L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 1 : La proposition

- Par l'auteur HDS JFC -
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Auteur homme.
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Récit libertin : L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 1 : La proposition Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 1 : La proposition
Avant de commencer la lecture de ce récit, je vous informe que chacune de mes histoires sont racontées en se plongeant dans la peau des personnages qui la composent.
Vous aller ici vivre le scénario au travers de l'homme. Vous pouvez aussi bien commencer par le récit publié sur ce même site il y a quelques mois que vous retrouvez dans ma fiche auteur : MAËLYS ET L'INCONNU.
Libre à vous de procéder comme bon vous semble. Bonne lecture à tous.



À 49 ans, Marc est un homme en pleine reconstruction. Responsable qualité pour un groupe pharmaceutique parisien depuis plus de 15 ans, c’est un personnage intelligent et minutieux. Dans l’entreprise, l’homme est très apprécié par ses collègues tant pour son amour du détail et de la précision que pour son management profondément humain. Il y a deux ans, la maladie a emporté Audrey, son épouse. Marié depuis 25 ans, il était fou amoureux de sa femme qui, en épouse aimante et dévouée, avait fait de Marc l’heureux papa d’Adrien il y a 19 années de cela. Sa mort soudaine fut un déchirement pour le père et son fils et plongea l'homme dans une profonde détresse.
Lors de ces quatre derniers mois, après avoir vécu la période la plus difficile de sa vie, Marc reprenait petit à petit le dessus sur sa tristesse. Focalisé sur le travail et sur l’éducation de son fils, il remontait la pente. L’homme s’était fait de nouveaux amis, remis à sortir, parti en vacances avec son fils…Il s’était même remis au basket après vingt années d’arrêt. Lorsqu’il avait rencontré Audrey, ce jeune sportif était un excellent basketteur et un compétiteur hors pair. Même si son corps n’était plus aussi performant qu’à l’époque, il prenait un plaisir fou à rejouer. En même temps, le physique étonnant de Marc s’accordait efficacement avec ce sport où les grands règnent. Du haut de ses 2m07, jouer les ballons sous le panier devenait une opération dans laquelle il excellait. Le géant avait toujours été mince, et même après 49 bougies, la balance affichait les 85 kilogrammes de ses 25 ans. Large d’épaules et durement musclé, il pouvait manger tout ce qu’il voulait sans que cela n’entraîne aucune conséquence sur sa ligne. Ce qui, à l’époque, rendait fou de jalousie Audrey qui, ayant toujours eu quelques petites rondeurs, devait constamment faire attention à ce qu’elle avalait. Le temps avait habillé de quelques rides le visage carré de Marc tandis que ses cheveux poivres et sels naturellement frisés s’accordaient avec des yeux gris clair étincelants surmontés de sourcils broussailleux. Le teint pâle, il l’avait toujours eu. Le soleil était généralement son pire ennemi car il ne bronzait pas : il rougissait. Et même si elle était à la mode, il estimait que la barbe ne lui allait pas du tout…de toute façon la sienne poussait de manière incontrôlable. Du coup, rasé à blanc tous les matins, il laissait à découvert un menton pointu et des joues creuses.
Ce soir-là, l’entrainement de basket venait de se terminer. Marc trainait sous la douche, profitant d’un moment de décontraction bien mérité alors que les jets d’eau massaient sa nuque. L’homme regardait vers le bas tout en observant son pénis tombant. Marc n’avait pas un physique de mannequin, mais il avait quelque chose dont il était fier : son sexe. L’engin aurait pu faire rougir n’importe lequel des acteurs de films X du moment. D’abord parce que son membre affiché des dimensions hors normes, jusqu’à 28 centimètre en érection pour une largeur de 5 centimètres et demi. Lorsqu’il était excité son pénis bandait parfaitement droit et ne présentait aucun défaut esthétique. Marc s’était aussi rendu compte qu’il avait des facultés d’endurance sexuelles importantes. S’il le choisissait, il pouvait, à l’époque, épuiser Audrey durant de longues minutes avant d’arriver à l’orgasme. Bien souvent, sa jouissance était puissante et abondante. Lors de leur première fois, Audrey avait eu peur de cet énorme calibre et avait fini par s’y faire. Tout au long de leur vie de couple, elle n’avait jamais été d’un naturel très coquin mais cela suffisait pour satisfaire les pulsions masculines de Marc. Alors qu’il contemplait ses nombreux centimètres de chair épaisse au repos, l’homme était plongé dans une profonde réflexion.
