L'éducation de Papillon - Episode 13
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'éducation de Papillon - Episode 13
L’éducation de Papillon – Episode 13
Le lendemain, le jeudi, toute la bande décide d’aller faire un tour en mer. Les jeunes ne veulent pas se joindre aux adultes, préférant aller voir leurs copains.
Ils ont loué un voilier de 10 mètres, chacun ayant une expérience de la navigation.
Ils partent de Pornic, direction Piriac, un joli port un peu plus au nord.
Il fait beau, et le vent de travers les porte tranquillement vers leur destination. Tous se retrouvent vite en maillot de bain, bronzant qui sur la plage avant, qui à l’arrière en tenant le cap.
Après deux heures de navigation tranquille, ils décident de mouiller l’ancre devant Piriac en attendant que la marée soit suffisamment haute pour entrer dans le port. Papillon propose à un des hommes de prendre l’annexe à moteur pour descendre à terre, ayant un peu le mal de mer. Anne encourage Louis à l’accompagner, souhaitant rester bord avec Jean qui maîtrise le mieux le bateau.
Une fois les deux partis, Anne propose un jus de fruit à Jean. Elle descend dans la cabine, mais rate la dernière marche, se tord la cheville et en tombant se tape la tête contre la table du carré.
-« Aie, quelle idiote, je le sais pourtant que la descente est pentue sur un bateau ! »
Jean se précipite, et relève Anne, qui geint en posant son pied foulé.
-« Je vais baisser la table et tu pourras t’allonger confortablement » dit-il, et il installe le lit du carré avec les coussins. « Voila, il y a de la place avec cette couchette double, tu vas pouvoir attendre tranquillement le retour des autres. En attendant, c’est moi qui te fais le jus de fruit, et après je vais regarder ta cheville »
Une fois la boisson préparée, il s’agenouille et commence à masser le pied avec de l’huile douce trouvée à bord. Il ne peut s’empêcher de jeter par moment un œil sur l’entrejambe d’Anne, dont le maillot de bain laisse voir le relief des lèvres et une jolie trace au milieu, bien droite.
-« Cela me fait du bien, Jean, continue » dit Anne.
Jean masse le pied, puis remonte lentement vers le mollet, puis le genou.
-« Ton massage sur les jambes me fait du bien aussi, en fait je suis crevée en ce moment, et cela me détend »
Jean prend cela pour un encouragement, et peu à peu, ses mains passent les genoux, massent aussi les cuisses, sur le dessus, puis sur l’extérieur, puis sur l’intérieur. Anne écarte un peu les jambes pour qu’il puisse mieux accéder.
La culotte d’Anne se rapproche de plus en plus, et Jean sent son amie qui frémit sous certaines caresses. Il croit même voir que le trait s’humidifie un peu sous la culotte. Lui-même a le maillot qui commence à laisser apparaître une légère protubérance…
- « Regarde si je n’ai rien à la tête, je ne me suis pas cognée fortement, mais j’ai eu mal sur le moment »
Jean se met à côté d’Anne sur la couchette, Il regarde son front. Y passe une main, et décèle une petite bosse.
- « Rien de grave, mais je vais te masser le haut du corps aussi pour te détendre. »
Et il se met derrière elle, agenouillé, et lui masse les tempes, le crane, puis les épaules.
Anne a la respiration qui s’accélère un peu. Jean voit ses seins tendre le tissu.
Il se remet à côté d’elle et lui masse le ventre, le haut des cuisses, puis le torse à la limite des seins. Anne a fermé les yeux, laissant la douceur du massage l’envahir, sa respiration laisse paraître un début d’excitation générale.
Jean décide de poser une main sur le maillot d’Anne, et de masser son mont de Vénus. Anne se laisse faire. Puis il passe deux doigts à la pliure de la jambe et de l’aine, et Anne, sans ouvrir les yeux, a un petit soupir de contentement. Puis Jean fait rejoindre ses doigts près de l’anus, effleurant celui-ci, puis remonte de chaque côté des lèvres qui ont gonflé. Enfin, il passe un doigt sur elles, et Anne tressaille.
-« Je ne te fais pas mal je pense ? » dit-il avec un sourire. « Tu sais combien je te trouve belle, et je profite un peu de l’occasion je l’avoue ».
