive enfin à la garde, ses poils pubiens chatouillent le petit nez de la belle qui, la bouche bien ouverte, arrive encore à sortir sa langue pour lui lécher les balloches.
Bien excité par les capacités de Julie à lui aspirer la bite, il commence à lui baiser la bouche bien à fond et de plus en plus fort. Il lui burine la bouche comme un marteau pilon. Quant à Julie, c'est bien la première fois qu'on lui baisse la bouche aussi fort et aussi profond.
C’est donc, en public dans un bus, les seins exposés aux bouches de deux gros noirs et un arabe, une grande bite de black dans chaque main, et dans des bruits de succion et le "GUAH GUAH" de cette pipe bien baveuse que Julie entame sa nouvelle vie d'autonomie. Après de longues minutes à lui baiser la gorge, Karim ressort de la bouche de notre belle ingénue et branle cette queue bien baveuse avec vigueur à l'orée de sa bouche ouverte. Julie, en manque de cette belle queue essaye d’en aspirer le gland. La bouche grande ouverte, elle tire la langue et lui titille le frein. Il rapproche alors son gland tout gonflé de cette petite goulotte de chair et éjacule 4, 5, 6 bonnes doses de sperme au fond de la bouche et sur la langue. Julie est surprise par les deux premiers jets qui sont venu exploser au fond de sa gorge, puis elle sent la jute épaisse et visqueuse sortir doucement de cette bite, tapisser sa langue, et se rependre doucement dans sa belle bouche.
- N'avale pas surtout! T'as compris?
Il sort un smartphone et commence à filmer cette bouche ouverte, la langue bien tendue pleine de foutre. Michel prend alors la place de Karim à l'orée des lèvres encore pleines du foutre de son pote.
- T'as compris? Tu avales pas encore.
Il pose lui aussi son gland violacé sur la langue toujours sortie de Julie. Elle redresse un peu la tête, et les yeux fermés emprisonne le chibre entre ses lèvres en l’aspirant doucement. Il commence à rentrer lui aussi sa grosse bite dans cette bouche chaude et gourmande, mais se contente de limer l'entrée de la bouche. Il attrape la main libre de Julie et la positionne pour qu'elle le branle pendant qu'il lui baise les lèvres. Julie sent son cœur accélérer dans sa poitrine, une autre queue à vider, elle lui pompe ardemment le bout, accélère le mouvement de sa main, le ralentit. Elle joue avec cette queue comme elle jouait avec sa chatte ce matin. Les joues gonflées, et la bouche toujours pleine du foutre rance et gluant de Karim, elle donne des tout petit coup de langue à cette bite, l’enserre bien fort entre ses grosses lèvres pulpeuses. Après quelques minutes de ce traitement, elle sent le gland se gonfler sur sa langue, et un nouveau flot de jute vient se mélanger au foutre encore chaud de Karim qui ne perd rien du spectacle sur son phone.
Michel se retire, en appuyant bien sur son gland pour en extraire les dernières gouttes de sperme, puis cède la place à Mimi. A l'instar de son pote, il présente son gros gland violacé à l'entrée de la bouche de Julie et la laisse le branler pour vider, lui aussi, ses couilles au fond de la gorge de la belle. Cette fois la jeune pipeuse se contente de plaquer le sexe bien dur sur sa langue toujours sortie. Elle n’a plus la place dans la bouche pour recevoir cette queue. Elle le branle quelques minutes, tente tout de même de l’aspirer, mais se contente de sucer le gland entre ses lèvres. L’odeur du sperme dans sa bouche lui monte au nez, ça l’excite même. Elle sent sa chatte la titiller, réclamer ces queues qui lui baisent la gorge depuis le dernier départ. Mais elle ne peut pas se faire baiser en public, c’est déjà assez humiliant de sucer tous ces mecs ! Et si quelqu’un la reconnaissait et allait tout raconter à sa mère, ou à son père ! Non, ce serait la honte ultime ! Ça y est, elle sent de nouveau ce gland qui se gonfle, signe qu’il va bientôt cracher la purée.
