Les aventures de Seb (2)
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de Seb (2)
La nuit suivante je n’ai pas dormi. Trop d’émotions à revivre pour les comprendre pleinement. D’abord avoir osé pour la première fois me mettre nu sur la plage et le plaisir intense que j’ai ressenti toute cette journée. Et puis les corps de ces deux garçons qui me faisaient tellement envie. La vraie vie après des années passées à regarder des images imprimées ou des scènes de films furtives.
Je me lève très tôt, trop excité par les émotions de la veille. Je n’ai pas vraiment envie de me masturber au réveil comme je le fais souvent. Je veux y retourner, revivre les mêmes moments qu’hier et peut-être retrouver ce garçon poilu qui m’a souri et qui m’a fait bander. Personne dans la villa, tous mes copains dorment encore après que chacun aura passé la soirée à droite ou à gauche. Je ne doute pas que les hétéros auront trouvé leur bonheur en boite et nous en parlerons tous ensemble ce soir au diner.
Je retrouve le chemin de la plage sans hésiter cette fois ci et j’arrive au bord de l’eau. Lumière sublime sur la baie, il est sept heures du matin. Le soleil est encore bas et la mer de ce calme particulier des premières heures du jour. Eau limpide et sage en attendant la chaleur d’un dimanche qui promet d’être caniculaire.
Je choisis un emplacement à mi chemin entre le bord de l’eau et le fond de la crique et pose ma serviette. Je m’aperçois qu’il y a déjà un autre mec allongé sur les galets, installé au fond contre les rochers. A cette heure-ci, orientée à l’est, la plage est baignée de soleil. Je le regarde rapidement, plus âgé que moi, la trentaine, assez trapu et musclé, brun, de type espagnol et bien poilu. Il me plait et je sens ma queue commencer à durcir dans mon short. Je ne suis pas encore un naturiste assez entrainé pour maitriser mes émotions.
Je me déshabille face à la mer pour ne pas montrer ma queue raide au bel espagnol dont j’imagine qu’il a les yeux fixés mon cul. J’enlève mon polo, mes Docksides, fait tomber mon short sur mes chevilles. Comme je savais que je n’aurais pas besoin de maillot de bain aujourd’hui je n’ai pas mis de caleçon. J'aime bien sentir mon sexe et mes couilles bouger au bas de mon ventre quand je marche. Je suis nu et j’ai l’impression de sentir le regard de l’autre homme me caresser les fesses. Je n'en bande que plus fort et je m’assieds, face à la mer, les jambes pliées et écartées, ma queue dressée vers le ciel comme pour rendre hommage à un dieu soleil. Curieux j’ai envie de mieux le découvrir et je me tourne pour m’allonger sur le ventre. Appuyé sur mes avant-bras je fais mine de profiter du soleil sur la peau de mon dos. Il est juste dans mon champ de vision. Lui aussi regarde dans ma direction. D’abord allongé de tout son long il se redresse et prend la même position que celle que je viens d’abandonner, assis les jambes repliées, écartées et la queue bien visible entre les cuisses. Je peux admirer ses grosses couilles pendantes qui se posent sur la serviette et son pénis étonnement large, avec un très gros gland qui tend la peau d’un beau prépuce généreux.
Je regarde le fond de la crique mais surtout je le regarde lui. J’ai perdu en une journée toute ma timidité d’hier et je jouis pleinement maintenant du plaisir de mâter ce mec nu à la plage. Il n’est pas gêné par la situation et je vois sa queue recevoir comme des décharges électriques les flots de sang qui la gonflent. Une, deux, cinq, dix et voilà que son sexe s’est dressé, tendu à l’horizontale vers moi. Son gland est énorme et comme prêt à faire craquer l’enveloppe de beau bronzée qui le couvre encore. Pour être plus à l’aise il fait glisser la peau de son prépuce vers la base de sa grosse verge virile d’un geste de la main droite qui provoque immédiatement une nouvelle crispation dans mon pénis déjà tendu à fond, écrasé entre mon ventre et ma serviette de plage.
