L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 3 : Soumise à son contrôle - histoire érotique

Elle ne répondit pas. Marc se rendit compte qu'elle observait avec crainte son large et puissant sexe qui pointait droit vers sa petite bouche.
Sentant le soudain malaise, il enchaîna avec autorité : - « Qu’est-ce qu’il y a ? Je ne veux pas croire une seconde que tu n’en meurs pas d’envie petite coquine. »Maëlys lui répondit timidement :- « Non ce n’est pas ça. C’est juste que je n’ai jamais sucé quelque chose d’aussi gros » s’exprima-t-elle à voix basse.
Flatté, il tenta de la rassurer.
- « Ne t’inquiète pas ma belle, tu vas faire ça à ton rythme. » assura-t-il avant d’enchainer avec autorité « Allez ! Tais-toi et suce ! ».
- "Quel pied de pouvoir lui parler ainsi" pensa-t-il.
La jeune fille reprit sa position cambrée face à l'énorme membre de l'homme et le saisit des deux mains. Alors qu'elle était en train de diriger l'imposant calibre vers sa bouche, le géant l'arrêta avec autorité.
- « Non petite salope ! Tu n’as pas besoin de tes mains ! » lui lança-t-il.
Elle s’empressa de les retirer pour les déposer sagement sur ses cuisses. La jeune étudiante approcha sa bouche entrouverte du membre de Marc qui aperçut son gland gonflé disparaitre petit à petit entre ses lèvres maquillées de rose. Ces dernières s’écartèrent de plus en plus pour prendre la forme de son épais gland qui progressait doucement à l’intérieur de la petite bouche de sa partenaire…millimètres par millimètre. Lorsqu'il fut entièrement pénétré, Marc savoura cette sensation de chaleur humide alors qu'elle continuait à faire avancer l’imposant membre un peu plus loin. Tandis qu'elle entra le prépuce, endroit où le calibre de Marc s'élargissait de manière conséquente, l'homme constata que les petites lèvres de la lolita s'étaient encore plus écartées sous la pression de sa large verge. Elle s'arrêta alors qu'elle n'avait qu'un seul quart de l'imposant sexe dans la bouche. Marc savoura la vue de ce petit visage juvénile maquillé et déformé par son épais membre. C'était parfait pensait-il. Maëlys commença à le sucer en mouvement tandis qu'il fixait avec attention ses lèvres s’élargir et se rétracter au rythme des va-et-vient. Il ressentait l'étroitesse de la bouche de sa petite lolita qui accentuer petit à petit sa succion.
- « Humm c’est parfait ma belle ! Mais oublie pas, regarde-moi ! » gémit l'homme.
La jeune fille corrigea rapidement le tir en regardant en l'air et Marc put une nouvelle fois apprécier ces magnifiques yeux de biche maquillés de rose et noir.
- « Oh bon sang ! Qu’est-ce que tu pompes bien petite salope ! continue comme cela ! » gémit-il, encourageant ainsi la jeune étudiante à ne pas s’arrêter.
L'homme ne se souvenait pas avoir pris autant de plaisir à se faire sucer par le passé. Le magnifique physique de sa docile lolita et la vue dans le miroir de ses petites fesses découvertes l'excitaient au plus haut point. Pour preuve il sentait son membre dur comme de la pierre alors que la brunette le suçait doucement et sensuellement.
- « Bonne fille ! » lui lança-t-il alors qu’elle s’appliquait à le sucer toujours avec la même douceur.
Puis, décidé à lui laisser plus de liberté il enchaîna : - « Comme tu as été bien docile ma belle, fais comme tu le sens à partir de maintenant. Je te laisse un petit moment pour que tu t’amuses comme tu as envie avec ma grosse queue. Montre-moi que tu peux être une bonne petite coquine sans que j’aie à te guider. »- « Cool » répondit-elle.
