Les aventures de SEB (8) et fin
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de SEB (8) et fin
Je m’allonge totalement, épuisé, et lui, vient se coucher sur moi. Je sens que ses poils se nourrissent de son sperme qui nous colle l’un à l’autre. Mon ventre baigne dans mon jus répandu sur la serviette et mon dos est collé à lui. Je sens sa queue encore dure entre mes fesses trempées. Il m’embrasse dans le cou et bouge doucement pour faire coulisser son sexe entres mes fesses pour jouer avec moi jusqu’au bout avant que ne cesse son érection…
Toujours allongé sur moi, il me parle doucement à l’oreille :
- Sébastien ?
- Oui- Merci- Merci à toi- C’était magique- Oui. Je peux te dire quelque chose ?
- Bien sur- C…..c’était ma première fois….
- Je sais- Comment tu l’a su….. ?
- Je l’ai deviné. Dans ton regard. Ca m’a rendu fou de désir.
- C’est toujours comme ça ?
- Ca devrait en tout cas. Tu es magique tu sais- Ah….
- Oui. Totalement bandant et sensuel. Tu vas donner et recevoir beaucoup de plaisir…J’ai besoin de réfléchir à ce qu’il vient de me dire et je garde le silence. Nathan m’embrasse dans le cou puis s’amuse à lécher son sperme sur mon dos, ou le peu qu’il reste dans la mesure où les poils de son torse et de son ventre en ont absorbé l’essentiel.
Il s’assied sur mes cuisses, et pose sa queue enfin au repos sur ma raie. Rien que ce contact m’électrise des pieds à la tête. J’en jouis cérébralement avant de me retourner pour le regarder. Il reprend sa position, assis sur moi, la queue maintenant posée sur la mienne. Il sourit en voyant ma toison trempée de mon propre jus qu’il s’amuse à étaler un peu plus sur mon torse. Je sens ma queue parcourue d’un frisson.
- Tu es beau- Merci…Toi aussi…- Merci alors…Il sourit et je comprends. Je comprends que je suis en train de tomber amoureux. Il se penche sur moi et vient m’embrasser. Baiser inoubliable. Je découvre dans sa bouche un goût inconnu. Le dernières effluves du parfum léger de son sperme léché sur mon dos qui se mêle à sa salive.
- On va se baigner ?
- OuiNathan ramasse la serviette humide de mon jus et le tube de gel qu’il range dans son sac à dos. Il reprend le chemin de la plage. Marchant derrière lui j’ai envie de lui, pour toujours, sans oser penser à demain.
Nous jouons dans l’eau comme des enfants. A chaque fois que nos corps se frôlent, nos mains s’emparent furtivement de nos queues qui rebandent aussi vite malgré la profondeur de la jouissance que nous venons de partager. C’est comme si nos hormones étaient hors de contrôle et nous réduisaient à l’état de corps en rut sur lesquels la conscience n’aurait plus prise.
Je flotte au-dessus de la réalité et je comprends que je vis mon premier coup de foudre pour un garçon. Je n’ai plus peur de rien tout en étant terrifié à l’idée que je ne pourrais n'être que la victime d’une illusion qui bientôt se dissipera comme un nuage sous l’effet du soleil.
Je ne sais pas si je dois lui parler ou si les regards et les émotions suffisent. Je ne sais pas s’il ressent la même chose que moi et j’ai peur de connaître la réponse. Je préfère m’abandonner à la vague qui me lave et à celle qui m’emporte le cœur.
J’aimerais sortir de l’eau mais je bande trop pour oser exhiber mon érection sur la plage. Il faut que je pense à autre chose.
- On sort ?
- Nnnonnnn, je bande- Moi aussi- Ca te gêne pas ?
- Non, c’est beau un mec qui bande….surtout pour son ami…- Je suis timide- Je sais, ça te rend encore plus bandant. Tu vas rester dans l’eau toute la journée ?
Nathan me taquine, mais, au-delà, je comprends dans ses mots, le lien particulier qui se noue entre lui et moi.
- Moi j’y vaisIl sort de l’eau et j’admire son corps et son sexe tendu qu’il laisse balancer entre ses cuisses sans la moindre timidité.
