L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 2 : Un argument de taille

- Par l'auteur HDS JFC -
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Auteur homme.
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Récit libertin : L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 2 : Un argument de taille Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 2 : Un argument de taille
23h00.
- "Oh OUI !" s'exclama-t-il intérieurement dès qu'il reconnut la jeune fille en train de franchir la porte à quelques mètres de lui. L'étudiante venait de passer d'un pas vif dans une tenue décontractée. Même avec ses baskets, son jean taille haute et son petit haut bleu, Marc trouvait la brunette déjà très sexy. L'excitation l'envahie complètement et l'homme avait envie de hurler sa victoire au beau milieu du hall. Il se mit instantanément à suivre Maëlys de quelques mètres.

Les yeux rivés sur ces jolies fesses que le jean de la jeunes femme épousait à merveille, Marc la suivait, sentant son sexe commencer à se durcir. Alors qu'elle attrapa l'escalator, il l'imita, le regard toujours aimanté par le petit postérieur rebondie de Maëlys.
-" Quel cul ! Mais quel cul ! J'adorerai tellement en abuser" pensait-il alors que son boxer commençait réellement à être beaucoup trop serré pour son membre grandissant.
Arrivé en haut, la jeune fille s'extirpa rapidement de l'escalator en tirant sa valise et fonça en direction des toilettes. Malgré ses grandes jambes, le géant avait du mal à suivre la cadence de la jeune sportive qui semblait être stressée. En même temps, Marc comprenait facilement qu'elle le soit vu la situation. Rapidement, Maëlys entra par la porte principale des toilettes hommes où il retourna, derrière elle, l'affiche qui précisait que les toilettes étaient hors services. Marc guetta de longues minutes l'entrée de la porte pour voir si quelqu'un souhaitait entrer. Par chance, personne ne se présenta et, surtout, la petite Barbie n'était pas ressortie pour changer d'avis. C'était finalement le plus important. Il n'arrêtait pas de regarder l’heure de son téléphone, les minutes lui paraissant êtres des heures. Marc y était ! Là tout proche, à quelques minutes de son fantasme. Il planifiait ce qu'il lui dirait, ce qu'il lui ferait, comment il la dominerait et abuserait d'elle. L'homme n'arrêtait pas de se repasser l'image de ces petites fesses serrées dans leur jean qui se balançaient juste sous son nez, vision qui avait pour conséquence de faire durcir son sexe depuis de nombreuses minutes.
23h44.
Cette dernière consultation de l'horaire le tira de ses pensées alors qu'il imaginait les jolies petites lèvres de la jeune fille tenter péniblement d'avaler son énorme sexe rigide.
-"Allez c'est parti !" se dit-il en bondissant de la chaise où il patientait.
Il brûlait d'excitation et était plus que prêt. Il avait hâte de découvrir comment la jeune poupée s'était apprêtée.
23h45.
Il poussa la porte principale des toilettes et la referma, constatant qu'aucun bruit ne s'échappait dans cette grande pièce. Marc se retourna et verrouilla discrètement la serrure. Il se dirigea d'un pas lent vers la cabine mitoyenne à celle où se trouvait sa jeune et délicieuse partenaire du soir. Marc ouvra et referma calmement la porte avant d'installer ses yeux face à la fente pour observer la jeune fille qu'il avait réussi à attirer jusqu'ici.