Anne ouvre les yeux, lui sourit aussi : « Je vois bien que je ne te laisse pas indifférent » et elle sort la queue de Jean de son maillot. « Bel engin ma foi, que j’ai bien envie de goûter ! » et, se mettant sur le flanc, elle enfourne la queue dans sa bouche. Jean approche son bassin, et d’une main il fait sortir les globes de leur gangue, se penche et prend en bouche un sein, Sa main est passée sous le maillot de bain d’Anne, et il lui caresse la vulve avec douceur, entourant son picot d’amour avec deux doigts, puis empaumant toute la chatte offerte.
-« Cela fait longtemps que j’en avais envie » dit Anne, « et toi ? »
- « Bien longtemps aussi ! J’aime comme tu me suces, on dirait que tu remercies ton infirmier»
-« Mmm, un infirmier expert en massage pubien on dirait. Continue, passe sur ma fente, et mets moi un doigt, j’adore sentir ma moule envahie »
Jean s’exécute, puis se positionne en 69 et les deux amis se mangent le sexe, se lèchent, se sucent, se titillent, découvrant l’intimité convoitée depuis tant d’années.
La queue de Jean va et vient dans la bouche d’Anne. Celle-ci aime cette sensation du chibre qui lui écarte la bouche, tend ses joues. Le va et vient du membre sur sa langue l’excite.
Pendant que Jean lui baise la bouche, elle passe une main entre ses jambes et commence à lui caresser les fesses, à les faire venir vers elle pour qu’il s’enfonce profondément dans sa bouche. Puis elle lui touche le petit trou, le sent frémir, dans un souffle il l’invite, et elle lui enfonce son index dans le cul.
-« Je ne vais pas tenir longtemps avec ce que tu m’excites » dit Jean.
- « Tant pis, gicle dans ma bouche, j’aime le goût du sperme » répond-elle en enfonçant de plus en plus loin son doigt, puis deux dans l’anus accueillant.
-« Ahhhh, mmmmmn cochonne, je viens » et il lâche un gros jet de foutre chaud dans la gorge d’Anne, qui avale tout de suite.
-« Quel nectar, c’est un peu salé, mais si bon » apprécie-telle. Elle se délecte, passe sa langue sur ses lèvres pour rattraper un peu du jus qui s’est écoulé.
-« A toi de jouir » dit Jean, et il s’attaque à sa moule, trempée du plaisir reçu.
En peu de temps, à coup de langue ajustés, et après avoir lui aussi introduit un doigt dans le cul d’Anne, Jean sent que sa partenaire se tend. Son corps vibre sous la montée de la jouissance, puis se détend d’un coup quand le plaisir envahit son corps.
Apaisés, ils s’allongent et continuent à se caresser leurs courbes tendrement.
-« Tu sais, Louis va être un peu jaloux non, s’il apprend ce que nous avons fait ».
- « Je ne pense pas, il a l’esprit ouvert, j’en suis sûr, et puis j’avais bien compris que tu es une fille qui aime le sexe, il a dû s’en rendre compte non ? »
- -« Oui, mais je ne fais pas cela avec d’autres habituellement »
-«Ah bon, je pensais que tu avais quelques aventures parfois » dit Jean en riant intérieurement en se remémorant la scène du magasin. ‘
-« Que dis-tu ! En tout cas, je crois que Louis est très fidèle, et je ne voudrais pas le blesser »
-« Hum, je comprends, mais je pense qu’il a l’esprit plus ouvert que tu ne le crois. Nous aurons l’occasion d’en reparler. D’ailleurs, j’entends le canot qui revient, Habille toi, je vais les accueillir » et il enfile son maillot de bain, monte sur le pont au moment ou l’annexe accoste.
-« Il est temps d’aller au port » dit Papillon, « nous avons réservé une bonne table pour ce soir. Vous ne vous êtes pas ennuyés en nous attendant ? ». Elle surprend le regard de Jean, et comprends qu’il a des choses à lui raconter.
-« Anne s’est un peu fait mal en tombant, mais rien de grave. Nous allons pouvoir appareiller »
Louis va prendre des nouvelles d’Anne, et la voyant allongé sur la couchette, il se demande si ses amis ont été aussi sages qu’ils le disent. « Après tout, s’ils se sont fait plaisir, comment les blâmer… » et il repense au cul de Papillon dans lequel il s’enfonçait si gaillardement la veille.
-« Paré à la manœuvre » dit Jean en commençant à relever l’ancre. Tout le monde à son poste, ou il y aura des punitions ce soir !
-« Bien capitaine » répondent les autres en riant. Et chacun de s’affairer, pensant qui à la bite de l’un, qui à la chatte de l’autre, en espérant avoir l’occasion d’y goûter bientôt de nouveau………………………….
