L'éducation de Papillon - Episode 18
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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L'éducation de Papillon - Episode 18
(Ou nous retrouvons Papillon et sa bande)
- Bon, on fait quoi aujourd’hui, lance Anne. 8heures, pas de courses à faire
(sourires de tous autour d’elle), rien que du farniente et du bon temps à prendre.
- Si on faisait un tour à la plage ? Pas longtemps, mais le matin, y’a pas trop
de monde, à part les jeunes un peu sportifs qui courent sur le sable.
- Je vois, à peine levé et Louis veut mater de la chair fraîche dit Papillon.
Remarque, y’a des beaux mâles aussi !
- Je suis Ok, dit Jean, mais si tu attires un musclé dans les dunes, tu me
préviens, je me joindrai à vous.
- Oh, mais tout le monde est bien en forme ce matin ! Je me joins à vous, je
commence à mouiller rien qu’à vous imaginer.
- Bon, si tout le monde est d’accord, allons-y
Et les amis, emportant quelques affaires pour la matinée, partent à pied vers la mer,
vers une longue plage de sable sur laquelle on peut aussi trouver quelques
renfoncements près des rochers, un peu abrités du vent, et de la vue.
Une fois posés, ils contemplent la mer, papotent. Il n’y a quasiment personne, aussi
ils décident de passer au bronzage intégral. Jean passe un peu d’huile solaire dans le
dos de Papillon, Louis fait de même avec Anne. Bien sûr, les mains des garçons
traînent sur les fesses, les massant légèrement, et dans la raie qui s’offre à eux,
apercevant le petit trou mignon qui frémit au passage de leur doigt. Ils se sourient,
et échangent leurs femmes. Jean caresse Anne maintenant.
Il reprend le massage, partant du cou, descendant sur la colonne vertébrale, remontant
par les côtés, effleurant au passage les rondeurs des seins écrasés sur la serviette,
revenant vers les fesses. Il lui semble qu’Anne les tend un peu vers lui. En tout cas,
elle a écarté un peu les jambes. Il voit Louis qui fait de même avec Papillon, et elle
aussi a maintenant sa vulve exposée aux regards.
Les membres des garçons ne restent pas insensibles à ce spectacle.
Ils décident d’un mouvement commun, de poser leurs mains sur les sexes féminins
offerts. Juste la paume, le pouce en haut se calant sur l’œillet. Les majeurs, du bout
du doigt, appuyant légèrement sur les clitoris en un mouvement circulaire qui fait
s’écarter un peu plus les jambes de ces dames.
Les pouces entrent dans les anus, s’accrochant au muscle qui se serre à leur passage.
De l’index, ils entrent dans les chattes qui, déjà humides, les accueillent avec joie.
Quelques grognements de plaisir se font entendre. Les culs se tendent un peu plus.
Le branle continue, très lent, la main libre de chacun caressant le corps de la femme
qu’il surplombe.
Les anus sont bien détendus maintenant, et les pouces s’enfoncent totalement, pour
mieux prendre appui pour bouger les doigts qui fouillent les fentes et le bouton
d’amour.
A ce rythme, le souffle des filles s’accélère un peu, toutes à leur plaisir, se
laissant totalement faire par les doigts experts de leurs amants.
- Je crois que je vais avoir envie de quelque chose d’un peu consistant en moi,
lance Papillon dans un souffle.
- Et moi, je sucerai bien un beau membre, renchérit Anne.
- Oh, pas tout de suite, les filles, vous êtes bien pressées.
- Et on n’a pas finit de vous préparer pour la suite, dit Louis.
- Quelle suite ?
- Ah, surprise pour tout le monde, répond Louis.
Et les caresses continuent, les dos ondulent, et Papillon, puis Anne, finissent par
jouir, leurs clitoris gonflés s’apaisant après une dernière étincelle…..
- Ca commence très fort ! dit Papillon. A peine arrivées et vous voila en train
de nous exploser le clito. C’est trop bon, les gars, mais va falloir que l’on s’occupe
de vous aussi.
