L'éducation de Papillon - 4ème épisode

- Par l'auteur HDS Zootman -
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'éducation de Papillon - 4ème épisode Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'éducation de Papillon - 4ème épisode
(Après ses ébats avec son homme, Papillon s'endort. Elle rêve...............)

C'est un décor d'été. Une petite colline verdoyante, au pied de laquelle coule une
rivière, momentanément retenue par un lac autour duquel de grands arbres apportent la
fraîcheur. Un tapis de mousse court sous les frondaisons, et de belles prairies
dévalent la pente douce de la colline.
Sur une grande pierre plate, au bord du lac, une dizaine de naïades profitent du
soleil, certaines plongeant dans l'onde claire pour se rafraîchir, d'autres s'éventant
d'une palme, les dernières échangeant des paroles légères tout en brodant des
couronnes de roseau.
Elles sont jeunes, belles, nues, leurs cheveux leur servant de parure pour cacher
leurs seins déjà ronds et fermes. Toutes ont le sexe épilé, et offrent au soleil leur
intimité, pudiquement.
Des rires, des chants proviennent de leur groupe, des mélopées qui exaltent l'amour,
la douceur de vivre et le bonheur d'être ensemble.
Quelques naïades s'éloignent de la pierre et vont s'étendre sous un arbre, sur la
mousse qui se creuse sous leur poids. Elles s'allongent, et leurs mains se mêlent.
L'un d'elle caresse doucement le sein de sa voisine, qui à son tour pose une main sur
le pubis imberbe d'une troisième.
Bientôt, c'est une ronde de caresses, chacune donnant sa main au plaisir de la
voisine.
L'une lèche un téton, l'autre s'écarte les nymphes pour mieux offrir son sexe, une
autre a mis un doigt dans la bouche de son amie, qui le suce lentement, mimant une
fellation, puis le doigt humide va se poser sur la jeune fente, et s'insinue dans le
conduit chaud.
Les naïades restées sur la pierre, attirées par les cris de plaisir, se joignent au
groupe, et voilà qu'une joyeuse pyramide se forme, ou chacune suce le sexe, le sein,
l'anus d'une autre, ou les doigts se perdent sur les courbes et dans les creux. Des
soupirs montent, et les oiseaux se sont tus, surpris par ces chants inconnus.
Un peu à l'écart, dans un sous-bois, un groupe de satyres admire les filles
insouciantes. Nus, les torses musclés, leur virilité ne peut rester insensible à ce
spectacle si doux à leurs yeux.
Ils se délectent, et leurs mains viennent les soulager. Ils se branlent mutuellement,
heureux de profiter ensemble de cette vision enchanteresse. L'un d'eux, plus fripon,
s'agenouille et prend la queue d'un autre satyre en bouche et le suce. Voyant cela, un
troisième se poste derrière le jeune agenouillé et vient lui lécher la rondelle. Une
fois bien lubrifié, il le pénètre tout en douceur.
Les autres se contentent de se masturber ensemble, attendant le moment propice pour
s'approcher des jeunes filles. Car les règles sont éternelles dans ce coin de paradis
: on ne peut approcher les naïades avant le chant du Geai Bleu, sous peine de les voir
se transformer en harpies qui n'hésiteront pas une seconde à faire subir les pires
outrages aux satyres imprudent.
Or l'heure du Geai Bleu, si elle approche, est encore un peu lointaine. Les satyres,
après avoir tous éjaculés sous leurs diverses masturbations, se sont assis au pied
d'un grand chêne et continuent de regarder les jeunes filles. Celles-ci n'ont plus
aucune retenue, et sous leur dehors si innocent, se livrent à une débauche saphique.
Elles sont maintenant allongées sur ventre, en rond, et chacune lèche et suce celle
qui est devant elle. Parfois, l'une attrape une pierre oblongue qu'elle insinue dans
la chatte devant elle, puis vient caresser l'anus de sa partenaire.
Ensuite, pour faciliter l'accès à leurs intimités, elles se sont toutes mises à genou
et les caresses peuvent atteindre les clitoris qui émergent des capuchons soyeux. Les
positions changent, et certaines se mettent sur le dos pour pouvoir mieux lécher toute
la fente de leur amie. On dirait une chaîne ou les maillons seraient inégaux et
tournés différemment.
