Les aventures de Seb (1)
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de Seb (1)
Je m’appelle Sébastien et bien sûr très vite je suis devenu Seb pour ma famille et mes amis. J’ai eu 30 ans cette année et demain je vais changer de vie. Je me suis engagé pour un contrat de trois ans dans l’armée pour travailler sur des missions de sécurisation des systèmes informatiques. J’ai un doctorat de sécurité des systèmes et des données et l’armée de terre recherche en ce moment ce type de compétences. Je serai amené à travailler sur différents sites, avec un statut intermédiaire entre le civil et le militaire.
J’ai toujours été attiré par l’armée, non par fascination pour la force mais parce que c’est un univers viril. Je me sens bien dans ces mondes d’hommes, conscient depuis l’adolescence de mon homosexualité. Mon attirance pour les mecs n’a jamais été un problème pour moi, je l’ai rapidement comprise, assumé et je considère qu’elle a été une source de grands bonheurs pour moi. Demain je vais découvrir un monde nouveau. Je verrai comment m’y intégrer et vivre ma vie.
Je suis célibataire après quelques périodes de vie à deux avec des garçons que j’ai aimés mais avec qui il n’a pas été possible de construire de projet qui puisse durer. Nous apprenons à nous connaître jour après jour et les rencontres souvent fondées sur l’attirance pour un beau corps ne sont pas toujours simples à poursuivre quand les personnalités se révèlent et parfois se confrontent.
Puisque l’on parle corps, je vais me décrire. 1,85 mètre, yeux verts, cheveux bruns, en forme sans être bodybuildé et très poilu. Je suis attiré par les mecs poilus comme moi jusqu’à l’obsession parfois mais je couche aussi avec des mecs imberbes si leur regard me raconte quelque chose. J’avoue devenir fou devant un cul poilu et une raie mystérieuse où il faudra chercher, au milieu de la toison sombre, l’orifice rose et doux à lécher. Je n’ai jamais couché avec une fille et j’ai commencé ma vie sexuelle quand j’étais à la fac d’informatique. Je me souviens comme tout le monde de ma première fois.
J’avais 22 ans, c’était au Cap Sicié près de Toulon où j’étais en vacances avec une bande de copains. Nous avions loué une grande maison pour partager les frais et chacun avait son espace personnel. Notre mode de vie était celui de la liberté totale. Nous nous retrouvions le soir pour le diner sur la terrasse mais le reste du temps chacun faisait ce qu’il voulait sans contrainte. Moi j’avais un peu orienté le choix de la maison parce que je voulais essayer une plage naturiste pour la première fois et j’avais repéré dans une revue spécialisée la plage en contrebas de la pointe rocheuse du cap.
Avant de commencer ma vie sexuelle, j’ai d’abord, depuis tout petit je crois, été attiré par le corps des hommes et je rêvais de leur nudité. Quand j’étais à la plage je cherchais à deviner la forme de leurs sexes sous le tissu des maillots de bain, j’espérais qu’un beau mec en train de se changer après la baignade ferait tomber sa serviette par inadvertance et se retrouverait nu, la queue et les couilles offertes à mes yeux ébahis, je regardais la télé espérant qu’une scène révélerait la nudité d’un acteur moins timide que les autres.
Dès que j’ai quitté la maison familiale pour aller faire mes études à Bordeaux et que j’ai eu mon premier ordinateur personnel et mon premier abonnement internet, j’ai commencé à collectionner les photos de mecs à poils. J’en ai probablement maintenant des dizaines de milliers, parfois avec des doublons qui d’années en années réapparaissent sur différents sites. Ma « collection », celle que je conserve précieusement sur des disques durs externes parce que la mémoire de mon ordinateur n’est pas suffisante, comporte une majorité de mecs poilus non circoncis, mon « type de mecs ». J’aime les photos d’hommes naturels, pas nécessairement en érection, même si bien sûr une belle queue dressée me fait bander au quart de tour. Aujourd’hui j’ai plutôt une collection de favoris sur des sites de communautés américains auxquels je suis abonné et qui chaque seconde du jour et de la nuit m’apporte mon lot d’images plus bandantes les unes que les autres.
Je me souviens très bien de ces vacances en liberté dans le Var. Quelques jours après notre arrivée dans la villa, j’avais pris mon courage à deux mains pour aller repérer la plage naturiste. Il y avait des vélos dans la maison que nous avions louée et après m’être trompé plusieurs fois j’avais trouvé l’accès à un chemin le long de la corniche qui surplombe les différentes criques où les estivants vivent leur journée à poil.