- « Est-ce que ça pourrait être pour ce soir ? » pensait-il.

Pour mieux comprendre là où Marc voulait en venir, il faut remonter de quelques mois. Un an après le décès de sa chère épouse, son fils Adrien avait dû quitter le domicile familial parisien pour une école spécialisée dans la robotique à Nantes. Marc s’était retrouvé seul dans son grand appartement accompagné de pensées perverses grandissantes. Il n’avait jamais été, par le passé, un grand consommateur de contenu pornographique. Cependant, avec ces derniers mois de solitude et de manque sexuel, les moments passés à se masturber devant son ordinateur s’étaient multipliés. A bientôt cinquante ans, il fantasmait plus que jamais sur les jeunes filles qui lui apparaissent à l’écran et qui ne devaient même pas avoir la moitié de son âge. Et quand il sortait, il retrouvait ces jeunes femmes pouponnées comme des Barbies dans la rue, le métro, à l’entreprise…Son envie de goûter à cette jeunesse grandissait chaque jour. Mais comment faire ? Lui qui n’avait plus son charme de jeune homme pour tenter de les séduire essayait chaque jour de répondre à cette question. Il aurait pu payer une prostituée et se faire plaisir, sa situation financière lui permettait largement de s’offrir une très jolie jeune fille. Mais l’idée ne l’excitait pas…cela aurait été trop facile. Et ce qu’il recherchait, c’était l’innocence de la jeunesse dont il pourrait abuser. Au lit, Audrey n’était pas du tout docile et Marc avait toujours regretté de ne pas avoir une femme plus soumise. Il était convaincu qu’il prendrait un pied incroyable à dominer sa partenaire. Et si cette dernière pouvait être jeune et naïve, son plaisir en serait décuplé. Mais comment faire une fois de plus ? L’idée lui vint durant cet été. Alors qu’il profitait d’un petit moment de plaisir en explorant le contenu d’un site pornographique, Marc tomba sur une vidéo de « gloryhole ». Il s’agit d’un trou dans le mur qui permet de présenter son sexe depuis l’autre pièce. La femme peut donc faire toutes sortes d’actes sexuels sans pour autant voir l’identité de l’homme avec qui elle les faits…cultivant ainsi le fantasme de l’inconnu. C’était le plan parfait : il pourrait donc tenter de séduire virtuellement une jeune femme en se faisant passer pour plus jeune. Marc avait confiance en son intelligence et sa subtilité pour trouver la personne idéale. Patient et méticuleux, il œuvra chaque jour à mettre son plan en place.
Un vendredi soir, alors qu’il rentrait tard d’un rendez-vous d’affaire dans le sud de la France, le TGV le déposa à la gare Montparnasse où l'homme décida de se rendre aux toilettes afin de soulager sa vessie. Il découvrit un peu par hasard les toilettes situées à l’étage et assez isolées du reste de la gare. Modernes et propres, elles étaient complètement désertes à cette heure-là. Il observa les cabines les unes après les autres avant de remarque que, tout au fond, une cabine handicapé était installée. Deux fois plus grande que les autres toilettes, elle était équipée d’un lavabo et d’un miroir. Il observa la plaque de stratifié qui le séparait de la pièce d’à côté. Cette dernière ne devait même pas faire 1 centimètre d’épaisseur et il pourrait donc facilement bricoler ce qu’il avait à l’idée : à savoir un trou en forme de cercle pour y faire passer son sexe et une fente à hauteur de ses yeux pour pouvoir contempler sa potentielle partenaire. Pour ne pas laisser un sentiment d’inachevé à son fantasme du moment, Il était très important pour Marc qu’il puisse voir cette jeune fille et ne pas uniquement jouir des sensations qu’elle lui procurerait. Il sortit son téléphone et s’organisa. Il passa une trentaine de minutes à tourner dans les toilettes et à l’extérieur en prenant des notes sur son smartphone. Aucune caméra de surveillance ne semblait être présentes à l’extérieur des couloirs. Marc prit en photo la fiche de passage de l’entretien pour constater que le dernier passage avait lieu à 20h30 : c’était idéal. Il se rendit aussi compte que la fréquentation à cette heure était complètement nulle. Mais il fallait tout de même trouver une solution pour verrouiller la porte principale et l’idéal, c’était d’avoir les clefs.