Elle le ressort de sa bouche, continue de le branler, tire la langue en faisant bien gaffe de na pas faire couler de jute sur son débardeur. Mimi retire la main de Julie de sa tige, se masturbe et éjacule alors dans la bouche grande ouverte de sa petite victime. La bouche prête à déborder, Julie ne se rend pas vraiment compte de combien de gicler Mimi vient de l’arroser, mais ça a l’air pas mal.
Elle a maintenant la bouche pleine de sperme gluant, chaud, et rance, et a beaucoup de mal à la garder ouverte. Elle ressent le besoin de déglutir. Karim a du s'en rendre compte puisqu'il lui intime l'ordre de bien tout avaler. Julie essaye tant bien que mal d'engloutir les trois grosses doses de foutre visqueux mais ce n'est pas facile. Après un ultime effort, elle parvient enfin à tout avaler et pense enfin être libérée de cette première épreuve. Mais c'était sans compter le deuxième trio de pervers qui avait fini par arrêter de maltraiter ses gros tétons, pour eux aussi filmer la scène de pipe sur leurs phones. (…)
Elle se souvient encore du grand gars baraqué qui venait souvent voir sa mère à la maison, mais c'était avant le clash avec son père il y a bien 8 ans. Julie n'a jamais su ce qui s'était passé entre eux. Elle fut très surprise en ouvrant la porte, de se retrouvée nez à nez avec un quinqua bedonnant. Il était, certes, toujours aussi grand, et on devinait encore l'homme qu'il avait été, mais le temps ne l'avait pas épargné. Julie reconnaissait pourtant bien ce regard dur et ces mains très fortes, elle lui sauta au cou comme si les années n'avaient pas fait leurs ravages.
- He ben, quel accueil dis-moi ! Mais c'est pas possible, regarde-moi ça comme tu as bien grandi. Et y a tout s'ki faut là où y faut en plus.
- ça va, n'en fait pas trop quand même ! Maman, Hector est arrivé.
- Salut ma belle.
- Bonjour charmeur.
Julie sent bien à ce moment la relation qui a pu lier cet homme à sa mère par le passé. Mais pour l'instant, tout ce qui l'intéresse c'est de savoir si Hector a pu lui trouver un logement. Et en effet, il lui a bien dégoté une petite chambre en ville et dans son budget. Il la met en relation avec Marco, un de ses vieux potes antillais, quinquagénaire comme lui. Folle d'excitation, Julie s'empresse de contacter Marco :
- ... Oui, allo ?
- Bonjour monsieur, je m'appelle Julie et je vous contacte de la part d'Hector qui me dit que vous avez peut-être un petit logement à me proposer ?
- Ah oui, la p'tite Julie. En effet, Hector m'a parlé de toi. Est-ce que tu es disponible cet après-midi pour une visite ?
- Oui, oui pas de problème.
- Bon tu vas voir, ça paye pas de mine, mais c'est salubre et c'est pas cher.
- Et le quartier ? C'est comment ?
- Ben c'est sûr que c'est pas le 16ème, hahahaha. Mais bon, en plus de mon PMU au rez de chaussé tu trouveras tous les services à proximité.
- Super, à tout à l'heure alors.
- Sache tout de même que j'ai pas mal de monde sur le coup. Mais Hector est un bon pote alors je vais quand même te faire visiter et tu me donneras ta réponse ensuite, OK ?
Merde, ça c'était un coup dur. Premier obstacle à passer, y a déjà de la concurrence juste pour se loger. Qu'à cela ne tienne, elle ne va pas se démoraliser si vite.
- Très bien, je vous retrouve à votre adresse pour 16H00 ?
- Oui 16H00 c'est bien. Noé s'occupera du bar, ça devrait l'faire.
Julie raccroche alors et retrouve les adultes, mais avec un air un peu renfrogné à l'idée de devoir se battre pour un malheureux logement à deux balles.