Ses pupilles se dilatèrent à la vue de la jeune brunette qui avait habillé sa frimousse d'un timide sourire. L'homme pris quelques secondes pour la reluquer de la tête au pied. Enfin plutôt des pieds à la tête puisque le premier élément de cette tenue sexy qui attira son attention fut les talons hauts rose bonbon qui habillait ses pieds et surélevaient de plusieurs centimètres ce joli petit bout de femme. La jeune fille portait des bas blancs qui remontait le long de ses fines jambes et d'une partie de ses cuisses où ces derniers étaient accrochés à des jarretelles blanches. Jarretelles qui disparaissaient derrière une jupe très courte. Cette mini-jupe, plissée et parée de petits carreaux rose et blanc, concrétisait le fantasme de l'écolière que Marc avait exprimé par tchat quelques heures plus tôt. Elle semblait vouloir bien faire et cette dévotion lui plaisait énormément. Ses yeux remontèrent sur cette fine taille et ce ventre plat. Le haut qu'elle avait choisi, blanc à manche courte et noué à l'avant, ne couvrait guère sa poitrine et dévoilait ainsi, pour le plus grand plaisir de son partenaire, l'intégralité de son ventre et de son décolleté. Maëlys avait gardé, au nombril, la petite perle brillante composant son piercing que Marc avait déjà aperçu plus tôt sur ses photos. L'homme s'arrêta sur son décolleté et sur ces deux formes rondes qui se pressaient l'une contre l'autre. Contrairement à ce qu'elle lui avait dit plus tôt, Marc trouva la poitrine de la jeune fille plus que convenable. Son petit haut masquait péniblement le soutien-gorge blanc en dentelle qu'elle portait pour l'occasion. Sa tenue était digne d'une parfaite petite lolita et Marc jubila lorsqu'il aperçut les deux jolies couettes que la brunette avait arrangé sur la partie supérieure de chaque côté de sa tête. Elle avait revisité les couettes d'un manière très moderne comme le font les jeunes filles d'aujourd'hui et laissait dépasser, de chaque côté de son visage, deux petites mèches fines. Visage qui d'ailleurs, afin de rester dans le thème de la petite lolita écolière, était teinté de rose grâce au maquillage très présent qu'elle affichait.
Marc, de sa voix grave et profonde prononça lentement :- "Tu es sublime Maëlys".
Au fond de lui, il jubilait. Il avait réussi et avait encore du mal à en croire ses yeux. Pourtant la petite poupée apprêtée comme il en rêvait était juste là, devant lui.
La jeune fille, qui avait semblait rougir, ne répondit pas à Marc.
- « Tu es terriblement sexy ma belle et cette petite tenue me plaît énormément. Tu veux bien m’en montrer un peu plus ? » lança-t-il d'une voix envieuse.
La jeune femme commença à marcher en direction de Marc en croisant ses pas telle l'allure d'un mannequin qui défile. Perchée sur ses talons haut, l'homme trouva la démarche de Maëlys terriblement sexy et se mordit les lèvres d'envie. Alors qu'elle se rapprochait, Il put apprécier les traits fins de son visage juvénile. Cette brunette était extrêmement mignonne et l'importante dose de maquillage qui habillait son minois ajoutait un côté provocant à sa beauté naturelle. En effet, l'homme apprécia ces paupières soigneusement dégradées de rose et ces très longs cils recourbés maquillés de noirs qui siégeaient au-dessus de magnifiques yeux verts. Ces jolies joues roses légèrement teintées et ces petites lèvres pulpeuses rose bonbon dans lesquelles il avait envie de croquer. Puis, son attention se porta de nouveau sur le nombril décoré de la jeune femme.
- « Ce petit ventre, et cette jolie perle qui décore ton nombril…tu sais que ça ne fait même pas trente secondes que je te vois et tu m’excites déjà énormément ! » complimenta-t-il.
La jeune fille ne répondit toujours pas et se contenta d'un sourire timide. Elle marqua alors un demi-tour qui rendit Marc encore plus excité. La jupe, de taille micro, couvrait à peine la moitié de son postérieur rebondi. Il remarqua, comme à l'avant, les deux jarretières qui traversaient les fesses de la jeune sportive et venaient accrocher ses bas blancs. Il ne l'apercevait pas mais devinait aisément qu'elle portait un string. Même s'il n'en distinguait que la moitié, ce petit fessier dénudé l'excitait déjà comme un fou.
Alors qu’elle marchait lentement vers le fond de la pièce avec cette même démarche de Barbie, la voix grave de Marc résonna de nouveau.
- « Je suis fan de cette petite jupe » complimenta l'homme.
Maëlys se décida enfin à répondre :- « Je l’ai mise exprès» lança-t-elle d’une voix timide en se retournant.
- « C’est parfait, j’adore ! » répondit-il avant d’enchaîner :- « Continue à te trémousser…tu me fais beaucoup d’effet ».