Le lendemain, Marc retourna sur les lieux pour observer la femme de ménage et la suivi durant son tour. La chance était avec lui car, arrivée aux toilettes du haut, la femme s’absenta pour redescendre au niveau supérieur. Marc nota qu’elle avait pris son badge mais avait laissé un trousseau de clé sur son chariot. Lorsqu’elle ne pouvait plus le voir, il bondit sur le chariot en dérobant subtilement le trousseau de clés et entra à l’intérieur des toilettes. Rapidement, il essaya les nombreuses clés avant d’en trouver une qui entra dans la serrure. Le clic du mécanisme qui se verrouilla lorsque Marc tourna la clé le fit sourire. Il retira cette dernière et l’inséra dans sa poche puis fila en prenant soin de reposer le trousseau sur le chariot. Il n’avait plus qu’à prier qu’elle ne se rende compte de rien avant qu’il puisse en faire un double. Son plan se déroula comme prévu car il réussit le lendemain à déposer de nouveau la clé originale sur le trousseau pendant que la femme de l’entretien nettoyait les toilettes. Plus tard, il entra dans la cabine en question et traça légèrement sur la paroi les zones qu’il découperait au dernier moment. Il avait auparavant pris soin de calculer où se positionnerait le visage d’une jeune fille d’environ 1m60-1m70 à genoux et donc à quelle hauteur il devrait percer le trou pour son sexe. Il s’arrangeât aussi pour que l’ouverture du haut, une fois réalisées, lui permette d’exploiter le miroir présent sur la paroi d’en face afin qu’il puisse apprécier la jeune fille de dos quand elle s’occupera de son membre. Il percerait au tout dernier moment afin que son plan ne tombe pas à l’eau. Tout était désormais prêt. Enfin prêt...Il devait encore trouver une jeune femme assez audacieuse pour rentrer dans son jeu.
Douche terminée, Marc rejoignît tranquillement son appartement situé dans un des quartiers Montmartre du 18eme arrondissement. Comme d’habitude, il se prépara un repas équilibré qu’il engloutit puis s’étendit sur le canapé avec son ordinateur. Il avait récemment trouvé un site de tchat anonyme sur lequel il avait déjà passé de nombreuses heures. Marc réussit à nouer quelques contacts avec des jeunes filles mais sans concrétiser le rendez-vous tant espéré. Néanmoins il s’accrochait. Cela faisait plus d’une dizaine de jours qu’il gardait son envie et ne s’était pas masturbé…espérant que ce soir serait le bon soir. En se connectant, il changea légèrement sa stratégie d’âge. En effet, plus les soirées avançaient, plus il se rendait compte que parler comme un jeune de 25 ans demandait un lexique qu’il ne maîtrisait pas. Il perdait donc en crédibilité. Convaincu aussi qu’une jeune femme avide d’aventure serait plus partante de tenter l’expérience avec un homme plus âgé, il avait repoussé petit à petit le nombre de bougies de son profil imaginaire. De plus, si une jolie jeune femme d’une trentaine d’années avait été partante pour le suivre, il n’aurait pas dit non. C’était décidé, son profil du nom de « Inconnu » aurait 37 années ce soir. Il se connecta vers 20 heures et commença à aborder à la chaîne tous les profils féminins de moins de 30 ans qu’il croisait. Le site comportant quatre fois plus d’hommes que de femmes, il avait l’habitude d’attendre longuement des réponses qui souvent, n’arrivaient jamais. Sa phrase d’accroche était directe mais il la trouvait bien adaptée : « Bonsoir, je sais que je suis un petit peu plus âgé mais, si tu aimes l’aventure, l’inconnu et surtout passer de bons moments, merci de prendre quelques secondes pour me répondre. » Elle amenait suffisamment d’intrigue et restait très courtoise.
Après quelques échanges infructueux, il reçut un message :- « oui »Marc ne se précipita pas et consulta le profil de la jeune personne qui lui avait timidement répondu : Maëlys, 22ans. Après un sursaut d’excitation, il s’empressa de répondre. En tapant, il se dit qu’il fallait la détendre et tenta un brin d’humour : - « Merci beaucoup. Après, si tu es trop occupée à répondre à des « salut ça va » ou « hey » d’une horde de mâles en furie je comprendrai. Je n’aimerais vraiment pas t’enlever à une activité passionnante et très constructive. » écrit l'homme.
