MAËLYS ET L'INCONNU _ Chapitre 2 : Un argument de taille

- Par l'auteur HDS JFC -
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Auteur homme.
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Récit libertin : MAËLYS ET L'INCONNU _ Chapitre 2 : Un argument de taille Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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MAËLYS ET L'INCONNU _ Chapitre 2 : Un argument de taille
23h00.
- "Allez Maëlys, soit forte ! " se dit-elle alors qu’elle franchissait la porte.

Son cœur se souleva en traversant l'entrée où, malgré l’heure tardive, un peu de monde était entassé devant les panneaux d'affichage. Elle tenta d’analyser ce petit attroupement du coin de l’œil mais n’arriva pas à distinguer quelqu’un qui guettait son arrivée. Alors qu'elle marchait d'un pas soutenu, la brunette tremblait de tout son être. Une drôle de sensation l'envahie, celle d'être suivie. Étais-ce de la paranoïa ? Quoi qu'il en soit, elle sentait un regard fixer ses fesses qui se balançaient au rythme de ses pas. En même temps, son jean épousait parfaitement la forme de son postérieur, ne laissant planer aucun doute sur la finesse, le galbe et la fermeté de son joli postérieur.
Jusqu'ici, elle respectait l'importante consigne de ne pas se retourner. L'impression d'être exposée ainsi, comme une proie à découvert, augmenta encore les battements de son cœur. Alors qu'elle attrapait la première marche de l'escalator qui l'amenait à l'étage supérieur, la jeune fille avait l'impression que son palpitant voulait sortir de sa poitrine. Elle respirait profondément en regardant droit devant elle, impatiente d'être en haut. Une fois arrivée à l'étage, Maëlys tira sa valise pour la sortir des escaliers et accéléra sur sa droite, toujours avec cette même impression inquiétante d'être pistée. L’étudiante sentait que son fessier était l’objet du désir de son poursuivant. Ses pas étaient de plus en plus rapides. Pressée de se mettre à l’abri, elle enfonça la porte des toilettes pour hommes sans se poser de questions et continua tout droit, naturellement, comme si elle connaissait déjà les lieux. L’espace était désert, comme il l’avait dit. Une dizaine de cabines se trouvaient sur sa droite et, suivant les instructions de son mystérieux partenaire, elle se précipita tout au bout avec la peur d'entendre la porte s'ouvrir de nouveau derrière elle. Elle poussa fortement la porte de la dernière cabine, fit passer sa valise et referma en verrouillant le loquet.

A la recherche d’un bruit suspect, elle bloqua son souffle et constata que le calme régnait dans les toilettes. Trente seconde de silence plus tard, elle reprit sa respiration se sentant enfin en sécurité. L’heure était à l’observation du lieu de rendez-vous fixé par son mystérieux partenaire. La première chose qui frappa la jeune femme, agréablement, fut l’odeur. Il n’avait pas menti car il flottait dans sa cabine une odeur de vanille très agréable. L’endroit était spacieux, propre, et il rayonnait de lumière avec ses parois de faïence blanche. Dos à la porte, elle observait sur sa gauche où était suspendu un lavabo extrêmement propre lui aussi et un miroir.
- « Assez pratique pour se préparer. » pensa-t-elle.
Les toilettes étaient au fond dans le coin gauche ; à l’angle du mur porteur. Maëlys tourna la tête à sa droite pour observer de l’autre côté. En regardant le fin panneau de bois solidement fixé au sol et au mur qui séparait sa cabine de celle d’à côté, un flash lui traversa l’esprit, dévoilant ainsi très clairement le plan de son mystérieux partenaire de tchat. En effet, un trou circulaire d’environ dix centimètres de diamètre et perché à un mètre du sol donnait sur la cabine d’à côté. Et, un peu plus haut, c’était cette fois une fente horizontale plus large mais plus fine qui avait été découpée. Logiquement, elle comprit en se mordant avec envie les lèvres que si la fente d’en haut permettrait à l’homme de l’observer sans se faire voir…le trou d’en bas donnerait un accès direct à son sexe. Il restera complètement inconnu jusqu’à la fin de cette soirée. Après quelques secondes de réflexion où des images coquines la mettant en action défilèrent, l’idée l’excita. Rassurée de voir que cette solide paroi fixée entre eux la mettait en totale sécurité, la jeune fille consulta l’heure une nouvelle fois.
