L'Invitation - Fiction - épisode 2
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'Invitation - Fiction - épisode 2
Samedi matin. Tu m’as rappelé et depuis quelques mois nous nous voyons régulièrement. Nous n’avons pas encore osé prononcer les mots définitifs qui font que tout commence. Je t’aime. Je ne sais pas par quoi ton cœur est habité mais je sens que nous partageons quelques chose d’unique quand nous sommes ensemble. Nos corps se rencontrent dans des ébats sexuels sublimes, nos peaux ne peuvent plus se séparer, nos yeux et nos mains se disent ce que la timidité ou la peur de croire en nos rêves nous retient de prononcer.
Contre toi ce matin, dans ton lit, je suis heureux. Je suis allongé sur le ventre et mon esprit se concentre sur le bas de mon dos. Je me suis donnée à toi ce matin à l’aurore pour la première fois. Pour moi recevoir le sexe d’un homme dans mon corps est un signal. Cela signifie la confiance, l’abandon et l’invitation à partager ma vie. Bien sur nous sommes enfermés dans ce non-dit mystérieux et magique mais mon corps t’a invité cette nuit à autre chose. Décidément je t’aime. Bien sur je ressens un plaisir indescriptible quand un pénis s’invite en moi et me transperce d’ondes de plaisir qui ne se comparent à rien. Mais ce plaisir ne doit pas conduire ma vie. Je ne me le permets qu’avec un homme qui habite d’abord mon cœur avant de pénétrer au fond de moi. Il faut que cela reste un don, il faut que les choses aient un sens.
Tu m’as réveillé ce matin tôt. Je dormais sur le ventre et tu es venu t’allonger sur moi. Etrange sensation. Dans un demi sommeil je m’enfonçais dans une matière molle et chaude, écrasé par un poids qui m’emprisonnait mais ne me faisait pas mal. Juste une pesanteur, parfaite, douce et chaude. Je ne pouvais plus bouger. Je ne voulais plus bouger. Un axe. Je suis partagé en deux par quelque chose de dur qui épouse mon corps et se love entre mes fesses. Je me réveille à moitié et je sens mon double. J’ai deux corps. Un second corps se colle à chaque parcelle de ma peau. Je sens le contact avec ta peau sublime de la plante de mes pieds à mon cou. Ton souffle me caresse la nuque. Entre les deux tes cuisses contre mes cuisses, ton torse contre mon dos, tes bras croisés sur les miens sur l’oreiller au dessus de ma tête et ton sexe d’acier qui déjà m’invite à m’ouvrir pour toi. Tu m’embrasses dans le cou, doucement, tu bouges légèrement et je sens la caresse des poils de ton torse contre ma peau, et je sens que tes jambes écartent imperceptiblement les miennes, et je sens ta queue qui vibre entre mes fesses qui n’attendaient que cela.
Tu n’auras besoin de ne rien dire. Tu as mon invitation silencieuse à venir en moi, tu le sais déjà. Tes genoux écartent un peu plus mes cuisses jusqu’à ce que je sente que mon anus s’offre à toi. Tu t’es légèrement soulevé pour que ta queue, allongée sur mes fesses alors que ton gland caressait le bas de mon dos, s’oriente maintenant vers les profondeurs de cette intimité que tu viens de conquérir. Tes bras bloquent toujours les miens, ta langue tour à tour me lèche et me mordille le cou. Je t’appartiens. J’attends ton gland contre l’entrée de ce que tu convoites. Il est là, gonflé comme jamais, je l’imagine contre mon anus, je le sens, humide, brulant, impatient. Je n’ai pas peur. Je n’aurai pas mal parce que tu es déjà en moi. Ta verge va concrétiser un abandon qui est déjà consommé.