Il s’éloigne et mes yeux se fixent sur son cul poilu, sombre, les poils mouillés collés à la peau de cette partie de son anatomie que je m’imagine lécher toute la nuit.
Je finis par me décider et j’assume mon sexe dur en bas de mon ventre. Personne ne me regarde vraiment et si des yeux curieux ou avides se posent sur ma queue offerte, je ne ressens pas de jugement ni d’hostilité. Je retourne m’asseoir sur ma serviette.
Nathan me regarde, se lève et me rejoint.
- Je peux m’asseoir à coté de toi ?
- …. Bien sur- Ca te gène que l’on te voie avec un mec ?
- ….Je sais pas….j’ai pas l’habitude- Je comprends. Je reste ?
- Oui…reste
Nous sommes assis côte à côte, regardant la mer, les jambes repliées entourées de nos bras. Je bande à fond et je sais que lui aussi. Il me parle sans quitter l’horizon du regard.
- Sébastien….
- Oui ?
- Tout à l’heure….c’était particulier pour moi… pas parce que c’était ta première fois….enfin pas seulement… j’ai ressenti quelque chose….je sais pas quoi….mais pas comme d’habitude….
Je l’écoute et je n’ose rien dire
- Je meurs d’envie de recommencer….mais j’aimerais aussi te connaître un peu…tu veux bien ?
- …..Oui- Tu veux me parler de toi ?
Commence alors une conversation que je n’aurais jamais imaginée possible ce matin en me levant. Je me sens libre, pour la première fois, de raconter ma vie à ce garçon que je ne connais pas et dont je me sens subitement si proche. Il m’écoute, il me parle de lui avec la même facilité et au fil des minutes et des heures de la journée, je suis de plus en plus amoureux de lui.
Il y aura des silences et des rires, des moments graves et d’autres plus légers. Des érections violentes et des accalmies.
Je lui explique que je suis en vacances avec mes amis. Lui partage la villa de ses parents avec des cousins, dont le garçon qui était avec lui le premier jour sur la plage. Il me raconte ses premières aventures et ses espoirs.
- Nous nous ressemblons non ?
- Je crois oui…- Tu viens ?
Il me fait un signe qui désigne le chemin que nous avons emprunté ce matin. J’ai furieusement envie de lui et je vois son érection qui me semble encore plus volumineuse que ce matin…
Nous nous levons. La plage s’est un peu vidée. J’ai l’impression que chaque arbre, chaque rocher et chaque grain de sable me parle et me dit : quelle belle journée et comme c’était beau de vous voir tous les deux faire connaissance, et, même si vous ne le savez pas encore, vous aimer…
Nous grimpons le chemin un peu raide. J’entends des couples ou des groupes trouver le plaisir derrière les pins. J’ai peur un moment que Nathan veuille m’entrainer dans un plan à plusieurs mais il s’éloigne semblant chercher un endroit plus isolé. Il s’enfonce par un sentier presque invisible, je le suis, fou de désir et intrigué. Nous émergeons dans un petit espace à l’abri des regards. Il s’arrête, me fait face, la queue tendue vers moi. Je m’approche et nos lèvres se trouvent, comme ce matin, avec plus d’intensité encore maintenant que nous nous connaissons.
Je m’agenouille devant lui. J’entrouvre les lèvres et j’invite son sexe à me pénétrer. Je retrouve le plaisir insensé de son pénis qui me remplit la bouche, décuplé. Ce n’est plus seulement une queue sublime que j’avale mais Nathan, que j’aime, sa queue, lui, tout entier, ses sentiments, son organe génital, son âme…Il s’enfonce en moi, toujours plus loin et je sens ma gorge s’ouvrir sans réticence pour le recevoir. Il se contracte par intermittence, j’ai l’impression qu’il va jouir puis non. Coups de rein pour me labourer la gueule puis des mouvements lents. Il amène son gland sur le bord de mes lèvres, sa queue se tend encore plus dure quand son méat frôle les poils de ma barbe, puis il replonge comme pour se protéger dans la douceur humide de ma bouche. Je comprends ce que bouffer veut dire, c’est au-delà du mouvement des corps, c’est ma conscience qui le bouffe, je me l’approprie, je le veux pour moi seul.
