L'ECHANGE DES CLES 3
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'ECHANGE DES CLES 3
L'ECHANGE DES CLES 3
Épisode toujours improbable qui n'était pasprévu avant les réclamations !
Le lendemain nous retrouvions le mec qui avait défoncé le cul à Alain le premier jour. Il n'était pas venu seul, un gros black était avec lui. Attention quand je dis gros, pas le genre gras du bide … Il mesurait pas loin de vingt cinq centimètres c'est tout. Pas de la tête aux pieds mais vous aviez rectifié juste la queue en érection et justement quand on arrivait il bandait.
Nos yeux tombaient sur la chose et ne pouvaient plus s'en détacher. Alain me glissait à l'oreille … '' Alors là c'est pas pour moi ça, là c'est un peu trop ''.
Moi : Bon il va falloir que je me dévoue alors !
Je ne vous cacherai pas que ça me faisait un peu peur, mais la queue était magnifique et son propriétaire tout autant. On installait les serviettes , on prenait place … Plus tard, on se promenait les pieds dans l'eau, Joe ( c'est le premier homme que nous avions rencontré ) ne s'éloignait plus d'Alain, moi je restais très proche de Phil, ( bein oui, lui c'était le black ). On discutait, il était très intrigué par mon dispositif, il en avait entendu parlé bien sûr, on voyait régulièrement des articles qui parlaient de cette nouvelle mode dans la presse. Mais c'était la première fois qu'il se trouvait directement en contact avec ce ' truc ' .
Nous nous étions installé dans un recoin discret entre deux dunes. Quand je m'allongeais sur la serviette Phil en faisait de même. Il s'installait sur le côté et me faisait face. Il bandait et c'était toujours impressionnant. Je ne pouvais plus détacher mes yeux de sa bite.
Phil : Je peux toucher ?
Moi : Euh ? Hein ? Quoi ? Tu disais ?
Il n'avait pas attendu ma réponse et déjà me caressait les couilles avec douceur et fermeté. Je lui caressais la bite sans prendre la peine de lui demander si je pouvais mais il ne s'en offusquait pas. Il me tirait vers lui et me prenait dans ses bras, je refermais les miens autour de lui.
Son corps était grand, fort, large, épais et je me sentais tout de suite en sécurité, un peu comme un gamin dans les bras de son père. Là je ne parle que de la taille et de la force, il avait mon âge ! Il se retrouvais sur le dos, je me retrouvais sur le ventre, sur son ventre. Ma cage se relevait contre son ventre, sa queue se relevait entre mes cuisses. Il me serrait contre lui et on partageait un moment intense de câlins et de douceur.
Au bout d'un moment qui avait pu durer des heures je me relevais, je jetais un regard circulaire, on ne pouvait pas nous voir depuis la plage. Je me penchais alors sur sa queue et commençais à le sucer et à le caresser doucement.
C'est jamais facile à avaler un machin pareil, le gland passait sans trop de mal pour moi. Je passais ma langue tout autour, il gémissait de plaisir. Il me caressait les cheveux sans essayer d'appuyer sur ma tête. Il savait que ça ne passerait pas. Il me laissait faire. Ce jeux devait durer un moment et si j'y prenais du plaisir, lui, je ne vous dis pas.
Il relevait la tête.
Phil : Tu ne veux pas t'asseoir ?
Moi : M'asseoir ?
Phil : Dessus !
Je regardais sa queue, elle était belle et ferme. J'en avais envie, j'en avais peur mais j'en avait trop envie.
Je vous rappelle que si l'autre andouille n'avait pas oublié mes clés, je me serais défoulé depuis un bon moment là et grâce à sa distraction ça ne risquait pas pour encore un long moment !
Ma queue me disais ' Oh oui, oh oui, oh oui ! ', mon estomac me disait ' Ou làlà ' et mon cul me disait ' Au secours '. Finalement c'est la tête qui décidait, et la tête elle se disait ' J'en ai envie, j'en ai besoin, ça devrait passer, ça va passer !'.