Sa mère se lève alors et se rend à la cuisine pour préparer un café. Julie s'assoit à côté d'Hector qui se rend compte de son désarroi.
- Qu'est-ce qui s’passe ? Marco a pas été cool ?
- Nan, c'est pas ça ! Mais v'là qu'y m'dit qu'y a déjà pas mal de monde sur le coup. Bon, il a bien noté que je venais de ta part, mais j’voudrais pas que cet appart' me passe sous le nez.
- Oh, ça c'est rien, t'inquiète. Mignone comme t'es t'auras aucun problème à avoir l'appart’ !
- Comment ça ?
- Ben c'est simple, Marco il aime bien les belles poulettes, tu vois ? Il te suffit de mettre tes beaux atouts en valeur, et j'te garantis que l'appart' il est pour toi.
- Nan mais t'es pas net, maman acceptera jamais que j'montre mon cul pour obtenir c'que j'veux!
- D'abord elle a pas besoin de l’savoir (Hector souligne sa remarque d'un petit clin d'œil). Ensuite, dans la vie il faut te battre pour obtenir ce que tu veux. Et là t'utilises toutes les cartes que t'as en main, y a pas de pitié.
Julie se perd alors dans ses pensées, c'est vrai qu'en général, les mecs aiment bien la mater. Elle sait qu'elle est bien foutue et c'est pour ne pas se faire emmerder par tous les lourdauds qu'elle cache ses formes. Du coup elle ne sait pas vraiment comment se mettre en valeur et il ne lui reste pas énormément de temps pour se préparer.
- Est-ce qu'au moins tu as des trucs un peu sexy à te mettre ?
- Ben j'ai bien un slim et quelques débardeurs mais je n'ai que des soutifs et des culottes banals.
- Bon le slim et le débardeur c'est déjà pas mal, mais prends un truc bien décolleté, j'le connais le Marco, il aime bien les grosses loches. Par contre pour les sous-vêtements, je te dirais bien d'y aller en mode commando si tu vois s'que j'veux dire (et encore un petit clin d'œil pour appuyer l'allusion).
- Tu veux dire sans rien en dessous (chuchotant au cas où sa mère l'entende) ? Je sais pas si je peux, c'est un peu gênant quand même !
- En même temps tu fais comme tu veux, c'est pas moi qui ai envie de cet appart' après tout.
- Ouais, bon j'vais voir.
- Bon, il faudrait peut-être te préparer ma puce. Lui lance sa mère en entrant le pot de café et deux tasses à la main.
Julie fait un bisou à sa mère et se dirige vers sa chambre pour se préparer. Elle fouille dans ses placards et en sort un slim blanc de coton fin et quelques débardeurs qu'elle étale sur son lit pour mieux faire son choix. Elle en sélectionne un blanc, moulant à fines bretelles mais relativement long et un autre modèle blanc aussi, en mousseline très fine et dos nu, un peu plus court et bien décolleté, que sa cousine lui avait donné l'été dernier au grand dam de sa mère.
Elle commence par enfiler son pantalon puis essaye le premier débardeur. Elle se dirige alors vers son grand miroir et l'image qu'il lui retourne et celle d'une jolie fille, certes, mais un peu banale. C'est vrai que sa culotte est bien voyante et que son soutien-gorge est bien trop visible dans ce débardeur. Julie prend une grande respiration et se décide à suivre les conseils d'Hector. Elle se déshabille de nouveau, mais cette fois c'est complètement nue qu'elle remet son slim blanc et qu'elle passe le dos nu. Elle enfile une paire de bottines à talons fin qui lui allongent la silhouette et retourne s'observer. Finalement, elle se plait bien dans cette tenue, c'est vrai qu'on voit bien la courbure de son petit cul, le beau galbe de ses jambes. Elle kiffe aussi ce petit haut en dos nu, mais elle se demande quand même si ce n'est pas un peu trop. En effet ses gros seins font remonter le fin tissu plissé bien au-dessus de son nombril, et la profondeur du V l'empêche de trop se pencher. Il faut dire que sa cousine n'avait pas ce genre de problèmes avec le peu de poitrine qu'elle a. Encore un moment d'hésitation puis elle se remémore les paroles d'Hector. C’est qu’elle en a envie de cet appartement. De toute façon, ça y est, elle est à la bourre, elle décide donc de couvrir un peu ses jolies formes avec une petite veste en jean's fine, attrape un petit sac dans lequel elle glisse ses papiers et son phone et c'est parti. Plus question de faire marche arrière.