Il ne s’arrête pas là et commence à se masturber, lentement, en me regardant, comme si mes yeux caressaient son sexe à la place de sa main. Il aime visiblement le plaisir qu’il se donne. Moi je ne sais pas quoi faire. Je suis fasciné par ce porno improbable que je vis en réel ce matin sur cette plage mais je ne sais pas jusqu’où, je peux, ou j’ai envie d’aller.
Soudain sa main abandonne son sexe gonflé, il regarde un point précis en direction de la mer et je vois un couple, un mec et sa nana, traverser la crique qui nous accueille. Je prie inconsciemment le ciel pour qu’ils ne s’installent pas près de nous et je comprends qu’ils préfèrent une autre plage derrière la petite pointe rocheuse. Le cap tombe dans la mer en offrant trois ou quatre petites criques à la suite, séparées les unes des autres par une avancée de rochers mais qui restent facilement accessibles. Je me dis qu’il faudra un jour que j’aille explorer les lieux plus en détail.
Le soleil commence à chauffer et je sens que mes fesses sont sensibles. Après ma première fois hier, la peau blanche de mon petit cul poilu, qui n’avait jamais vu le soleil, a visiblement un peu brûlé sous les rayons de l’après-midi. Je cherche mon tube de crème solaire dans mon sac à dos et ne le trouve pas. Ce matin je suis parti trop vite, trop pressé de me foutre à poil sur cette plage qui est mon nouveau paradis et j’ai oublié la moitié de ce que je voulais prendre. Ma crème et mon livre, même si le manque de lecture ne sera pas forcément un problème aujourd’hui. Je n’ai aucune envie de remonter le chemin pour faire un aller et retour à la villa. En plus, quand je vais revenir il y aura beaucoup de monde et je ne pourrai plus choisir où m’installer comme ce matin. Sans compter le plaisir perdu de mater ce beau mec en train de se masturber en me regardant et qui ne durera que tant que la plage sera vide.
D’un autre coté je ne veux pas me rhabiller et passer la journée en short pour éviter un coup de soleil grave alors que je serais entouré d’hommes et de femmes nus qui pourraient être dérangés par mon intrusion dans un monde dont je ne respecterais pas les règles.
Je ne vois qu’une solution. Demander à mon copain de plage s’il peut me prêter de la protection solaire. Je me lève et vais vers lui, la queue dure. C'est la première fois que je me promène ainsi, le sexe offert â tous les regards même si seul le bel espagnol a les yeux rivés sur mon pénis tendu vers lui.
- Bonjour
Je le regarde. Quel beau mec ! Pas rasé depuis deux jours, la peau brune, corps parfait, des yeux noirs qui pétillent d’intelligence et peut-être d’autre chose.
- Bonjour
Sa voix est grave, j’en frissonne. Et j’y décèle une intonation amusée.
- Je suis désolé, je suis parti trop vite ce matin et j’ai oublié ma crème solaire. Est-ce que vous…vpourriez m’en prêter ?
- Pas de problème. Bien sur. Ca serait dommage de faire brûler ce petit cul.
J’ai du mal à avaler ma salive. J’adore sa réponse et en même temps elle me met mal à l’aise. Il s’en aperçoit et me regarde avec un gentil sourire.
- Tiens !
- Merci
Je ne sais pas si je dois l’utiliser tout de suite ou retourner à ma place et lui rapporter le tube ensuite. Il m’apporte la réponse.
- Tu veux que je t’aide ?
- Euhh…oui
- Donne
Je lui rends le tube de crème qu’il vient me donner et il en sort plusieurs longs traits de crème qu’il répartit entre mes épaules. Puis d’un geste énergique et ferme il l’étale sur toute la surface de mon dos, partant du coup jusqu’aux reins. Il se saisit à nouveau du tube et je sens ses mains m’enduire les fesses de cet onguent protecteur, il descend ensuite sur l’arrière de mes cuisses.
