L'EDUCATION DE PAPILLON - Episode 5
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'EDUCATION DE PAPILLON - Episode 5
(Encore merci pour ves commentaires sympas, voici la suite . Papillon vient d'avoir un
rêve puissamment érotique Elle se réveille......)
Papillon se réveille de bon matin. Quelques souvenirs de son rêve parviennent à sa
conscience, et elle sourit, heureuse.
La journée qui s'annonce est chargée. Elle passera à son bureau ce matin régler
quelques questions administratives, puis elle ira déjeuner chez une de ses amies avec
qui elle monte un projet en Afrique.
C'est une nouvelle connaissance, rencontrée récemment chez des amis communs lors d'un
dîner.
Assises côte à côte, elles ont pu échanger au cours du repas, et ont découvert une
passion commune pour l'aide au développement des pays en difficulté. Awa est d'origine
malienne, et cela rappelle à Papillon sa jeunesse au Sénégal proche. Awa est arrivée
en France vers vingt ans, âge auquel Papillon est revenue pour poursuivre ses études.
Elles ont quasiment le même âge et se sont rendu compte de leur goût commun pour des
groupes de musique, des auteurs, des films.
Awa est célibataire, sans enfant, "n'ayant jamais trouvé le temps de garder un amant
suffisamment pour que l'envie de faire un enfant se concrétise", dit-elle.
Elles ont vite sympathisé, et après quelques sorties ensemble au théâtre ou au cinéma,
elles ont eu cette idée de soutenir un village au Mali ou Awa a conservé des liens
très forts. L'idée est de creuser un puits et d'y installer une pompe pour faciliter à
la fois la vie des femmes et permettre un début d'irrigation des cultures vivrières.
Au cours de leurs sorties, elles ont aussi fait du shopping, et ont découvert leur
attirance partagée pour la lingerie. Sans en avoir trop parlé, elles ont compris que
la sensualité est une composante de leurs vies respectives.
Aujourd'hui, il fait chaud et Papillon a mis un chemisier jaune léger et une jupe en
coton qui lui arrive aux genoux. Elle marche dans la rue et s'amuse du vent fripon qui
la soulève parfois. Elle aperçoit le regard de convoitise des hommes qu'elle croise
dans ces instants, et leur sourit, complice mais distante pour éviter toute
sollicitation.
Arrivée dans son bureau, la séquence avec M. PONCE lui revient et encore elle sourit à
ce souvenir. Elle s'assoit et note sur une feuille quelques idées pour le lendemain
soir, pour ne pas être prise au dépourvu. Professionnelle avant tout. Puis elle se
plonge dans ses dossiers.
En fin de matinée, elle rejoint Awa, qui a préparé un repas de salade et de fruits,
vite avalé.
Elle passe au salon ou son amie apporte un café. Elles parlent de leur projet,
échafaudent des objectifs, réfléchissent aux contacts à prendre, évaluent les chances
de succès de telle ou telle opération, s'interrogent sur leurs motivations, sur les
moyens à mettre en œuvre, sur la logistique possible.
Souvent, elles rient d'avoir la même idée ensemble, parfois elles affichent des points
de vue différents et partent dans des argumentations réciproques dont elles finissent
toujours par faire émerger une idée nouvelle qui répond à leurs deux visions.
Elles sont à côté l'une de l'autre sur le canapé, une table basse devant elles où ont
posé des fiches et un grand cahier sur lequel elles notent leurs idées.
Quand Awa se penche pour écrire, son corsage baille et laisse voir à Papillon ses
seins, pris dans un soutien-gorge blanc en dentelle. Le contraste avec la peau noire
est très beau, et depuis deux heures qu'elles parlent, Papillon a pu, du coin de
l'œil, admirer plusieurs fois son amie.
Elle est émoustillée, et si elle n'a jamais eu de relations avec une femme, elle
ressent pour la première fois un intérêt. Elle prétexte qu'il fait chaud pour demander
à Awa un peu d'eau et pendant que celle-ci part en chercher dans la cuisine, elle
admire la croupe qui bouge devant ses yeux tout en dégrafant deux boutons de son
propre chemisier.