Comme à son habitude, elle descend à toute vitesse les marches d'escalier, à la différence près qu'elle ne porte plus de soutien-gorge. Résultat, ses gros seins sont secoués de bas en haut au rythme de la descente d'escalier. Heureusement sa mère et Hector sont encore dans le salon, ils n'assistent donc pas au ballet de ses grosses miches secouées dans leur carcan de tissu. Ne voulant absolument pas être en retard, elle fait vite salut de la main aux deux adultes bien trop pris dans leur conversation pour faire attention à elle.
- Bisou m'man, à tout’ ! Bise Hector.
- Bon courage lui répondent-ils en cœur, avant d'éclater de rire.
Elle se rend alors compte à quel point ils ont dû être complices dans le passé, mais pour l'heure son avenir à elle est en jeu. Elle doit appuyer le pas si elle ne veut pas louper le bus. Mais ce n'est pas si facile d'avancer vite avec les miches qui se baladent dans tous les sens dans son joli décolleté. C'est sympa pour obtenir ce qu'elle veut, mais pas super pratique. De plus elle sent bien que son slim commence à lui rentrer dans la raie du cul. "Comment elles font celles qui ne portent que des strings ?". Julie arrive enfin à l'arrêt de bus, réajuste un peu son haut qui a tendance à laisser sortir ses gros seins. Merde ça à l'air désert, elle espère ne pas l'avoir loupé, nan c'est bon elle l'entend arriver derrière elle. Ouf, juste à temps. Confiante dans son avenir elle constate que tout s'enchaîne bien, sa mère la soutien, Hector lui donne de bons conseils, elle va même être à l'heure pour sa première visite. "Pourvu que tout continue aussi bien !".
Le trajet en bus est relativement long, elle en a pour une bonne heure quarante-cinq. Ce qui est bien en soit puisqu’elle sera obligée de se débrouillée seule. Ses parents adoptifs n'étant pas véhiculés, ils ne pourront pas lui venir en aide aussi facilement que lorsqu'elle était à la maison. Les portes battantes s'ouvrent et avec son plus joli sourire, elle demande un billet au chauffeur qui lui retourne son sourire et sa monnaie, mais elle constate tout de même que le regard de ce grand black ne cesse de faire des allés et retours entre ses yeux et sa poitrine. Un peu mal à l'aise Julie essaye de réajuster les pans de sa veste sur sa poitrine, mais ses gros nichons l’empêchent de mieux la couvrir. Mais ce n'est pas tout, elle comprend ce qui attire tant le regard du conducteur. Dans sa course, le mouvement de ses seins, ou peut-être le contact quasi direct avec l'air ambiant, ont faire grossir les pointes de ses mamelles. Déjà bien gros en général, ses tétons n'ont jamais été aussi volumineux à part peut-être lorsqu'elle se masturbe en se pinçant les seins. Mais là, elle voulait juste prendre le bus! Merde, merci du conseil Hector. Ça fait pas cinq minutes qu'elle est dehors qu'un mec lui reluque déjà les nichons. Il faut dire qu'avec le plongeant du décolleté, la finesse du tissu, et la dureté que prenait ses mamelons, ce grand black avait de quoi se rincer l'œil. C'est donc avec un petit sourire gêné qu'elle le remercie et se dirige au plus vite vers le fond du bus. Ce dernier redémarre avec un soubresaut, ce qui oblige notre jeune candide à se caler contre une des rambardes latérales, et sa poitrine d'osciller de nouveau au gré des bosses, des à-coups et des dos d'âne. Heureusement pour Julie, à cette heure de la journée le bus est vide, elle décide donc de rester appuyée à la rambarde, et attend l’arrêt suivant pour trouver une place assise. Dos à la vitre, les seins bondissant à chaque bosse et nid de poule de la route, elle offre un très joli spectacle au chauffeur qui, smartphone à l'oreille, l'observe dans son rétroviseur avec un sourire ravi.
