L'éducation de Papillon - Episode 10
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 57 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Zootman ont reçu un total de 486 260 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 529 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'éducation de Papillon - Episode 10
(Premier des épisodes à venir relatant les vacances de Papillon l'été 2012)
Jean et Papillon ont pris la route cet après-midi. Ils roulent vers Nantes, ou les attendent de bons amis. Ils ont hâte de les retrouver, et surtout Papillon attend avec impatience son premier bain de mer de l'année. Les enfants chez les grands-parents, ils sont libres de leurs mouvements.
Détendus, ils papotent de tout, de rien. Jean demande à Papillon de lui raconter la séquence du réveil de M. PONCE. Papillon, qui a promis de tout raconter de ses aventures, détaillent par le menu ce qu'elle a subi (voir épisode 9).
Elle se rend compte que peu à peu, le short de Jean laisse apparaitre une légère protubérance.
Elle s'enfonce dans le dossier de son siège et l'air innocent, elle écarte un peu les cuisses, ce qui fait remonter sa jupe à mi cuisses.
Jean est concentré sur la route, mais d'imaginer Papillon se faire défoncer sur le bureau par le gode finit de lui tendre le sexe. Et cette coquine qui l'aguiche en montrant ses cuisses.
Brusquement, il sort de l'autoroute sur une aire de repos, et va se garer le plus loin possible, près d'un bosquet qui les cache à la vue des autres automobilistes.
Il ôte sa ceinture de sécurité, la regarde amoureusement. Elle a déjà le sourire aux lèvres, elle a compris. Il lui saute dessus, abaissant son tee-shirt ample pour lui sucer les seins tout en enfournant une main sous la jupe.
-"Cochonne, tu mouilles déjà, et moi je suis tout dur, on devrait trouver un terrain d'entente".
-"Mon cochon, mais tu bandes comme un taureau, cela t'a excité que j'ai été un peu violentée ?"
Et ils s'embrassent, le pantalon est bientôt sur les chevilles de Jean, et Papillon se penche pour le sucer. Elle lui malaxe les couilles, lui passe un doigt sur l'anus, puis le branle tout en le suçant.
Pour cela elle s'est mise à quatre pattes sur son siège, et son cul pointe vers la fenêtre à moitié ouverte.
Soudain, elle sent une main caresser son cul, puis un doigt pénétrer sa chatte avec douceur. Elle lâche la bite de Jean "On dirait que j'ai un admirateur" lui dit-elle. Jean, qui avait vu s'approcher l'homme et lui avait fait un geste d'assentiment, lui répond : " il m'a semblé que tu apprécierais et moi je me suis dit qu'un peu d'aide ne pouvait pas faire de mal".
L'homme a maintenant sorti sa queue de son pantalon et se masturbe tout en enfonçant deux puis trois doigt dans la chatte de Papillon, qui ruisselle. Prenant sa mouille sur le pouce, il l'insinue dans le cul de Papillon. Jean se fait toujours sucer, tout en caressant les seins de sa belle.
-" Tu veux bien qu'il me prenne" demande-t-elle ?
Pour toute réponse, Jean abaisse complètement la vitre, tend un préservatif à l'homme et lui dit : "Jour de chance mon gars, ma femme te veux". L'homme ouvre la portière, enfile la protection et pointe sa queue à l'entrée du vagin. "Cochonne, si tu la veux, viens !" Papillon se recule lentement et sent une bite peu large la pénétrer. Peu large mais suffisamment longue pour atteindre le fond de son gouffre. Une fois installé, l'homme la prend par les hanches et la baise généreusement. Elle gémit, la queue de Jean dans la bouche, les seins qui balancent au rythme imposé. L'homme, ému par ce cul si gentiment offert, ne tarde pas à jouir. Par délicatesse, il sort de Papillon, enlève la capote et gicle sur les fesses rebondies.
-"Merci madame, et bonne route" dit-il en se rhabillant et en rejoignant sa voiture.
Jean est toujours excité, lui. Il demande à Papillon de se retourner et de lui offrir à son tour la vision tant appréciée des hommes, un beau cul ouvert, prêt à être enfourné. Il décide de l'enculer, afin que Papillon reçoive l'hommage total de son anatomie. Il humidifie sa queue et rentre lentement.
-"Eh, mon loup, je sens encore la leçon de M; PONCE, vas-y doucement"
Alors il s'applique, ne pénétrant que le gland, le retirant, le remettant tout doucement, pour élargir ce trou convoité peu à peu. Il ne tarde pas à jouir là, au bord de l'anus, déposant sa semence comme une pommade bienfaisante pour les chairs de son amour.