- « 23h07. Si j’arrive à me préparer en trente minutes ça me laissera un peu d’avance » espéra-t-elle.
Elle déballa sa valise et commença par ce qui lui prendrait le plus de temps : se maquiller. Maëlys savait précisément ce qu’elle allait faire : un maquillage frais avec des nuances de rose foncé et clair afin de lui donner des allures de petite écolière. Face au miroir, après s’être débarrassée de tous ses vêtements, elle commença par uniformiser son teint afin de le rendre légèrement plus brun et paraitre naturellement plus bronzée. Puis elle se maquilla les yeux en peignant un dégradé de rose sur ses paupières. Sur la partie intérieure, le rose était foncé et brillant pour s’estomper vers l’extérieur en un léger rose bonbon. Elle souligna son regard et accentua l’amande de ses yeux avec de l’eyeliner noir avant d’étaler du mascara sur ses longs cils recourbés. Ses copines lui enviaient souvent ses cils, affirmant qu’ils donnaient l’impression d’être des extensions tellement ils étaient longs. Satisfaite, la jeune fille observât le résultat dans le miroir en battant des paupières. Elle maquilla légèrement ses joues avec un blush rose pâle. Puis ce fût au tour de ses fines lèvres pulpeuses de s’habiller d’un rose bonbon extrêmement brillant. Le résultat lui plaisait plutôt, ce maquillage riche et sexy donnait un parfait petit côté lolita qui exciterait assurément son mystérieux partenaire. L’étape suivante, c’était la tenue. Bouger un peu plus lui ferait du bien car la brunette commençait à sentir son niveau de stress remonter. Elle débuta en enfilant ses bas, le doux et fin tissu blanc glissait sur ses jambes lisses. Après, la jeune femme ceintura autour de sa fine taille le porte jarretelle qu’elle avait apporté. Ce dernier avait un look relativement moderne avec son effet taille basse et son tissu blanc satiné. Profitant de l’assise des toilettes, elle fixa les attaches aux jarretières de ses bas, ajustant la hauteur pour que tout tienne à la perfection. Elle continua de s’habiller en faisant glisser un joli petit string blanc jusqu’entre ses fesses. Aussi technique qu’il pût paraître, l’enfilage de son soutien-gorge n’avait aucun secret pour la jeune étudiante. Elle vérifia le décolleté créé par ce dernier en se penchant légèrement face au miroir.
- « Cet ensemble lingerie est vraiment très sexy. » constata-t-elle en tournant sur elle-même.
La microjupe qu’elle installa fit gagner en couleur à sa tenue. En se tournant, Maëlys s’aperçut que ses petites fesses étaient à moitié couvertes et que l’on ne pouvait ignorer les attaches blanches de son porte jarretelle descendre depuis la jupe vers ses bas. La jeune sportive cambra légèrement pour observer que sa jupe se relevait dans cette position, dévoilant la totalité de ses fesses embellies de cette lingerie blanche. Satisfaite, Maëlys enfila le crop top blanc comme un gilet et noua le nœud devant sa poitrine. Après quelques ajustements qui cachaient difficilement son soutien-gorge, elle prit de la hauteur en enfilant ses talons haut rose bonbon. Elle recula pour apprécier le look et tourna de nouveau sur elle-même, vérifiant point par point : talons, bas, jupe, piercing au nombril, top, maquillage et…
- « Ah zut les couettes. » dit-elle à haute voix.
Elle allait oublier un point de fantasme important pour son partenaire du soir. Essayant plusieurs coupes devant le miroir, elle commençait à désespérer car aucune ne lui plaisait. Soudain, l’inspiration surgit. Elle peigna l’ensemble de ses cheveux vers l’arrière et les sépara sur chaque côté en traçant une raie au milieu. La brunette saisit la moitié droite pour faire une queue-de-cheval haute sur la partie arrière droit de sa tête. Elle fit la même chose de l’autre côté, donnant l’impression d’une coiffure des héroïnes de manga. Devant, elle récupéra une mèche de cheveux de chaque côté qu’elle laissa retomber de part et d’autre de son visage…c’était le détail qu’il manquait. Un peu de laque pour faire tenir le tout et le tour était joué. Soulagée de voir que cette coiffure, en plus d’être dans le thème, lui allait relativement bien, elle se contempla sous tous les angles. Pour la première fois depuis de longues minutes, la jeune femme se sentait bien. L’anxiété avait laissé place à un peu plus de confiance.