Je me masturbe avec ma main droite. A genoux devant lui, les jambes bien écartées, je sens mon cul ouvert et offert à la caresse de la brise de cette soirée inoubliable. J’aimerais l’avoir en moi, le sentir coulisser entre mes fesses poilues comme ce matin, en même temps que dans ma bouche, mais il ne peut pas de dédoubler et je jouis du plaisir de le recevoir dans cette position d’adoration.
- Putain….c’est trop bon
Je comprends que je suce bien, en tout cas lui apprécie. Je ne m’étais jamais trop posé la question et j’ai eu raison de faire confiance à mon instinct.
La journée a été trop longue, trop inattendue, trop folle pour que je trouve d’autres forces. Je t’aime, je l’aime et je ne veux plus que le faire jouir. Il me caresse les cheveux, me bloque la tête dans un étau pour que chaque millimètre de ma bouche se colle à sa queue gorgée de sang et de jus.
- Je vais jouir…
Je prends sa queue dans ma main et l’enserre de toutes mes forces. Je sens les veines et les canaux qui vont bientôt voir son jus déferler, se gonfler. Je pose son gland sur mes lèvres, une ultime caresse de ma langue et de ma barbe de trois jours et il m’arrose le visage. De longs traits de sperme me lacèrent la gueule, s’épuisent dans mes cheveux, coulent dans mon cou, sur mes yeux fermés qui imaginent la scène plus précisément encore que s’ ils la voyaient.
Je le sens jouir sur moi, m’arroser, me marquer de sa semence, me doucher de sa jouissance de jeune mâle excité au dernier degré.
J’ouvre les yeux quand la pluie de sperme se calme. Il s’agenouille face à moi et me lèche le visage, partout où il repère une ligne de son jus blanc et épais. Il lèche, avale, se mouille les lèvres et vient m’embrasser. Ce goût de jus de mon amour me rend fou. Je rentre ma langue dans sa bouche remplie de son sperme dans lequel je retrouve l’arôme léger de ma crème à bronzer.
Il murmure :- Je t’aime
et je lui réponds les mêmes mots.
Toujours allongé sur moi, il me parle doucement à l’oreille :
- Sébastien ?
- Oui- Merci- Merci à toi- C’était magique- Oui. Je peux te dire quelque chose ?
- Bien sur- C…..c’était ma première fois….
- Je sais- Comment tu l’a su….. ?
- Je l’ai deviné. Dans ton regard. Ca m’a rendu fou de désir.
- C’est toujours comme ça ?
- Ca devrait en tout cas. Tu es magique tu sais- Ah….
- Oui. Totalement bandant et sensuel. Tu vas donner et recevoir beaucoup de plaisir…J’ai besoin de réfléchir à ce qu’il vient de me dire et je garde le silence. Nathan m’embrasse dans le cou puis s’amuse à lécher son sperme sur mon dos, ou le peu qu’il reste dans la mesure où les poils de son torse et de son ventre en ont absorbé l’essentiel.
Il s’assied sur mes cuisses, et pose sa queue enfin au repos sur ma raie. Rien que ce contact m’électrise des pieds à la tête. J’en jouis cérébralement avant de me retourner pour le regarder. Il reprend sa position, assis sur moi, la queue maintenant posée sur la mienne. Il sourit en voyant ma toison trempée de mon propre jus qu’il s’amuse à étaler un peu plus sur mon torse. Je sens ma queue parcourue d’un frisson.
- Tu es beau- Merci…Toi aussi…- Merci alors…Il sourit et je comprends. Je comprends que je suis en train de tomber amoureux. Il se penche sur moi et vient m’embrasser. Baiser inoubliable. Je découvre dans sa bouche un goût inconnu. Le dernières effluves du parfum léger de son sperme léché sur mon dos qui se mêle à sa salive.
- On va se baigner ?
- OuiNathan ramasse la serviette humide de mon jus et le tube de gel qu’il range dans son sac à dos. Il reprend le chemin de la plage. Marchant derrière lui j’ai envie de lui, pour toujours, sans oser penser à demain.