Au bout de quelques minutes, qui lui semblèrent très longues, elle aperçoit enfin un arrêt. N'attendant pas l'arrêt du véhicule, elle se dirige tant bien que mal vers le fond pour au moins avoir un peu de tranquillité pour le restant du trajet. Elle se trouve une place sur la banquette du fond, au moment où le chauffeur stoppe son véhicule et ouvre les portes battantes. Comme c'est le dernier arrêt avant l'autoroute, une quinzaine de passagers entrent chacun leur tour et prennent place sans trop prêter attention à la jeune fille bien calée dans son coin. Le chauffeur met un certain temps avant de redémarrer ce qui inquiète un peu Julie puisqu'elle doit se trouver chez Marco dans moins de deux heures. Mais elle se dit que le chauffeur doit avoir des consignes pour assurer un meilleur service à ses usagers. Perdue dans ses pensées et ses inquiétudes, elle remarque à peine le groupe de jeunes d'une petite vingtaine d'années qui vient de prendre place bruyamment dans le fond du bus. Ils se charrient les uns les autres mais personne ne leur fait la moindre réflexion. De toute façon ce serait peine perdu, à cet âge ils jouent tous les petits caïds et de toute façon ils ne peuvent pas faire beaucoup de mal. De nouveau le soubresaut du départ, de nouveau ses gros seins qui oscillent dans son décolleté, de nouveau le plaisir de se rapprocher de son indépendance, seule l'ambiance a changé. L'attention du groupe de jeunes commence à se porter sur elle, en effet, elle croyait reconnaître vaguement certains d'entre eux.
- Eh, mais j'te connais toi ! T'étais au lycée c't'année, non ?
Oh merde c'est bien ce qu'elle pensait aussi, celui qui vient de l'interpelée s'appelle Karim. Elle se rappelle bien de cette classe de Bac Pro qui emmerdait pas mal les filles un peu trop belles du bahut. C'est à cause de ce genre de petits cons qu'elle ne se mettait jamais en valeur. C'est bien son jour, tiens. Alors qu'elle sort un peu de sa coquille, la réalité la rattrape. Bon ce n'est pas grave, il suffit de l'ignorer et ça devrait se calmer tout seul.
- Vas-y, tu pourrais au moins nous dire bonjour au lieu de faire ta belle.
Boum boum, merde encore un maudit dos d'âne.
- Roooo la vache de paire de loches qu'elle a ta copine !
Ça c'est Michel un grand black qui traînait en dehors du lycée.
- Mais t'as vu comment ça bouge là-dessous. Vas-y fait voir !
Karim vient s'asseoir juste à côté d'elle sur la banquette, alors que Michel s'installe en face d'elle à genou sur la banquette de devant. Il reluque sans gêne les magnifiques obus qui bougent au gré des mouvements du bus.
- Salut les gars. Leur répond Julie, ne sachant pas trop quoi faire d'autre.
Les autres mecs commencent alors à se placer autour d'elle formant un rempart avec le reste du bus. Plus personne ne doit vraiment l'apercevoir, perdue au milieu de tous ces mecs.
- Fais nous au moins la bise, tu vas nous snober non plus ?