23h38.
- « Waouh, il me reste sept minutes » pensa-t-elle en prenant une profonde inspiration pour ne pas paniquer.
Il fallait que Maëlys fasse quelque chose pour ne pas laisser son stress remonter et rendre ces sept dernières minutes interminables. Elle regarda alors ses ongles, se disant qu’elle aurait le temps de les faire sécher. La précision exigée par l’application du vernis rose bonbon lui occupa l’esprit le temps d’un instant.
23h42.
Après s’être parfumée, elle remballa l’ensemble de ses affaires et rangea un peu sa cabine.
23h43.
Le stress envahissait de nouveau Maëlys. L’assurance que lui avait apportée sa transformation vestimentaire commençait à fondre comme neige au soleil. Assise sur les toilettes, elle tremblait de nouveau.
23h44.
Elle décida de se lever et de marcher, tournant en rond dans la cabine au rythme du bruit de ses talons sur le carrelage. Elle savait qu’elle ne pouvait plus reculer. Son cœur battait à nouveau à mille à l’heure.
- « Que lui arriverait-il dans les prochaines minutes ? » s’interrogea-t-elle.
23h45.
Maëlys se figea lorsqu’elle entendu la porte principale des toilettes hommes s’ouvrir et se fermer.

Après un court silence, elle entendit des bruits de pas s’approcher de sa cabine.
- « Allez, allez, allez ! soit forte ! » se répétait-elle intérieurement.
Elle s’était mise dos au mur et attendait de voir apparaitre les yeux de l’inconnu par la fente d’en face. Son cœur battait à deux mille à l’heure alors qu’elle essayait de mimer le sourire qu’elle fera.
Les pas s’approchèrent et elle entendit la porte de la cabine d’à côté s’ouvrir, puis se refermer. Cette fois, elle y était, c’était le moment tant redouté. Une paire de yeux gris clair apparut dans la fente, la jeune fille esquissa un timide sourire alors qu’une voix se fit entendre depuis l’autre côté du mur :
- « Tu es sublime Maëlys » lança l’homme à haute voix.
Cette dernière était grave et profonde, avec un timbre lent et régulier. Elle fit frissonner la petite brune qui rougissait du compliment. Elle aurait aimé répondre merci mais n’arrivait pas à sortir le moindre son.
- « Tu es terriblement sexy ma belle et cette petite tenue me plaît énormément. Tu veux bien m’en montrer un peu plus ? » continua-t-il envieux.
Il était temps pour la jeune étudiante de montrer de quoi elle était capable. Elle se disait aussi que commencer à bouger la mettrait surement plus à l’aise. Il lui fallait être à la hauteur de ses dires car plus tôt, la jeune femme avouait qu’elle adorer se sentir sexy et provocante. Pour commencer, elle fit quelques pas hésitants en direction des yeux de l’homme pour qu’il l’observe d’un peu plus près. Mimant la démarche des mannequins qui défilent, elle croisait ses pas afin de rendre sa traversée plus sexy…le faire avec des talons haut n’était pas un problème, elle y était habituée. La réaction ne se fit pas attendre :
- « Ce petit ventre, et cette jolie perle qui décore ton nombril…tu sais que ça ne fait même pas trente secondes que je te vois et tu m’excites déjà énormément ! » complimenta l’inconnu.
Flattée, la jeune fille marqua un demi-tour élégant, dévoilant ainsi à son mystérieux partenaire la moitié de ses fesses non recouvertes par sa microjupe. Alors qu’elle marchait lentement avec cette même démarche vers le fond de la pièce, la voix grave résonna de nouveau :
- « Je suis fan de cette petite jupe »
Maëlys se décida enfin à répondre :
- « Je l’ai mise exprès » lança-t-elle d’une voix timide en se retournant.
- « C’est parfait, j’adore ! » répondit-il avant d’enchaîner :
- « Continue à te trémousser…tu me fais beaucoup d’effet ».