- Ca va ?
- Oui, super, merci
Sans dire un mot, il revient sur mes fesses et rapidement, mais sans que le geste soit équivoque, glisse ses doigts dans ma raie velue jusqu’à me caresser furtivement l’anus. Je comprends qu’il en profite pour s’amuser un peu.
- C’est bon je crois
Je me retourne pour lui faire face. Il me tend le tube de crème et je commence à m’en enduire le torse, les cuisses, les jambes et les bras. Je bande à fond.
Depuis tout à l’heure, ses caresses sur mon dos et mon cul n’ont fait qu’ajouter à mon excitation. C’est presque un état second. En tout cas un état inconnu, lié aux circonstances, moi nu sur une plage avec un mec à se damner, la copie parfaite de ceux sur les photos desquels je me suis masturbé depuis des années, enfin vrai, vivant, qui vient de poser ses mains sur moi et de me caresser le cul.
Il bande à fond lui aussi en me regardant, debout face à moi, le regard animé par le désir. Je me sens désiré par lui et je ne pense à cette seconde qu’au plaisir de le connaître. Devine-t-il ma timidité ? A-t-il compris que je n’avais encore jamais fait l’amour avec un mec ? Ce n’est pas écrit sur mon front mais je ne sais plus quoi imaginer.
Quand j’ai fini de me protéger des brûlures du soleil, je lui rends son tube de crème. Nous formons une parfaite photo de magazine gay. Deux mecs virils dans la lumière du soleil levant, nus, face à face, la queue dressée, leurs deux glands à quelques centimètres l’un de l’autre.
Il regarde autour de nous. La plage ne va plus rester déserte très longtemps.
- Ca va ?
- …Oui
Il sent que je ne suis pas tout à fait à l’aise mais son regard est si doux. Il s’accroupit devant moi et, alors que j’étais à mille lieux d’imaginer que le chose fût possible, il entrouvre ses lèvres et avale ma queue au fond sa bouche chaude et gourmande.
Je meurs, je revis, je suis un autre. Enfin, moi Sébastien, je connais le plaisir de la fellation sur lequel j’ai tant lu et dont j’ai vu et revu tant de milliers d’images. Et bien sûr mon imagination n’avait rien entrevu de cette émotion sublime et de cette expérience charnelle délirante. Mon sexe avalé, sucé, je comprends enfin le sens du mot dans ce qu’il peut signifier de symbiose avec l’âme de l’amant. Le plaisir fou dure de longues minutes, je n’ai pas la force ni la présence d’esprit de me demander s’il attend quelque chose de moi en retour. Mais la jouissance est telle que je dois me dire inconsciemment qu’il jouit lui aussi d’accueillir ma queue dans sa gorge.
Des voix. Des vois honnies à cet instant, qui signifient que dans quelques secondes la plage ne sera plus la nôtre. Que le lieu privé de cette étreinte magique va redevenir lieu public, où les gestes seront mesurés, les regards discrets mais les désirs tout aussi brûlants.
Je retire ma queue de sa bouche et m’accroupit pour me mettre à sa hauteur. Nous avons l’air de deux copains qui bavardent sur la plage, au détail près, que nous seuls voyons, de nos queues en érection, la sienne brillante de son precum et la mienne de sa salive généreuse.
Quelques secondes de silence…
- Merci- Merci à toi- C’était…..
- Bon ?
- Plus que ça. C’était la première fois…- Non ?
- Si. Vraiment- Cool. Tu es très mignon tu sais. Comment tu t’appelles ?
- Merci. Sébastien- Alors J'espère que ça a été bien pour toi Sébastien- Oui. Génial en fait.
- Cool. Moi c’est Manuel.
- Alors merci Manuel- Tu es très bandant….
Il me sourit à nouveau. Irrésistible.
Je suis un peu perdu. Le groupe que nous avions entendu se rapproche. Je ne sais pas ce que je dois faire et je décide de retourner à ma place. Je ne suis pas prêt pour m’afficher sur une plage avec un mec en érection et moi à côté de lui la queue dans le même état. Je sens que Manuel me suit du regard.