Marc eut un petit sourire de coin en entendant cette réponse mais se concentra vite sur ses sensations lorsque Maëlys recommença à le sucer en renfournant son gros sexe dans sa petite bouche. L'homme constata que même s’il lui laissait un peu plus de liberté, sa jeune partenaire gardait son regard fixé en l'air, lui permettant ainsi de profiter de sa belle bouille de petite Barbie pouponnée. La jeune fille ajouta à sa pipe une douce masturbation. D’abord avec sa main droite, qui fit gémir Marc une première fois. Puis ces mêmes gémissements retentirent quand elle ajouta sa seconde main. Il constata qu'elle l'avait lâché du regard quelques secondes pour regarder ses mains. Ses sourcils se relevèrent d'étonnement et Marc conclut qu'elle s'était surement rendu compte qu’entre ses deux mains qui le branlaient et sa bouche qui le suçait, elle ne recouvrait même pas la totalité de son gros calibre. La jeune fille gardait un rythme lent et doux pour le plus grand plaisir de l'homme. Puis elle extirpa l'énorme sexe et recommença à le lécher avec les mains à plat sur la paroi et ses yeux pointés vers le géant. Il sentit sa langue humide glisser le long de sa verge et faire de grands allers-retours. Lorsqu’elle revenait vers le gland, elle tournait autour avec sa langue ce qui faisait frémir l’homme. Puis, la jeune fille présenta sa joue droite et fit percuter l’énorme gourdin contre cette dernière, le tout en défiant du regard Marc qui observa que, cette fois, elle y avait mis plus de force. Etonnée par la rigidité de l'impact, la bouche de la jeune fille décrivit une nouvelle fois un "o" avant de lancer à l'homme un sourire coquin. Puis elle continua à sucer l'énorme sexe avec douceur et application pendant quelques secondes avant de s’intéresser une nouvelle fois à ces énormes testicules. Marc lança un gémissement lorsqu'il sentit les douces petites lèvres de la jeune fille qui tentait d'aspirer à tour de rôle ses énormes boules. Il l'observa varier les caresses alors qu'elle donnait de grands coups de langue sur ses imposantes sphères. Alors qu'il gémissait encore, la jolie Barbie remonta jusqu’au gland en faisant glisser sa langue le long de la grande verge de Marc avant de l'enfiler de nouveau dans sa bouche. Elle regardait l'homme droit dans les yeux alors qu'elle aspirait en douceur son énorme calibre. Maëlys avait prouvé à Marc qu'elle était bien plus entreprenante qu'il le pensait et cela se vérifia à nouveau. Elle saisit d’une main la verge pour la masturber avec soin et, avec l’autre main, palpait ses testicules remplis.
- « Oh putain ouais » gémit Marc qui ne put se retenir d'être grossier.
Il était aux anges, jamais auparavant il ne se souvint avoir ressenti un tel plaisir sexuel. Et il jubilait à l'idée de se dire que ce n'était que le début car il comptait bien abuser de cette docile petite Barbie aux jolies lèvres.

Alors que sa jeune étudiante était en pleine action, Marc l'arrêta.
- « Tu te débrouilles vraiment bien petite coquine. » complimenta-t-il avant d’ajouter « enlève ton soutif et montre-moi ces jolis seins. »En bonne soumise, la petite lolita obéit en quittant la position cambrée et en se redressant afin de dégrafer son soutien-gorge. Marc fixa immédiatement ces jolis seins ronds et ces tétons rosés qui paraissaient rigides d'excitation. Rien qu'au regard, on ressentait toute la fermeté de cette jolie poitrine que l'homme aurait adoré peloter. Il les trouvait parfaitement adapté à la corpulence de la jeune fille, ni trop petits, ni trop gros.
- « Ils sont magnifiques ! » lança-t-il.
Elle rougit timidement. Marc se décida à mettre en place son plan qui consistait à abuser un peu plus de sa jeune et docile partenaire.
- « Et si on arrêtait de jouer maintenant ? » questionna-t-il.
- « Euh…commença ça ? répondit-elle en fronçant d'étonnement ses fins sourcils.
- « Depuis tout à l’heure, je te laisse t’amuser gentiment avec ma queue. Tu me suces comme une petite princesse et je dois avouer que tu te débrouilles très bien. La preuve, tu me fais bander comme un taureau ! »Maëlys lâcha du regard les yeux de l’homme pour fixer son attention sur le gros sexe en érection de ce dernier qui pointait à quelques centimètres de son visage.
- « Mais maintenant je n’ai pas envie de me faire sucer par une princesse, j’ai envie de me faire sucer par une bonne petite salope soumise à ma grosse queue ! » continua Marc.
Il lut sur son visage de l'étonnement et de l'incompréhension- « Tu vas obéir sagement à tout ce que je te demande d’accord ? » demanda-t-il afin de l'éclairer un peu plus.
Maëlys hocha la tête sans dire un mot ce qui plut à Marc.
- « Bonne fille ! » réagit-il avant de continuer :- « Allez poses tes deux mains sur la paroi, je ne veux pas les voir ailleurs. » ordonna-t-il.