Elle reprit alors ce petit numéro de séduction qu’elle commençait à apprécier. La voix sexy de son inconnu participait beaucoup à son excitation, elle décida alors d’oser des positions plus suggestives. Dos au mur et face à son mystérieux partenaire, la jeune femme se retourna, posa les mains sur la paroi face à elle, tourna la tête de profil pour attraper du coin de l’œil le regard de son observateur et cambra ses petites fesses autant qu’elle le pouvait. Elle sentit sa jupette se remonter et dévoiler ainsi la totalité de son postérieur à cet inconnu qui manifesta une nouvelle fois son adoration :
- « Mmmmm, quel magnifique petit cul ! » dit-il avec envie.
Maëlys rougit encore, partagée entre gêne et excitation. Jamais quelqu’un n’avait tenu des propos aussi directs avec elle…et finalement, cela lui plaisait.
- « Dommage que ce ne soit pas possible, mais j’aimerai vraiment distribuer de bonnes fessées à ce joli petit postérieur. » lança-t-il.
De plus en plus excitée par les paroles de son partenaire, la jeune fille décida de le provoquer un peu plus. Restée dans cette position cambrée, elle claqua sa fesse droite avec sa main. Le bruit de la fessée résonna dans les toilettes et fit frissonner Maëlys en augmentant encore un peu plus son excitation. Et ce ne sont pas les mots qui suivirent de l’homme qui calma son envie.
- « Tu es une bonne petite coquine toi ! » dit-il d’un ton calme et profond.
Alors qu’elle savourait cette dernière phrase, elle entendit un bruit de ceinture se défaire. Son partenaire était visiblement en train de se débarrasser de son pantalon. C’est au moment où la jeune femme pensait que les choses sérieuses allaient démarrer que la mystérieuse voix retentie de nouveau :
- « Continue à m’allumer jolie coquine. » ordonna-t-il.
Puisqu’elle permettait de repousser l’échéance, l’idée soulagea Maëlys. N’étant pas naïve non plus, elle se doutait que son partenaire allait se masturber en la regardant bouger dans cette tenue très sexy. La jeune fille s’exécuta sagement. Elle commença par balancer les hanches lentement comme si elle était en train de danser sur un rythme sensuel. En tendant l’oreille, elle comprit que ses ondulations plaisaient beaucoup à son mystérieux partenaire puisque des bruits suspects se faisaient entendre depuis sa cabine. Ce jeu pervers l’excitait et elle continua son numéro de stripteaseuse en se mettant de profil et en s’appuyant contre le lavabo. La jeune étudiante cambra sa silhouette, sentant ainsi sa jupe remonter. Maëlys était déjà très cambrée de nature mais dans cette posture, étant donné qu’elle profitait de ses talons hauts, on aurait pu poser un verre plein dans le creux de ses reins sans qu’il ne se renverse. Ensuite, elle quitta sa position pour se rapprocher du mur derrière lequel son observateur était posté puis se pencha. Elle aperçut alors le regard de l’homme plonger dans son décolleté ce qui eut pour conséquence d’augmenter le volume des bruits suspects. Elle sentait son souffle envieux derrière la paroi : c’était très sexy. Elle savait parfaitement comment l’exciter encore plus : elle attrapa ses deux couettes hautes et les releva de chaque côté pour mieux les mettre en valeur.
- « humm » laissa-t-il échapper.
Toujours avec une démarche exagérément sexy, elle se retourna pour marcher jusqu’au lavabo. A cet instant, elle posa ses mains sur le rebord, gonfla la poitrine et cambra dévoilant une nouvelle fois ses jolies fesses à l’inconnu. Puis, la brunette balança lentement son postérieur de gauche à droite. Son regard plongé dans le miroir qui reflétait au loin les yeux gris de son partenaire. Même avec Hugo, Maëlys n’avait pas le souvenir d’avoir allumé un homme comme elle était en train de le faire à l’instant. Néanmoins, elle se sentait bien, le regard pervers de son mystérieux partenaire qui parcourait son corps ces dernières minutes la rendait particulièrement excitée. Alors qu’elle trémoussait son joli fessier, la jeune fille fut interrompue net par la voix grave de l’homme.
- « Parfait ! Viens, approches toi petite coquine » dit-il avec autorité.