Alors qu’il relisait sa réponse espérant de tout cœur que cette dernière plaise, la jeune femme répondit : - « S’ils étaient seulement en furie, ça irait encore…beaucoup sont surtout en chaleur ! »Il eut un sourire de coin et se dit qu’il fallait faire attention. S’il était trop direct, il risquait de se faire zapper. Il commença à écrire et s’arrêta.
- « Non ! » pensa-t-il. Il ne cherchait pas une amie mais un plan. Il fallait qu’il soit précis sur ses intentions. Il répondit : - « Aïe, on va avoir un problème, je crois que moi aussi je suis en chaleur. »La réponse ne se fit pas attendre : - « Ah…salut alors. Mdr »Ce « Mdr » le laissait plein d’espoir. Il devait rattraper le coup avec un peu d’humour et de subtilité. Confiant, il écrivit : - « Non mais attend, je sens que ça va mieux, tu es tellement fresh que j’ai les doigts gelés rien qu’en t’écrivant ! LOL. »Fier de sa réponse qui transpirait la jeunesse, il attendit avec impatience la réponse.
- « Très bien envoyé ! Au moins tu as de la repartie. Mais comment sais-tu que je suis fresh ? tu ne sais même pas comment je suis ? » répondit la jeune fille.
Il sauta sur l’occasion pour lui demander de se décrire : - « Ok alors, donne-moi un aperçu, décris-toi. » relança-t-il.
Quelques secondes plus tard, il lisait la réponse : - « je suis brune, je fais 1m59, j’ai les yeux verts » - « Humm, un petit modèle » pensa-t-il avec envie en se disant que cela fera l’affaire à merveille. Il tenta d’en savoir plus en insistant : - « tu triches là, c’est vachement vague tout ça. Tes cheveux sont longs ? courts ? Lisses ? Ondulés ? Ton visage est fin ? Carré ? Rond ? Et ton teint ? clair ? Foncé ? » relança-t-il.
- « Mes cheveux sont longs et très légèrement ondulés, mais il m’arrive de les lisser. Mon visage est fin et j’ai le teint clair. Alors ? satisfait ? » lis-t-il à voix basse lorsqu’il reçut la réponse.
- « Ok, c’est déjà bien mais ça mérite un peu plus pour doser de ta fresh attitude ! Mensurations ? MDR » répondit Marc. C’était osé mais il fallait qu’elle soit sûre de ses intentions.
- « Tu vois je ne suis pas si fresh que ça, tu es encore en chaleur ! Tu ne veux pas mon Instagram pour mater mes photos pendant qu’on y est ? » relança rapidement la jeune femme.
Marc sourit et réfléchit.
- « il faut que je la provoque » pensa-t-il.
- « Pas cap » écrivit-il.
Sa stratégie marcha car la jeune fille lui envoya quasiment instantanément son nom de profil Instagram.
- « En fait c’est inutile, je n’ai pas Instagram. C’était juste pour voir si tu avais de l’audace. » répondit-il.