De leur sous-bois, les satyres peuvent apercevoir l'humidité qui suinte sur les
cuisses et les fesses des filles, et leur vit reprend vite de la vigueur. Ils
recommencent à se branler ensemble, puis décident d'imiter les naïades et ils se
mettent en rond, chacun léchant l'anus et les couilles de celui qui le précède, tout
en se caressant le sexe.
Et dans un embrasement, tout à coup, la plaine se fait l'écho de la jouissance commune
des deux groupes, les filles jouissant et faisant jaillir des flots de cyprine, les
garçons éjectant leur foutre laiteux sur leurs ventres.
Quelques ultimes caresses, puis le calme revient dans le paysage, et les animaux
reprennent leurs occupations pendant que les filles et les garçons s'endorment pour
une sieste de fin d'après-midi.
Enfin, un cri libérateur fend l'air chaud de cette fin de journée. Les Geais Bleus ont
rejoint leurs arbres favoris, et lancent leurs chants d'appel à l'amour.
Les satyres se réveillent instantanément, et après un échange de regards, s'élancent
sur le groupe des naïades qui se sont aussi réveillées et voient fondre sur elles une
bande de jeunes hommes déterminés à leur donner tout le plaisir qu'elles souhaitent.
Emoustillées et consentantes, elles n'entendent pas pour autant leur rendre la tâche
facile, aussi s'éparpillent-elles qui dans un bois, qui derrière des rochers, qui sous
un abri de branchages.
Les satyres connaissent la musique, et ils s'attribuent chacun une proie. La moins
rapide est rattrapée par le plus véloce, et il la bascule sur un gros tronc d'arbre
abattu. Il lui prend les seins et les aspire goulument, faisant s'ériger les tétons,
les mordillant, s'appliquant à caresser les larges aréoles brunes qui l'attirent.
Les autres courent en riant, poursuivant sans trop se forcer les jeunes filles, qui
leur échappent en lançant des petits cris effarouchés ou perce déjà le désir de
l'abandon aux assauts de la luxure.
La deuxième attrapée est plaquée sur une pierre, et le sexe du garçon vient dans sa
bouche. Il se délecte de sentir une langue entourer son mandrin.
La troisième, rejointe dans le bois, et collée à un tronc et subit un baiser fougueux
pendant qu'une main caresse sa vulve.
La quatrième est rattrapée dans l'eau, et pour ne pas se noyer, s'accroche au cou de
son amant qui déjà l'a soulevée et la pénètre sans ménagement. Ses seins ballotent au
rythme des mouvements de bassin du satyre.
La cinquième a chuté en courant, à genou, et son poursuivant en profite, voyant ses
fesses tendues vers lui, pour la sodomiser d'un coup. Elle crie de surprise, puis de
plaisir devant cette pénétration rapide.
La sixième, cachée sous les branchages, voit ceux-ci se soulever et une belle verge à
moitié érigée se poster à l'entrée de sa bouche. Elle suce le garnement avec
délectation, malaxant les couilles imberbes qui pendent.
La septième, juste avant d'être rejointe, s'allonge sur l'herbe, écarte les cuisses et
offre son sexe au jeune homme qui se laisse tomber sur les genoux, lui attrape les
cuisses et enfourne sa queue profondément dans son vagin. Elle se cabre et leurs corps
se mêlent dans une danse sensuelle.
La huitième, plus timide, s'est réfugiée sous un taillis, croyant échapper à la
traque. Mais celui qui la poursuit la débusque, et voyant la beauté gracile de la
belle, se jette à ses pieds, qu'il lèche langoureusement. Chatouillée, elle rit et se
détend, et vite attrape la tignasse du satyre pour attirer sa tête sur son sexe, qu'il
se met à sucer lentement, se délectant de son jus. Elle fond de plaisir.
La neuvième et la dixième, fuyant ensemble, sont rejointes par leurs deux
poursuivants, qui les assoient et les invitent à se mettre chatte contre chatte pour
se faire plaisir, demandant qu'elles les sucent, eux qui sont restés debout.
Chacun et chacune ayant trouvé sa moitié, la scène se fige et l'on aperçoit les duos
qui ondulent, des bites qui s'enfournent dans les bouches, dans les chattes, des
fesses qui se lèvent, des doigts qui s'insinuent, des trous explorés, des anus
perforés. Les animaux eux-mêmes commencent à s'exciter de cette agitation lubrique, et
l'on aperçoit des mâles de toutes espèces saillir leurs femelles.