Je prenais place, on avait bien lubrifié sa bite et mon cul et je prenais place. Je le chevauchais, un genou de chaque côté de son corps, sa queue qui appuyait contre mon anus. On n'avait même pas travaillé mon cul, un doigt ou deux pour me préparer, je me lançais à froid. Je poussais, sa queue était ferme, c'était étonnant un engin de cette taille aussi ferme, j'en menais pas large.
Il tirait mon visage vers le sien et m'embrassait sur la bouche avec passion. Sa queue appuyait toujours fortement contre mon anus.
Phil : Respires bien à fond !
Je respirais bien à fond, j'appuyais, et là ! C'était à la fois l'angoisse et l'extase. L'angoisse de sentir mon anus se dilater de la sorte, se dilater comme jamais, se dilater sans que je sache si ça passerait, si j'avais atteint la largeur suffisante. C'était l'extase car c'était autant bon qu'effrayant, bon terriblement bon. Ça ne me faisait pas vraiment mal, ce n'était pas vraiment de la douleur, c'était pas vraiment du plaisir, c'était une sensation intense, puissante, indéfinie mais c'était bon. Vraiment bon.
Ensuite sa queue s'enfonçait lentement de plus en plus profondément et là encore c'était la terreur. J'en étais ou ? Il en était ou ? A la moitié, plus ? Pas encore ? Je ne savais pas et les sensation que je ressentais ne m'informaient pas. J'avais l'impression que mon cul allait exploser, se déchirer mais c'était bon, j'avais l'impression que sa queue allait m'écraser l'estomac, je ne savais pas ou il en était. Mais je sentais une masse m'envahir tout l'intérieur de mon ventre. C'était affolant mais terriblement bon.
J'en redemandais, j'en voulais plus, il me rendais fou … Puis j'ai senti son ventre qui écrasait mes fesses. La c'était le fond de mon corps qui se révoltait, j'étais envahi jusqu'à la gorge.
Il me caressait, il était impressionné lui aussi et ça se voyait. Je me redressais et me retrouvais à genoux, assis sur son ventre, sa queue bien plantée au fond de moi. Je reprenais mon souffle, me calais bien en place. Il se relevais et me prenait dans ses bras. Il repliait ses jambes en tailleur.
Je m'accrochais à son cou et croisais mes jambes dans son dos. Il passais ses mains sous mes fesses et jouait à me soulever légèrement et à me laisser retomber. Je respirais fort, je gémissais, je tremblais, j'étais toujours terrifié, j'avais peur de dépasser la limite de résistance, j'avais peur que ça casse.
Ça passe ou ça casse, quelquefois ça passe et ça casse. Là ça ne cassait pas. Je me retrouvais empalé sur lui. À cet instant j'ai joui. J'ai joui du cul, c'était un truc de dingue, tout mon corps à tremblé, je manquais d'air, je ne contrôlais plus mes gestes aussi je me contentais de le serrer contre moi.
C'est à ce moment que Alain et Joe arrivaient, ils avaient le sourire, on ne leur demandait pas ce qu'ils venaient de faire. D'ailleurs on ne leur demandait rien, on ne s'occupait même pas d'eux.
Alain : Alors les filles vous faites un câlin ?
Joe : Pas que j'ai l'impression !
Phil se balançait d'avant en arrière sur ses fesses m'entraînait avec lui et à chaque mouvement sa queue m'écrasait la prostate et m'arrachait des gémissements, à chaque mouvement je sentais mon anus dilater se dilater encore plus, et je tremblais à la fois d'angoisse et de plaisir.
Puis c'était quelques contractions dans mon cul, elles venaient de Phil et étaient accompagnée de gémissements de sa part, d'un petit tremblement de tout son corps. Il venait de jouir à son tour. Il se laissait retomber sur le dos, il me faisait un sourire, sa queue était toujours bien implantée dans mon cul, je lui souriais.