- Non, non, nous, pour l’instant, on reste sage, répond Jean. On est là pour
vous, nous cela peut attendre.
- Oui, mais maintenant on a envie d’être défoncées, dit Anne, ce n’est pas bon
de nous laisser en plan.
- Ne t’inquiètes pas, ma chérie, tu vas être comblée, j’en suis sûr, dis Louis.
En attendant, pour patienter, on va aller prendre un bain puis nous vous masserons le
dos.
Les voilà bientôt dans l’eau, à profiter des vagues calmes, du soleil, de la
fraîcheur, de la mer.
Louis guette la plage, et bientôt, il aperçoit ce qu’il attendait : deux beaux mecs
musclés qui font leur jogging.
Il sort de l’eau, les aborde, parle un moment avec eux.
Les autres le voient faire, mais constatent que les deux jeunes reprennent leur course
et s’éloignent.
Louis les rejoint, et ayant rapporté une balle, ils entament tous un simili volley-
ball.
Jean adore voir les femmes courir vers le ballon, leurs seins tressautant. Cela l’a
toujours excité, cette partie de l’anatomie féminine. Excité et fasciné : ces
ornements certes destinés à l’allaitement, mais si opportunément placés par la
providence (le créateur ?), ou l’instinct de conservation de l’espèce, afin d’attirer
le regard du mâle et l’inviter à la fécondation.
Quand elle oublie ses seins, une femme nue est merveilleuse pour nous, car nous
observons les petits mouvements, les gigotements, les tremblements, les imperceptibles
signes du désir par le raidissement des tétons, tous ces ballotements et
tressaillements qui nous font rêver et nous donnent envie de donner douceur, caresses,
baisers, suçotements, de nous retrouver si près de notre petite enfance….
Jean aime donc regarder les seins des femmes ! Il en rate la balle qui lui arrive
dessus et rebondit sur son nez.
- Alors, mon Jean, dans la lune, ou encore plongé dans de coquines pensées ?
- Les pensées bien sûr, je regardais les seins d’Anne se soulever et redescendre
en tapant la balle.
- Je le savais, tu es incorrigible.
Les amis jouent encore un peu, puis retournent dans leur petit coin abrité, se sécher,
boire un peu, puis s’allongent mollement sur leurs serviettes. Ils s’assoupissent un
peu, bercés par le bruit des vagues.
Puis Louis recommence à masser le dos d’Anne, et rapidement il va à nouveau vers son
entrejambe. Anne encore une fois écarte les jambes pour laisser l’accès aux doigts
agiles de son mari.
Papillon qui entend Anne glousser ouvre un œil, et réclame à Jean un traitement
similaire, la moiteur de sa chatte étant manifeste. Louis propose de bander les yeux
des filles pour qu’elles ne voient pas qui les caresse.
Et hop, les doigts à nouveau excitent ces femmes si promptes à s’enflammer.
Louis fait un clin d’œil à Jean, et lui montre le rocher sur leur gauche. Jean
aperçoit les deux garçons que Louis avait abordés. Ils s’approchent, l’air hésitant,
mais on distingue une barre dans leur caleçon.
Louis leur fait signe de se taire.
- Bon les filles, on va bientôt vous baiser en levrette, Jean et moi, il faudra
deviner qui vous enfile. Mettez-vous en position, on va vous lécher encore un peu puis
on s’introduira d’un coup.
- Mmm, enfin, dit Anne, j’ai envie d’un bon gourdin !
Les filles se positionnent. Les deux invités ont ôté leur slip, et se branlent en
matant ces deux cochonnes qui se font masser leur moule par leurs maris.
Jean leur tend une capote à chacun, et une fois prêts, il les positionne chacun devant
une chatte ouverte, et leur fait signe d’y aller.
Les deux membres s’introduisent d’un coup, en même temps, à fond, et les deux femmes
laissent échapper un cri de surprise et de contentement.
Elles se font labourer par les jeunes, excités.