Insensiblement, à la faveur de leurs mouvements d'amour, les duos se rapprochent les
uns des autres, et tout le monde finit réuni autour d'une large pierre plate, haute
d'un mètre environ.
Alors, comme dans un ballet bien réglé, toutes les naïades posent leur ventre sur la
pierre chauffée, et écartent leurs jambes, offrant leurs fesses à la vue. Chaque
satyre s'approche d'un cul, et après un branle extrêmement doux du clitoris, tend son
phallus et pénètre sa partenaire. Après une vingtaine d'aller-retour, il se retire.
Chaque garçon fait alors trois pas de côté et, se trouvant devant le fessier exposé
d'une nouvelle fille, recommence son doux branlement avant de la pénétrer avec vigueur
mais délicatesse.
Cette ronde dure un long moment, les satyres étant momentanément calmés à chaque
changement de partenaire. Les filles, soumises ainsi à des pénétrations de multiples
sexes différents, commencent à sentir leurs chattes chauffer à blanc, et chaque
nouvelle insertion les rapproche de la jouissance.
Enfin, chacun ayant déjà honoré trois fois les vagins ainsi offerts et retrouvé sa
partenaire du début, une longue séance de levrette commence, ou chacun veut faire
jouir sa naïade. Et à nouveau l'air résonne des jouissances mêlées, les filles lançant
leurs notes aigües en harmonie avec les râles de leurs amants.
Chacun ayant joui, la scène voit les satyres venir à leur tour se mettre à plat ventre
sur la pierre chaude. Et de nouveau la ronde recommence, les filles cette fois venant
lécher les raies des garçons tout en les branlant vingt fois lentement.
Après trois tours, celle qui semble la plus mûre soulève un tapis de mousse et en sort
dix pierres phalliques, de longueurs et de largeurs différentes, qu'elle distribue à
ses comparses en même temps qu'un flacon d'huile.
Une excitation palpable a saisi les participants de la bacchanale. Les satyres
tendent leurs fesses, avides d'être pénétrés. Les naïades enduisent les olisbos du
liquide onctueux.
Elles s'approchent de leur cible. S'arrêtent à un pas. Lèvent les phallus de pierre
vers les cieux, comme en offrande aux dieux de l'amour, puis, dans un même élan,
posent le bout de la pierre sur l'anus de leur ami.
Elles se contentent de masser l'œil brun, riant ensemble de voir les satyres tendre
encore plus leurs culs, les chairs froncées palpitant dans l'attente de la
pénétration. Enfin, un dernier cri de Geai Bleu retentit, puissant, sonore, et c'est
le signal de la sodomie minérale qui est donné. Tous les phallus pénètrent en même
temps ces rondelles accueillantes, écartant les chairs et s'insinuant dans les boyaux
intimes.
Les satyres ont tous hurlé de joie mêlée de douleur au signal, mais maintenant, ce
n'est que râles, gémissements, cris de bonheur.
Au bout de vingt introductions, les naïades changent à nouveau de partenaire, et
chaque satyre reçoit le nouveau phallus avec une appréhension curieuse, se demandant
s'il sera plus long, plus large que le précédent, l'obligeant à se détendre encore un
peu plus, ou au contraire s'il aura un peu de répit en attendant d'être de nouveau
défloré par un engin envahissant.
Pour finir, les jeunes filles, les pierres toujours enfoncées dans les culs,
s'accroupissent dos à la pierre, attrapent les queues pendantes de leurs amants, et
par-dessous les sucent une dernière fois en les enculant.
La récompense ne se fait pas attendre, et les vits crachent leur jus d'amour dans les
bouches qui les recueillent. Quelques gouttes perlent au bord des lèvres, mais les
naïades avalent rapidement cette liqueur, nettoyant les sexes qui se ramollissent
maintenant.
Le soleil est couché maintenant, et se prenant par la main, chaque couple se dirige
vers le palais des naïades, derrière la colline. Là, les satyres les laisseront pour
une nuit apaisée, eux rejoignant leurs cabanes dans le bois, avant les retrouvailles
du lendemain.

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