On ne bougeait plus, puis je me relevais toujours en gémissant. Au moment ou sa queue ressortait totalement de mon cul je jutais, je jutais sans fin, un long filet de sperme coulait de mon dispositif de chasteté, là par contre c'était sans aucune sensation, ni plaisir ni … Rien !
Alain : La vache il se l'était prise jusqu'à la garde ! J'y crois pas !
Phil me laissait le temps de récupérer, sans me toucher. Rapidement il débandait. Un peu plus tard on reprenait les activités de plage, on allait se baigner, on tapait le ballon, on prenait le soleil. On oubliait nos dispositifs …
Finalement ces trois semaines ne se sont pas si mal passée que je ne le craignais au début. On a passé beaucoup de temps avec nos deux nouveaux amis, on a fait des sorties ensemble, boîtes de nuit, restaurants, promenade en forêt …
La fin des vacances arrivait. Alain ne se plaignait plus de garder son dispositif. J'avais réfléchi à la sanction.
Moi : Bon on avait dit que tu aurais un gage pour avoir oublié ma clé.
Alain : Tu ne vas pas être trop sévère !
Moi : Pas du tout, j'ai pensé à une sanction équilibrée.
Alain : Je t'écoute.
Moi : Tu m'enverras ma clé quand tu voudras !
Alain : Comprends pas !
Moi : Mais c'est toi qui décide bonhomme, c'est quand tu voudras.
Alain : Cool ! Tu n'as pas peur que je te fasse attendre ?
Moi : Mais non, mais non !
Alain : Je suis ému par toute cette confiance que tu me donnes … Snif , ému !
Moi : Bon ça va, n'en fait pas trop non plus ! Au moment ou je recevrai ma clé, je ferait le compte de tous les jours passé sous clé, depuis le début, j'arrondirai alors à la semaine complète et je rajouterai ce temps à ta période de chasteté .
Il ne disait plus rien, il réfléchissait.
Alain : Donc tu vas doubler ma période de chasteté passée au moment ou tu auras la clé ?
Moi : C'est ça !
Alain : Alors tu abuses là.
Moi : Je ne trouve pas !
Alain : Bein si quand même !
Moi : Pas du tout.
Alain : Pfff. Tu es dur là !
Moi : Sévère mais juste. Alors tu acceptes ma sanction ?
Alain : ( il hésitait un peu avant de répondre ) Ok, j'accepte !
C'était entendu, à la fin des vacances nous serions dans notre neuvième semaine, s'il respectait les délais, j'aurais passé plus de huit semaines, j'en compte neuf, il en passerait donc encore neuf soit dix huit. Si ça c'est pas de la vengeance ça …
On passait donc les derniers jours de ces vacances tranquillement, Joe était reparti mais son pote Phil était resté lui, il était de la région en fait. Remarquez, moi, ça m'arrangeait. J'y avais pris goût à sa bite. J'avais toujours comme une appréhension, une angoisse au fond de la gorge quand il prenait position pour me défoncer le cul, et à chaque fois c'était cette panique tellement jouissive. J'en redemandais.
Nous étions deux pour accompagner Alain à la gare. On l'avait condamné à une abstinence totale pendant les trois derniers jours, toujours cet esprit de vengeance …
Malgré la sanction, Alain est et reste un garçon distrait !
Il ne m'a fait parvenir la clé que pendant le dixième semaine, il en passera donc dis de plus pour un total de vingt. Ça lui apprendra ! La prochaine fois il sera mieux organisé.
Maintenant on se connaissait, on était devenu ami. On s'est bien sûr revu avant la fin de cette période de dix semaines, on s'est revu régulièrement depuis. Un jour ou je passais une semaine chez lui il me confiait.
Alain : Tu sais Charly j'apprécie beaucoup ton tact, à chaque fois qu'on se voit tu portes ton dispositif de chasteté, et tout ça pour ne pas trop me faire envie.
Moi : C'est mon tact naturel, c'est tout à fait normal je trouve.