- Ahhaaahha, je crois que j’ai Louis en moi, dit Papillon.
- Mmm oooooo, non je crois que c’est moi rétorque Anne.
- Ouuuummmmff, je reconnais pourtant bien son membre large répond Papillon
- Moi aussi, je le reconnais, ça ne peut pas être Jean, je ééééé… le sais bien
- J’ai moins l’haaaaaaaaaaabitude que toi, mais je suis sûre aussi que ce n’est
pas Jean
- Dites, les gars, si vous nous disiez qui est avec Louis, et qui avec Jean ?
Louis répond
- Vous donnez votre langue au chat ? Alors ouvrez la bouche en grand !
Les deux hommes ont fait le tour des filles, et dès qu’elles ouvrent la bouche, Louis
s’enfourne dans Anne et Jean dans Papillon.
Les deux filles sont trop surprises pour réagir, et elles sucent ces queues tout en
constatant que l’on continue à leur bourrer la chatte.
Enfin, Papillon reprend son souffle.
- Salauds, on pouvait débattre longtemps ! Et si vous enleviez nos bandeaux, que
l’on puisse apprécier le minois de ces deux biens membrés que vous avez invités à nous
prendre en douce.
- Bonjour mesdames, disent en chœur les deux garçons, et l’un continue : merci
pour ce plaisir de pouvoir coulisser dans vos intimités aussi librement. Vos maris
sont très sympathiques de vous partager ainsi, et vous, de vrais déesses. Vos culs
rebondis sont de toute beauté, et si nous osions, nous irions bien dans vos oignons.
- Faites messieurs, faites, répond Anne, il me tarde d’être enculée, et votre
raideur dans mon con me laisse augurer de beaucoup de joie dans mon cul. Et toi
Papillon ?
- Mais de même très chère, de même ! Allons, jeunes gaillards, foutez-nous le
cul, derechef !
Et les membres s’enfoncent dans les anus palpitants, pendant que Jean et Louis passent
d’une bouche à l’autre.
Jean est le premier à craquer. Les cris des femmes, les ahanements des garçons, la
vision de la queue de Louis dans la bouche de Papillon, tout cela lui a enflammé la
tête, et il envoie un gros jet sur le visage d’Anne, qui récolte autant de sperme que
possible pour s’en délecter.
Le gars qui encule Papillon part en second et, enlevant le préservatif, balance sa
sauce sur ses fesses en grognant. Louis et le quatrième partent en même temps, l’un
dans la bouche de Papillon, l’autre au fond du cul d’Anne, duquel coule bientôt un
petit filet de semence que le garçon s’empresse de recueillir en s’agenouillant,
empoignant les fesses d’Anne en signe de remerciement.
- Bien, voila qui ouvre l’appétit, dit Anne, si nous rentrions déjeuner ? Jeunes
hommes, n’avez-vous pas des amies qui se joindraient à nous pour un repas convivial ?
- Euh, peut-être, mais je ne sais pas si elles sont aussi libérées que vous.
- Amenez-les, on verra bien, dit Papillon, et on ne leur fera rien qu’elles
n’aient envie de faire, soyez-en sûrs, et nous ne leur raconterons pas tous les
détails de notre rencontre. En tout cas pas tout de suite !
Louis leur donne l’adresse de la maison, convient qu’ils se rejoignent d’ici une
heure, et chacun part de son côté.
- Pourquoi les as-tu invités à déjeuner demande Jean ?
- Mmmm, j’ai vraiment apprécié la queue du mien, mais j’avais envie de tester
celle de l’autre, que Papillon a eu l’air de trouver à son goût. Et puis, s’ils ont
des copines, vous n’allez pas vous plaindre !
- Pas du tout, pas du tout, merci de ton attention ma chérie, j’apprécie
beaucoup !
- Allons nous reposer un peu avant la prochaine séquence, qui je le sens, va
être un peu folle lance Papillon.