Du chemin je ne voyais pas bien les petites plages en contrebas mais j’étais sur cette fois-ci d’avoir trouvé la bonne direction. A un moment je vois sur la gauche un autre chemin plus étroit qui semble descendre vers la mer. Je l’emprunte et au bout de quelques minutes de marche sur une pente assez raide j’arrive sur une crique assez bondée. J’y suis, tous les corps sont nus ou presque. Comme j’ai perdu un peu de temps à trouver l’endroit, c’est déjà le milieu de l’après-midi, c’est un samedi, il fait beau et les places sont rares. Je finis par trouver un petit espace libre entre deux groupes ou deux corps nus.
Je pose ma serviette, enlève mon polo, mes docksides et baisse mon maillot. C’est la première fois que je mets nu en public, sur une plage. C’est naturel pour moi. Je me sens bien. Je m’assieds sur ma serviette et regarde autour de moi en évitant de passer pour un voyeur. Il y a devant moi un groupe de jeunes de mon age, trois filles, seins nus mais avec un bas de maillot et deux garçons à poil, intégralement bronzés. Ils jouent à un jeu de cartes, un des garçons me fait face alors je peux le regarder sans gêne. Cheveux courts blonds, regard clair, pas de poils sur un torse finement musclé. Mignon. Il est assis en tailleur et sa queue molle est posée sur ses jambes repliées.
Beau sexe long, épais et bronzé, sur lequel je vois une grosse veine en relief. Je bande immédiatement. J’avais lu plein de choses sur la peur des mecs qui essayent le naturisme pour la première fois et s’imaginent bander pendant des heures. Me voici confronté à l’épreuve. J’ai les jambes pliées que j’entoure de mes bras et personne ne peut voir mon érection cachée entre mes cuisses serrées.
Je ne suis pas gêné par la situation et je continue à regarder le groupe de copains se disputer la partie de cartes. A un moment, l’autre garçon que je ne voyais pas bien se lève et propose aux autres d’aller se baigner. J’en profite pour l’admirer, grand, très mince, avec une toison assez discrète sur le torse et une jolie ligne de poils qui descend jusqu’au nombril puis jusqu’à son pubis très fourni. Une touffe dense et sombre d’où pend une longue queue lisse et fine qui me semble dépasser les 15 centimètres. Les filles préfèrent lézarder au soleil et seuls les deux copains vont plonger dans l’eau bleue. J’aimerais les rejoindre mais la vision de leurs deux corps bandants me maintient au comble de l’excitation. J’alterne les positions pour cacher mon érection mais finalement je prends conscience que personne ne fait vraiment attention à moi. J’aime, j’adore, pour la première fois, cette sensation du soleil et de l’air libre sur ma peau et cette complicité de la nudité partagée.
L’après-midi passe, le plage commence à se vider mais je n’ai pas envie de rentrer. Vers 18 heures le groupe d’amis décide de remonter et se rhabille. Derniers regards sur la plastique des deux mecs. Alors que le poilu se prépare à enfiler son maillot il se tourne dans ma direction, et plonge son regard dans le mien. J’ai peur d’être repéré comme le voyeur qui l’aurait maté toute l’après-midi et je suis tenté de regarder ailleurs. Mais, en un millième de seconde, je vois que son expression n’est pas hostile, au contraire et je lis un vague sourire sur son visage. Du coup, face à moi, il prend son temps, repose son speedo et commence par enfiler son polo. J’ai le regard fixé sur sa queue qui balance à chacun de ses mouvements. Puis il finit par reprendre son maillot, passe une jambe, l’autre et lentement le remonte le long de ses cuisses.
Il saisit sa queue de la main droite et, d’un geste naturel, découvre rapidement son gland, puis remet son prépuce en place et enfin, mais déjà trop tôt, fait disparaître son sexe et ses belles couilles pendantes dans le maillot bleu ciel. Il n’a pas cessé de blaguer avec ses amis mais je sens qu’il me portait aussi une forme d’attention. Je bande comme un fou, ma queue toujours cachée et je sens quelques gouttes couler de mon gland sur les poils de mes cuisses.
Les trois filles passent devant moi, suivi du premier garçon et enfin du beau petit poilu dans son speedo bleu. Arrivé à ma hauteur il me regarde et me sourit.
- Bonsoir
Je suis un peu intimidé, mais j’arrive à lui répondre avant qu’il ne soit trop loin.
- Bonsoir
Je lui rends son sourire. J’attends que mon excitation se calme mais j’ai le cerveau et le corps en feu. Je revis chaque seconde de ce qui vient de se passer, chaque minute de ce merveilleux après-midi qui semble devoir changer ma vie. Je suis un peu abasourdi. Quand mes idées sont plus claires, la plage est quasiment vide. Le soleil est descendu derrière le sommet du cap et l’ombre s’est répandue. J’ai envie d’aller me baigner mais il ne fait plus aussi chaud. Tant pis. Je décide de revenir le lendemain de bonne heure.
