L'HÔTEL DU DESERT EP 14 : Une petite soirée tranquille - histoire érotique

L'HÔTEL DU DESERT
EP 14 : Une petite soirée tranquille


Le soir suivant, Brice était à son boulot, Johnny était au bar, il avait mangé là bas. On y mange très bien et le boss tenait absolument à ce qu'on fasse un prix au frère de son nouvel employé.

La dame à la voiture entrait dans le restau pendant que son chauffeur garait la voiture. Elle était plus calme, moins agitée, moins secouée auraient dit certains. Elle saluait tout le monde et venait faire la bise à Johnny d'abord puis à Brice. Elle les saluait en les appelant par leurs prénoms. Son chauffeur James arrivait quelques instants plus tard. Il avait l'air reposé.

La dame expliquait qu'elle avait décidé de rentrer à la maison. Elle partait le soir même. James s'était reposé toute la journée et il était frais et dispos pour prendre la route.

– Ça y est elle est calmée ? Demandait discrètement Johnny à James.
– Ça y est, la pleine Lune c'était avant hier. Je vais finir par y croire à ces histoires de pleine Lune moi.

Ils discutaient tous les quatre. Tessa aussi participait à la discussion. La dame la regardait avec un regard perçant. Un moment elle se penchait vers Johnny et lui glissait à l'oreille.

– Tu devrais te faire la petite là, à mon avis elle en vaut la peine et je m'y connais …

Johnny lui répondait avec un petit sourire niais.

– A moins que ? Continuait la dame. Puis demandait . '' C'est déjà fait ? ''

Là Johnny répondait avec un sourire plus large … la dame éclatait de rire.

– Et tu te la partages avec ton frère je suppose ?

Johnny lui répondait alors avec un très large sourire. La dame lui donnait alors un baiser sur la joue et lui glissait à l'oreille . '' Ça ne m'étonne pas de vous ça, je ne sais pas pourquoi ? ''.

Ça les surprenait de voir cette dame parfaitement calme et tout à fait '' normale ''. Elle ne traînait pas, elle avait de la route à faire, il n'était pas tard mais elle choisissait de partir sans tarder.

Après cet interlude, la vie reprenait tranquillement. Brice et Johnny ne dormaient pas toujours ensemble, enfin je veux dire, ne dormaient pas toujours juste tous les deux ensemble. Tessa se retrouvait souvent entre eux. Elle arrivait le plus souvent dans la chambre sans prévenir. Un peu comme ce soir là ou elle entrait sans frapper.

Brice venait de rentrer, il avait surpris Johnny endormi sur le lit. Il avait pris une douche et s'était endormi avec juste une serviette autour de la ceinture. Brice prenait sa douche il restait nu après et s'approchait de Johnny qui ronflait paisiblement.

Tout en douceur, il s'allongeait à côté de son colocataire en essayant de ne pas le réveiller puis il lui caressait le torse, c'était bien pour le réveiller mais il voulait le faire avec le plus de douceur possible.

Johnny se tortillait, Brice continuait. Johnny se grattait, Brice s'en amusait. Finalement Johnny ouvrait les yeux …

– Mais tu m'embêtes, j'étais en train de dormir.

Pour seule réponse Brice l'embrassait. Johnny ne disait plus rien, Brice se penchait sur son ami et lui suçait doucement la queue. Johnny lui répondait en faisant de même. Ils étaient là allongés l'un à côté de l'autre, chacun donnant du plaisir à l'autre.

Après cette position en tête à queue, ils se retrouvaient en tête à tête, face à face, bouche à bouche. Ils étaient nus tous les deux et se faisaient un gros câlin. Ils se touchaient, se caressaient, chacun appréciait la douceur de la peau de l'autre, le corps de l'autre.

Deux frères ? Ce n'était pas le cas, deux amants oui ! Mais même s'il était plus simple de justifier qu'il partagent une seule chambre s'il étaient frère, ça n'aurait pas justifie une telle intimité. Johnny s'asseyait les jambes écartées et légèrement repliées. Brice plongeait la tête pour lui donner du plaisir et le sucer comme il savait si bien le faire maintenant. Johnny lui caressait les cheveux avec douceur, il gémissait de plaisir …

– Approche toi ! Demandait Johnny.

Brice s'approchait et repoussait doucement Johnny en arrière mais Johnny résistait.

– Non ! Assois toi sur ma queue !

Brice se relevait pour prendre position. Johnny s'asseyait en tailleur, légèrement penché en arrière. Au passage Johnny en profitait pour sucer son ami pendant quelques instants puis Brice s'accroupissait, les pieds de chaque côté de Johnny, il s'accroupissait et laisser glisser la queue de son ami dans son cul. Ça résistait, lentement son anus se dilatait, se détendait, lentement le gland de Johnny se frayait un passage.

Brice relevait la tête et ouvrait grand la bouche, il gémissait, Johnny le regardait, il était attentif à la moindre réaction de son amant, ne le brusquait pas, le laissait faire lentement, doucement. Brice s'enfonçait se relevait, gémissait et s'enfonçait de nouveau. À chaque fois il laissait pénétrer la queue de son amant un peu plus profond. Jusqu'au moment ou il touchait les cuisses de Johnny, jusqu'au moment ou il écrasait ses fesses contre le ventre de Johnny, entre ses cuisses.