Awa revient et se rend compte du changement chez Papillon. Elle sourit intérieurement
mais ne dit rien. C'est à son tour de regarder la poitrine de Papillon quand elle se
penche, et Awa, déjà initiée aux jeux lesbiens, ne peut s'empêcher de laisser son
imagination vagabonder. Elle sent même une légère humidité pointer en elle.
A ce jeu, la tension érotique monte peu à peu entre les deux femmes, mais aucune ne
veut faire un geste équivoque, ou non équivoque plutôt. Awa est une grande femme, au
nez fin, au bassin assez étroit, et elle a des seins assez gros encore fermes qui sont
presque un peu disproportionnés d'avec le reste du corps. Elancée, Awa a les jambes
fines, et elle en laisse une sortir par la fente de sa longue jupe, ce qui ne laisse
pas Papillon insensible.
Papillon se dit :"Mais je suis en rut en ce moment, il doit y avoir une lune ou un
astre qui attise mon désir !". Elle hésite à franchir le pas, elle se sentirait
tellement ridicule si Awa ne répondait pas. Pourtant il lui semble bien que celle-ci
n'est pas farouche sur ce plan-là, mais comment en être sûre ?
Alors elle continue, troublée mais prudente.
Awa sent que c'est à elle de faire le premier pas. Elle attend le bon moment.
Elles continuent à parler de leur projet. Awa décide de faire un jus d'orange frais.
En pressant le fruit, elle se débrouille pour qu'un peu de jus gicle sur le visage de
Papillon. Elle prend alors un mouchoir, en s'excusant, et, se rapprochant de son
amie, vient lui essuyer la joue d'une caresse. Papillon se tourne vers elle pour la
remercier et à cet instant, Awa tend ses lèvres et lui pose un baiser au coin des
lèvres. Papillon ne se recule pas, et Awa pousse son avantage, lui prend le visage
dans les mains et l'embrasse sur la bouche, présentant sa langue au bord des lèvres.
C'est l'instant de vérité. Papillon entrouvre ses lèvres, et accueille le baiser
d'Awa. Bientôt, elle le lui rend et leurs langues s'emmêlent, leurs salives se
confondent, leurs bouches se scellent.
La tension accumulée dans l'après-midi se libère.
Papillon dit : "Je n'ai jamais embrassé une femme, tu es la première"
-" J'aime les femmes autant que les hommes" répond Awa," je vais te montrer quel
plaisir on peut se donner entre filles".
-" Je veux te connaître, apprends-moi" dit Papillon.
Alors Awa très doucement dégrafe un à un les boutons du chemisier de Papillon, et les
deux globes sont libérés ensuite de leur soutien-gorge". Papillon se laisse faire,
émue, et quand Awa prend ses seins en main pour les soupeser, puis pose un doigt sur
les aréoles et en fait le tour lentement, les pointes se dressent. Papillon se laisse
aller à ces frôlements, apprécie la douceur des doigts d'Awa.
Puis elle ressent le désir de faire de même, et libère les seins d'Awa. Elle les
touche, en apprécie la texture douce, met sa main sur les tétons qui se dressent
aussi. Elle admire cette poitrine opulente, lourde, et qui paraît soyeuse. Elles
s'embrassent longuement en se palpant les mamelons, heureuses de partager une nouvelle
complicité.
Awa emmène Papillon dans sa chambre, l'allonge sur le lit, s'allonge à côté, lui
remonte la jupe, et lui masse lentement le mont de Vénus. Elle passe lentement sur sa
culotte qui commence à être humide, descend jusqu'au bord de l'anus et remonte
lentement. Elle s'applique à passer très légèrement, pour faire naître le désir plus
encore, tout en embrassant Papillon.
Ces caresses excitent celle-ci, qui découvre la sensation d'une main féminine sur son
intimité.
Awa soulève le bord de la culotte, et son doigt touche maintenant la fente de
Papillon, qui apprécie le contact. Quand elle touche son clitoris, Papillon a un petit
sursaut tant l'excitation la gagne.