Alain : Oui mais tu ne t'es jamais dit que, précisément je pouvais avoir envie de ta queue …Moi : Tant que tu auras la quéquette sous clé, quand je te verrai j'aurai la quéquette sous clé. C'est comme ça.
Il semblait n'apprécier que très moyennement ma réponse. Mais bon je n'allais pas lui dire la vérité .
La vérité était plus simple !
Le jour ou j'ai reçu la clé, Phil était avec moi, on avait prévu le coup. Alain avait envoyé la clé en recommandé pour être sûr qu'elle ne se perde pas. J'ai signé le reçu mais c'est Phil qui a récupéré la lettre, c'est lui qui a vérifié le contenu, il a vérifié que les deux clés étaient identiques et de retour à la maison il s'est assuré que les deux clés ouvraient mon dispositif, sachant qu'il n'y a que deux clés de livrées avec la PK, il savait qu'il n'y en avait pas d'autre, il les a gardée. Il m'a gardé comme j'étais, au moment ou il m'a rencontré. Frustré, en manque, toujours demandeur de sa queue.
Il en profite l'enfoiré, il en profite. Aussi devant Alain je préfère jouer le bon rôle, celui du copain compatissant qui se couvre pour ne pas le frustrer d'avantage. C'est vrai que Alain ça le laisse dubitatif cette histoire.
Et puis il finira bien pas l'apprendre, il finira bien par revenir me voir et la présence de Phil devrait lui donner quelques doutes. Surtout que Phil lui ça le fait rigoler quand je lui dit de ne pas trop aborder le sujet avec Alain. Je crois que je ne pourrai pas trop compter sur sa discrétion.
Voilà j'ai repris ma vie, mon quotidien, je garde la clé de mon copain Alain mais je vais bientôt la lui envoyer. Phil conserve ma clé et sur ce sujet la seule clé dont il veut bien entendre parler c'est sa queue et la seule serrure c'est mon cul ...
Il abuse tout de même. Je l'aurais bien viré, jeté, éjecté mais bon … Il a une grosse queue et me fait gueuler de plaisir à chaque fois qu'on se voit alors …
Vous feriez quoi à ma place vous ?
C'est facile de critiquer !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Épisode toujours improbable qui n'était pasprévu avant les réclamations !
Le lendemain nous retrouvions le mec qui avait défoncé le cul à Alain le premier jour. Il n'était pas venu seul, un gros black était avec lui. Attention quand je dis gros, pas le genre gras du bide … Il mesurait pas loin de vingt cinq centimètres c'est tout. Pas de la tête aux pieds mais vous aviez rectifié juste la queue en érection et justement quand on arrivait il bandait.
Nos yeux tombaient sur la chose et ne pouvaient plus s'en détacher. Alain me glissait à l'oreille … '' Alors là c'est pas pour moi ça, là c'est un peu trop ''.
Moi : Bon il va falloir que je me dévoue alors !
Je ne vous cacherai pas que ça me faisait un peu peur, mais la queue était magnifique et son propriétaire tout autant. On installait les serviettes , on prenait place … Plus tard, on se promenait les pieds dans l'eau, Joe ( c'est le premier homme que nous avions rencontré ) ne s'éloignait plus d'Alain, moi je restais très proche de Phil, ( bein oui, lui c'était le black ). On discutait, il était très intrigué par mon dispositif, il en avait entendu parlé bien sûr, on voyait régulièrement des articles qui parlaient de cette nouvelle mode dans la presse. Mais c'était la première fois qu'il se trouvait directement en contact avec ce ' truc ' .
Nous nous étions installé dans un recoin discret entre deux dunes. Quand je m'allongeais sur la serviette Phil en faisait de même. Il s'installait sur le côté et me faisait face. Il bandait et c'était toujours impressionnant. Je ne pouvais plus détacher mes yeux de sa bite.
Phil : Je peux toucher ?
Moi : Euh ? Hein ? Quoi ? Tu disais ?
Il n'avait pas attendu ma réponse et déjà me caressait les couilles avec douceur et fermeté. Je lui caressais la bite sans prendre la peine de lui demander si je pouvais mais il ne s'en offusquait pas. Il me tirait vers lui et me prenait dans ses bras, je refermais les miens autour de lui.