Une fois calmés, ils reprennent la route.
-"Dis donc, cochon, tu as l'intention de me laisser baiser par le premier venu maintenant ?"
-" Seulement si je veux, mais j'ai l'impression que cela ne t'a pas rebuté tout à l'heure"
-"mmm, c'était bon, surtout l'effet de surprise! Je l'aurais bien sucée cette belle queue."
-"Des surprises tu vas en avoir encore cet été, je le sens, vu comment nous démarrons à peine à 200 km de Paris".
Ils se sourient, heureux d'être ensemble, heureux de cette nouvelle complicité qui les unit depuis qu'ils ont décidé d'explorer ensemble les plaisirs qui se présentent à eux.
Papillon s'assoupit, Jean conduit tranquillement, sans se presser, ravi de voir sa femme si belle. Elle a la tête un peu penchée vers lui, et il aperçoit le début de ses seins dans l'échancrure du tee-shirt.
Il remonte un peu la jupe, jusqu'à voir le bord de la culotte blanche. Il aime mater, il aime regarder sa femme, les femmes. Le corps féminin l'emplit d'une émotion renouvelée chaque jour : un galbe de mollet aperçu dans la rue; une jupe qui vole; un pantalon qui moule des fesses qui marchent devant lui; un sein dans son bonnet négligemment offert par la vendeuse qui se penche, le corsage un peu dégrafé; une entrejambe légèrement écartée face à lui dans le train : tout dans la femme lui plait, lui donne envie de découvrir ce qui se cache sous la jupe, sous le corsage, derrière ces yeux rieurs qui parfois l'accompagnent quand la femme perçoit son manège.
Toutes ces images de désir qui lui passent par la tête le font bander un peu. Il regarde Papillon. "Elle semble insatiable en ce moment, et moi aussi, quelle joie !"
Il s'arrête dans une station-service pour prendre de l'essence, va boire un café, passe aux toilettes.
Occupé à pisser un coup, il voit tout à coup l'homme de tout à l'heure qui se met à côté de lui.
"- C'est un hasard ou vous me suivez ?" lui demande-t-il.
-"Pur hasard, cher ami, mais cela me donne à nouveau l'occasion de vous remercier pour cet impromptu autoroutier ". Et ils rient ensemble.
"-Ce n'est pas si souvent que l'on croise de vraies gourmandes, avec un mari complaisant en plus !"
-"Venez, on va réveiller Papillon, ma femme"
-" Je m'appelle Luc" – "Moi Jean, allons-y, je lui ai promis des surprises"
Papillon dort profondément, elle n'a pas perçu l'arrêt de la voiture, ni que Jean remonte dedans, avec Luc sur la banquette arrière et qu'il va se garer encore une fois dans le coin le plus discret possible.
-"Tu lui caresses doucement les seins, et moi je câline ses jambes" dit Jean.
Les deux hommes commencent leurs attouchements, très légèrement.
Papillon dans son sommeil perçoit la douceur et commence à gémir dans son rêve. Puis elle se réveille. A ce moment-là, Jean fait basculer le siège de Papillon vers l'arrière au maximum.
-"Hello chérie, une petite surprise, plus tôt que je ne le pensais, mais j'ai retrouvé la queue que tu regrettais de ne pas avoir sucée. Vas-y Luc, donne lui sa sucette"
L'homme sort sa bite déjà dure et l'enfourne dans la bouche de Papillon. Elle est à peine réveillée mais comprend tout de suite la situation, et elle avale goulument l'engin. Les couilles de Luc lui frappent le nez. Elle en apprécie l'odeur un peu forte.
A genou sur la banquette, la queue dans la bouche de Papillon, Luc a les mains libres et lui pétrit la poitrine avec application. Jean en a profité pour se glisser devant le siège de Papillon et, lui écartant les cuisses, il lèche la chatte offerte.
Papillon jouit rapidement, et les deux hommes ne tardent pas à lui envoyer leur jus, l'un dans la bouche, qu'elle avale en se régalant, l'autre sur les jambes, un peu contraint par sa position inconfortable mais excitante.
-"Luc, merci d'être repassé par ici, et peut-être à une prochaine fois, sur une autre autoroute…."
-"Merci Jean, tout le plaisir était pour moi, et merci à vous Papillon".
-" aaaahhh, ce sera mon premier bon souvenir de vacances. Adios bel inconnu"
Tout le monde reprend sa route.
En fin de journée, Jean et Papillon arrivent à Nantes, chez leurs amis, les Hortoux.
-"Tu crois qu'ils sont sages les Hortoux ?" demande Papillon.