Elle tente à son tour d'atteindre la vulve d'Awa, et rencontre sa toison frisée, un
peu rêche et courte. "Je touche une femme" pense-t-elle en s'abandonnant à cette
découverte.
Les doigts se font doux, allant et venant sur le sillon, passant sur la peau du creux
des jambes, revenant, montant sur le clitoris avant de reprendre le chemin de la ligne
du sexe, écartant peu à peu les petites lèvres gorgées de cyprine, s'insinuant plus
avant dans cet inconnu de l'autre.
Awa n'est pas en reste, qui a inséré un doigt, puis deux dans le con de Papillon. Elle
la branle lentement, d'un mouvement alternant avec des caresses du clitoris à l'anus,
puis revenant dans le puits d'amour de sa nouvelle conquête.
Papillon jouit brusquement. Montée du fond de son corps, une vague de plaisir la
submerge sans qu'elle s'y attende. Elle crie son plaisir, elle jouit de cette
nouveauté, elle exulte de se sentir si bien entre les mains d'une femme.
Awa, excitée, se laisse caresser aussi, mais plus expérimentée des plaisirs saphiques,
elle retient sa jouissance. Elle veut tout donner à Papillon, d'abord.
Elle pose sa tête sur le sexe de son amante et lui gobe le clitoris, l'aspirant, le
repoussant de la langue, l'aspirant de nouveau fortement, le sexe alentour aspiré lui
aussi.
Papillon se sent défaillir. Personne ne lui avait jamais gobé son sexe ainsi. Elle
tremble sous l'assaut de son amante, et enfin jouit de nouveau, ses chairs gonflées,
s'évanouissant presque.
-"Ma belle, c'est doux et fort ta caresse, laisse-moi essayer avec toi"
Elle se positionne et pour la première fois de sa vie, vois une chatte de près.
L'odeur musquée qui s'en dégage l'attire, et sa langue à son tour vient prodiguer un
va et vient langoureux sur la fente d'Awa. Cette peau noire qui luit attire Papillon,
un peu malhabile au début. Mais rapidement elle ressent ce qui donne du plaisir, et se
concentre sur ce sexe offert, léchant, titillant, mordillant, puis gobant le gros
clitoris dressé d'Awa, qui finit par jouir en lâchant un gros flux de jus de
jouissance.
Les deux amies sont apaisées et se blottissent dans les bras de l'autre.
-"Tu verras, ma chérie, nous aurons l'occasion de découvrir nos limites ensemble. J'ai
hâte d'avoir une nouvelle séance de travail avec toi" lui susurre Awa.
Elles se lèvent, se rhabillent, et après un dernier baiser profond, Papillon reprend
le chemin de chez elle, encore pleine de la douceur de cet échange et le corps
profondément serein.
Et tout à coup, elle pense à la secrétaire de son compagnon. 'Voilà une première
expérience qui me sera utile prochainement, quand je m'attaquerai à cette jeune qui
semble tant plaire à Jean".
-"Mais tout d'abord, demain, je m'occupe de M. PONCE" se dit-elle, et ses yeux
brillent à l'idée des tourments qu'elle va lui infliger. "Je vais faire quelques
courses" et elle profite d'être loin de son quartier pour fait un saut dans un sex-
shop.
Chez elle, en arrivant, elle fait couler un bain bien chaud, et s'y enfoui avec
bonheur, laissant ses doigts parcourir sa toison en se remémorant celle d'Awa. Son
doigt court à nouveau sur sa fente et l'excite. Elle attrape son gode de salle de
bain, et se prodigue un dernier plaisir en se l'enfonçant dans le cul. Elle adore
s'enculer ainsi, rapidement, sans chichi, juste pour se sentir pénétrée. Elle s'encule
tout en se branlant le clitoris, et elle jouit bruyamment, seule avec son plaisir,
seule avec cette envie insatiable de sexe qui l'a prise depuis hier soir, seule avec
elle-même et son désir de se posséder, de se découvrir, de s'aimer.
rêve puissamment érotique Elle se réveille......)