Son corps était grand, fort, large, épais et je me sentais tout de suite en sécurité, un peu comme un gamin dans les bras de son père. Là je ne parle que de la taille et de la force, il avait mon âge ! Il se retrouvais sur le dos, je me retrouvais sur le ventre, sur son ventre. Ma cage se relevait contre son ventre, sa queue se relevait entre mes cuisses. Il me serrait contre lui et on partageait un moment intense de câlins et de douceur.
Au bout d'un moment qui avait pu durer des heures je me relevais, je jetais un regard circulaire, on ne pouvait pas nous voir depuis la plage. Je me penchais alors sur sa queue et commençais à le sucer et à le caresser doucement.
C'est jamais facile à avaler un machin pareil, le gland passait sans trop de mal pour moi. Je passais ma langue tout autour, il gémissait de plaisir. Il me caressait les cheveux sans essayer d'appuyer sur ma tête. Il savait que ça ne passerait pas. Il me laissait faire. Ce jeux devait durer un moment et si j'y prenais du plaisir, lui, je ne vous dis pas.
Il relevait la tête.
Phil : Tu ne veux pas t'asseoir ?
Moi : M'asseoir ?
Phil : Dessus !
Je regardais sa queue, elle était belle et ferme. J'en avais envie, j'en avais peur mais j'en avait trop envie.
Je vous rappelle que si l'autre andouille n'avait pas oublié mes clés, je me serais défoulé depuis un bon moment là et grâce à sa distraction ça ne risquait pas pour encore un long moment !
Ma queue me disais ' Oh oui, oh oui, oh oui ! ', mon estomac me disait ' Ou làlà ' et mon cul me disait ' Au secours '. Finalement c'est la tête qui décidait, et la tête elle se disait ' J'en ai envie, j'en ai besoin, ça devrait passer, ça va passer !'.
Je prenais place, on avait bien lubrifié sa bite et mon cul et je prenais place. Je le chevauchais, un genou de chaque côté de son corps, sa queue qui appuyait contre mon anus. On n'avait même pas travaillé mon cul, un doigt ou deux pour me préparer, je me lançais à froid. Je poussais, sa queue était ferme, c'était étonnant un engin de cette taille aussi ferme, j'en menais pas large.
Il tirait mon visage vers le sien et m'embrassait sur la bouche avec passion. Sa queue appuyait toujours fortement contre mon anus.
Phil : Respires bien à fond !
Je respirais bien à fond, j'appuyais, et là ! C'était à la fois l'angoisse et l'extase. L'angoisse de sentir mon anus se dilater de la sorte, se dilater comme jamais, se dilater sans que je sache si ça passerait, si j'avais atteint la largeur suffisante. C'était l'extase car c'était autant bon qu'effrayant, bon terriblement bon. Ça ne me faisait pas vraiment mal, ce n'était pas vraiment de la douleur, c'était pas vraiment du plaisir, c'était une sensation intense, puissante, indéfinie mais c'était bon. Vraiment bon.
Ensuite sa queue s'enfonçait lentement de plus en plus profondément et là encore c'était la terreur. J'en étais ou ? Il en était ou ? A la moitié, plus ? Pas encore ? Je ne savais pas et les sensation que je ressentais ne m'informaient pas. J'avais l'impression que mon cul allait exploser, se déchirer mais c'était bon, j'avais l'impression que sa queue allait m'écraser l'estomac, je ne savais pas ou il en était. Mais je sentais une masse m'envahir tout l'intérieur de mon ventre. C'était affolant mais terriblement bon.
J'en redemandais, j'en voulais plus, il me rendais fou … Puis j'ai senti son ventre qui écrasait mes fesses. La c'était le fond de mon corps qui se révoltait, j'étais envahi jusqu'à la gorge.