Elle obéit en parcourant les quatre pas qui la séparait du mur d’en face.
- « À genoux ma belle ! » ordonna-t-il.
Cette fois elle y était : les choses sérieuses allaient démarrer. Et, étonnamment, ceci n’effrayait plus Maëlys. Elle se sentait prête, excitée par le petit jeu de provocation qu’elle avait mené ces cinq dernières minutes.
Alors qu’elle s’agenouillait face au trou, sa curiosité prit le dessus et elle tenta de regarder à travers. L’homme avait anticipé sa tentative d’espionnage et maintenait la paume de sa main plaquée devant l’ouverture. La jeune fille déposa ses genoux recouvert de ses bas blancs sur le sol.
- « Regarde en l’air et cambre-moi ces petites fesses ! » ordonna-t-il de nouveau avec autorité.
Excitée par l’emprise que son partenaire du soir avait sur elle, Maëlys exécuta les consignes et fixa timidement le gris des yeux de l’homme. Elle remarqua qu’en plus de la dévisager, son inconnu lançait régulièrement des coups d’œil derrière elle, accentuant le bruit de sa masturbation. Elle comprit alors qu’il profitait du reflet de ses fesses dévoilées par sa cambrure dans le miroir derrière elle : l’angle était parfaitement choisi.
- « Quel pervers ! Il a vraiment pensé à tout » se disait-elle.
Ce dernier avait un parfait contrôle sur elle et sur la situation rendant Maëlys toute chose. La jeune fille sentait une vague de chaleur monter dans ses reins alors que sa petite chatte commençait tout doucement à mouiller.
Soudain, alors qu’elle était encore épatée par le vice de son partenaire, elle sentit du mouvement devant elle. Du coin de l’œil, elle put observer que la main de l’homme s’était retirée du trou. Ne respectant plus la consigne de regarder en l’air, ses yeux pointèrent vers l’ouverture. L’épais gland rose pâle qui en sortit impressionna d’abord Maëlys. Mais ce ne fut rien puisque, dans les secondes qui suivirent, elle vit la large verge de son partenaire progresser en direction de son visage. Les centimètres de ce gros sexe qui ne s’arrêtaient pas de sortir du trou provoquèrent un léger mouvement de recul chez la jeune étudiante. Le sexe de l’homme arrêta sa course à quelques centimètres seulement de son visage juvénile. Contre la paroi, juste au bord de l’ouverture, il laissa retomber deux gros testicules tout aussi imposants.

- « Waouh ! » s’exclama-t-elle d’une voix aigüe qui résonna dans les toilettes. Elle garda le temps de quelques secondes la bouche en « o », choquée et surprise par l’imposante taille de ce membre qui venait d’apparaitre de son côté de la cabine.
L’énorme phallus en pleine érection qui pointait dans sa direction était parfaitement droit. D’après elle, ce sexe devait mesurer un peu moins d’une trentaine de centimètres. La jeune étudiante n’avait pas le compas dans l’œil, mais elle avait souvent l’habitude de manipuler des feuilles A4 à la fac…le sexe qu’elle contemplait devait être un tout petit peu moins long que ces dernières. La largeur aussi l’épatait. Le gland de son partenaire était parfaitement cylindrique. D’abord fin, son diamètre s’agrandissait harmonieusement avant de laisser place au prépuce décalotté par l’érection et son teint clair. L’épaisseur augmentait encore de quelques millimètres à cet endroit avant de rester identique jusqu’au bout. C’est ici que Maëlys observait ces deux énormes boules, semblables à deux clémentines collées l’une à l’autre. Tellement dodues, elles ne pendaient même pas, elles étaient simplement solidement accrochées à l’ensemble. Parfaitement lissent, elles trahissaient une hygiène irréprochable : il était impossible de trouver le moindre poil sur ce membre démesuré. De plus, l’odeur de savon masculin qui se dégageait de ce gros calibre contenta la jeune fille. Des veines discrètes légèrement bleutées parcouraient toute la longueur de cette imposante verge. Elle se dit alors à cet instant que non seulement c’était le sexe le plus gros qu’elle n’ait jamais rencontré, mais en plus de ça, c’était de loin le plus esthétique. Bien loin devant le sexe de son ex petit ami Hugo qui affichait des dimensions classiques.
