Le Garage (25) - histoire érotique

Nous descendons dans l’atelier et, au détour d’un 4X4 Mercédès je reste figé par le spectacle que je découvre. Quatre mecs à poils qui se sucent avidement et pour certains se lèchent le cul, allongés sur une bâche posée sur le sol. Je reconnais Sébastien, qui suce un beau mec dans la quarantaine, bien foutu, qui suce Marco. Marco lui, lèche la rondelle d’un beau petit brun de style italien bien poilu de partout lui aussi, et qui a la bouche pleine de la queue étonnante de Sébastien.

Les quatre mecs poilus, virils et chauds comme la braise forment un carré parfait, les quatre suçant la queue ou le trou de celui avec qui il fait un angle droit.

Je sens ma queue se dresser à la seconde et j’imagine que Paul ne reste pas indifférent non plus à ce spectacle inattendu mais bandant.

Le premier à me voir est celui dont j’apprendrai après qu’il s’appelle Enzo, une vraie petite bombe de sexe avec un cul et une langue d’enfer. J’échange avec lui un regard où se mélange la surprise et le désir.

- Seb !

Sébastien sort la queue de l’autre inconnu d’entre ses lèvres…
- Oui ?
- On a de la visite je crois
Sébastien se retourne et nous voit. Il reconnaît Paul pour l’avoir mâté dans une position assez intime avec ma queue dans la chatte.

Il se met debout, la queue tendue à fond vers moi.

- Euh….patron….. excusez-nous….. on…..

Je décide de finir sa phrase….

- S’amusait un peu après le travail ?
- Euhhhhh- La société de sécurité m’a appelé à cause de l’alarme….
- Ah ? ils vous ont dérangé….on l’aurait mise en partant…- C’est pas grave
Les trois autres hommes en érection se sont mis debout. Le petit italien ne semble pas gêné du tout. L’autre un peu plus, il tente de cacher par réflexe sa queue derrière ses mains croisées mais son érection est trop forte pour cacher quoi que ce soit. J’ai ainsi pu apprécier son beau pénis large et épais. Marco lui est rouge de confusion devant moi. J’admire sa plastique et je me souviens de notre première rencontre.

- Je vous présente Enzo et Julien…. Euhhhh, c’est un peu délicat….ce sont les inspecteurs de police qui sont venus pendant votre voyage en Andalousie….
- Et qu’est-ce qui est délicat ?
- Ben…..si ça se sait….
- Deux inspecteurs de police n’ont pas le droit de s’amuser ?
- Si….bien sur….c’est cool si vous voyez les choses comme ça….
- Sébastien, vous en savez assez pour comprendre que rien de ce qui se passe ici ce soir n’existera encore demain matin.
- D’accord….Euh….merci patron….

Je regarde Paul qui se régale du spectacle des quatre beaux mecs virils et velus, à la fois gênés par la situation et provocants dans leur nudité chargée de sexe et de désir.

- Tu as envie ?
- Oui, envie d’un 69 avec toi- OK, moi aussi
Les quatre hommes nous dévisagent. Nous nous foutons à poil devant eux et je vois Sébastien et Julien qui se masturbent au fur et à mesure que nous ôtons nos costumes de parfaits notables qui ont réussi. Nous leur plaisons et je suis content du frisson que je ressens quand leurs regards se posent sur moi.

Nus et seulement habillés de nos montres, nous nous allongeons sur la bâche et commençons à nous sucer l’un l’autre. J’avais trop envie de la queue de mon amoureux dans ma gorge et lui aussi à l’évidence avait faim de la mienne. D’abord un peu interloqués, surtout quand Paul a retiré le plug de son anus, les quatre mâles reprennent leurs petits jeux là où ils les avaient laissés… Paul se met au-dessus de moi, mon pénis dans la bouche et le sien qui pend entre ses cuisses velues pour venir se frayer un chemin entre mes lèvres. Dans cette position je peux aussi lécher sa petite chatte humide et y entrer un doigt. Il ronronne de plaisir. Nous sommes au comble de l’excitation, parce que nous nous aimons passionnément et aussi parce que l’atmosphère surchargée d’hormones des quatre mâles en rut qui nous entourent nous entraine dans un monde qui flotte entre le rêve et la réalité.

- On jouit les mecs ?

J’entends Sébastien qui semble mener le jeu.

- Le dernier qui fait éjaculer son partenaire a un gage.

J’entends les quatre mecs redoubler d’énergie et, sans quitter la queue de Paul qui s’enfonce dans ma gorge, je comprends que c’est Enzo qui a fait jouir Sébastien en dernier.

Je sens le sexe de Paul se crisper entre mes lèvres pour m’annoncer son éjaculation prochaine.
Je vais aussi tenter de le nourrir encore une fois ce soir. Je me concentre sur lui, notre amour, son corps, ses poils, sa chatte divine et je libère mes dernières réserves. Au même moment son pénis se contracte dans ma gorge et je sens les longs jets chauds de son sperme descendre en moi.