La jeune femme se retourna, posa les mains sur le mur face à elle, tourna la tête de profil pour attraper le regard de Marc du coin de l’œil et cambra ses petites fesses. La jupette de la jeune fille remonta et dévoila ainsi la totalité de son postérieur habillé de cette lingerie glamour. La petite poupée avait enfilé un porte jarretelle blanc accompagné d'un petit string de la même couleur. Cette vision fit encore grimper l'excitation de Marc qui lui exprima clairement son admiration : - « Mmmmm, quel magnifique petit cul ! » lança-t-il avec envie.
Cette fois il était persuadé de l'avoir vu rougir.
- « Dommage que ce ne soit pas possible, mais j’aimerai vraiment distribuer de bonnes fessées à ce joli petit popotin. » ajouta Marc.
Alors qu'elle était restée dans cette position cambrée, la brunette réagit immédiatement aux propos de l'homme en claquant sa fesse droite avec sa main. Le bruit de la fessée résonna dans les toilettes. Marc sentit son sexe durcir complètement d'un seul coup. Au-delà du visuel, ce qui l'excitait c'était de voir que la jeune fille docile rentrer totalement dans son jeu. Et elle semblait y prendre du plaisir. C'était le moment pour Marc d'affirmer oralement sa position d'homme dominant.
- « Tu es une bonne petite coquine toi ! » dit-il d’un con calme et profond.
Sans vraiment tenter de masquer le moindre bruit, il retira sa ceinture et se débarrassa de son pantalon.
- « Continue à m’allumer jolie coquine. » ordonna-t-il.
Marc saisit son sexe rigide avec sa main droite et commença à se masturber en profitant du petit numéro d'allumage de la jeune fille qu'il avait réussi à attirer ici. Son souffle devint plus profond et le plaisir grimpa encore d'un cran alors que la jeune étudiante se trémoussait sous ses yeux en balançant les hanches. Le géant accélérait le rythme de ses va et vient à chaque fois que la jeune fille cambrait sa silhouette et lui laisser apercevoir la totalité de son magnifique fessier. Perchée sur ses talons hauts, cette vision dépassait tout ce que le géant aurait pu imaginer dans ses fantasmes. Il chauffa encore plus quand la jeune poupée se pencha face à lui afin qu’il plonge dans son décolleté. Elle attrapa en même temps ses couettes de chaque côté et lança un sourire coquin. Marc était sûr de lui, il ne s'était pas trompé en lançant l'hypothèse que ce petit bout de femme aimait l'exhibitionnisme et la provocation…en même temps avec un corps comme celui-là.
- « humm » réagit-il.
C'est au moment où la jeune fille balançait de gauche à droite ses petites fesses cambrées que Marc se décida à mettre fin à ce petit numéro de provocation.
- « Parfait ! Viens, approches toi petite coquine » dit-il avec autorité.
Elle s'approcha.
- « À genoux ma belle ! » ordonna-t-il en ayant pris soin juste avant de mettre sa main contre le trou pour que la jeunette ne puisse pas voir à travers.
Elle obéit sagement et déposa ses genoux sur le sol. De la voir obéir sagement comme une petite poupée docile inspira l’homme encore plus.
- « Regarde en l’air et cambre-moi ces petites fesses ! » ordonna Marc avec autorité.
Elle le regarda dans les yeux.
Si on lui avait dit ce matin en se levant qu'il aurait ce soir à ses genoux une telle beauté maquillée comme une Barbie, jamais il ne l'aurait cru. Il jubila en se rendant compte que ses calculs avaient été les bons lorsqu'il avait choisi la position des ouvertures puisque, dans le miroir à l'opposé, se reflétaient les jolies petites fesses en lingerie de sa lolita.
Il continuait à se caresser avec son autre main en profitant de ces deux points de vue puis se décida.
- " C'est le moment !" pensa-t-il déterminé.