Et chacun se pose dans un coin, au calme, laissant retomber l’excitation de la
matinée, mais fantasmant déjà sur l’après midi…….
- Bon, on fait quoi aujourd’hui, lance Anne. 8heures, pas de courses à faire
(sourires de tous autour d’elle), rien que du farniente et du bon temps à prendre.
- Si on faisait un tour à la plage ? Pas longtemps, mais le matin, y’a pas trop
de monde, à part les jeunes un peu sportifs qui courent sur le sable.
- Je vois, à peine levé et Louis veut mater de la chair fraîche dit Papillon.
Remarque, y’a des beaux mâles aussi !
- Je suis Ok, dit Jean, mais si tu attires un musclé dans les dunes, tu me
préviens, je me joindrai à vous.
- Oh, mais tout le monde est bien en forme ce matin ! Je me joins à vous, je
commence à mouiller rien qu’à vous imaginer.
- Bon, si tout le monde est d’accord, allons-y
Et les amis, emportant quelques affaires pour la matinée, partent à pied vers la mer,
vers une longue plage de sable sur laquelle on peut aussi trouver quelques
renfoncements près des rochers, un peu abrités du vent, et de la vue.
Une fois posés, ils contemplent la mer, papotent. Il n’y a quasiment personne, aussi
ils décident de passer au bronzage intégral. Jean passe un peu d’huile solaire dans le
dos de Papillon, Louis fait de même avec Anne. Bien sûr, les mains des garçons
traînent sur les fesses, les massant légèrement, et dans la raie qui s’offre à eux,
apercevant le petit trou mignon qui frémit au passage de leur doigt. Ils se sourient,
et échangent leurs femmes. Jean caresse Anne maintenant.
Il reprend le massage, partant du cou, descendant sur la colonne vertébrale, remontant
par les côtés, effleurant au passage les rondeurs des seins écrasés sur la serviette,
revenant vers les fesses. Il lui semble qu’Anne les tend un peu vers lui. En tout cas,
elle a écarté un peu les jambes. Il voit Louis qui fait de même avec Papillon, et elle
aussi a maintenant sa vulve exposée aux regards.
Les membres des garçons ne restent pas insensibles à ce spectacle.
Ils décident d’un mouvement commun, de poser leurs mains sur les sexes féminins
offerts. Juste la paume, le pouce en haut se calant sur l’œillet. Les majeurs, du bout
du doigt, appuyant légèrement sur les clitoris en un mouvement circulaire qui fait
s’écarter un peu plus les jambes de ces dames.
Les pouces entrent dans les anus, s’accrochant au muscle qui se serre à leur passage.
De l’index, ils entrent dans les chattes qui, déjà humides, les accueillent avec joie.
Quelques grognements de plaisir se font entendre. Les culs se tendent un peu plus.
Le branle continue, très lent, la main libre de chacun caressant le corps de la femme
qu’il surplombe.
Les anus sont bien détendus maintenant, et les pouces s’enfoncent totalement, pour
mieux prendre appui pour bouger les doigts qui fouillent les fentes et le bouton
d’amour.
A ce rythme, le souffle des filles s’accélère un peu, toutes à leur plaisir, se
laissant totalement faire par les doigts experts de leurs amants.
- Je crois que je vais avoir envie de quelque chose d’un peu consistant en moi,
lance Papillon dans un souffle.
- Et moi, je sucerai bien un beau membre, renchérit Anne.
- Oh, pas tout de suite, les filles, vous êtes bien pressées.
- Et on n’a pas finit de vous préparer pour la suite, dit Louis.
- Quelle suite ?
- Ah, surprise pour tout le monde, répond Louis.
Et les caresses continuent, les dos ondulent, et Papillon, puis Anne, finissent par
jouir, leurs clitoris gonflés s’apaisant après une dernière étincelle…..
- Ca commence très fort ! dit Papillon. A peine arrivées et vous voila en train
de nous exploser le clito. C’est trop bon, les gars, mais va falloir que l’on s’occupe
de vous aussi.