Je me lève très tôt, trop excité par les émotions de la veille. Je n’ai pas vraiment envie de me masturber au réveil comme je le fais souvent. Je veux y retourner, revivre les mêmes moments qu’hier et peut-être retrouver ce garçon poilu qui m’a souri et qui m’a fait bander. Personne dans la villa, tous mes copains dorment encore après que chacun aura passé la soirée à droite ou à gauche. Je ne doute pas que les hétéros auront trouvé leur bonheur en boite et nous en parlerons tous ensemble ce soir au diner.
Je retrouve le chemin de la plage sans hésiter cette fois ci et j’arrive au bord de l’eau. Lumière sublime sur la baie, il est sept heures du matin. Le soleil est encore bas et la mer de ce calme particulier des premières heures du jour. Eau limpide et sage en attendant la chaleur d’un dimanche qui promet d’être caniculaire.
Je choisis un emplacement à mi chemin entre le bord de l’eau et le fond de la crique et pose ma serviette. Je m’aperçois qu’il y a déjà un autre mec allongé sur les galets, installé au fond contre les rochers. A cette heure-ci, orientée à l’est, la plage est baignée de soleil. Je le regarde rapidement, plus âgé que moi, la trentaine, assez trapu et musclé, brun, de type espagnol et bien poilu. Il me plait et je sens ma queue commencer à durcir dans mon short. Je ne suis pas encore un naturiste assez entrainé pour maitriser mes émotions.
Je me déshabille face à la mer pour ne pas montrer ma queue raide au bel espagnol dont j’imagine qu’il a les yeux fixés mon cul. J’enlève mon polo, mes Docksides, fait tomber mon short sur mes chevilles. Comme je savais que je n’aurais pas besoin de maillot de bain aujourd’hui je n’ai pas mis de caleçon. J'aime bien sentir mon sexe et mes couilles bouger au bas de mon ventre quand je marche. Je suis nu et j’ai l’impression de sentir le regard de l’autre homme me caresser les fesses. Je n'en bande que plus fort et je m’assieds, face à la mer, les jambes pliées et écartées, ma queue dressée vers le ciel comme pour rendre hommage à un dieu soleil. Curieux j’ai envie de mieux le découvrir et je me tourne pour m’allonger sur le ventre. Appuyé sur mes avant-bras je fais mine de profiter du soleil sur la peau de mon dos. Il est juste dans mon champ de vision. Lui aussi regarde dans ma direction. D’abord allongé de tout son long il se redresse et prend la même position que celle que je viens d’abandonner, assis les jambes repliées, écartées et la queue bien visible entre les cuisses. Je peux admirer ses grosses couilles pendantes qui se posent sur la serviette et son pénis étonnement large, avec un très gros gland qui tend la peau d’un beau prépuce généreux.
Je regarde le fond de la crique mais surtout je le regarde lui. J’ai perdu en une journée toute ma timidité d’hier et je jouis pleinement maintenant du plaisir de mâter ce mec nu à la plage. Il n’est pas gêné par la situation et je vois sa queue recevoir comme des décharges électriques les flots de sang qui la gonflent. Une, deux, cinq, dix et voilà que son sexe s’est dressé, tendu à l’horizontale vers moi. Son gland est énorme et comme prêt à faire craquer l’enveloppe de beau bronzée qui le couvre encore. Pour être plus à l’aise il fait glisser la peau de son prépuce vers la base de sa grosse verge virile d’un geste de la main droite qui provoque immédiatement une nouvelle crispation dans mon pénis déjà tendu à fond, écrasé entre mon ventre et ma serviette de plage.
Il ne s’arrête pas là et commence à se masturber, lentement, en me regardant, comme si mes yeux caressaient son sexe à la place de sa main. Il aime visiblement le plaisir qu’il se donne. Moi je ne sais pas quoi faire. Je suis fasciné par ce porno improbable que je vis en réel ce matin sur cette plage mais je ne sais pas jusqu’où, je peux, ou j’ai envie d’aller.