En fixant Maëlys qui le regardait de ses petits yeux maquillés, il retira sa main et commença à insérer son membre par l'ouverture. En conséquence, la jeune fille détourna son regard de Marc, attirée par le mouvement au niveau du trou. Le géant avança le bassin petit à petit et aperçu les 28 centimètres de son sexe en totale érection passer petit à petit de l'autre côté de la cabine. Alors que l'énorme gland de Marc se rapprochait de son visage, Maëlys eut un petit mouvement de recul avant d'afficher sur son joli minois un sentiment évident de surprise. L'homme fit passer avec sa main ses deux énormes testicules de l'autre côté et les sentit retomber contre la paroi.
La jeune fille manifesta sa surprise.
- « Waouh ! » s’exclama-t-elle d’une voix aigüe qui résonna dans les toilettes.
L'étonnement avait figé le visage de Maëlis qui gardait la bouche en "o" tout en observant l'énorme phallus qui venait d'apparaitre de son côté de la cabine. N'en déplaisait d'ailleurs à Marc flatté par la réaction de sa jeune partenaire.
L'homme constata que son membre impressionnant restait parfaitement droit devant le visage de la petite lolita. La vision de son épaisse et longue verge claire surmontée de son imposant gland rosé à quelques centimètres de la bouille juvénile de Maëlys le combla. Il lui laissa quelques secondes d'observation avant de l'interroger.
- « Ça te plaît ma belle ? » interrogea la voix.
- « Elle est vraiment énorme » répondit-elle timidement en le regardant.
Il savait précisément ce qu'il allait lui répondre.
- « Et bien cela est ta faute petite coquine ! Ça fait cinq minutes que tu joues les allumeuses en trémoussant ton joli petit cul. » rétorqua-t-il ce qui eut pour conséquence de faire à nouveau rougir la jeune fille qui contemplait encore l'énorme sexe.
Marc ressentit dans son regard de la crainte et de l'inquiétude qu'il décida immédiatement de désamorcer.
- « Ne te tracasse pas ma belle, tu te souviens de mon fantasme ? » questionna-t-il.
Après un court instant de réflexion, il l'observa hocher la tête.
Marc savait qu'il serait difficile pour lui et son gros membre d'abuser de l’intimité de la jeune fille. Et puis cela impliquerait le port d'un préservatif et donc des soucis techniques en plus à résoudre. Non, il était bien décidé à abuser seulement de sa petite bouche durant de longues minutes. Et vu ce qu'elle lui avait montré depuis le début, la docilité de Maëlys en faisait la partenaire idéale.
- « Très bien ! Tu vas être une bonne fille » lança-t-il d’un ton sérieux.
Marc marqua une courte pause avant d'ajouter.
- « Caresse moi avec ces petites mains, je veux les sentir sur ma grosse queue ! » ordonna-t-il.
Par le passé, en bon gentleman, l'homme n'avait jamais parlé aussi vulgairement à ses partenaires sexuelles. Mais ce soir, il avait envie de faire ce qui lui plaisait de cette petite lolita docile. Alors qu'elle commençait, Marc ressentit la légère caresse des mains fraîches de la jeune fille sur sa grosse verge. La jeunette promenait le bout de ses doigts sur toute la longueur de son membre. Cela faisait tellement longtemps que d'autres mains que les siennes ne l'avaient pas touché que l'homme sentit son sexe se raidir encore plus. Et ce n'était que le début car la jeune fille referma sa fragile main autour de son puissant phallus et commença à le masturber avec douceur. Marc décela de nouveau de l'étonnement sur le visage de Maëlys qui se rendait compte de l'épaisseur de son membre et constatait que son pouce et son index n’arrivaient pas à se toucher. La jeune fille le branlait avec beaucoup de douceur et une légère amplitude.
- "Oh bon sang que c'est bon ! " pensa-t-il avant de l'encourager.
- « Humm, continue c’est parfait » lança l'homme en gémissant.
Encouragée, sa docile partenaire ajouta sa seconde main à la branlette qu'elle était en train de réaliser, augmentant ainsi l'amplitude de sa masturbation. Marc était comme un fou devant la vision de ces deux petites mains qui le masturbait et couvrait à peine la moitié de son énorme calibre.
- « Oh yes ! » gémit-il.
Il constata que la jeune fille ne l'avait pas obéi puisque son regard était attiré par son sexe. Ainsi, il ne voyait plus son joli visage d'ange mais seulement le sommet de son crâne et ses couettes.