Le lendemain, le jeudi, toute la bande décide d’aller faire un tour en mer. Les jeunes ne veulent pas se joindre aux adultes, préférant aller voir leurs copains.
Ils ont loué un voilier de 10 mètres, chacun ayant une expérience de la navigation.
Ils partent de Pornic, direction Piriac, un joli port un peu plus au nord.
Il fait beau, et le vent de travers les porte tranquillement vers leur destination. Tous se retrouvent vite en maillot de bain, bronzant qui sur la plage avant, qui à l’arrière en tenant le cap.
Après deux heures de navigation tranquille, ils décident de mouiller l’ancre devant Piriac en attendant que la marée soit suffisamment haute pour entrer dans le port. Papillon propose à un des hommes de prendre l’annexe à moteur pour descendre à terre, ayant un peu le mal de mer. Anne encourage Louis à l’accompagner, souhaitant rester bord avec Jean qui maîtrise le mieux le bateau.
Une fois les deux partis, Anne propose un jus de fruit à Jean. Elle descend dans la cabine, mais rate la dernière marche, se tord la cheville et en tombant se tape la tête contre la table du carré.
-« Aie, quelle idiote, je le sais pourtant que la descente est pentue sur un bateau ! »
Jean se précipite, et relève Anne, qui geint en posant son pied foulé.
-« Je vais baisser la table et tu pourras t’allonger confortablement » dit-il, et il installe le lit du carré avec les coussins. « Voila, il y a de la place avec cette couchette double, tu vas pouvoir attendre tranquillement le retour des autres. En attendant, c’est moi qui te fais le jus de fruit, et après je vais regarder ta cheville »
Une fois la boisson préparée, il s’agenouille et commence à masser le pied avec de l’huile douce trouvée à bord. Il ne peut s’empêcher de jeter par moment un œil sur l’entrejambe d’Anne, dont le maillot de bain laisse voir le relief des lèvres et une jolie trace au milieu, bien droite.
-« Cela me fait du bien, Jean, continue » dit Anne.
Jean masse le pied, puis remonte lentement vers le mollet, puis le genou.
-« Ton massage sur les jambes me fait du bien aussi, en fait je suis crevée en ce moment, et cela me détend »
Jean prend cela pour un encouragement, et peu à peu, ses mains passent les genoux, massent aussi les cuisses, sur le dessus, puis sur l’extérieur, puis sur l’intérieur. Anne écarte un peu les jambes pour qu’il puisse mieux accéder.
La culotte d’Anne se rapproche de plus en plus, et Jean sent son amie qui frémit sous certaines caresses. Il croit même voir que le trait s’humidifie un peu sous la culotte. Lui-même a le maillot qui commence à laisser apparaître une légère protubérance…
- « Regarde si je n’ai rien à la tête, je ne me suis pas cognée fortement, mais j’ai eu mal sur le moment »
Jean se met à côté d’Anne sur la couchette, Il regarde son front. Y passe une main, et décèle une petite bosse.
- « Rien de grave, mais je vais te masser le haut du corps aussi pour te détendre. »
Et il se met derrière elle, agenouillé, et lui masse les tempes, le crane, puis les épaules.
Anne a la respiration qui s’accélère un peu. Jean voit ses seins tendre le tissu.
Il se remet à côté d’elle et lui masse le ventre, le haut des cuisses, puis le torse à la limite des seins. Anne a fermé les yeux, laissant la douceur du massage l’envahir, sa respiration laisse paraître un début d’excitation générale.
Jean décide de poser une main sur le maillot d’Anne, et de masser son mont de Vénus. Anne se laisse faire. Puis il passe deux doigts à la pliure de la jambe et de l’aine, et Anne, sans ouvrir les yeux, a un petit soupir de contentement. Puis Jean fait rejoindre ses doigts près de l’anus, effleurant celui-ci, puis remonte de chaque côté des lèvres qui ont gonflé. Enfin, il passe un doigt sur elles, et Anne tressaille.
-« Je ne te fais pas mal je pense ? » dit-il avec un sourire. « Tu sais combien je te trouve belle, et je profite un peu de l’occasion je l’avoue ».