Maëlys déposa la paume de ses mains de chaque côté du trou afin de prendre appui sur la paroi face à elle, les bras légèrement fléchis. Puis cambra son fessier pour retrouver sa position.
- « Et regarde-moi ! » ajouta l’homme.
Elle leva les yeux en direction de Marc qui contempla une nouvelle fois sa magnifique bouille maquillée.
- « Humm j’adore ces yeux de biche…et ce maquillage de petite salope sexy…un délice » osa affirmer Marc qui se sentait plus dominant que jamais.
- « Enfonce ma queue dans ta petite bouche » ordonna-t-il.
Il savait exactement ce qu'il allait lui imposer. L’étudiante obéit sagement en écartant ses lèvres pour laisser glisser le gros gland de son partenaire à l’intérieur de sa bouche. Une fois qu'il vit son gland entièrement rentré, il l’arrêta net.
- « Stop ! » s'exclama Marc.
La brunette s’arrêta net avec le large sexe en bouche.
- « Cambre un peu plus » ordonna le géant.
Gardant le gros pénis de son partenaire entre ses lèvres, Maëlys recula ses genoux au sol pour accentuer fortement sa cambrure. Marc en profita pour observer le résultat de sa demande dans le miroir derrière la jeune Barbie. Elle cambrait tellement qu'il aurait pu poser un verre dans le creux de ses reins sans même que ce dernier ne se renverse. Il apercevait pour la première fois sa petite chatte moulée dans ce tissu blanc. Et, quelques centimètres plus haut, il constata que cette position lui écartait légèrement les fesses, faisant ainsi rentrer un peu plus la ficelle de son string. En observant bien ce magnifique fessier, Marc se mordit les lèvres lorsqu'il constata qu'on apercevait faiblement le changement de teinte du pourtour de son petit anus.
- "J'aurai dû lui demander de retirer aussi son string" regretta l'homme.
Il l'exigerait peut-être un peu plus tard.
- « Parfait ma belle ! Quel joli petit cul tu as ! Garde bien cette position petite coquine » complimenta-t-il avant d'ajouter.
- « Suce-moi tout doucement maintenant. » ordonna l’homme.
La jeune femme recommença à le sucer avec tendresse, ses lèvres s’élargirent à nouveau afin d’épouser la forme de l'imposante verge.
- « Ne t’arrête pas ! » continua Marc.
Il savait précisément ce qu'il voulait, à savoir que cette jolie jeune fille avale un maximum de centimètre de son gros calibre. Il allait petit à petit la contraindre à cette tâche.
Le géant l’aperçu ressortir son sexe de quelques centimètres avant de le rentrer à nouveau et en profita pour intervenir.
- « Plus loin » ordonna-t-il.
Elle sembla surprise mais obéit sagement en enfonçant le sexe un peu plus au fond. L'homme sentit la chaleur humide de sa jeune partenaire plus loin sur son membre et constata, en regardant Maëlys, que sa bouche semblait bien pleine. Alors qu’elle retirait de nouveau son phallus centimètre par centimètre, il continuait d’imposer ses exigences :- « Encore plus profond petite salope ! »Cette fois, la jeune fille laissa glisser le gros membre bien plus loin à l’intérieur de sa bouche à un tel point que Marc ressentit l'étroitesse de sa gorge à l'extrémité de son gland gonflé. Il aperçut le joli visage de la jeune lolita se crisper.
- « C’est exactement ça ! continue ne t’arrête surtout pas tant que je ne te le dis pas ! » lança-t-il heureux de la situation.
Marc vit, qu'en bonne soumise, elle gardait un rythme doux et une amplitude tout aussi profonde. Il sentit qu'au fur à mesure des allers-retours, la jeune fille s'habituait de mieux en mieux puisque la glissade de son énorme sexe vers la gorge de cette jolie jeune fille était facilitée par sa salive qu'il sentait de plus en plus présente autour de son sexe. La sensation glissante était extrêmement agréable- « humm » gémit-il alors qu’elle continuait à le sucer en profondeur.
. Il profita de cette gâterie profonde durant plusieurs secondes puis se décida à la soulager.
- « Ok c’est bon tu peux la ressortir. » lança Marc.
