L’Hôtel de la plage (2) - histoire érotique

Aurélien
Je me réveille. Je sens sa main dans ma raie poilue. J'ai fait des rêves que j'oublie aussi vite mais dont je sais qu'ils étaient érotiques. Je bande à fond en me réveillant comme tous les matins. Les souvenirs de la soirée d'hier me reviennent et cette courte nuit. J'ai demandé à Julien de rester dormir avec moi après avoir fait l'amour avec lui pendant des heures. Je me souviens...

...Hier j'avais furieusement envie d'un mec, comme un animal qui ne pourrait pas penser à autre chose tant qu'il n'aurait pas assouvi son désir. Il faisait chaud, je ne tenais pas en place. J'hésitais à sortir...et puis j'ai choisi de chasser sur un de mes sites internet favoris. Je relis mon profil pour vérifier qu'il puisse motiver des mecs dans mes critères. Plusieurs touches...rien de concluant pour tout de suite...et puis premier contact avec Julien qui m'envoie sa photo tout de suite. Je suis séduit. Envie de lui....d'autres photos...il est bandant....finement musclé et poilu....la conversation s'engage...il écrit bien, drôle dans ses réponses...un peu ironique mais je sens aussi son désir exacerbé... Nous n'aurons pas besoin de longs échanges avant que je lui donne mon adresse.... Rendez-vous pris pour 19H00.... Je range mon studio rapidement...je bande dans mon caleçon en l'imaginant....j'ai l'impression de le connaitre un peu et aussi pas du tout. C'est ce qui m'amuse dans ce genre de rencontres... Le jeu, la surprise....la déception parfois....le plaisir fou qui vous cueille presque par hasard... Certains jours je suis prêt à tomber amoureux....il faut que je me contrôle....ce n'est pas l'objectif de ces rencontres éphémères mais pourtant tout peu commencer aussi ainsi.

Il monte dans la cage d'escalier de mon immeuble, j'entends ses pas sur le pallier....je lui ouvre.... Il est là en face de moi, beau comme un ange....cheveux blond foncé et des yeux bleu couleur du ciel. Barbe de trois jours... Polo qui moule son torse musclé....jean et sneakers Nike...
- Entre- Bonsoir AurélienJe n'hésite pas et colle mes lèvres sur les siennes. Il ouvre la bouche et m'embrasse, divinement. Long baiser puis la suite est logique. Pas de temps à perdre....le désir est trop fort...je vire mon t-shirt et mon caleçon....il se déshabille, adroit, pressé et quand ses doigts se posent sous l'élastique de son caleçon pour le faire glisser le long de ses cuisses poilues il plonge ses yeux dans les miens. Bientôt nu je vois sa queue se dresser à l'horizontale dès que le tissu noir la libère. Beau pénis puissant aux veines apparentes....prépuce qui appelle les jeux de langue...une goutte de lubrifiant perle dans les ultimes replis de la peau protectrice.

Nous nous étreignons, sans nous connaitre nous savons que nous avons envie....besoin presque...l'un de l'autre....maintenant...tout de suite... Je suis bien serré entre ses bras fermes et mon pénis écrasé contre la dureté du sien...nous nous frottons l'un à l'autre et nos deux queues s'amusent à retrousser le prépuce de l'autre. Nos mains sont occupées à nous caresser, le visage, le torse, le cul....il a des fesses poilues d'une infinie douceur....je m'imagine déjà en train d'y plonger ma langue.