- « Ça te plaît ma belle ? » interrogea la voix.
- « Elle est vraiment énorme » répondit-elle timidement en regardant en l’air les yeux de son mystérieux partenaire.
- « Et bien cela est ta faute petite coquine ! Ça fait cinq minutes que tu joues les allumeuses en trémoussant ton joli petit cul devant moi. » dit-il.
Maëlys rougit. Elle contempla de nouveau le gros pénis face à elle. Avec ses dimensions hors normes, il dégageait énormément de puissance et la jeune fille commençait à ressentir de la crainte. Comment allait-elle faire rentrer cet énorme cylindre entre ses cuisses ? Sa petite chatte ne résistera peut-être pas ? Ressentira-t-elle plus de plaisir que de douleur ?
Son inquiétude devait se ressentir puisque l’homme ajouta :
- « Ne te tracasse pas ma belle, tu te souviens de mon fantasme ? »
Elle réfléchit et se souvint de la phrase qu’il lui avait écrit : il désirait une jeune fille docile qui le mène à l’extase par la plus coquine des gâteries. Légèrement rassurée, la jeune étudiante répondait d’un hochement de tête.
- « Très bien ! Tu vas être une bonne fille » lança-t-il d’un ton sérieux.
Elle hocha de nouveau la tête en signe d’approbation.
- « Caresse moi avec ces petites mains, je veux les sentir sur ma grosse queue ! » ordonna-t-il.
Stimulée par ce ton dominant et décidée, elle commença à promener le bout de ses doigts sur toute la longueur de cet énorme sexe. Sa caresse était légère et elle ressentait avec excitation la douceur de cette longue verge. Après quelques allers-retours, elle referma sa main autour du phallus de son mystérieux partenaire avec la ferme intention de commencer à le masturber. C’est alors qu’elle se rendit compte de l’imposante épaisseur de ce membre puisque son pouce et son index n’arrivaient pas à se toucher. Bouche bée alors qu’elle prenait conscience que sa main couvrait à peine le quart de la taille de ce sexe, elle commença un léger mouvement de va et vient. Cette verge brulante réchauffait ses mains et, sous cette peau souple et épaisse, la jeune fille sentait que le membre de l’inconnu était dur comme de l’acier.
- « Humm, continue c’est parfait » gémit-il.
Satisfaite de constater que l’excitation de son partenaire était encore montée d’un cran, Maëlys continua son petit jeu de caresse en ajoutant à sa branlette sa seconde main qui n’était évidemment pas de trop.
- « Oh yes ! » gémit-il de nouveau.
Elle gardait un rythme lent et doux, ressentant par la même occasion toute la puissance que dégageait cet énorme pénis. Elle continuait à mouiller, terriblement excitée par la situation et convaincue qu’elle était tombée ce soir sur la bonne personne.
- « Regarde-moi ! » ordonna-t-il.
Elle s’exécuta en fixant ces yeux gris clair qui la contemplait d’en haut. Il était vrai que depuis qu’il avait fait traverser ce gros sexe de son côté de la cabine, elle avait du mal à regarder ailleurs. Elle continua sa tâche à deux mains pendant de nombreuses secondes sans le lâcher des yeux. Appréciant par la même occasion les gémissements virils qui se faisaient entendre depuis l’autre côté de la paroi.
- « Je veux sentir ces petites mains sur mes grosses boules » exprima-t-il entre deux gémissements.
Avec sa main droite, la jeune fille desserra son emprise autour de cette grosse verge pour aller palper les imposantes sphères de son mystérieux partenaire. Elles étaient d’une douceur extrême. Elle les faisait rouler doucement sur sa paume de main, peinant à les faire tenir toutes les deux. La brunette sentait qu’en plus d’être naturellement d’un volume conséquent, ces boules étaient abondamment remplies. Elle continuait à le branler avec sa main gauche ce qui semblait donner un plaisir intense à son partenaire, en témoignaient les gémissements plus sonores qui s’échappaient de l’autre côté de la paroi. Lors des minutes qui suivirent, Maëlys continua ce jeu de main variant régulièrement sa façon de le caresser.
- « Maintenant, on va jouer poupée ! Pose ma grosse queue sur ton visage et regarde-moi. » dit-il avec assurance.