J’ai toujours été attiré par l’armée, non par fascination pour la force mais parce que c’est un univers viril. Je me sens bien dans ces mondes d’hommes, conscient depuis l’adolescence de mon homosexualité. Mon attirance pour les mecs n’a jamais été un problème pour moi, je l’ai rapidement comprise, assumé et je considère qu’elle a été une source de grands bonheurs pour moi. Demain je vais découvrir un monde nouveau. Je verrai comment m’y intégrer et vivre ma vie.
Je suis célibataire après quelques périodes de vie à deux avec des garçons que j’ai aimés mais avec qui il n’a pas été possible de construire de projet qui puisse durer. Nous apprenons à nous connaître jour après jour et les rencontres souvent fondées sur l’attirance pour un beau corps ne sont pas toujours simples à poursuivre quand les personnalités se révèlent et parfois se confrontent.
Puisque l’on parle corps, je vais me décrire. 1,85 mètre, yeux verts, cheveux bruns, en forme sans être bodybuildé et très poilu. Je suis attiré par les mecs poilus comme moi jusqu’à l’obsession parfois mais je couche aussi avec des mecs imberbes si leur regard me raconte quelque chose. J’avoue devenir fou devant un cul poilu et une raie mystérieuse où il faudra chercher, au milieu de la toison sombre, l’orifice rose et doux à lécher. Je n’ai jamais couché avec une fille et j’ai commencé ma vie sexuelle quand j’étais à la fac d’informatique. Je me souviens comme tout le monde de ma première fois.
J’avais 22 ans, c’était au Cap Sicié près de Toulon où j’étais en vacances avec une bande de copains. Nous avions loué une grande maison pour partager les frais et chacun avait son espace personnel. Notre mode de vie était celui de la liberté totale. Nous nous retrouvions le soir pour le diner sur la terrasse mais le reste du temps chacun faisait ce qu’il voulait sans contrainte. Moi j’avais un peu orienté le choix de la maison parce que je voulais essayer une plage naturiste pour la première fois et j’avais repéré dans une revue spécialisée la plage en contrebas de la pointe rocheuse du cap.
Avant de commencer ma vie sexuelle, j’ai d’abord, depuis tout petit je crois, été attiré par le corps des hommes et je rêvais de leur nudité. Quand j’étais à la plage je cherchais à deviner la forme de leurs sexes sous le tissu des maillots de bain, j’espérais qu’un beau mec en train de se changer après la baignade ferait tomber sa serviette par inadvertance et se retrouverait nu, la queue et les couilles offertes à mes yeux ébahis, je regardais la télé espérant qu’une scène révélerait la nudité d’un acteur moins timide que les autres.
Dès que j’ai quitté la maison familiale pour aller faire mes études à Bordeaux et que j’ai eu mon premier ordinateur personnel et mon premier abonnement internet, j’ai commencé à collectionner les photos de mecs à poils. J’en ai probablement maintenant des dizaines de milliers, parfois avec des doublons qui d’années en années réapparaissent sur différents sites. Ma « collection », celle que je conserve précieusement sur des disques durs externes parce que la mémoire de mon ordinateur n’est pas suffisante, comporte une majorité de mecs poilus non circoncis, mon « type de mecs ». J’aime les photos d’hommes naturels, pas nécessairement en érection, même si bien sûr une belle queue dressée me fait bander au quart de tour. Aujourd’hui j’ai plutôt une collection de favoris sur des sites de communautés américains auxquels je suis abonné et qui chaque seconde du jour et de la nuit m’apporte mon lot d’images plus bandantes les unes que les autres.
Je me souviens très bien de ces vacances en liberté dans le Var. Quelques jours après notre arrivée dans la villa, j’avais pris mon courage à deux mains pour aller repérer la plage naturiste. Il y avait des vélos dans la maison que nous avions louée et après m’être trompé plusieurs fois j’avais trouvé l’accès à un chemin le long de la corniche qui surplombe les différentes criques où les estivants vivent leur journée à poil.
Du chemin je ne voyais pas bien les petites plages en contrebas mais j’étais sur cette fois-ci d’avoir trouvé la bonne direction. A un moment je vois sur la gauche un autre chemin plus étroit qui semble descendre vers la mer. Je l’emprunte et au bout de quelques minutes de marche sur une pente assez raide j’arrive sur une crique assez bondée. J’y suis, tous les corps sont nus ou presque. Comme j’ai perdu un peu de temps à trouver l’endroit, c’est déjà le milieu de l’après-midi, c’est un samedi, il fait beau et les places sont rares. Je finis par trouver un petit espace libre entre deux groupes ou deux corps nus.