Marc avait un bon pressentiment. Cette jeune femme pouvait être la fille qu’il recherchait car en effet, elle avait de l’audace. Il n’avait pas du tout été franc sur le fait qu’il ne possédait pas de compte Instagram. Il passait souvent du temps dessus en fantasmant sur toutes ces poupées qui n’hésitaient pas, en échange de quelques « like », à exposer leurs formes. Alors que son application était sur le point de se charger, il s’arrêta pour lire la réponse de Maëlys :- « On ne peut pas dire que je suis une grande audacieuse. Et là, je ne prends pas beaucoup de risques, ce n’est qu'un réseau social. »Marc réfléchit à sa réponse. Il sentait qu’il devait emballer le dialogue et le diriger, sans la brusquer, vers son objectif final. Il l’encouragea : - « Allons-y alors, prenons-en des risques ! Je n’ai vraiment pas envie d’être sur la retenue ce soir, ayons une discussion saine mais sans tabous. »Il reprit son téléphone et rechercha sur l’application le profil de Maëlys en priant que ce dernier soit public…et il l’était. L’excitation monta d’un cran lorsqu’il aperçut pour la première fois la frimousse de la jeune fille sur la photo de profil pourtant en taille réduite. Il cliqua et atterrit sur sa page où les photos se chargèrent une à une. Il bondit sur la dernière qu’elle avait postée il y a 3 heures pour l’afficher en plein écran. Elle s’était prise en photo face à un miroir dans ce qui ressemblait à un vestiaire de fitness. Sa posture cambrée mettait délicieusement en valeur les courbes de la jeune femme qui portait un ensemble legging rose pastel très moulant. La brunette dévoilait son ventre plat et un joli petit piercing au nombril que Marc ne manqua pas de remarquer. Elle semblait toute fine et terriblement sexy. Alors que sur les premières secondes, les yeux envieux de Marc avaient analysé le corps de cette jeune sportive, il concentra son attention sur son visage. Maëlys avait des traits fins et un teint relativement clair. Un joli petit nez mince et légèrement relevé siégeait au milieu de son visage d’ange. Marc ne manqua pas de noter la présence de petites lèvres pulpeuses et mourrait déjà envie d’y glisser entre son énorme membre. La brunette laissait une longue chevelure légèrement ondulée descendre jusqu'au milieu de son dos. Sur cette image, on voyait qu’elle maîtrisait parfaitement l’exercice du selfie avec un sourire naturel et bourré de séduction. En l’espace de quelques secondes, Marc s’était mis à bouillonner d’envie, en témoigne l’énorme bosse qui commençait à se dessiner à travers son short. Et ce n’était que le début car la réponse de la jeune fille allait le faire encore monter d’un degré. Ses yeux changèrent d’écran pour lire :- "85B et 36. Je n'ai jamais mesuré mon tour de ventre mais je suis plutôt fine."En répondant à la question la plus intime qu’il lui avait posé, à savoir connaitre ses mensurations, elle venait subtilement de donner à Marc une réponse positive à son invitation à prendre des risques et parler sans tabous.
- "Waouh, c'est un vrai fantasme pour moi. Une jeune fille fine et sexy" confia Marc à Maëlys.
Il passa de nouveau de son ordinateur à son smartphone et parcourait les autres photos de la jeune étudiante. Il y avait beaucoup de photos d’elle. La plupart du temps au sport ou simplement face au miroir dans des tenues de journée que Marc trouvait plus qu’affriolantes. Il s’arrêta sur une photo qui datait du mois d’aout et où la jeune fille était en tenue de soirée. Elle s'était prise face au miroir avec une amie. La brunette portait une jupe très courte noire avec un beau décolleté et des talons hauts merveilleusement sexy. Marc ne se fit pas prier pour utiliser le zoom sur cette poitrine qui semblait plus opulente que ce qu’elle lui avait précisé un peu plus tôt.
- " Bon sang qu’est-ce qu’elle est bonne ! » pensa-t-il en constatant que la jeune fille ne semblait pas avoir vestimentairement froid aux yeux. En même temps cela avait beaucoup changé depuis sa jeunesse. Les jeunes sont de plus en plus dénudées année après année pensait Marc.
Une nouvelle réponse de la brunette arriva sur son ordinateur : - " Et toi alors ? tu es comment physiquement ?" l'interrogea-t-elle.
Il envoya :- " Si je répondais à cette question il faudrait que je change de pseudo. Disons simplement que je suis très grand et mince." Il bascula une nouvelle fois sur son smartphone et fit défiler encore quelques photos. Soudain, une photo attira un peu plus son attention et il s’empressa de l’afficher en plein écran sur son téléphone.
- " Oh la petite salope ! " s'exclama-t-il.
Sur la photo, la délicieuse créature était allongée à plat ventre sur une plage. Elle s'était prise en photo avec, au premier plan, sa jolie petite frimousse souriante et surtout, au second plan, ses petites fesses en string qui prenait le soleil. Ces dernières parfaitement rondes étaient traversées par un petit bikini blanc extrêmement sexy. Cet été, alors qu'il était parti en vacances avec son fils, Marc avait remarqué un nombre incalculable de jeunes filles portant ce genre de bikini string sur les plages. Les choses avaient vraiment changé depuis qu'il était jeune, n'en déplaise à sa libido.