Johnny refermait ses cuisse pour retenir Brice, pour qu'il ne puisse pas s'écraser trop vite, pour le préserver. Brice se laissait aller. Johnny écartait les cuisses et Brice s'enfonçait encore plus entre les cuisses de Johnny. Brice gémissait de plaisir de plus en plus fort. Et finalement se laissait aller de tout son poids, sans plus se retenir. Il sanglotait de plaisir sur l'épaule de son compagnon qui doucement commençait à se balancer sur ses fesses faisant ainsi jouer sa queue dans le cul de son camarade.

Brice finissait par refermer ses jambes dans le dos de son compagnon et se cramponnait à lui. Ils continuaient en se balançant sur le cul de Johnny. Les deux garçons se caressaient, s'embrassaient, quand la porte de la chambre s'ouvrait avec fracas. Les deux garçons sursautaient.

C'était Tessa.

– Je ne vous dérange pas les gars ? Ah non ! J'ai l'impression que j'arrive à temps au contraire.

Brice se cramponnait avec force contre Johnny, son cœur battait très vite brusquement.

– Elle m'a fait peur, la bourrique, elle m'a fait peur ! Disait Brice.
– Alors là bravo, tu nous a foutu une trouille. Rajoutait Johnny.
– Bon je vais vous réconforter le mecs. Concluait Tessa.

Quelques secondes plus tard elle était nue, se glissait entre Johnny assis en tailleur et Brice empalé sur la queue de Johnny puis elle aussi s'asseyait sur la queue de Brice. Son poids ajouté à celui de Brice l'écrasait avec force sur le bassin de Johnny dont la queue rentrait maintenant avec un grande violence dans le cul de Brice.

Brice gémissait puis gueulait, Tessa gémissait et gueulait également pour faire comme Brice. Johnny râlait …

– Vous m'écraser là ! Brice soulève toi un peu , là je ne peux plus.

Brice se relevait, Johnny écartait ses cuisses encore plus, Brice s'appuyait de nouveau son camarade, sa queue toujours bien calée dans son cul. Au dessus de lui, Tessa qui se penchait sur lui et se frottait contre lui. Elle caressait son corps contre le sien et écrasait mollement sa poitrine contre son torse musclé.

Johnny se retrouvait, ravi, avec le cul de Tessa devant lui, entre ses mains et il ne se privait pas de le lui caresser. Quelques instants plus tard il se retirait. Brice poussait un grand soupir de soulagement. Johnny se relevait puis s'allongeait sur Tessa et sans rien demander à personne la pénétrait, par derrière. Elle hurlait.

Enfoiré ! Tu aurais pu prévenir !

Il n'en tenait pas compte et rapidement lui limait le cul. Elle continuait à râler, c'est vrai qu'il y allait un peu fort.

Ça t'apprendra à nous faire peur comme tout à l'heure !

Brice s'était retrouvé dans une position plus confortable. Il y avait le corps de Tessa qui glissait contre le sien, sa queue qui glissait en elle, la chaleur de sa peau. Il était un peu écrasé par le double poids de Tessa et de Johnny mais aucun d'eux n'était obèse et Brise était costaud. Il décidait d'écarter les bras et de laisser faire.

La poitrine de Tessa s'écrasait avec douceur, ses baiser le stimulaient, ses mains le caressaient et il y avait aussi par moments les mains de Johnny qui ne l'avaient pas oublié. Il sentait le plaisir monter. Il sentait le vagin de Tessa qui se resserrait autour de sa queue, son ventre qui tremblait, il sentait son plaisir monter.

C'est finalement Johnny qui jouissait et le faisait savoir par de grands cris. Suivaient Tessa et Brice, ils étaient synchronisé ces deux là.

Tout le monde se laissait retomber sur celui ou ceux qui étaient en dessous de lui ou d'elle. La place du roi, c'était Brice qui l'avait. Comme je vous le disais, Tessa n'était pas bien grosse, Johnny pas très lourd et Brice était costaud, il appréciait même cette pression douce et caressait le corps de Tessa et le dos de Johnny.

C'est justement Johnny qui se décrochait du groupe en premier, il se laissait tomber sur le dos à côté de Brice. Brice bandait toujours à moitié et avait toujours sa queue douillettement installée dans le ventre de Tessa. Ils se faisaient encore quelques câlins ces deux là puis Tessa se laissait rouler sur Johnny qui s'écartait, elle se retrouvait entre les deux garçons. Ils en profitaient pour lui faire un gros câlin.

C'est à trois qu'ils se sont retrouvé sous la douche un peu plus tard. C'est à trois qu'ils se sont lavé les une les autres, et c'est finalement à trois qu'ils se sont retrouvé dans le grand lit. Il était tard, la soirée avait été mouvementée, pas beaucoup plus que d'habitude mais bon, il y a un moment ou il faut s'endormir. Ils ont bougé pendant leur sommeil, Tessa s'est retrouvé dans les bras de Johnny , dans les bras de Brice, sous Brice, il l'écrasait ça l'a réveillée. Elle s'est aussi retrouvé allongée sur Brice mais là il ne s'est pas réveillé et ce n'était qu'un rêve qu'il faisait quand il la caressait avec tellement de douceur.

Un rêve qu'elle a aimé.

Le matin était un peu plus difficile, le lit, c'était Beyrouth !

Johnny se levait, les deux autres ne travaillaient pas le matin. Il embrassait Tessa et Brice avant de partir au boulot.

Tessa et Brice se rendormaient, ils avaient tout le temps, ils avaient tout le temps qu'ils voulaient pour se refaire un gros câlin si s'envie les prenait.

La vie reprenait ses droits et la monotonie des jours revenait également.

Enfin ' monotonie ' il ne faut pas exagérer non plus. Ils ne vont pas se plaindre tout de même ! ( Note de l'auteur )



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