Je pose ma serviette, enlève mon polo, mes docksides et baisse mon maillot. C’est la première fois que je mets nu en public, sur une plage. C’est naturel pour moi. Je me sens bien. Je m’assieds sur ma serviette et regarde autour de moi en évitant de passer pour un voyeur. Il y a devant moi un groupe de jeunes de mon age, trois filles, seins nus mais avec un bas de maillot et deux garçons à poil, intégralement bronzés. Ils jouent à un jeu de cartes, un des garçons me fait face alors je peux le regarder sans gêne. Cheveux courts blonds, regard clair, pas de poils sur un torse finement musclé. Mignon. Il est assis en tailleur et sa queue molle est posée sur ses jambes repliées.
Beau sexe long, épais et bronzé, sur lequel je vois une grosse veine en relief. Je bande immédiatement. J’avais lu plein de choses sur la peur des mecs qui essayent le naturisme pour la première fois et s’imaginent bander pendant des heures. Me voici confronté à l’épreuve. J’ai les jambes pliées que j’entoure de mes bras et personne ne peut voir mon érection cachée entre mes cuisses serrées.
Je ne suis pas gêné par la situation et je continue à regarder le groupe de copains se disputer la partie de cartes. A un moment, l’autre garçon que je ne voyais pas bien se lève et propose aux autres d’aller se baigner. J’en profite pour l’admirer, grand, très mince, avec une toison assez discrète sur le torse et une jolie ligne de poils qui descend jusqu’au nombril puis jusqu’à son pubis très fourni. Une touffe dense et sombre d’où pend une longue queue lisse et fine qui me semble dépasser les 15 centimètres. Les filles préfèrent lézarder au soleil et seuls les deux copains vont plonger dans l’eau bleue. J’aimerais les rejoindre mais la vision de leurs deux corps bandants me maintient au comble de l’excitation. J’alterne les positions pour cacher mon érection mais finalement je prends conscience que personne ne fait vraiment attention à moi. J’aime, j’adore, pour la première fois, cette sensation du soleil et de l’air libre sur ma peau et cette complicité de la nudité partagée.
L’après-midi passe, le plage commence à se vider mais je n’ai pas envie de rentrer. Vers 18 heures le groupe d’amis décide de remonter et se rhabille. Derniers regards sur la plastique des deux mecs. Alors que le poilu se prépare à enfiler son maillot il se tourne dans ma direction, et plonge son regard dans le mien. J’ai peur d’être repéré comme le voyeur qui l’aurait maté toute l’après-midi et je suis tenté de regarder ailleurs. Mais, en un millième de seconde, je vois que son expression n’est pas hostile, au contraire et je lis un vague sourire sur son visage. Du coup, face à moi, il prend son temps, repose son speedo et commence par enfiler son polo. J’ai le regard fixé sur sa queue qui balance à chacun de ses mouvements. Puis il finit par reprendre son maillot, passe une jambe, l’autre et lentement le remonte le long de ses cuisses.
Il saisit sa queue de la main droite et, d’un geste naturel, découvre rapidement son gland, puis remet son prépuce en place et enfin, mais déjà trop tôt, fait disparaître son sexe et ses belles couilles pendantes dans le maillot bleu ciel. Il n’a pas cessé de blaguer avec ses amis mais je sens qu’il me portait aussi une forme d’attention. Je bande comme un fou, ma queue toujours cachée et je sens quelques gouttes couler de mon gland sur les poils de mes cuisses.
Les trois filles passent devant moi, suivi du premier garçon et enfin du beau petit poilu dans son speedo bleu. Arrivé à ma hauteur il me regarde et me sourit.
- Bonsoir
Je suis un peu intimidé, mais j’arrive à lui répondre avant qu’il ne soit trop loin.
- Bonsoir
Je lui rends son sourire. J’attends que mon excitation se calme mais j’ai le cerveau et le corps en feu. Je revis chaque seconde de ce qui vient de se passer, chaque minute de ce merveilleux après-midi qui semble devoir changer ma vie. Je suis un peu abasourdi. Quand mes idées sont plus claires, la plage est quasiment vide. Le soleil est descendu derrière le sommet du cap et l’ombre s’est répandue. J’ai envie d’aller me baigner mais il ne fait plus aussi chaud. Tant pis. Je décide de revenir le lendemain de bonne heure.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Yo ! Je me suis arrêté sur ton histoire pour le diminutif du prénom de ton perso, celui de mon copain, leur seul point commun au final mais peu importe, je suis resté pour la thématique du naturisme, et surtout pour ton écriture fluide (puis le mix ortho-grammaire qui restaure un peu mes rétines trop mises à mal sur d'autres textes).