- Non, non, nous, pour l’instant, on reste sage, répond Jean. On est là pour
vous, nous cela peut attendre.
- Oui, mais maintenant on a envie d’être défoncées, dit Anne, ce n’est pas bon
de nous laisser en plan.
- Ne t’inquiètes pas, ma chérie, tu vas être comblée, j’en suis sûr, dis Louis.
En attendant, pour patienter, on va aller prendre un bain puis nous vous masserons le
dos.
Les voilà bientôt dans l’eau, à profiter des vagues calmes, du soleil, de la
fraîcheur, de la mer.
Louis guette la plage, et bientôt, il aperçoit ce qu’il attendait : deux beaux mecs
musclés qui font leur jogging.
Il sort de l’eau, les aborde, parle un moment avec eux.
Les autres le voient faire, mais constatent que les deux jeunes reprennent leur course
et s’éloignent.
Louis les rejoint, et ayant rapporté une balle, ils entament tous un simili volley-
ball.
Jean adore voir les femmes courir vers le ballon, leurs seins tressautant. Cela l’a
toujours excité, cette partie de l’anatomie féminine. Excité et fasciné : ces
ornements certes destinés à l’allaitement, mais si opportunément placés par la
providence (le créateur ?), ou l’instinct de conservation de l’espèce, afin d’attirer
le regard du mâle et l’inviter à la fécondation.
Quand elle oublie ses seins, une femme nue est merveilleuse pour nous, car nous
observons les petits mouvements, les gigotements, les tremblements, les imperceptibles
signes du désir par le raidissement des tétons, tous ces ballotements et
tressaillements qui nous font rêver et nous donnent envie de donner douceur, caresses,
baisers, suçotements, de nous retrouver si près de notre petite enfance….
Jean aime donc regarder les seins des femmes ! Il en rate la balle qui lui arrive
dessus et rebondit sur son nez.
- Alors, mon Jean, dans la lune, ou encore plongé dans de coquines pensées ?
- Les pensées bien sûr, je regardais les seins d’Anne se soulever et redescendre
en tapant la balle.
- Je le savais, tu es incorrigible.
Les amis jouent encore un peu, puis retournent dans leur petit coin abrité, se sécher,
boire un peu, puis s’allongent mollement sur leurs serviettes. Ils s’assoupissent un
peu, bercés par le bruit des vagues.
Puis Louis recommence à masser le dos d’Anne, et rapidement il va à nouveau vers son
entrejambe. Anne encore une fois écarte les jambes pour laisser l’accès aux doigts
agiles de son mari.
Papillon qui entend Anne glousser ouvre un œil, et réclame à Jean un traitement
similaire, la moiteur de sa chatte étant manifeste. Louis propose de bander les yeux
des filles pour qu’elles ne voient pas qui les caresse.
Et hop, les doigts à nouveau excitent ces femmes si promptes à s’enflammer.
Louis fait un clin d’œil à Jean, et lui montre le rocher sur leur gauche. Jean
aperçoit les deux garçons que Louis avait abordés. Ils s’approchent, l’air hésitant,
mais on distingue une barre dans leur caleçon.
Louis leur fait signe de se taire.
- Bon les filles, on va bientôt vous baiser en levrette, Jean et moi, il faudra
deviner qui vous enfile. Mettez-vous en position, on va vous lécher encore un peu puis
on s’introduira d’un coup.
- Mmm, enfin, dit Anne, j’ai envie d’un bon gourdin !
Les filles se positionnent. Les deux invités ont ôté leur slip, et se branlent en
matant ces deux cochonnes qui se font masser leur moule par leurs maris.
Jean leur tend une capote à chacun, et une fois prêts, il les positionne chacun devant
une chatte ouverte, et leur fait signe d’y aller.
Les deux membres s’introduisent d’un coup, en même temps, à fond, et les deux femmes
laissent échapper un cri de surprise et de contentement.
Elles se font labourer par les jeunes, excités.
- Ahhaaahha, je crois que j’ai Louis en moi, dit Papillon.