Papillon se réveille de bon matin. Quelques souvenirs de son rêve parviennent à sa
conscience, et elle sourit, heureuse.
La journée qui s'annonce est chargée. Elle passera à son bureau ce matin régler
quelques questions administratives, puis elle ira déjeuner chez une de ses amies avec
qui elle monte un projet en Afrique.
C'est une nouvelle connaissance, rencontrée récemment chez des amis communs lors d'un
dîner.
Assises côte à côte, elles ont pu échanger au cours du repas, et ont découvert une
passion commune pour l'aide au développement des pays en difficulté. Awa est d'origine
malienne, et cela rappelle à Papillon sa jeunesse au Sénégal proche. Awa est arrivée
en France vers vingt ans, âge auquel Papillon est revenue pour poursuivre ses études.
Elles ont quasiment le même âge et se sont rendu compte de leur goût commun pour des
groupes de musique, des auteurs, des films.
Awa est célibataire, sans enfant, "n'ayant jamais trouvé le temps de garder un amant
suffisamment pour que l'envie de faire un enfant se concrétise", dit-elle.
Elles ont vite sympathisé, et après quelques sorties ensemble au théâtre ou au cinéma,
elles ont eu cette idée de soutenir un village au Mali ou Awa a conservé des liens
très forts. L'idée est de creuser un puits et d'y installer une pompe pour faciliter à
la fois la vie des femmes et permettre un début d'irrigation des cultures vivrières.
Au cours de leurs sorties, elles ont aussi fait du shopping, et ont découvert leur
attirance partagée pour la lingerie. Sans en avoir trop parlé, elles ont compris que
la sensualité est une composante de leurs vies respectives.
Aujourd'hui, il fait chaud et Papillon a mis un chemisier jaune léger et une jupe en
coton qui lui arrive aux genoux. Elle marche dans la rue et s'amuse du vent fripon qui
la soulève parfois. Elle aperçoit le regard de convoitise des hommes qu'elle croise
dans ces instants, et leur sourit, complice mais distante pour éviter toute
sollicitation.
Arrivée dans son bureau, la séquence avec M. PONCE lui revient et encore elle sourit à
ce souvenir. Elle s'assoit et note sur une feuille quelques idées pour le lendemain
soir, pour ne pas être prise au dépourvu. Professionnelle avant tout. Puis elle se
plonge dans ses dossiers.
En fin de matinée, elle rejoint Awa, qui a préparé un repas de salade et de fruits,
vite avalé.
Elle passe au salon ou son amie apporte un café. Elles parlent de leur projet,
échafaudent des objectifs, réfléchissent aux contacts à prendre, évaluent les chances
de succès de telle ou telle opération, s'interrogent sur leurs motivations, sur les
moyens à mettre en œuvre, sur la logistique possible.
Souvent, elles rient d'avoir la même idée ensemble, parfois elles affichent des points
de vue différents et partent dans des argumentations réciproques dont elles finissent
toujours par faire émerger une idée nouvelle qui répond à leurs deux visions.
Elles sont à côté l'une de l'autre sur le canapé, une table basse devant elles où ont
posé des fiches et un grand cahier sur lequel elles notent leurs idées.
Quand Awa se penche pour écrire, son corsage baille et laisse voir à Papillon ses
seins, pris dans un soutien-gorge blanc en dentelle. Le contraste avec la peau noire
est très beau, et depuis deux heures qu'elles parlent, Papillon a pu, du coin de
l'œil, admirer plusieurs fois son amie.
Elle est émoustillée, et si elle n'a jamais eu de relations avec une femme, elle
ressent pour la première fois un intérêt. Elle prétexte qu'il fait chaud pour demander
à Awa un peu d'eau et pendant que celle-ci part en chercher dans la cuisine, elle
admire la croupe qui bouge devant ses yeux tout en dégrafant deux boutons de son
propre chemisier.
Awa revient et se rend compte du changement chez Papillon. Elle sourit intérieurement
mais ne dit rien. C'est à son tour de regarder la poitrine de Papillon quand elle se
penche, et Awa, déjà initiée aux jeux lesbiens, ne peut s'empêcher de laisser son
imagination vagabonder. Elle sent même une légère humidité pointer en elle.