Marc ne se posa pas de question il fit glisser son short et commença à masturber son énorme sexe déjà bien dure en gardant son regard fixé sur ce joli fessier. Alors qu'il était en pleines caresses, un message de Maëlys vint l'interrompre : - "Tu parlais de fantasme tout à l'heure, enfin tu as surtout parlé de physique. Mais dans tes envies ? Que fait la jeune fille dont tu rêves ?"- "Elle est docile et m'emmène jusqu'à l'extase par la plus coquine des fellations. J’adore vraiment les gâteries ! Elle prend bien son temps, me regarde dans les yeux avec son joli minois et suit mes consignes en bonne petite soumise." Répondit Marc en toute franchise. C'était en effet son plus grand fantasme, une bonne et longue gâterie réalisée par une jeune et docile jeune fille qu'il dirige à sa guise.
-"sympa" répondit timidement la jeune fille.

Dans l'heure de dial qui suivit, Marc apprit de nombreuses choses sur Maëlys. Plus il progressait dans la conversation, plus il se disait que ce petit bout de femme était la partenaire idéale. Il profitait en parallèle des nombreuses photos de son profil. Ils les avaient toutes épluchées sans exception et, en bon pervers, il masturbait son énorme sexe en même temps. Maëlys lui exprimait clairement ses désirs de soumission et sa frustration de n'avoir jamais trouvé le partenaire idéal. L'homme lui assura être ce type de profil sexuellement et qu'à condition que cela soit consentant, il adorerait abuser d'une jolie jeune fille. Il la rassura en précisant que cette domination était plus verbale que physique. Il s'amusa même à lui parler de son fantasme de l'écolière à couettes à qui on met des fessées parce qu'elle n'a pas fait ses devoirs. Marc compris très vite que, malgré sa timidité, cette petite Barbie attachait beaucoup d'importance au regard des autres. Elle lui confia qu’être bien habillée et se sentir sexy lui apportait de la confiance. Marc soupçonna un léger côté exhibitionniste puisque à un moment, elle témoigna de son affinité pour la provocation. Il rétorqua qu'il trouvait très excitant la lingerie glamour et les talons hauts avant que Maëlys confirme qu'elle avait l'habitude de porter ce genre de choses dans les moments coquins. Ce n'était pas dans son plan initial, mais l'homme comptait bien se servir de ce genre d'information pour rendre son projet encore plus appétissant. Il tenta même d'aborder un sujet très délicat mais qui lui tenait à cœur : les mots cru. Lorsqu'il imaginait la scène, il se voyait rude dans le langage envers sa partenaire qu'il n'hésiterait pas à traiter de "petite salope" ou tout autre terme qui lui viendrait à l'esprit. Il n'avait jamais osé avec Audrey mais cela l'attirait. A son plus grand étonnement, la jeune fille confirma que, de son côté, elle trouvait que cela rajoutait du piment à condition que les mots soient bien choisis et que ce ne soit uniquement de son partenaire vers elle et non l'inverse. Marc regarda sa montre : 22h10. Il devait accélérer et lui faire part de sa proposition. Convaincu d'avoir cerné Maëlys correctement, il commença à écrire une longue tirade sur sa zone de dialogue. A cet instant, il reçut un message de la jeune fille : - " Mon problème c’est que j’ai peur d’oser. Je trouve difficile de gérer ce mélange entre peur et fantasme et pourtant, même la peur a quelque chose d'excitant. L’inconnu me fait terriblement envie mais je sens que ma trouillardise risque de m’empêcher de réaliser mes fantasmes."Le minutage était parfait. Marc prit une profonde respiration et finit d'écrire avant d'envoyer le texte suivant : - « Écoute ma belle, il est 22h15. J’aimerais que tu mettes une tenue sexy et ce qu’il faut pour te pomponner dans un sac ou une valise puis, rend toi à la gare Montparnasse qui doit être, vu ce que tu m’as dit, à quelques minutes de chez toi. A 23h précisément, passe par l’entrée principale « Porte Océane » et file tout droit sans t’arrêter à l’escalator qui se trouve à une trentaine de mettre en face de toi et qui t’emmènera au niveau 1. Il est vraiment important que tu ne te retournes pas tout au long de ce trajet. Une fois en haut, prend sur ta droite et rejoint les toilettes tout au bout du couloir. Choisis les toilettes pour hommes, entre et dirige-toi tout au fond. Je veux que tu t’isoles dans la toute dernière cabine, c’est un espace handicapé. Ne t’inquiète pas, cet endroit est propre et désert le soir. Une fois dans la cabine, prend le temps pour te faire belle et sexy avec la tenue que tu auras apportée, j’arriverai à 23h45.