Il ne fallut pas longtemps à Maëlys pour exécuter cette consigne. Lorsqu’elle retira de sa bouche l’énorme sexe du géant, elle prit une grande et bruyante bouffée d’oxygène qui résonna dans les toilettes. Un peu comme si elle avait fait de l’apnée dans une piscine. Marc sourit de nouveau avant de fixer son attention sur le filet de bave qui reliait la lèvre inférieure de la brunette à son gros gland. Rempli de fierté à l'idée de voir que son énorme sexe lui en faisait baver, il l'observa rapidement retirer la main de la paroi pour essuyer sa bouche.
- « Non ! » rugit-il immédiatement.
- « Je t’avais dit de garder tes mains là où elles étaient. » ajouta-t-il.
- « Oui, je suis désolé » s’excusa timidement Maëlys.
- « Tu vas être une bonne petite cochonne et laisser cette salive sur ma queue ou dégouliner sur tes seins. À ton avis, pourquoi je t’ai fait retirer ton soutif ? » repris Marc.
Elle baissa les yeux et observa sa poitrine à nu avant de répondre.
- « d’accord ».
- « Pour la peine, je veux que tu me suces encore plus en profondeur ! » imposa de nouveau l’homme.
Il nota que la jeune femme le quitta du regard pour regarder une fois de plus son énorme membre en érection qui se dressait à quelques centimètres de son visage. Marc devina qu'elle pensait que sa petite bouche ne pourrait en accueillir plus et il comptait bien lui prouver le contraire. Il se sentait parfaitement à l'aise dans ce costume de mâle dominant et précisa :- « Je veux que tu aies l’impression que c’est cette grosse queue qui te baise la bouche » Avant tout de même de concéder :- « Cependant, tu as le droit de reprendre ton souffle quand tu veux ma belle ».
Maëlys renfourna cet énorme membre viril à l’intérieur de sa bouche tandis que Marc constatait de nouveau ces fragiles lèvres rosées s’élargir pour épouser la large forme cylindrique de son épaisse verge. Ces dernières glissaient de plus en plus vers l’avant pour atteindre une distance qu’elles n’avaient jamais réussi à parcourir le long de ce sexe auparavant. Marc savourait la détermination de la docile étudiante et les sensations que l'entrée de sa gorge lui procurait autour du gland. Alors que son visage se crispait à cause de la profondeur atteinte, elle gardait les yeux grands ouverts dans la direction de Marc. Il savourait la sensation de plus en plus glissante causée par l'accumulation de salive. Le bruit du fond de son gosier résonnait dans la cabine à chaque fois que le puissant gland percutait la luette de la jeune fille. Jamais une femme ne l'avait sucé ainsi, et encore moins une jeune Barbie aussi sexy que Maëlys. Marc se demandait s'il n'était pas en train de rêver mais la perception de ces petites lèvres glissantes et de cette étroite bouche était bien réelle. Alors qu'elle insérait une fois de plus le gros engin de l'homme pour un ultime va-et-vient, il remarqua que son visage se crispa un peu plus. Immédiatement, elle expulsa d’un coup l’ensemble des centimètres de verge qu’elle avait enfoncé au fond de sa bouche, libérant ainsi toute la salive accumulée qui dégoulina sur le pénis de Marc. Alors que les toussotements de la jeune fille retentirent dans les toilettes, il se délecta de la vision de son épais membre reliait aux lèvres de la jolie jeune fille par de nombreux filets de bave. Elle semblait cette fois avoir retenu la leçon car elle ne les essuya pas.
Marc fit résonner un léger rire tandis qu’elle reprenait son souffle.
- « C’est exactement ça ma belle ! Tu as tout compris…continue maintenant. » lui lança-t-il.
Le regard en l’air, Maëlys ravala une bonne partie du puissant phallus que l'homme sentait bander fort à l’intérieur de cette petite bouche juvénile. L’ensemble des filets de salive qui reliait, il y a quelques secondes, les lèvres de la jeune femme au sexe de Marc s’étaient désormais déposées sur son menton. Aidée par la salive qu'il sentait de plus en plus présente, sa jeune et docile partenaire continuait à faire des va-et-vient lents et profonds. C'était tellement bon que le plaisir de Marc était de plus en plus bruyant.
- « Oh ouais ! pompe-moi bien petite salope » s’exclama-t-il entre deux gémissements virils.
De temps à autre, il lâchait la sublime étudiante des yeux pour aller mater son magnifique fessier cambré dans le miroir. Cette vision participait à faire grimper son excitation à un point qu'elle n'avait jamais atteint, tellement que Marc jugea à cet instant que jamais il n'avait bandé aussi fort de sa vie.