Il me caressait, il était impressionné lui aussi et ça se voyait. Je me redressais et me retrouvais à genoux, assis sur son ventre, sa queue bien plantée au fond de moi. Je reprenais mon souffle, me calais bien en place. Il se relevais et me prenait dans ses bras. Il repliait ses jambes en tailleur.
Je m'accrochais à son cou et croisais mes jambes dans son dos. Il passais ses mains sous mes fesses et jouait à me soulever légèrement et à me laisser retomber. Je respirais fort, je gémissais, je tremblais, j'étais toujours terrifié, j'avais peur de dépasser la limite de résistance, j'avais peur que ça casse.
Ça passe ou ça casse, quelquefois ça passe et ça casse. Là ça ne cassait pas. Je me retrouvais empalé sur lui. À cet instant j'ai joui. J'ai joui du cul, c'était un truc de dingue, tout mon corps à tremblé, je manquais d'air, je ne contrôlais plus mes gestes aussi je me contentais de le serrer contre moi.
C'est à ce moment que Alain et Joe arrivaient, ils avaient le sourire, on ne leur demandait pas ce qu'ils venaient de faire. D'ailleurs on ne leur demandait rien, on ne s'occupait même pas d'eux.
Alain : Alors les filles vous faites un câlin ?
Joe : Pas que j'ai l'impression !
Phil se balançait d'avant en arrière sur ses fesses m'entraînait avec lui et à chaque mouvement sa queue m'écrasait la prostate et m'arrachait des gémissements, à chaque mouvement je sentais mon anus dilater se dilater encore plus, et je tremblais à la fois d'angoisse et de plaisir.
Puis c'était quelques contractions dans mon cul, elles venaient de Phil et étaient accompagnée de gémissements de sa part, d'un petit tremblement de tout son corps. Il venait de jouir à son tour. Il se laissait retomber sur le dos, il me faisait un sourire, sa queue était toujours bien implantée dans mon cul, je lui souriais.
On ne bougeait plus, puis je me relevais toujours en gémissant. Au moment ou sa queue ressortait totalement de mon cul je jutais, je jutais sans fin, un long filet de sperme coulait de mon dispositif de chasteté, là par contre c'était sans aucune sensation, ni plaisir ni … Rien !
Alain : La vache il se l'était prise jusqu'à la garde ! J'y crois pas !
Phil me laissait le temps de récupérer, sans me toucher. Rapidement il débandait. Un peu plus tard on reprenait les activités de plage, on allait se baigner, on tapait le ballon, on prenait le soleil. On oubliait nos dispositifs …
Finalement ces trois semaines ne se sont pas si mal passée que je ne le craignais au début. On a passé beaucoup de temps avec nos deux nouveaux amis, on a fait des sorties ensemble, boîtes de nuit, restaurants, promenade en forêt …
La fin des vacances arrivait. Alain ne se plaignait plus de garder son dispositif. J'avais réfléchi à la sanction.
Moi : Bon on avait dit que tu aurais un gage pour avoir oublié ma clé.
Alain : Tu ne vas pas être trop sévère !
Moi : Pas du tout, j'ai pensé à une sanction équilibrée.
Alain : Je t'écoute.
Moi : Tu m'enverras ma clé quand tu voudras !
Alain : Comprends pas !
Moi : Mais c'est toi qui décide bonhomme, c'est quand tu voudras.
Alain : Cool ! Tu n'as pas peur que je te fasse attendre ?
Moi : Mais non, mais non !
Alain : Je suis ému par toute cette confiance que tu me donnes … Snif , ému !
Moi : Bon ça va, n'en fait pas trop non plus ! Au moment ou je recevrai ma clé, je ferait le compte de tous les jours passé sous clé, depuis le début, j'arrondirai alors à la semaine complète et je rajouterai ce temps à ta période de chasteté .
Il ne disait plus rien, il réfléchissait.
Alain : Donc tu vas doubler ma période de chasteté passée au moment ou tu auras la clé ?
Moi : C'est ça !
Alain : Alors tu abuses là.
Moi : Je ne trouve pas !
Alain : Bein si quand même !