A ce jeu, la tension érotique monte peu à peu entre les deux femmes, mais aucune ne
veut faire un geste équivoque, ou non équivoque plutôt. Awa est une grande femme, au
nez fin, au bassin assez étroit, et elle a des seins assez gros encore fermes qui sont
presque un peu disproportionnés d'avec le reste du corps. Elancée, Awa a les jambes
fines, et elle en laisse une sortir par la fente de sa longue jupe, ce qui ne laisse
pas Papillon insensible.
Papillon se dit :"Mais je suis en rut en ce moment, il doit y avoir une lune ou un
astre qui attise mon désir !". Elle hésite à franchir le pas, elle se sentirait
tellement ridicule si Awa ne répondait pas. Pourtant il lui semble bien que celle-ci
n'est pas farouche sur ce plan-là, mais comment en être sûre ?
Alors elle continue, troublée mais prudente.
Awa sent que c'est à elle de faire le premier pas. Elle attend le bon moment.
Elles continuent à parler de leur projet. Awa décide de faire un jus d'orange frais.
En pressant le fruit, elle se débrouille pour qu'un peu de jus gicle sur le visage de
Papillon. Elle prend alors un mouchoir, en s'excusant, et, se rapprochant de son
amie, vient lui essuyer la joue d'une caresse. Papillon se tourne vers elle pour la
remercier et à cet instant, Awa tend ses lèvres et lui pose un baiser au coin des
lèvres. Papillon ne se recule pas, et Awa pousse son avantage, lui prend le visage
dans les mains et l'embrasse sur la bouche, présentant sa langue au bord des lèvres.
C'est l'instant de vérité. Papillon entrouvre ses lèvres, et accueille le baiser
d'Awa. Bientôt, elle le lui rend et leurs langues s'emmêlent, leurs salives se
confondent, leurs bouches se scellent.
La tension accumulée dans l'après-midi se libère.
Papillon dit : "Je n'ai jamais embrassé une femme, tu es la première"
-" J'aime les femmes autant que les hommes" répond Awa," je vais te montrer quel
plaisir on peut se donner entre filles".
-" Je veux te connaître, apprends-moi" dit Papillon.
Alors Awa très doucement dégrafe un à un les boutons du chemisier de Papillon, et les
deux globes sont libérés ensuite de leur soutien-gorge". Papillon se laisse faire,
émue, et quand Awa prend ses seins en main pour les soupeser, puis pose un doigt sur
les aréoles et en fait le tour lentement, les pointes se dressent. Papillon se laisse
aller à ces frôlements, apprécie la douceur des doigts d'Awa.
Puis elle ressent le désir de faire de même, et libère les seins d'Awa. Elle les
touche, en apprécie la texture douce, met sa main sur les tétons qui se dressent
aussi. Elle admire cette poitrine opulente, lourde, et qui paraît soyeuse. Elles
s'embrassent longuement en se palpant les mamelons, heureuses de partager une nouvelle
complicité.
Awa emmène Papillon dans sa chambre, l'allonge sur le lit, s'allonge à côté, lui
remonte la jupe, et lui masse lentement le mont de Vénus. Elle passe lentement sur sa
culotte qui commence à être humide, descend jusqu'au bord de l'anus et remonte
lentement. Elle s'applique à passer très légèrement, pour faire naître le désir plus
encore, tout en embrassant Papillon.
Ces caresses excitent celle-ci, qui découvre la sensation d'une main féminine sur son
intimité.
Awa soulève le bord de la culotte, et son doigt touche maintenant la fente de
Papillon, qui apprécie le contact. Quand elle touche son clitoris, Papillon a un petit
sursaut tant l'excitation la gagne.
Elle tente à son tour d'atteindre la vulve d'Awa, et rencontre sa toison frisée, un
peu rêche et courte. "Je touche une femme" pense-t-elle en s'abandonnant à cette
découverte.