-"Je crois qu'ils sont très conventionnels sur ce plan-là, ne va pas les dévergonder !"
-"Je posais juste une question….. "
Jean et Papillon ont pris la route cet après-midi. Ils roulent vers Nantes, ou les attendent de bons amis. Ils ont hâte de les retrouver, et surtout Papillon attend avec impatience son premier bain de mer de l'année. Les enfants chez les grands-parents, ils sont libres de leurs mouvements.
Détendus, ils papotent de tout, de rien. Jean demande à Papillon de lui raconter la séquence du réveil de M. PONCE. Papillon, qui a promis de tout raconter de ses aventures, détaillent par le menu ce qu'elle a subi (voir épisode 9).
Elle se rend compte que peu à peu, le short de Jean laisse apparaitre une légère protubérance.
Elle s'enfonce dans le dossier de son siège et l'air innocent, elle écarte un peu les cuisses, ce qui fait remonter sa jupe à mi cuisses.
Jean est concentré sur la route, mais d'imaginer Papillon se faire défoncer sur le bureau par le gode finit de lui tendre le sexe. Et cette coquine qui l'aguiche en montrant ses cuisses.
Brusquement, il sort de l'autoroute sur une aire de repos, et va se garer le plus loin possible, près d'un bosquet qui les cache à la vue des autres automobilistes.
Il ôte sa ceinture de sécurité, la regarde amoureusement. Elle a déjà le sourire aux lèvres, elle a compris. Il lui saute dessus, abaissant son tee-shirt ample pour lui sucer les seins tout en enfournant une main sous la jupe.
-"Cochonne, tu mouilles déjà, et moi je suis tout dur, on devrait trouver un terrain d'entente".
-"Mon cochon, mais tu bandes comme un taureau, cela t'a excité que j'ai été un peu violentée ?"
Et ils s'embrassent, le pantalon est bientôt sur les chevilles de Jean, et Papillon se penche pour le sucer. Elle lui malaxe les couilles, lui passe un doigt sur l'anus, puis le branle tout en le suçant.
Pour cela elle s'est mise à quatre pattes sur son siège, et son cul pointe vers la fenêtre à moitié ouverte.
Soudain, elle sent une main caresser son cul, puis un doigt pénétrer sa chatte avec douceur. Elle lâche la bite de Jean "On dirait que j'ai un admirateur" lui dit-elle. Jean, qui avait vu s'approcher l'homme et lui avait fait un geste d'assentiment, lui répond : " il m'a semblé que tu apprécierais et moi je me suis dit qu'un peu d'aide ne pouvait pas faire de mal".
L'homme a maintenant sorti sa queue de son pantalon et se masturbe tout en enfonçant deux puis trois doigt dans la chatte de Papillon, qui ruisselle. Prenant sa mouille sur le pouce, il l'insinue dans le cul de Papillon. Jean se fait toujours sucer, tout en caressant les seins de sa belle.
-" Tu veux bien qu'il me prenne" demande-t-elle ?
Pour toute réponse, Jean abaisse complètement la vitre, tend un préservatif à l'homme et lui dit : "Jour de chance mon gars, ma femme te veux". L'homme ouvre la portière, enfile la protection et pointe sa queue à l'entrée du vagin. "Cochonne, si tu la veux, viens !" Papillon se recule lentement et sent une bite peu large la pénétrer. Peu large mais suffisamment longue pour atteindre le fond de son gouffre. Une fois installé, l'homme la prend par les hanches et la baise généreusement. Elle gémit, la queue de Jean dans la bouche, les seins qui balancent au rythme imposé. L'homme, ému par ce cul si gentiment offert, ne tarde pas à jouir. Par délicatesse, il sort de Papillon, enlève la capote et gicle sur les fesses rebondies.
-"Merci madame, et bonne route" dit-il en se rhabillant et en rejoignant sa voiture.
Jean est toujours excité, lui. Il demande à Papillon de se retourner et de lui offrir à son tour la vision tant appréciée des hommes, un beau cul ouvert, prêt à être enfourné. Il décide de l'enculer, afin que Papillon reçoive l'hommage total de son anatomie. Il humidifie sa queue et rentre lentement.
-"Eh, mon loup, je sens encore la leçon de M; PONCE, vas-y doucement"
Alors il s'applique, ne pénétrant que le gland, le retirant, le remettant tout doucement, pour élargir ce trou convoité peu à peu. Il ne tarde pas à jouir là, au bord de l'anus, déposant sa semence comme une pommade bienfaisante pour les chairs de son amour.
Une fois calmés, ils reprennent la route.
-"Dis donc, cochon, tu as l'intention de me laisser baiser par le premier venu maintenant ?"