Nous allons directement dans ma chambre. Souvent je préfère accueillir mes rencontres d'un soir dans le salon...lieu plus neutre et moins intime. Mais lui je le veux dans mes draps....là où mon corps jouit.... Nous nous embrassons avec passion...il me suce....je le suce...69 parfait....qui se prolonge avec ma langue qui fait connaissance avec son doux anus velu pendant que la sienne explore symétriquement mon trou avide.... Les minutes passent...ce sont maintenant des heures....corps trempés de sueur, de salive abandonnée par nos langues affamées...de precum lâché sous l'effet d'une excitation presque hors de contrôle. Quand ma langue s'est presque usée contre la douce fourrure qui habille son trou qui m'attire comme un aimant et la sienne brûlée contre ma toison anale nous savons qu'il est temps...soit de nous effondrer...ou de nous endormir....ou de nous offrir l'un à l'autre. Ma queue est prête, dure, protégée et lubrifiée, juste en face de l'orifice magique dans lequel je m'enfonce. C'est serré...il a une expression de douleur fugace...bientôt remplacée par un sourire qui me charme profondément. J'avance....je sens chaque millimètre du tunnel brulant sur mon sexe....l'anneau...je passe....c'est doux...chaud....ferme sur moi.... Il m'arrête en posant ses mains sur mes cuisses...comme si il avait accueilli la longueur maximal qu'il puisse supporter.... Il respire à fond, me regarde dans les yeux...sourit....enlève ses mains qui bloquaient mes cuisses et je comprends que je peux poursuivre mon voyage dans sa rondelle offerte. Mon pubis taillé court fait connaissance avec la douce toison de son cul bandant.
Je suis en lui...totalement...et je jouis cérébralement de ce bonheur intense. Je le lime....doucement....puis plus énergiquement....les bras appuyé de chaque coté de son corps qui me trouble. J'aime le contact de ses jambes sur mes épaules...et ses yeux clairs qui se perdent dans les miens. Quand je sens le plaisir approcher trop dangereusement je décide de me retirer. Je me penche à son oreille :- prends moiIl sourit. Je dégage ma queue de son anus parfait, à moitié à regret et à moitié fou d'un autre désir....le sentir en moi et lui offrir mon intimité sans retenue comme il vient de le faire pour moi. Un peu fatigué par mes efforts dans sa chatte je m'allonge sur le coté. Il vient derrière moi, passe une main entre mes cuisses pour soulever ma jambe et se faciliter le passage jusqu'à mon trou. Je sens son gland contre mon anus....je m'ouvre mentalement....il entre....s'enfonce....c'est l'extase....et son gros sexe me remplit sans me faire mal.... Je sens ses cuisses trempées contre les miennes....nous brûlons....nous fondons...mais rien ne nous arrêtera.... Tout. Tout son sexe est en moi maintenant que son pubis est collé à mon cul en feu. D'abord immobile il bouge imperceptiblement. Comme si il vibrait en moi. Un baiseur de rêve. Puis l'énergie....le flux de sa queue qui rentre....sort presque....s'enfonce à nouveau....et je ne suis plus que cet antre envahi qui jouit juste de l'idée de l'accueillir, lui, l'inconnu de la nuit qui est pourtant le centre de mon monde cette nuit.
Il m'amène au bord du plaisir...Il accélère...hésite....il continue....il jouit....il arrête....c'est partie remise....mais nous sommes épuisés, enragés, fous. Il décide de se retirer. Je me sens vide et pourtant encore totalement rempli de lui. Je me retourne pour lui faire face. Nous nous embrassons. Je sais qu'il ne tient plus....pas plus que moi....nous devons nous offrir la libération ultime. Nous retrouvons notre 69 de tout à l'heure.....tacitement chacun sait qu'il attend la jouissance de l'autre. Je sens les crispations de ses jambes...les contractions de ses fesses qui annoncent la montée du jus fertile. Il est à l'écoute de mes propres spasmes... Ce sera ensemble....
Quand je sens les barrières céder....il enfonce ma queue plus profond encore au fond de sa gorge....je fais la même chose....dernier gonflement entre mes lèvres et le flot arrive....chaud....salé....qui se répand dans ma bouche....comme une asphyxie tant désirée.... Dans sa bouche mon gland explose de bonheur, je me vide....des jets interminables me semble-t-il qui me déchirent la conscience. Julien garde ma queue en lui, je reste dur et sa raideur ne faiblit pas entre mes lèvres. Je le suce à nouveau, doucement. Il fait de même, je manque de devenir fou. C'est insupportable...c'est le plaisir ultime....
Puis, vidés, épuisés, repus, abandonnés par nos consciences nous nous allongeons dans les bras l'un de l'autre....une nouvelle éternité passe. Je ne veux pas le quitter. Je murmure :- reste...
- oui.
Plus tard nous irons nous doucher, encore entre deux eaux, ivres. Puis nous nous endormons face à face, front contre front et c'est le rythme enfin apaisé de sa respiration qui me fait sombrer dans le sommeil.

....je reviens à moi. Il me caresse la raie et son doigt est déjà presque dans mon intimité. C'est divin. Je replie ma jambe pour lui faciliter le passage. Il comprend que je ne dors plus et que j'aime le plaisir qu'il me donne. Il m'embrasse dans le cou tout en jouant avec ma rondelle encore comblée du plaisir de la nuit. Tous les souvenirs me reviennent et c'est comme si je pouvais ressentir encore le plaisir de sentir son pénis au fond de moi.
- bonjour Aurélien- Bonjour Julien- merci pour cette nuit...
Ses mots sont doux. Je sens son désir à l'intonation de sa voix et à la façon dont sa queue est dure contre ma cuisse pendant que son doigt me fouille.
Je me retourne. Nos yeux se croisent. Autre lueur dans le regard ce matin. Il est encore plus beau qu'hier.
- il faut que je parte en Bretagne aujourd'hui- Oh !
- je pars en vacances...enfin je vais aider mes parents dans leur hôtel...
- Ah....mais tu vas partir longtemps ?
- tout le mois oui...
Julien a l'air un peu triste.
- Ca va ?
- Oui.....j'avais envie de dormir avec toi la nuit prochaine....
Il me séduit.
- moi aussi j'ai envie- vrai ?
- Oui- mais tu vas m'oublier dès demain....
- non. Je lui caresse le visage. Nous nous embrassons.
- j'ai envie...
- moi aussi.
Nous reprenons nos petits jeux. Je me donne à lui, pas encore tout à fait réveillé. Plus abandonné il me donne d'autres formes de sensations en s'enfonçant au fond de moi. Il est attentif et je sens au fond de moi une forme de générosité et de sensualité communicative. Je suis presque triste de partir en vacances...un moment j'hésite à appeler mes parents pour leur dire que je reporte mon départ...mais ils ont besoin de moi...
Il jouit en moi. C'est encore meilleur qu'hier. Je le prends dans mes bras.
- Julien ?
- Oui....
- je dois prendre la route. Mais.....mais j'ai pas du tout envie de partir...
- moi non plus...
Long baiser. Puis il se lève, va se doucher et se rhabille pendant que je finis de préparer mon sac. Il y a quelque chose de particulier dans l'air. Quelque chose d'inconnu pour moi.
Une fois prêt il s'approche et prend mon visage entre ses mains- Aurélien....si c'était juste cette nuit. Merci, c'était un rêve. Si c'est le début de quelque chose...alors il n'y a plus de mots. J'y vais. Dernier baiser, il claque la porte. Il est parti. Une heure après je prends la route en direction du golfe du Morbihan. J'ai le sang en feu.