Je te propose d’affronter tes peurs pour une fois et d’aller au bout de tes envies. Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un tordu et il ne t’arrivera rien de mal, je déteste la violence.
Cela fait un petit moment que l’on discute ensemble et je suis convaincu que ce que je vais te proposer va te plaire. Sur ce, je déconnecte. Je serai là quoi qu’il en soit. Libre à toi maintenant de tenter ou non l’expérience. » Et Marc se déconnecta.
L'espace d'un instant, il se demanda si ce coup n'était pas trop osé pour une jeune fille de 22ans. Mais il ne pouvait revenir en arrière. De toutes les jeunes filles avec lesquelles il avait discuté dernièrement, celle-ci paraissait le plus en phase avec ses envies. Et son physique sexy confortait l'homme dans cette idée. Il espérait de tout cœur que son plan fonctionne.
Après avoir brièvement pris une douche et enfilé une tenue décontractée composée d'un jean et d'un t-shirt, l'homme quitta son appartement avec un sac sur le dos où il avait préparé, déjà depuis plusieurs semaines, tout ce dont il aurait besoin. Il attrapa le métro et se retrouva quelques minutes plus tard devant la gare Montparnasse. Marc fonça dans les toilettes où l'essentiel de son plan du soir aller se dérouler et commença par vérifier qu'il n'y avait personne. Chose faite, il scotcha une affiche "toilettes hors-service" avec le logo de la gare sur la face extérieure de la porte. Il la referma et verrouilla la porte avec le double de clé. De son sac, il commença par sortir une perceuse électrique et y fixa une scie en forme de cercle d'un diamètre de 10cm. Il retrouva ses fines marques et commença à percer. La paroi céda facilement et un cercle parfait venait maintenant servir d'ouverture entre les deux cabines. Il changea la scie pour un foret large de 25 millimètres et fit deux trous très espacés sur les marques qu'il avait tracées au niveau de ses yeux. Il changea d'outil pour une scie sauteuse et rejoint les deux trous pour créer une fente. Il n'avait jamais été un grand bricoleur mais eut un sentiment de satisfaction car, avec le stress qui l'envahissait, l'homme avait tout de même réussi à faire quelque chose de propre. Il lima rapidement les bords de ses ouvertures et aspira les salissures avec un mini-aspirateur qui lui servait habituellement à retirer les miettes de pain de sa table. Sa deuxième étape était simple, nettoyer la cabine où il espérait que Maëlys prendrait place d'ici quelques minutes afin qu'elle s'y sente pour le mieux. Il frotta le sol, les toilettes, le lavabo et les parois avec un désinfectant de qualité qui laissa une agréable odeur de vanille. Marc regarda une dernière fois autour de lui, tout était parfait. Il rangea toutes ses affaires dans son sac et le déposa dans la cabine d'à côté qui lui était destinée. Il regarda son téléphone qui le rassura en affichant 22h53, confirmant qu'il était dans les temps. Il rouvrit la porte et retourna l'affiche qu'il avait installé. Puis, l'homme descendit dans le hall de la gare et se positionna sur le côté de l'entrée de manière que la jeune fille, quand elle rentrera, ne puisse pas le voir. Il regarda de nouveau son téléphone.
22h57.
- "Mon Dieu, faîtes qu'elle soit là !" pria-t-il. Marc était athée mais se serrait converti à n'importe quel Dieu si ce dernier pouvait faire en sorte que Maëlys passe cette porte dans les trois prochaines minutes.
Il consulta une nouvelle fois son téléphone.
22h58.
Son cœur battait à cent à l'heure. Un mélange de peur et d'excitation l'envahissait peu à peu.
22h59.
- "Allez Maëlys, dis-moi que tu as eu le courage de venir !" espéra-t-il.
23h00.
- "Oh OUI !" s'exclama-t-il intérieurement dès qu'il reconnut la jeune fille en train de franchir la porte à quelques mètres de lui. L'étudiante venait de passer d'un pas vif dans une tenue décontractée. Même avec ses baskets, son jean taille haute et son petit haut bleu, Marc trouvait la brunette déjà très sexy. L'excitation l'envahie complètement et l'homme avait envie de hurler sa victoire au beau milieu du hall. Il se mit instantanément à suivre Maëlys de quelques mètres.

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Texte coquin : L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 1 : La proposition
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