- « Regarde-moi ! » ordonna-t-il.
Immédiatement, elle le fixa de nouveau en regardant en l'air, faisant ainsi profiter aux yeux de l’homme du plus excitant des tableaux. Il gémissait régulièrement de plaisir et en voulait plus.
- « Je veux sentir ces petites mains sur mes boules » exigea l'homme.
Avec sa main droite, la jeune fille desserra son emprise autour de cette grosse verge pour aller palper les imposantes testicules de Marc.
- "Oh putain que c'est bon…tellement bon que je deviens vulgaire" pensa Marc.
Il ressentait la douce paume de main de la jeune étudiante qui palpait et caressait l'une après l'autre ses boules pleines de plusieurs jours. Avec son autre main, elle continuait à le branler durant de longues minutes où on entendit les gémissements de Marc résonner dans la pièce. Il avait envie de donner une allure encore plus pornographique à la situation. Lors de ses visionnages nocturnes, il voyait souvent les actrices de scène X déposer les imposants sexe des acteurs sur leur visage. Marc mourait d'envie que la jeunette dépose sa grosse queue sur son joli minois. Après quelques secondes d'hésitation, il la sollicita.
- « Maintenant, on va jouer poupée ! Pose ma grosse queue sur ton visage et regarde-moi. » dit-il avec assurance.
Maëlys ne broncha pas et descendit un peu afin de placer son visage sous la grosse verge de Marc. Avec sa main, elle plaça le gros phallus de l'homme au centre de sa jolie bouille et ouvrit grand les yeux dans sa direction. Il ne regretta pas de lui avoir imposé cette consigne alors qu'il savourait la vision de son impressionnant sexe traverser complètement le visage de sa docile partenaire. Et ses yeux de biche maquillés qui l'observaient d'en bas ne faisait qu’accentuer l'excitation de la situation.
- « Bonne fille ! » lança-t-il satisfait avant de se dire que ses petites mains libres pouvaient bien lui servir à quelque chose.
- « Reste ainsi et caresse moi les bourses ma belle. » ajouta Marc.
Elle obéit en gardant le regard fixé en l’air et en approchant ses mains des deux sphères massives qui prenaient place contre la paroi. Alors qu'elles les palpaient de nouveau, Marc senti une vague de plaisir l'envahir de nouveau. En cause : la sensation de ces petites mains féminines sur ses grosses boules combiné à la vision du joli visage de la brunette traversée par son énorme queue. Alors qu'il lâchait sa docile partenaire des yeux pour reluquer ses jolies fesses dans le miroir, Marc s'aperçut que la jeune fille avait accentué sa cambrure en se baissant légèrement afin de déposer son gros membre sur sa fragile frimousse. Dans cette position, la micro-jupe de la jeune étudiante ne cachait plus rien de sa lingerie et l'homme savourait du regard le magnifique galbe qu'elle lui offrait.
– "Quel cul ! Qu'est-ce que j'aimerais arriver derrière pour le défoncer !" pensa Marc.
Alors qu'il savourait cette magnifique vue et se délectait des caresses de la jeune femme sur ses testicules lisses, Marc senti la brunette modifier la position de ses douces mains pour venir saisir la base de son puissant pénis. L'homme détourna le regard du miroir pour fixer sa jeune partenaire. Cette dernière venait de retirer son jeune minois de dessous l'imposante verge. Elle l'inclina afin de présenter sa joue droite et fixa l'homme du regard. Elle vint alors se biffler à trois reprises la joue avec le gros calibre de Marc. Un « tap tap tap » résonna dans la cabine. Immédiatement, il lui lança d'une voix ferme.
- « Humm…Petite salope ! »Il n'en revenait pas. En quelques secondes il venait de prononcer, avec plus d'aisance qu'il ne l'aurait imaginé, le mot le plus cru qu'il n'avait jamais dit à une femme. Et son énorme calibre venait de claquer la joue de cette petite étudiante qui avait plus de la moitié de son âge. Deux choses qu’il n'avait encore jamais fait. Un sentiment d'accomplissement mêlé à l'excitation l'envahie.