La jeune fille trouva l’idée un peu stupide. Mais, voulant rester pour son inconnu du soir l’étudiante docile dont il rêvait, elle suivit ses consignes.
- « Il avait sûrement vu ça dans un porno et rêvait de le faire à son tour » pensa-t-elle alors qu’elle se baissait afin que son visage se place juste en dessous de cette grosse verge.
Avec sa main, elle plaça le phallus de l’inconnu au centre de son joli minois et ouvrit grand les yeux en direction du regard de l’étranger. Elle ressentait l’épaisse forme noire au centre de ses yeux mais restait concentrée à fixer uniquement les pupilles grises de son partenaire. Sinon, elle loucherait et rendrait ce moment bien plus bizarre qu’il ne l’était déjà. Finalement, l’idée n’était pas si mauvaise car elle continua de stimuler l’excitation de Maëlys qui sentait la chaleur de ce membre en érection contre son visage. Ce qui participait à son envie, au-delà du fait que ce long pénis la traversait du menton jusqu’au-delà de ses cheveux, c’était le poids de ce dernier qu’elle sentait reposer sur son visage.
- « Elle est vraiment lourde et épaisse. » pensait-elle en se mordant les lèvres.
- « Bonne fille ! » lança-t-il satisfait.
Heureuse de cette affirmation qu’elle prit comme un compliment, la jeune étudiante se mordit une nouvelle fois les lèvres.
Puis il ajouta :
- « Reste ainsi et caresse moi les bourses ma belle. »
Elle obéit en gardant le regard fixé en l’air. Maëlys pouvait cette fois utiliser ses deux mains pour palper ces énormes boules…et ce n’était pas de trop. Sans regarder ce qu’elle faisait, elle les caressait avec soin faisant de nouveau gémir son mystérieux inconnu.
Il prenait vraiment son temps et la guidait avec autorité et précision ce qui participait beaucoup à l’excitation de la jeune fille. L’inconfort de la position qu’elle maintenait depuis ces dernières minutes, les fesses cambrées et la nuque relevée, n’enlevait rien à la chaleur qui grandissait dans le bas de son ventre. Ce gros membre rigide qui lui avait suscité de la crainte il y a quelques minutes provoquait désormais une envie folle. Et c’est dans cet élan de folie que Maëlys prit une initiative sans douter de l’effet que cela provoquerait. Elle retira son visage de dessous le gros sexe de l’homme et fit de même pour sa main droite qui caressait ses testicules pour venir saisir fermement la base de cette épaisse verge. Elle inclina son visage afin de présenter sa joue droite et fixa d’un air docile les yeux clairs qui la regardaient d’en haut. Elle vint alors se biffler à trois reprises la joue avec le gros calibre de son partenaire. Un « tap tap tap » résonna dans la cabine juste avant la réaction de l’homme :
- « Humm…Petite salope ! » lui lança-t-il avec une voix qui excita terriblement la jeune fille et lui fit se mordre les lèvres encore une fois.
Maëlys se sentit mouiller encore plus lorsque le mot « salope » retentit de derrière la paroi. Son corps débordait de désir pour cet inconnu au membre hors normes qui s’était débrouillé pour qu’elle devienne, le temps d’une soirée, sa petite poupée docile. L’aventure qu’elle était en train de vivre était exactement ce dont elle rêvait en secret depuis de nombreuses années avec Hugo. Alors oui, ce soir, elle acceptait volontiers d’être la petite salope de cet homme qui l’avait cerné avec beaucoup d’adresse.
- « Recommence plus fort ma belle ! » ordonna-t-il.
La brunette s’exécuta une nouvelle fois avec plus de force : « TAP TAP TAP ». L’impact entre cet énorme phallus et sa petite joue résonna cette fois plus fort dans la cabine. Un sourire coquin vint habiller le visage de la jeune fille qui se rendait compte que sa fragile bouille ne faisait pas vraiment le poids face à la rigidité de ce gros sexe.
- « On dirait que tu aimes vraiment ça jolie petite salope ! » repris-t-il.
Gênée, Maëlys rougit en baissant les yeux.
- « Et il me semble que tu as une autre joue…Et regarde-moi ! » relança-t-il.