Soudain sa main abandonne son sexe gonflé, il regarde un point précis en direction de la mer et je vois un couple, un mec et sa nana, traverser la crique qui nous accueille. Je prie inconsciemment le ciel pour qu’ils ne s’installent pas près de nous et je comprends qu’ils préfèrent une autre plage derrière la petite pointe rocheuse. Le cap tombe dans la mer en offrant trois ou quatre petites criques à la suite, séparées les unes des autres par une avancée de rochers mais qui restent facilement accessibles. Je me dis qu’il faudra un jour que j’aille explorer les lieux plus en détail.
Le soleil commence à chauffer et je sens que mes fesses sont sensibles. Après ma première fois hier, la peau blanche de mon petit cul poilu, qui n’avait jamais vu le soleil, a visiblement un peu brûlé sous les rayons de l’après-midi. Je cherche mon tube de crème solaire dans mon sac à dos et ne le trouve pas. Ce matin je suis parti trop vite, trop pressé de me foutre à poil sur cette plage qui est mon nouveau paradis et j’ai oublié la moitié de ce que je voulais prendre. Ma crème et mon livre, même si le manque de lecture ne sera pas forcément un problème aujourd’hui. Je n’ai aucune envie de remonter le chemin pour faire un aller et retour à la villa. En plus, quand je vais revenir il y aura beaucoup de monde et je ne pourrai plus choisir où m’installer comme ce matin. Sans compter le plaisir perdu de mater ce beau mec en train de se masturber en me regardant et qui ne durera que tant que la plage sera vide.
D’un autre coté je ne veux pas me rhabiller et passer la journée en short pour éviter un coup de soleil grave alors que je serais entouré d’hommes et de femmes nus qui pourraient être dérangés par mon intrusion dans un monde dont je ne respecterais pas les règles.
Je ne vois qu’une solution. Demander à mon copain de plage s’il peut me prêter de la protection solaire. Je me lève et vais vers lui, la queue dure. C'est la première fois que je me promène ainsi, le sexe offert â tous les regards même si seul le bel espagnol a les yeux rivés sur mon pénis tendu vers lui.
- Bonjour
Je le regarde. Quel beau mec ! Pas rasé depuis deux jours, la peau brune, corps parfait, des yeux noirs qui pétillent d’intelligence et peut-être d’autre chose.
- Bonjour
Sa voix est grave, j’en frissonne. Et j’y décèle une intonation amusée.
- Je suis désolé, je suis parti trop vite ce matin et j’ai oublié ma crème solaire. Est-ce que vous…vpourriez m’en prêter ?
- Pas de problème. Bien sur. Ca serait dommage de faire brûler ce petit cul.
J’ai du mal à avaler ma salive. J’adore sa réponse et en même temps elle me met mal à l’aise. Il s’en aperçoit et me regarde avec un gentil sourire.
- Tiens !
- Merci
Je ne sais pas si je dois l’utiliser tout de suite ou retourner à ma place et lui rapporter le tube ensuite. Il m’apporte la réponse.
- Tu veux que je t’aide ?
- Euhh…oui
- Donne
Je lui rends le tube de crème qu’il vient me donner et il en sort plusieurs longs traits de crème qu’il répartit entre mes épaules. Puis d’un geste énergique et ferme il l’étale sur toute la surface de mon dos, partant du coup jusqu’aux reins. Il se saisit à nouveau du tube et je sens ses mains m’enduire les fesses de cet onguent protecteur, il descend ensuite sur l’arrière de mes cuisses.
- Ca va ?
- Oui, super, merci
Sans dire un mot, il revient sur mes fesses et rapidement, mais sans que le geste soit équivoque, glisse ses doigts dans ma raie velue jusqu’à me caresser furtivement l’anus. Je comprends qu’il en profite pour s’amuser un peu.