- « Recommence plus fort ma belle ! » ordonna-t-il.
La brunette s’exécuta une nouvelle fois avec plus de force : « TAP TAP TAP ». L’impact entre cet énorme phallus et sa petite joue résonna cette fois-ci beaucoup plus fort dans la cabine. Marc savoura une fois de plus sa réaction et le sourire coquin qui vint habiller le visage de la jeune fille.
- « On dirait que tu aimes vraiment ça jolie petite salope ! » reprit -il.
Maëlys rougit en baissant les yeux.
- « Et il me semble que tu as une autre joue…Et regarde-moi ! » lança-t-il d'un ton dominant voyant qu'elle ne regardait plus en l'air.
Relevant de nouveau les yeux, elle biffla alors sa joue gauche avec la même intention.
Marc n'en pouvait plus, l'envie le poussa à accélérer les choses.
- « Lèche-moi maintenant ! » ordonna l’homme.
Il aperçut la petite langue rose de son étudiante sortir de sa bouche pour se balader autour de son gros gland rosé. Elle décrivait de délicat mouvement circulaire qui le fit gémir. L'homme appréciait la sensation douce et humide de sa petite langue contre son sexe et gémit plus fort lorsque la jeune fille saisit des deux mains cette longue verge pour la masturber tout en continuant à lécher le dessous de son gland. Cette fois, Marc était satisfait de voir qu'en bonne soumise, Maëlys regardait bien en l’air.
A un moment, elle plaça sa langue à la base de ce gros phallus, au plus près de ses testicules, et tenta de remonter tout le long de l'imposante verge de l'homme en léchant le dessous. Ne l'ayant pas assez humidifié, elle dut s'y reprendre à deux fois pour remonter l'ensemble des centimètres qui composait cette longue verge. Alors que la langue de la petite lolita arrivait en dessous de son gland, Marc frémit.
- « Bonne fille ! J’adore ! » lui lança-t-il.
Puis il continua alors que la brunette ne cessait de donner des coups de langue sous son gland gonflé et de le regarder :- « Lèche mes grosse boules petite salope ! ».
Ce que s’empressa immédiatement de faire la jeune étudiante. Alors que son regard fixait les yeux de Marc, elle laissa cette grosse verge reposer une fois de plus sur son visage tandis que sa langue parcourait la moindre surface des testicules de l’homme. Alors qu'il savourait la sensation de ces léchouilles sur ses boules lisses, l'homme se dit que la jeune fille était vraiment la petite coquine parfaite puisqu'elle s'était remise dans cette position sans qu'il ne lui demande à nouveau.
- " Elle a l'air d'adorer sentir ma grosse queue reposer sur sa fragile bouille !" pensa-t-il satisfait.
Au même instant, Maëlys entoura de ses doigts le prépuce de Marc pour ajouter à son léchage de testicules une douce masturbation.
- « Oh oui ! Ne t’arrête pas ma belle » lança l'homme en gémissant.
Alors qu'elle continuait à jouer avec son gros membre et ses testicules, il se délecta une nouvelle fois de la vision de ces jolies petites fesses en string dans le miroir que la position cambrée avait découvert presque complètement. Il mesura une fois de plus la chance qu'il avait d'avoir trouvé une petite lolita aussi sexy, mignonne et docile. A cette idée, il sentit son énorme sexe devenir encore plus dure.
- « Tu es vraiment très doué petite salope » commenta-t-il- « je veux que tu retires cette mini-jupe et ton haut. Il y a de la jolie lingerie là-dessous » ajouta Marc désireux d'en voir encore plus dans le miroir.
Sagement, la jeune sportive se grandit pour étirer retirer son haut. Puis, elle déscratcha la microjupe avant de la jeter sur le côté. Marc apprécia une nouvelle fois cette lingerie très glamour dans le miroir.
- « Qu’est-ce que tu es bonne ! » lança-t-il avec envie.
Maëlys rougit et l'homme, qui n'avait plus envie d'attendre, ajouta.
- « Maintenant tu vas me sucer ! » affirma-t-il avec autorité et envie.

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