Nous jouons dans l’eau comme des enfants. A chaque fois que nos corps se frôlent, nos mains s’emparent furtivement de nos queues qui rebandent aussi vite malgré la profondeur de la jouissance que nous venons de partager. C’est comme si nos hormones étaient hors de contrôle et nous réduisaient à l’état de corps en rut sur lesquels la conscience n’aurait plus prise.
Je flotte au-dessus de la réalité et je comprends que je vis mon premier coup de foudre pour un garçon. Je n’ai plus peur de rien tout en étant terrifié à l’idée que je ne pourrais n'être que la victime d’une illusion qui bientôt se dissipera comme un nuage sous l’effet du soleil.
Je ne sais pas si je dois lui parler ou si les regards et les émotions suffisent. Je ne sais pas s’il ressent la même chose que moi et j’ai peur de connaître la réponse. Je préfère m’abandonner à la vague qui me lave et à celle qui m’emporte le cœur.
J’aimerais sortir de l’eau mais je bande trop pour oser exhiber mon érection sur la plage. Il faut que je pense à autre chose.
- On sort ?
- Nnnonnnn, je bande- Moi aussi- Ca te gêne pas ?
- Non, c’est beau un mec qui bande….surtout pour son ami…- Je suis timide- Je sais, ça te rend encore plus bandant. Tu vas rester dans l’eau toute la journée ?
Nathan me taquine, mais, au-delà, je comprends dans ses mots, le lien particulier qui se noue entre lui et moi.
- Moi j’y vaisIl sort de l’eau et j’admire son corps et son sexe tendu qu’il laisse balancer entre ses cuisses sans la moindre timidité.
Il s’éloigne et mes yeux se fixent sur son cul poilu, sombre, les poils mouillés collés à la peau de cette partie de son anatomie que je m’imagine lécher toute la nuit.
Je finis par me décider et j’assume mon sexe dur en bas de mon ventre. Personne ne me regarde vraiment et si des yeux curieux ou avides se posent sur ma queue offerte, je ne ressens pas de jugement ni d’hostilité. Je retourne m’asseoir sur ma serviette.
Nathan me regarde, se lève et me rejoint.
- Je peux m’asseoir à coté de toi ?
- …. Bien sur- Ca te gène que l’on te voie avec un mec ?
- ….Je sais pas….j’ai pas l’habitude- Je comprends. Je reste ?
- Oui…reste
Nous sommes assis côte à côte, regardant la mer, les jambes repliées entourées de nos bras. Je bande à fond et je sais que lui aussi. Il me parle sans quitter l’horizon du regard.
- Sébastien….
- Oui ?
- Tout à l’heure….c’était particulier pour moi… pas parce que c’était ta première fois….enfin pas seulement… j’ai ressenti quelque chose….je sais pas quoi….mais pas comme d’habitude….
Je l’écoute et je n’ose rien dire
- Je meurs d’envie de recommencer….mais j’aimerais aussi te connaître un peu…tu veux bien ?
- …..Oui- Tu veux me parler de toi ?
Commence alors une conversation que je n’aurais jamais imaginée possible ce matin en me levant. Je me sens libre, pour la première fois, de raconter ma vie à ce garçon que je ne connais pas et dont je me sens subitement si proche. Il m’écoute, il me parle de lui avec la même facilité et au fil des minutes et des heures de la journée, je suis de plus en plus amoureux de lui.
Il y aura des silences et des rires, des moments graves et d’autres plus légers. Des érections violentes et des accalmies.
Je lui explique que je suis en vacances avec mes amis. Lui partage la villa de ses parents avec des cousins, dont le garçon qui était avec lui le premier jour sur la plage. Il me raconte ses premières aventures et ses espoirs.
- Nous nous ressemblons non ?
- Je crois oui…- Tu viens ?