Relevant de nouveau les yeux, elle biffla alors sa joue gauche avec la même intention.
À cet instant, l’inconnu donna une nouvelle consigne qui allait permettre à la jeune femme de satisfaire un peu plus sa gourmandise.
- « Lèche-moi maintenant ! » ordonna l’homme.
Sans hésiter, la brunette sorti sa petite langue et commença à la balader autour du gros gland rosé de son partenaire. Ce dernier, qui mouillait d’excitation depuis quelques minutes, laissa à Maëlys un léger goût sucré salé, une saveur qui ne lui était pas inconnue. Elle décrivait de délicat mouvement circulaire qui le faisait gémir. Après avoir saisi des deux mains cette longue verge pour la masturber, elle continua ce jeu de langue en léchant en même temps le dessous de ce gland. Cette fois, Maëlys regardait bien en l’air de peur de se faire reprendre de nouveau. Puis elle plaça sa langue à la base de ce gros phallus, au plus près des testicules, et tenta de remonter tout le long de cette imposante verge en léchant le dessous.
- « Cela fait du chemin quand même » pensa-t-elle alors qu’elle sentait sa langue ne plus aussi bien glisser le long de cette verge, asséchée par les centimètres parcourus. Elle remballa cette dernière dans sa bouche afin de l’humidifier un peu plus et répéta l’opération, cette fois avec succès. Lorsqu’elle fut arrivée à destination, c’est-à-dire lorsque sa langue lécha une nouvelle fois le dessous du gros gland de son mystérieux partenaire, celui-ci s’exclama :
- « Bonne fille ! J’adore ! »
Puis il continua alors que la brunette ne cessait de donner des coups de langue sous son gland gonflé et de le regarder :
- « Lèche mes grosse boules petite salope ! ».
Ce que s’empressa immédiatement de faire la jeune étudiante. Alors que son regard fixait les yeux de son partenaire, elle laissa cette grosse verge reposer sur son visage tandis que sa langue parcourait la moindre surface des testicules de l’homme. La jeune fille sentait qu’elle continuait à mouiller, toujours excitée par la douceur de ces deux grosses clémentines solidement accrochées. Voulant donner encore plus de plaisir, elle entoura de ses doigts le prépuce de l’inconnu et ajouta une douce masturbation à son léchage de testicules.
- « Oh oui ! Ne t’arrête pas ma belle » gémit-il.
Maëlys continua durant de nombreuses secondes sans le lâcher du regard. Ses yeux à lui alternaient entre fixer ce qu’elle faisait avec sa langue et, regarder dans le miroir qui se trouvait derrière elle ses fesses en string que la position cambrée avait découvert presque complètement. Etant donnée qu’elle tenait cette position depuis quelques minutes, elle s’étonnait d’ailleurs de ne pas avoir plus mal au dos que ça. La jeune sportive était souple et d’un naturel cambré, mais ce soir elle en rajoutait des tonnes…tout ça pour le plaisir des yeux de son mystérieux inconnu. Elle le paierait sûrement le lendemain matin.
- « Tu es vraiment très doué petite salope » commenta-t-il avant d’ajouter « je veux que tu retires cette mini-jupe et ton haut. Il y a de la jolie lingerie là-dessous »
Alors qu’elle pensait que de toute façon, sa jupe et son haut ne masquaient que très peu ce qu’elle portait en dessous, la jeune fille abandonna la position cambrée et se retira du dessous de l’énorme membre pour se mettre droite. Elle se grandit pour étirer son dos et retira son haut, finalement soulagée qu’il ne lui ait pas demandé de dévoiler sa poitrine. Elle déscratcha la microjupe avant de la jeter sur le côté, mettant ainsi entièrement à découvert ses petites fesses.
- « Qu’est-ce que tu es bonne ! » lui lança-t-il avec envie.
Flattée, elle rougit une nouvelle fois.
- « Maintenant tu vas me sucer ! » affirma l’homme avec autorité.

A suivre

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Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très excitant. Très bien écrit et décrit. Continuez à prendre le temps de dépeindre les
pensées de Maëlys. Bravo



Texte coquin : MAËLYS ET L'INCONNU _ Chapitre 2 : Un argument de taille
Histoire sexe : Une rose rouge
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