Moi : Pas du tout.
Alain : Pfff. Tu es dur là !
Moi : Sévère mais juste. Alors tu acceptes ma sanction ?
Alain : ( il hésitait un peu avant de répondre ) Ok, j'accepte !
C'était entendu, à la fin des vacances nous serions dans notre neuvième semaine, s'il respectait les délais, j'aurais passé plus de huit semaines, j'en compte neuf, il en passerait donc encore neuf soit dix huit. Si ça c'est pas de la vengeance ça …
On passait donc les derniers jours de ces vacances tranquillement, Joe était reparti mais son pote Phil était resté lui, il était de la région en fait. Remarquez, moi, ça m'arrangeait. J'y avais pris goût à sa bite. J'avais toujours comme une appréhension, une angoisse au fond de la gorge quand il prenait position pour me défoncer le cul, et à chaque fois c'était cette panique tellement jouissive. J'en redemandais.
Nous étions deux pour accompagner Alain à la gare. On l'avait condamné à une abstinence totale pendant les trois derniers jours, toujours cet esprit de vengeance …
Malgré la sanction, Alain est et reste un garçon distrait !
Il ne m'a fait parvenir la clé que pendant le dixième semaine, il en passera donc dis de plus pour un total de vingt. Ça lui apprendra ! La prochaine fois il sera mieux organisé.
Maintenant on se connaissait, on était devenu ami. On s'est bien sûr revu avant la fin de cette période de dix semaines, on s'est revu régulièrement depuis. Un jour ou je passais une semaine chez lui il me confiait.
Alain : Tu sais Charly j'apprécie beaucoup ton tact, à chaque fois qu'on se voit tu portes ton dispositif de chasteté, et tout ça pour ne pas trop me faire envie.
Moi : C'est mon tact naturel, c'est tout à fait normal je trouve.
Alain : Oui mais tu ne t'es jamais dit que, précisément je pouvais avoir envie de ta queue …Moi : Tant que tu auras la quéquette sous clé, quand je te verrai j'aurai la quéquette sous clé. C'est comme ça.
Il semblait n'apprécier que très moyennement ma réponse. Mais bon je n'allais pas lui dire la vérité .
La vérité était plus simple !
Le jour ou j'ai reçu la clé, Phil était avec moi, on avait prévu le coup. Alain avait envoyé la clé en recommandé pour être sûr qu'elle ne se perde pas. J'ai signé le reçu mais c'est Phil qui a récupéré la lettre, c'est lui qui a vérifié le contenu, il a vérifié que les deux clés étaient identiques et de retour à la maison il s'est assuré que les deux clés ouvraient mon dispositif, sachant qu'il n'y a que deux clés de livrées avec la PK, il savait qu'il n'y en avait pas d'autre, il les a gardée. Il m'a gardé comme j'étais, au moment ou il m'a rencontré. Frustré, en manque, toujours demandeur de sa queue.
Il en profite l'enfoiré, il en profite. Aussi devant Alain je préfère jouer le bon rôle, celui du copain compatissant qui se couvre pour ne pas le frustrer d'avantage. C'est vrai que Alain ça le laisse dubitatif cette histoire.
Et puis il finira bien pas l'apprendre, il finira bien par revenir me voir et la présence de Phil devrait lui donner quelques doutes. Surtout que Phil lui ça le fait rigoler quand je lui dit de ne pas trop aborder le sujet avec Alain. Je crois que je ne pourrai pas trop compter sur sa discrétion.
Voilà j'ai repris ma vie, mon quotidien, je garde la clé de mon copain Alain mais je vais bientôt la lui envoyer. Phil conserve ma clé et sur ce sujet la seule clé dont il veut bien entendre parler c'est sa queue et la seule serrure c'est mon cul ...
Il abuse tout de même. Je l'aurais bien viré, jeté, éjecté mais bon … Il a une grosse queue et me fait gueuler de plaisir à chaque fois qu'on se voit alors …
Vous feriez quoi à ma place vous ?
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