Il me fait un signe qui désigne le chemin que nous avons emprunté ce matin. J’ai furieusement envie de lui et je vois son érection qui me semble encore plus volumineuse que ce matin…
Nous nous levons. La plage s’est un peu vidée. J’ai l’impression que chaque arbre, chaque rocher et chaque grain de sable me parle et me dit : quelle belle journée et comme c’était beau de vous voir tous les deux faire connaissance, et, même si vous ne le savez pas encore, vous aimer…
Nous grimpons le chemin un peu raide. J’entends des couples ou des groupes trouver le plaisir derrière les pins. J’ai peur un moment que Nathan veuille m’entrainer dans un plan à plusieurs mais il s’éloigne semblant chercher un endroit plus isolé. Il s’enfonce par un sentier presque invisible, je le suis, fou de désir et intrigué. Nous émergeons dans un petit espace à l’abri des regards. Il s’arrête, me fait face, la queue tendue vers moi. Je m’approche et nos lèvres se trouvent, comme ce matin, avec plus d’intensité encore maintenant que nous nous connaissons.
Je m’agenouille devant lui. J’entrouvre les lèvres et j’invite son sexe à me pénétrer. Je retrouve le plaisir insensé de son pénis qui me remplit la bouche, décuplé. Ce n’est plus seulement une queue sublime que j’avale mais Nathan, que j’aime, sa queue, lui, tout entier, ses sentiments, son organe génital, son âme…Il s’enfonce en moi, toujours plus loin et je sens ma gorge s’ouvrir sans réticence pour le recevoir. Il se contracte par intermittence, j’ai l’impression qu’il va jouir puis non. Coups de rein pour me labourer la gueule puis des mouvements lents. Il amène son gland sur le bord de mes lèvres, sa queue se tend encore plus dure quand son méat frôle les poils de ma barbe, puis il replonge comme pour se protéger dans la douceur humide de ma bouche. Je comprends ce que bouffer veut dire, c’est au-delà du mouvement des corps, c’est ma conscience qui le bouffe, je me l’approprie, je le veux pour moi seul.
Je me masturbe avec ma main droite. A genoux devant lui, les jambes bien écartées, je sens mon cul ouvert et offert à la caresse de la brise de cette soirée inoubliable. J’aimerais l’avoir en moi, le sentir coulisser entre mes fesses poilues comme ce matin, en même temps que dans ma bouche, mais il ne peut pas de dédoubler et je jouis du plaisir de le recevoir dans cette position d’adoration.
- Putain….c’est trop bon
Je comprends que je suce bien, en tout cas lui apprécie. Je ne m’étais jamais trop posé la question et j’ai eu raison de faire confiance à mon instinct.
La journée a été trop longue, trop inattendue, trop folle pour que je trouve d’autres forces. Je t’aime, je l’aime et je ne veux plus que le faire jouir. Il me caresse les cheveux, me bloque la tête dans un étau pour que chaque millimètre de ma bouche se colle à sa queue gorgée de sang et de jus.
- Je vais jouir…
Je prends sa queue dans ma main et l’enserre de toutes mes forces. Je sens les veines et les canaux qui vont bientôt voir son jus déferler, se gonfler. Je pose son gland sur mes lèvres, une ultime caresse de ma langue et de ma barbe de trois jours et il m’arrose le visage. De longs traits de sperme me lacèrent la gueule, s’épuisent dans mes cheveux, coulent dans mon cou, sur mes yeux fermés qui imaginent la scène plus précisément encore que s’ ils la voyaient.
Je le sens jouir sur moi, m’arroser, me marquer de sa semence, me doucher de sa jouissance de jeune mâle excité au dernier degré.
J’ouvre les yeux quand la pluie de sperme se calme. Il s’agenouille face à moi et me lèche le visage, partout où il repère une ligne de son jus blanc et épais. Il lèche, avale, se mouille les lèvres et vient m’embrasser. Ce goût de jus de mon amour me rend fou. Je rentre ma langue dans sa bouche remplie de son sperme dans lequel je retrouve l’arôme léger de ma crème à bronzer.
Il murmure :- Je t’aime
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce très bon moment de sensualité intense entre deux jeunes hommes
Merci à toi lelivredejeremie pour tes commentaires super sympas. Je vais lire tes œuvres maintenant ;-)
Fini, ça devait arriver, et comme je m'en doutais, je ne suis même pas déçu que tu arrêtes, là, la suite est laissée à l'imagination, et je ne vois rien d'autre qu'une première fois tout en douceur, et peut-être le début de bien plus :)
Merci pour le bon moment de lecture ;)
Merci pour le bon moment de lecture ;)