-" Seulement si je veux, mais j'ai l'impression que cela ne t'a pas rebuté tout à l'heure"
-"mmm, c'était bon, surtout l'effet de surprise! Je l'aurais bien sucée cette belle queue."
-"Des surprises tu vas en avoir encore cet été, je le sens, vu comment nous démarrons à peine à 200 km de Paris".
Ils se sourient, heureux d'être ensemble, heureux de cette nouvelle complicité qui les unit depuis qu'ils ont décidé d'explorer ensemble les plaisirs qui se présentent à eux.
Papillon s'assoupit, Jean conduit tranquillement, sans se presser, ravi de voir sa femme si belle. Elle a la tête un peu penchée vers lui, et il aperçoit le début de ses seins dans l'échancrure du tee-shirt.
Il remonte un peu la jupe, jusqu'à voir le bord de la culotte blanche. Il aime mater, il aime regarder sa femme, les femmes. Le corps féminin l'emplit d'une émotion renouvelée chaque jour : un galbe de mollet aperçu dans la rue; une jupe qui vole; un pantalon qui moule des fesses qui marchent devant lui; un sein dans son bonnet négligemment offert par la vendeuse qui se penche, le corsage un peu dégrafé; une entrejambe légèrement écartée face à lui dans le train : tout dans la femme lui plait, lui donne envie de découvrir ce qui se cache sous la jupe, sous le corsage, derrière ces yeux rieurs qui parfois l'accompagnent quand la femme perçoit son manège.
Toutes ces images de désir qui lui passent par la tête le font bander un peu. Il regarde Papillon. "Elle semble insatiable en ce moment, et moi aussi, quelle joie !"
Il s'arrête dans une station-service pour prendre de l'essence, va boire un café, passe aux toilettes.
Occupé à pisser un coup, il voit tout à coup l'homme de tout à l'heure qui se met à côté de lui.
"- C'est un hasard ou vous me suivez ?" lui demande-t-il.
-"Pur hasard, cher ami, mais cela me donne à nouveau l'occasion de vous remercier pour cet impromptu autoroutier ". Et ils rient ensemble.
"-Ce n'est pas si souvent que l'on croise de vraies gourmandes, avec un mari complaisant en plus !"
-"Venez, on va réveiller Papillon, ma femme"
-" Je m'appelle Luc" – "Moi Jean, allons-y, je lui ai promis des surprises"
Papillon dort profondément, elle n'a pas perçu l'arrêt de la voiture, ni que Jean remonte dedans, avec Luc sur la banquette arrière et qu'il va se garer encore une fois dans le coin le plus discret possible.
-"Tu lui caresses doucement les seins, et moi je câline ses jambes" dit Jean.
Les deux hommes commencent leurs attouchements, très légèrement.
Papillon dans son sommeil perçoit la douceur et commence à gémir dans son rêve. Puis elle se réveille. A ce moment-là, Jean fait basculer le siège de Papillon vers l'arrière au maximum.
-"Hello chérie, une petite surprise, plus tôt que je ne le pensais, mais j'ai retrouvé la queue que tu regrettais de ne pas avoir sucée. Vas-y Luc, donne lui sa sucette"
L'homme sort sa bite déjà dure et l'enfourne dans la bouche de Papillon. Elle est à peine réveillée mais comprend tout de suite la situation, et elle avale goulument l'engin. Les couilles de Luc lui frappent le nez. Elle en apprécie l'odeur un peu forte.
A genou sur la banquette, la queue dans la bouche de Papillon, Luc a les mains libres et lui pétrit la poitrine avec application. Jean en a profité pour se glisser devant le siège de Papillon et, lui écartant les cuisses, il lèche la chatte offerte.
Papillon jouit rapidement, et les deux hommes ne tardent pas à lui envoyer leur jus, l'un dans la bouche, qu'elle avale en se régalant, l'autre sur les jambes, un peu contraint par sa position inconfortable mais excitante.
-"Luc, merci d'être repassé par ici, et peut-être à une prochaine fois, sur une autre autoroute…."
-"Merci Jean, tout le plaisir était pour moi, et merci à vous Papillon".
-" aaaahhh, ce sera mon premier bon souvenir de vacances. Adios bel inconnu"
Tout le monde reprend sa route.
En fin de journée, Jean et Papillon arrivent à Nantes, chez leurs amis, les Hortoux.
-"Tu crois qu'ils sont sages les Hortoux ?" demande Papillon.
-"Je crois qu'ils sont très conventionnels sur ce plan-là, ne va pas les dévergonder !"
-"Je posais juste une question….. "
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Zootman
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...