Je suis épuisé. J’attends un peu pour reprendre mon souffle, Paul s’est effondré sur moi, le visage sur mon sexe et sa queue écrasée entre mes lèvres et son pubis.

Une fois un peu remis nous reprenons conscience de l’étrangeté de ce qui nous entoure ce soir dans cet atelier.

Paul se lève et j’en fais autant. Nous sommes face aux quatre autres mecs, eux aussi repus. J’imagine que la soirée a dû être animée.

Sébastien a retrouvé son aisance habituelle.

- Enzo a un gage
Je suis curieux d’en savoir plus
- C’est vous qui décidez Patron. C’est votre garage….
- Ok.

Je regarde Enzo qui me sourit. J’adore ces petits bruns virils qui peuvent se comporter comme de vraies petites salopes quand ils sont motivés… Une idée me traverse l’esprit…
- On va prendre des photos d’Enzo et on va les poster sur le tumblr Nakedcops. C’est une collection de photos de flics à poils assez….inspirante. Si les photos d’Enzo n’ont pas 500 likes au bout d’une semaine, on se retrouve ici pour la punition.

Sébastien a l’air d’aimer l’idée
- Et c’est quoi la punition ?
- On attache Enzo et toute la soirée, interdiction pour lui de sucer, d’être sucé, de baiser ou de se faire baiser. Il n’aura que le droit de nous regarder.

Enzo proteste.

- Oh non pas ça ! Punissez moi plutôt en obligeant chacun de vous 5 à me prendre l’un après l’autre- Arrête Enzo, tout le monde sait que ça ne serait pas une punition. Tu ne demandes que ça…. quand c’est pas les queues deux par deux.

Je suis un peu surpris par la familiarité entre Sébastien et Enzo mais l’ambiance est amicale et bon enfant…si l’on peut dire… Les deux garçons ont l’air de bien s’entendre.

Je sors mon iphone et commence à prendre des photos d’Enzo, dont je m’aperçois qu’il est très photogénique. Son regard brille d’une lueur qui ajoute à sa nudité et aux images provocantes de son corps nu poilu, de son trou et de sa queue offerts. Il va sans aucun doute faire bander facilement l’internaute…
- Je peux voir ?

Enzo, curieux ou inquiet de voir les images de lui qui vont bientôt faire le tour du monde des males amateurs de beaux petits italiens bien chauds ?

- Bien sur, regarde
Enzo se colle à moi, je sens sa queue dure contre ma cuisse pendant qu’il regarde mon iphone avec moi.

- Wouahhh, elles sont bien !
- Tu te plais ?
- Oui, pas mal….
- Je peux les poster alors ?
- Oui. Je prends les paris. 500 coups de cœur avant 8 jours.

Les autres garçons sourient. Je ne sais pas ce qu’il y a dans l’air mais cette complicité entre mecs me plait, je me sens heureux et je suis content que Paul se sente bien aussi.

Sébastien reprend la situation en mains.

- Bon, je pense qu’il est temps d’aller dormir…- OK !

Julien, Marco et Enzo acquiescent et le suivent dans le vestiaire où j’imagine qu’ils vont prendre une douche.

Je reste avec Paul
- Ca va ?
- Oui, ca va.
- Tu es bien ?
- Je suis merveilleusement bien avec toi.
- Je voudrais que nous nous parlions….
- ….oui….moi aussi…- Je tiens beaucoup à toi…- Je sais. Je t’aime…- Demain, on peut se retrouver au lac ?
- Oui. 18H00 ?
- Parfait.
- J’ai envie de toi…
Paul m’embrasse et je fonds littéralement dans ses bras. Nos deux queues se trouvent, toujours dures malgré le programme plus que chargé de la soirée. Nous nous amusons avec nos glands humides qui se frottent l’un à l’autre pour se décalotter.

Sébastien tousse un peu.

- Rmmmmmm
Je décolle mes lèvres de la bouche de Paul et regarde le beau mécanicien douché et habillé.

- Euh….on va y aller patron…- Bien. Bonne soirée Sébastien.
- J….J’voulais vous dire….
- Oui ?
- Euh….enfin…..merci….
- Bonne nuit Sébastien, à demain…
Les trois autres beaux mecs viennent nous saluer et nous restons seuls dans le garage. Nous nous rhabillons en nous caressant partout où le désir nous porte. J’aimerais passer la nuit à poil avec Paul dans cet atelier mais il faut que je le ramène auprès de sa petite famille.

Je mets la concession sous alarme. Nous restons silencieux le temps de faire la route jusqu’à chez lui. Nous nous comprenons sans même nous parler. Il a posé sa main sur ma cuisse et je jouis mentalement et presque physiquement de ce contact. Je le dépose devant chez lui et vais me coucher.