Anne ouvre les yeux, lui sourit aussi : « Je vois bien que je ne te laisse pas indifférent » et elle sort la queue de Jean de son maillot. « Bel engin ma foi, que j’ai bien envie de goûter ! » et, se mettant sur le flanc, elle enfourne la queue dans sa bouche. Jean approche son bassin, et d’une main il fait sortir les globes de leur gangue, se penche et prend en bouche un sein, Sa main est passée sous le maillot de bain d’Anne, et il lui caresse la vulve avec douceur, entourant son picot d’amour avec deux doigts, puis empaumant toute la chatte offerte.
-« Cela fait longtemps que j’en avais envie » dit Anne, « et toi ? »
- « Bien longtemps aussi ! J’aime comme tu me suces, on dirait que tu remercies ton infirmier»
-« Mmm, un infirmier expert en massage pubien on dirait. Continue, passe sur ma fente, et mets moi un doigt, j’adore sentir ma moule envahie »
Jean s’exécute, puis se positionne en 69 et les deux amis se mangent le sexe, se lèchent, se sucent, se titillent, découvrant l’intimité convoitée depuis tant d’années.
La queue de Jean va et vient dans la bouche d’Anne. Celle-ci aime cette sensation du chibre qui lui écarte la bouche, tend ses joues. Le va et vient du membre sur sa langue l’excite.
Pendant que Jean lui baise la bouche, elle passe une main entre ses jambes et commence à lui caresser les fesses, à les faire venir vers elle pour qu’il s’enfonce profondément dans sa bouche. Puis elle lui touche le petit trou, le sent frémir, dans un souffle il l’invite, et elle lui enfonce son index dans le cul.
-« Je ne vais pas tenir longtemps avec ce que tu m’excites » dit Jean.
- « Tant pis, gicle dans ma bouche, j’aime le goût du sperme » répond-elle en enfonçant de plus en plus loin son doigt, puis deux dans l’anus accueillant.
-« Ahhhh, mmmmmn cochonne, je viens » et il lâche un gros jet de foutre chaud dans la gorge d’Anne, qui avale tout de suite.
-« Quel nectar, c’est un peu salé, mais si bon » apprécie-telle. Elle se délecte, passe sa langue sur ses lèvres pour rattraper un peu du jus qui s’est écoulé.
-« A toi de jouir » dit Jean, et il s’attaque à sa moule, trempée du plaisir reçu.
En peu de temps, à coup de langue ajustés, et après avoir lui aussi introduit un doigt dans le cul d’Anne, Jean sent que sa partenaire se tend. Son corps vibre sous la montée de la jouissance, puis se détend d’un coup quand le plaisir envahit son corps.
Apaisés, ils s’allongent et continuent à se caresser leurs courbes tendrement.
-« Tu sais, Louis va être un peu jaloux non, s’il apprend ce que nous avons fait ».
- « Je ne pense pas, il a l’esprit ouvert, j’en suis sûr, et puis j’avais bien compris que tu es une fille qui aime le sexe, il a dû s’en rendre compte non ? »
- -« Oui, mais je ne fais pas cela avec d’autres habituellement »
-«Ah bon, je pensais que tu avais quelques aventures parfois » dit Jean en riant intérieurement en se remémorant la scène du magasin. ‘
-« Que dis-tu ! En tout cas, je crois que Louis est très fidèle, et je ne voudrais pas le blesser »
-« Hum, je comprends, mais je pense qu’il a l’esprit plus ouvert que tu ne le crois. Nous aurons l’occasion d’en reparler. D’ailleurs, j’entends le canot qui revient, Habille toi, je vais les accueillir » et il enfile son maillot de bain, monte sur le pont au moment ou l’annexe accoste.
-« Il est temps d’aller au port » dit Papillon, « nous avons réservé une bonne table pour ce soir. Vous ne vous êtes pas ennuyés en nous attendant ? ». Elle surprend le regard de Jean, et comprends qu’il a des choses à lui raconter.
-« Anne s’est un peu fait mal en tombant, mais rien de grave. Nous allons pouvoir appareiller »
Louis va prendre des nouvelles d’Anne, et la voyant allongé sur la couchette, il se demande si ses amis ont été aussi sages qu’ils le disent. « Après tout, s’ils se sont fait plaisir, comment les blâmer… » et il repense au cul de Papillon dans lequel il s’enfonçait si gaillardement la veille.
-« Paré à la manœuvre » dit Jean en commençant à relever l’ancre. Tout le monde à son poste, ou il y aura des punitions ce soir !
-« Bien capitaine » répondent les autres en riant. Et chacun de s’affairer, pensant qui à la bite de l’un, qui à la chatte de l’autre, en espérant avoir l’occasion d’y goûter bientôt de nouveau………………………….
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