- Mmm oooooo, non je crois que c’est moi rétorque Anne.
- Ouuuummmmff, je reconnais pourtant bien son membre large répond Papillon
- Moi aussi, je le reconnais, ça ne peut pas être Jean, je ééééé… le sais bien
- J’ai moins l’haaaaaaaaaaabitude que toi, mais je suis sûre aussi que ce n’est
pas Jean
- Dites, les gars, si vous nous disiez qui est avec Louis, et qui avec Jean ?
Louis répond
- Vous donnez votre langue au chat ? Alors ouvrez la bouche en grand !
Les deux hommes ont fait le tour des filles, et dès qu’elles ouvrent la bouche, Louis
s’enfourne dans Anne et Jean dans Papillon.
Les deux filles sont trop surprises pour réagir, et elles sucent ces queues tout en
constatant que l’on continue à leur bourrer la chatte.
Enfin, Papillon reprend son souffle.
- Salauds, on pouvait débattre longtemps ! Et si vous enleviez nos bandeaux, que
l’on puisse apprécier le minois de ces deux biens membrés que vous avez invités à nous
prendre en douce.
- Bonjour mesdames, disent en chœur les deux garçons, et l’un continue : merci
pour ce plaisir de pouvoir coulisser dans vos intimités aussi librement. Vos maris
sont très sympathiques de vous partager ainsi, et vous, de vrais déesses. Vos culs
rebondis sont de toute beauté, et si nous osions, nous irions bien dans vos oignons.
- Faites messieurs, faites, répond Anne, il me tarde d’être enculée, et votre
raideur dans mon con me laisse augurer de beaucoup de joie dans mon cul. Et toi
Papillon ?
- Mais de même très chère, de même ! Allons, jeunes gaillards, foutez-nous le
cul, derechef !
Et les membres s’enfoncent dans les anus palpitants, pendant que Jean et Louis passent
d’une bouche à l’autre.
Jean est le premier à craquer. Les cris des femmes, les ahanements des garçons, la
vision de la queue de Louis dans la bouche de Papillon, tout cela lui a enflammé la
tête, et il envoie un gros jet sur le visage d’Anne, qui récolte autant de sperme que
possible pour s’en délecter.
Le gars qui encule Papillon part en second et, enlevant le préservatif, balance sa
sauce sur ses fesses en grognant. Louis et le quatrième partent en même temps, l’un
dans la bouche de Papillon, l’autre au fond du cul d’Anne, duquel coule bientôt un
petit filet de semence que le garçon s’empresse de recueillir en s’agenouillant,
empoignant les fesses d’Anne en signe de remerciement.
- Bien, voila qui ouvre l’appétit, dit Anne, si nous rentrions déjeuner ? Jeunes
hommes, n’avez-vous pas des amies qui se joindraient à nous pour un repas convivial ?
- Euh, peut-être, mais je ne sais pas si elles sont aussi libérées que vous.
- Amenez-les, on verra bien, dit Papillon, et on ne leur fera rien qu’elles
n’aient envie de faire, soyez-en sûrs, et nous ne leur raconterons pas tous les
détails de notre rencontre. En tout cas pas tout de suite !
Louis leur donne l’adresse de la maison, convient qu’ils se rejoignent d’ici une
heure, et chacun part de son côté.
- Pourquoi les as-tu invités à déjeuner demande Jean ?
- Mmmm, j’ai vraiment apprécié la queue du mien, mais j’avais envie de tester
celle de l’autre, que Papillon a eu l’air de trouver à son goût. Et puis, s’ils ont
des copines, vous n’allez pas vous plaindre !
- Pas du tout, pas du tout, merci de ton attention ma chérie, j’apprécie
beaucoup !
- Allons nous reposer un peu avant la prochaine séquence, qui je le sens, va
être un peu folle lance Papillon.
Et chacun se pose dans un coin, au calme, laissant retomber l’excitation de la
matinée, mais fantasmant déjà sur l’après midi…….
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