Les doigts se font doux, allant et venant sur le sillon, passant sur la peau du creux
des jambes, revenant, montant sur le clitoris avant de reprendre le chemin de la ligne
du sexe, écartant peu à peu les petites lèvres gorgées de cyprine, s'insinuant plus
avant dans cet inconnu de l'autre.
Awa n'est pas en reste, qui a inséré un doigt, puis deux dans le con de Papillon. Elle
la branle lentement, d'un mouvement alternant avec des caresses du clitoris à l'anus,
puis revenant dans le puits d'amour de sa nouvelle conquête.
Papillon jouit brusquement. Montée du fond de son corps, une vague de plaisir la
submerge sans qu'elle s'y attende. Elle crie son plaisir, elle jouit de cette
nouveauté, elle exulte de se sentir si bien entre les mains d'une femme.
Awa, excitée, se laisse caresser aussi, mais plus expérimentée des plaisirs saphiques,
elle retient sa jouissance. Elle veut tout donner à Papillon, d'abord.
Elle pose sa tête sur le sexe de son amante et lui gobe le clitoris, l'aspirant, le
repoussant de la langue, l'aspirant de nouveau fortement, le sexe alentour aspiré lui
aussi.
Papillon se sent défaillir. Personne ne lui avait jamais gobé son sexe ainsi. Elle
tremble sous l'assaut de son amante, et enfin jouit de nouveau, ses chairs gonflées,
s'évanouissant presque.
-"Ma belle, c'est doux et fort ta caresse, laisse-moi essayer avec toi"
Elle se positionne et pour la première fois de sa vie, vois une chatte de près.
L'odeur musquée qui s'en dégage l'attire, et sa langue à son tour vient prodiguer un
va et vient langoureux sur la fente d'Awa. Cette peau noire qui luit attire Papillon,
un peu malhabile au début. Mais rapidement elle ressent ce qui donne du plaisir, et se
concentre sur ce sexe offert, léchant, titillant, mordillant, puis gobant le gros
clitoris dressé d'Awa, qui finit par jouir en lâchant un gros flux de jus de
jouissance.
Les deux amies sont apaisées et se blottissent dans les bras de l'autre.
-"Tu verras, ma chérie, nous aurons l'occasion de découvrir nos limites ensemble. J'ai
hâte d'avoir une nouvelle séance de travail avec toi" lui susurre Awa.
Elles se lèvent, se rhabillent, et après un dernier baiser profond, Papillon reprend
le chemin de chez elle, encore pleine de la douceur de cet échange et le corps
profondément serein.
Et tout à coup, elle pense à la secrétaire de son compagnon. 'Voilà une première
expérience qui me sera utile prochainement, quand je m'attaquerai à cette jeune qui
semble tant plaire à Jean".
-"Mais tout d'abord, demain, je m'occupe de M. PONCE" se dit-elle, et ses yeux
brillent à l'idée des tourments qu'elle va lui infliger. "Je vais faire quelques
courses" et elle profite d'être loin de son quartier pour fait un saut dans un sex-
shop.
Chez elle, en arrivant, elle fait couler un bain bien chaud, et s'y enfoui avec
bonheur, laissant ses doigts parcourir sa toison en se remémorant celle d'Awa. Son
doigt court à nouveau sur sa fente et l'excite. Elle attrape son gode de salle de
bain, et se prodigue un dernier plaisir en se l'enfonçant dans le cul. Elle adore
s'enculer ainsi, rapidement, sans chichi, juste pour se sentir pénétrée. Elle s'encule
tout en se branlant le clitoris, et elle jouit bruyamment, seule avec son plaisir,
seule avec cette envie insatiable de sexe qui l'a prise depuis hier soir, seule avec
elle-même et son désir de se posséder, de se découvrir, de s'aimer.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant. Mais surtout, très belle écriture, maîtrisée, suggestive. Et pas de faute d'orthographe ! Bref, l'harmonie heureuse et jouissive. Ne vous arrêtez pas d'écrire, svp, pour notre plus grand plaisir !
merveilleux récit... Que de souvenirs pour moi, j'en suis en rut !
Lise
Lise
j'adore!!! continue!!!
Hmmm... Tout simplement délicieux comme d'habitude !