Karim lui tend la joue lui faisant signe de l'embrasser. Elle ne veut pas d'emmerdes, pas aujourd'hui, c’est trop important ! Il faut qu'elle affronte le moindre obstacle. Elle approche alors ses lèvres de la joue tendue de Karim, et là, mouvement de tête, il lui bloque le visage de ses gandes mains, plaque ses lèvres contre les siennes et lui roule une grosse galoche. Sa langue forçant les deux belles lèvres charnues de Julie, il l'embrasse goulument. Ces potes se mettent à hurler autour d'eux pour saluer cette belle victoire. Il continue de l'embrasser à pleine bouche. Boum boum, encore un putain de dos d'âne, c'est vraiment pas le moment !
- Putain les mecs, matez cette paire de insses, ça bouge sévère !
- Vas-y soupèse un peu pour voir.
La tête bloquée dans l'étau de chair de Karim, elle sent les mains baladeuses de Michel passer sous la mousseline fine de son débardeur. Il lui empoigne les deux loches à pleine main et commence à les peloter fermement.
- Merde, montre-nous, on voit rien.
Michel soulève alors un pan de tissu et tout le monde peut admirer son énorme téton qui commence à bander sous les caresses sauvages de ce connard.
- Allez-y les mecs profitez-en, c'est pas tous les jours qu'on pourra p'loter un morceau pareil.
En effet, de toute la cité où ils sévissent, le groupe de Karim est le plus faible. Ils ne récoltent donc que les boudins dont les autres bandes ne veulent pas. Alors se partager un beau petit lot comme Julie, c’est une aubaine qu’ils ne vont pas laisser passer. Ces paroles à peine prononcées, Karim repart à l'assaut de la bouche pulpeuse de notre malheureuse.
Michel s'occupe alors de sortir le deuxième nichon et en suce la pointe qui elle aussi se met à durcir. Il la mordille, et une deuxième main vient le peloter à son tour. Deux autres mains s'attaquent alors au premier nichon, le malaxant, pinçant et roulant entre les doigts la pointe qui bandait bien maintenant.
- Oh putain, y font au moins deux centimètres de long ses mamelons !
Contre toute attente Julie commence à éprouver un certain plaisir à se faire maltraiter de la sorte. Elle se remémore la petite asiatique de la vidéo de ce matin, est-ce qu’elle serait en train de vivre ce que subissent les meufs de « jesaisplusquoi-galons-de-sperme.com » ? Mais elle ne veut rien laisser paraître pour le moment, ce serait trop facile ! Elle se laisse aller à imaginer leurs queues et leur sperme lui remplir la bouche au moment où un autre mec lui mordille le deuxième téton. Et là elle ne peut plus se retenir, elle laisse échapper un petit râle de plaisir. Karim lui libère alors le visage, surpris de la voir prendre son pied.
- La chienne, putain, elle aime ça en plus. Attends, on va essayer un autre truc.
Il l'observe avec satisfaction rejeter la tête en arrière, les yeux mi-clos, se pinçant la lèvre inférieure, en train d'apprécier le pelotage de ses seins. Ses bourreaux alternent entre malaxage, succion, pinçage, mordillage. Karim se décale alors d'elle, la soulève un peu pour lui faire subrepticement changer de siège. Perdue dans son extase, Julie se laisse faire. Il change alors de place avec elle et un deuxième mec vient se placer à côté d'elle. Lui, elle ne le connaît pas, mais elle s'en fout. Il lui prend aussi le visage entre ses grosses mains de black et lui roule à son tour une grosse pelle bien baveuse. Alors que ses potes s'occupent des grosses loches et de la bouche de la belle, Karim lui prend la main droite et la dirige vers son entre-jambe. Il venait de dégrafer et de baisser son pantalon pour faire apparaître sa queue à moitié bandée. Julie laisse docilement Karim lui diriger la main vers son gros morceau de chair, elle commence à le masser de haut en bas, et le sent en train de bien durcir sous ses caresses. Toujours en prise avec la grosse langue du black, elle ne peut que deviner la taille de la queue qui grossit dans sa main. Elle a d'ailleurs bien du mal à en faire le tour avec ses petites mains fines. Elle semble être assez courte, mais bien grosse par contre. Il lui impose alors un mouvement de vas et vient le long de sa hampe puis décide de lui lâcher la main.