Il aperçut la bave s'accumuler autour des lèvres de la jeune fille avant de s’échapper de dégouliner le long de son menton. Malgré tout, la jeune étudiante, qui semblait adorer cela, continuait de sucer l’énorme calibre en profondeur. Lorsqu’elle le ressortit pour respirer, Marc nota qu'elle baissa les yeux pour observer son engin qui était recouvert de salive et dont le gland reliait ses lèvres par quatre filets de bave. Comme la première fois, elle les laissa pendouiller pendant qu’elle reprenait son souffle avant de laisser glisser de nouveau ses lèvres autour de l’attribut viril de Marc.
- « Suce-moi plus vite ma belle ! » ordonna-t-il alors qu’elle le regardait droit dans les yeux et que l'homme sentait son énorme gland épouser le fond de cette fragile bouche.
Elle accéléra donc le rythme sans broncher. Les bruits qui s’échappaient du fond de sa gorge résonnèrent plus fréquemment dans la cabine pour le plus grand plaisir de l'homme. Il sentait son membre baiser activement cette petite bouche plein de salive et se régalait à l'idée qu'il avait réussi à faire de ce joli petit bout de femme son jouet sexuel. Marc observa que la jeune fille n'arrivait plus à contenir toute la salive qui s'échappait petit à petit d'entre ses lèvres. Cette dernière se répandait peu à peu sur ses jolis seins ronds après avoir dégouliné depuis son menton. Ce spectacle était similaire aux scènes pornographiques devant lesquelles il fantasmait sans vraiment penser qu'un jour, ce privilège lui serait offert.
- « Oh ouais ! Tu vois que tu peux être une bonne petite salope bien cochonne. » s'exclama Marc.
Maëlys retira le gros pénis du fond de sa bouche et lui lança un petit sourire coquin malgré les filets de salive qui entouraient ses lèvres.
- « Et en plus tu as l’air d’aimer ça !» ajouta-t-il immédiatement.
Maëlys ne répondit pas.
- « Allez continue ! J’ai encore envie d’abuser de cette petite bouche ! » ordonna-t-il à sa docile partenaire qui s’empressa de continuer à le sucer avec rythme et profondeur.
Alors que ses lèvres faisaient de grands va et viens sur son épais membre, Marc remarqua que la jolie Barbie battait ses cils maquillés très régulièrement et ses yeux devenaient légèrement rougis. Surement le résultat de son puissant gland en train de marteler sa luette en conclut l'homme qui s'impressionnait de l'abnégation de sa docile étudiante.
- « Humm Bonne fille ! Ne t’arrête pas c’est trop bon ! » lança-t-il stratégiquement. Marc voulait voir les larmes couler de ces magnifiques yeux maquillés.
Elle continua à faire glisser ce membre hors normes jusqu’au fond de sa bouche jusqu'à ce que Marc aperçoive avec excitation une larme quitter son œil droit pour dévaler lentement le long de sa joue.
- « Oh ouais j’adore te voir faire tous ces efforts pour ma grosse queue ! lui lança-t-il en gémissant.
La jeune femme reprit son souffle rapidement et continua sa fellation gourmande. Bientôt, l'homme assista au même spectacle de l'autre côté puisque son œil gauche imita son voisin en déversant une larme qui dévala la joue de la jeune lolita. Il lui imposa cette gorge profonde durant quelques secondes et assistait, comblé, au spectacle de cette beauté qui salivait sur son énorme sexe et de la dégringolade régulière de ses petites gouttes le long de ses joues. Marc fut surpris de constater que ces gouttelettes ne détérioraient aucunement le sexy maquillage de sa Barbie.
- "Qu'est-ce que c'est bon !" pensait-il.
Le plaisir était à la fois visuel et sensoriel. L'homme n'arrivait pas à descendre de son pied d'étal et se sentait comme invincible. Il voulait pousser son vice encore plus loin avec ce magnifique petit bout de jeunesse. Convaincu qu'en bonne soumise, elle lui obéirait. Stratégiquement, il commença par la soulager et la complimenter.
- « Récupère un peu ma belle ! Reprends ton souffle et redresse-toi ! » lui lança-t-il.
Elle s’arrêta et s'étira.
- « Tu me fais bander à fond, tu es vraiment trop bonne » complimenta-t-il.
Un petit « merci » sorti de la bouche baveuse de Maëlys que Marc vit fixer son énorme calibre couvert de sa salive. Elle baissa encore son regard vers ses seins recouverts de sa bave, cette dernière dégoulinait maintenant sur le sol.