- C’est bon je crois
Je me retourne pour lui faire face. Il me tend le tube de crème et je commence à m’en enduire le torse, les cuisses, les jambes et les bras. Je bande à fond.
Depuis tout à l’heure, ses caresses sur mon dos et mon cul n’ont fait qu’ajouter à mon excitation. C’est presque un état second. En tout cas un état inconnu, lié aux circonstances, moi nu sur une plage avec un mec à se damner, la copie parfaite de ceux sur les photos desquels je me suis masturbé depuis des années, enfin vrai, vivant, qui vient de poser ses mains sur moi et de me caresser le cul.
Il bande à fond lui aussi en me regardant, debout face à moi, le regard animé par le désir. Je me sens désiré par lui et je ne pense à cette seconde qu’au plaisir de le connaître. Devine-t-il ma timidité ? A-t-il compris que je n’avais encore jamais fait l’amour avec un mec ? Ce n’est pas écrit sur mon front mais je ne sais plus quoi imaginer.
Quand j’ai fini de me protéger des brûlures du soleil, je lui rends son tube de crème. Nous formons une parfaite photo de magazine gay. Deux mecs virils dans la lumière du soleil levant, nus, face à face, la queue dressée, leurs deux glands à quelques centimètres l’un de l’autre.
Il regarde autour de nous. La plage ne va plus rester déserte très longtemps.
- Ca va ?
- …Oui
Il sent que je ne suis pas tout à fait à l’aise mais son regard est si doux. Il s’accroupit devant moi et, alors que j’étais à mille lieux d’imaginer que le chose fût possible, il entrouvre ses lèvres et avale ma queue au fond sa bouche chaude et gourmande.
Je meurs, je revis, je suis un autre. Enfin, moi Sébastien, je connais le plaisir de la fellation sur lequel j’ai tant lu et dont j’ai vu et revu tant de milliers d’images. Et bien sûr mon imagination n’avait rien entrevu de cette émotion sublime et de cette expérience charnelle délirante. Mon sexe avalé, sucé, je comprends enfin le sens du mot dans ce qu’il peut signifier de symbiose avec l’âme de l’amant. Le plaisir fou dure de longues minutes, je n’ai pas la force ni la présence d’esprit de me demander s’il attend quelque chose de moi en retour. Mais la jouissance est telle que je dois me dire inconsciemment qu’il jouit lui aussi d’accueillir ma queue dans sa gorge.
Des voix. Des vois honnies à cet instant, qui signifient que dans quelques secondes la plage ne sera plus la nôtre. Que le lieu privé de cette étreinte magique va redevenir lieu public, où les gestes seront mesurés, les regards discrets mais les désirs tout aussi brûlants.
Je retire ma queue de sa bouche et m’accroupit pour me mettre à sa hauteur. Nous avons l’air de deux copains qui bavardent sur la plage, au détail près, que nous seuls voyons, de nos queues en érection, la sienne brillante de son precum et la mienne de sa salive généreuse.
Quelques secondes de silence…
- Merci- Merci à toi- C’était…..
- Bon ?
- Plus que ça. C’était la première fois…- Non ?
- Si. Vraiment- Cool. Tu es très mignon tu sais. Comment tu t’appelles ?
- Merci. Sébastien- Alors J'espère que ça a été bien pour toi Sébastien- Oui. Génial en fait.
- Cool. Moi c’est Manuel.
- Alors merci Manuel- Tu es très bandant….
Il me sourit à nouveau. Irrésistible.
Je suis un peu perdu. Le groupe que nous avions entendu se rapproche. Je ne sais pas ce que je dois faire et je décide de retourner à ma place. Je ne suis pas prêt pour m’afficher sur une plage avec un mec en érection et moi à côté de lui la queue dans le même état. Je sens que Manuel me suit du regard.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ca devient déjà plus caliente ! Typiquement le genre de truc dont je suis capable... Pas la pipe en public, et probablement même pas oser demander à un inconnu de m'appliquer de la crème solaire, juste d'oublier de la prendre ¬‿¬