- Eh regardez les gars, elle me branle elle-même. On a tiré le gros lot cette fois je crois. Merci pour le tuyau Moussa, crie-t-il en direction du chauffeur.
C'était donc ça que tramait le chauffeur à téléphoner en conduisant et à attendre plus longtemps à l'arrêt de bus. Il avait prévenu ses potes ! Bon en même temps elle doit bien s’avouer qu’elle commence à aimer l’attention qu’ils lui portent. Elle n'a jamais ressenti ça, même en se branlant ce matin devant les pornos de son père adoptif. Cette sensation de ne plus rien contrôler la galvanise, l’excite ! L’anticipation de bouffer ces grosses queues, et peut-être sentir leur sperme chaud.
Et ce n'est pas son ex avec sa petite bite qui lui procurait le moindre plaisir. Il la sautait, se vidait en quelques minutes et pouf dodo. "Quand je pense que je lui ai donné ma virginité à ce bâtard !". Le deuxième black lâche un peu sa bouche pour, lui aussi, baisser son froc et la laisser le branler.
- Elle se débrouille bien c'te chienne, hein Mimi?
Ça devait être le nom du deuxième black. Oh la vache, ça c'est de la queue ! un peu plus fine que celle de Karim mais encore plus longue. Alors qu'elle imprime une bonne cadence à la branlette de ces deux belles queues, Karim se retire contre toute attente et apparemment laisse sa place à Michel qui lui aussi présente une bonne grosse bite aux caresses de la belle. Quelques instants plus tard, et dans un mouvement de contorsion, Karim enjambe la tête renversée de Julie, qui lui offre une belle bouche bien pulpeuse entre-ouverte. Il lui présente alors son gros gland bien gonflé que Julie aspire dans un gros bruit de succion.
- Merde ! Ça c'est vraiment de la chienne. On a bien fait de laisser tomber l'autre. Celle-là est bien plus docile que notre grande zabette.
Quoi, la grande zabette ? Mais ce serait pas sa cousine ça par hasard ? Mais pas le temps de tergiverser, Karim se met à lui pénétrer la bouche doucement pour commencer, afin de juger jusqu’à quelle profondeur il peut espérer entrer. Julie, elle, aspire ce gros dard, tente de bouger sa langue le long de ce vît de chair. La tête bien rejetée en arrière elle ouvre encore plus la bouche, détend sa gorge au maximum pour le laisser glisser toujours plus loin. Lui, semble bien profiter de cette position pour bien la posséder à fond et lui faire une bonne gorge profonde. Il arrive enfin à la garde, ses poils pubiens chatouillent le petit nez de la belle qui, la bouche bien ouverte, arrive encore à sortir sa langue pour lui lécher les balloches.
Bien excité par les capacités de Julie à lui aspirer la bite, il commence à lui baiser la bouche bien à fond et de plus en plus fort. Il lui burine la bouche comme un marteau pilon. Quant à Julie, c'est bien la première fois qu'on lui baisse la bouche aussi fort et aussi profond.
C’est donc, en public dans un bus, les seins exposés aux bouches de deux gros noirs et un arabe, une grande bite de black dans chaque main, et dans des bruits de succion et le "GUAH GUAH" de cette pipe bien baveuse que Julie entame sa nouvelle vie d'autonomie. Après de longues minutes à lui baiser la gorge, Karim ressort de la bouche de notre belle ingénue et branle cette queue bien baveuse avec vigueur à l'orée de sa bouche ouverte. Julie, en manque de cette belle queue essaye d’en aspirer le gland. La bouche grande ouverte, elle tire la langue et lui titille le frein. Il rapproche alors son gland tout gonflé de cette petite goulotte de chair et éjacule 4, 5, 6 bonnes doses de sperme au fond de la bouche et sur la langue. Julie est surprise par les deux premiers jets qui sont venu exploser au fond de sa gorge, puis elle sent la jute épaisse et visqueuse sortir doucement de cette bite, tapisser sa langue, et se rependre doucement dans sa belle bouche.
- N'avale pas surtout! T'as compris?
Il sort un smartphone et commence à filmer cette bouche ouverte, la langue bien tendue pleine de foutre. Michel prend alors la place de Karim à l'orée des lèvres encore pleines du foutre de son pote.
- T'as compris? Tu avales pas encore.
Il pose lui aussi son gland violacé sur la langue toujours sortie de Julie. Elle redresse un peu la tête, et les yeux fermés emprisonne le chibre entre ses lèvres en l’aspirant doucement. Il commence à rentrer lui aussi sa grosse bite dans cette bouche chaude et gourmande, mais se contente de limer l'entrée de la bouche. Il attrape la main libre de Julie et la positionne pour qu'elle le branle pendant qu'il lui baise les lèvres. Julie sent son cœur accélérer dans sa poitrine, une autre queue à vider, elle lui pompe ardemment le bout, accélère le mouvement de sa main, le ralentit. Elle joue avec cette queue comme elle jouait avec sa chatte ce matin. Les joues gonflées, et la bouche toujours pleine du foutre rance et gluant de Karim, elle donne des tout petit coup de langue à cette bite, l’enserre bien fort entre ses grosses lèvres pulpeuses. Après quelques minutes de ce traitement, elle sent le gland se gonfler sur sa langue, et un nouveau flot de jute vient se mélanger au foutre encore chaud de Karim qui ne perd rien du spectacle sur son phone.
Michel se retire, en appuyant bien sur son gland pour en extraire les dernières gouttes de sperme, puis cède la place à Mimi. A l'instar de son pote, il présente son gros gland violacé à l'entrée de la bouche de Julie et la laisse le branler pour vider, lui aussi, ses couilles au fond de la gorge de la belle. Cette fois la jeune pipeuse se contente de plaquer le sexe bien dur sur sa langue toujours sortie. Elle n’a plus la place dans la bouche pour recevoir cette queue. Elle le branle quelques minutes, tente tout de même de l’aspirer, mais se contente de sucer le gland entre ses lèvres. L’odeur du sperme dans sa bouche lui monte au nez, ça l’excite même. Elle sent sa chatte la titiller, réclamer ces queues qui lui baisent la gorge depuis le dernier départ. Mais elle ne peut pas se faire baiser en public, c’est déjà assez humiliant de sucer tous ces mecs ! Et si quelqu’un la reconnaissait et allait tout raconter à sa mère, ou à son père ! Non, ce serait la honte ultime ! Ça y est, elle sent de nouveau ce gland qui se gonfle, signe qu’il va bientôt cracher la purée.
Elle le ressort de sa bouche, continue de le branler, tire la langue en faisant bien gaffe de na pas faire couler de jute sur son débardeur. Mimi retire la main de Julie de sa tige, se masturbe et éjacule alors dans la bouche grande ouverte de sa petite victime. La bouche prête à déborder, Julie ne se rend pas vraiment compte de combien de gicler Mimi vient de l’arroser, mais ça a l’air pas mal.
Elle a maintenant la bouche pleine de sperme gluant, chaud, et rance, et a beaucoup de mal à la garder ouverte. Elle ressent le besoin de déglutir. Karim a du s'en rendre compte puisqu'il lui intime l'ordre de bien tout avaler. Julie essaye tant bien que mal d'engloutir les trois grosses doses de foutre visqueux mais ce n'est pas facile. Après un ultime effort, elle parvient enfin à tout avaler et pense enfin être libérée de cette première épreuve. Mais c'était sans compter le deuxième trio de pervers qui avait fini par arrêter de maltraiter ses gros tétons, pour eux aussi filmer la scène de pipe sur leurs phones. (…)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une bonne petite salope cette Julie. Elle n'a pas fini de nous faire gicler avec ses grosses mamelles aux bonnes tétines ... :-)