Alors que je m’attends à te recevoir, tu changes de position, je replie mes jambes pour t’offrir un accès plus facile. Ta langue abandonne mon cou. Je ne bouge plus. Je ne cherche pas à voir, je devine. Soudain ta langue est sur mon anus. C’est à hurler de plaisir. Douceur extrême, caresses plus appuyées, puis entrée symbolique. Ta langue est devenue ton sexe, c’est ta signature sur la partie la plus intime de moi. J’ai l’image mentale de mon corps qui n’est plus qu’une invitation à la fusion de nos deux êtres. Je me sens grand ouvert pour te recevoir même si mon anus restera serré autour de ton sexe pour que tu sentes que nous ne faisons plus qu’un. Mon corps réagit à tes caresses et mes muscles se détendent. Tu comprends ce signal imperceptible. Tout est silencieux. Je sens subitement le gel un peu froid couler entre mes fesses. J’aime cette fraicheur qui vient tempérer l’incendie allumé par ta langue amoureuse. C’est l’annonce d’un autre feu, plus intense, plus ultime. Puis, doucement, tu es là. Forme parfaite. Ton gland est contre moi et c’est la forme humaine la plus aboutie que j’ai le sentiment d’avoir toujours attendue. Ton gland, le tien, le seul, volumineux, animé d’un désir que je suis le seul à comprendre, accès au reste de toi, lieu d’un premier contact entre l’intimité de mon corps et ta virilité envoutante.
Je m’ouvre à toi. Pas de douleur malgré le volume ambitieux de ta queue qui me fascine depuis notre première rencontre. Je suis amoureux de ta queue en même temps que je suis amoureux de toi. Je me réveille la nuit agité d’un désir animal. Je n’ai alors plus de conscience. Juste une envie viscérale de ton sexe, dans ma bouche, sur mon corps, et, je l’ai rêvé avant ce matin, au plus profond de moi. Accomplissement. Ton gland est entré dans mon anus, tu es accueilli, prisonnier volontaire du reflexe qui me fait t’enserrer. C’est une supplique pour que tu restes. Reste en moi Nicolas, et viens, viens plus loin. Viens te fondre dans mon ventre. Deviens un peu moi.
Tes mains sont posées sur mes fesses, geste de complicité. Pas de soumission, nous ne nous parlons que de fusion et d’équilibres subtils. Tu t’enfonces. Il faut que tu aies ce sentiment, il faut que ce mot soit juste pour toi, que tu le vives comme un voyage, une exploration dans un monde intérieur que tu ne vois pas mais visites par la pensée. Ta queue est l’outil de cette exploration qui doit te faire comprendre que tu es attendu, invité à t’approprier ce lieu où je te reçois.
Tu es dur, je te sens avancer en moi, je voudrais que ce soit interminable. Je frissonne quand je sens les poils de ton pubis contre mes fesses. Bouffée de bonheur. Alliance ultime. Je ne pourrai pas t’accueillir mieux. Tu as pris possession ce que j’avais à te donner.
C’est étrange, écrasé sous ton poids et offert à l’assaut de ta queue, je te sens sans te voir et par moment je m’envole. Je suis dans cette chambre au dessus du lit où tu me fais l’amour et je te regarde. Je regarde la sueur couler le long de ton dos et disparaître entre tes fesses musclées et merveilleusement poilues. Tes poils sont humides de cette eau que ton corps en fusion exhale. Tous tes muscles sont tendus et sur ton visage une expression d’extase et l’image d’une énergie farouche. Tu veux que ce feu qui te brûle me soit transmis par ta queue. Cela me rappelle notre première rencontre et le déchirement de ma conscience quand nous avons joui ensemble. Tu veux la même chose. L’ultime partage.
Alors une énergie douce va te faire entamer un va et vient sublime. C’est lent, j’en ressens chaque seconde, je te sens partir et revenir, inlassablement, et chaque pulsation me transperce de joie. Je comprends que tu cherches d’abord à me donner du plaisir. Peut-être te retiens tu de m’assaillir de coups plus rapides et même brutaux. Je sais que tu veux que nous soyons associés dans le partage de la même onde de jouissance.
Est-ce le fruit de mon imagination ? J’ai l’impression que tu as trouvé un rythme très particulier et qu’à chaque fois que tu replonges en moi ta queue est traversée par une palpitation qui la fait grossir un peu plus. Ton désir monte inexorablement dans ce sexe adoré. Mon esprit et ta queue sont synchronisés. Mon anus se dilate au rythme de la préparation de ton éjaculation.
Il nous faut de la lenteur, du silence pour que cette complicité magique s’installe jusqu’à son paroxysme.
Tu m’a exploré, visité, transpercé et transporté pendant ce qui m’a paru à la fois des heures et un millionième de seconde.
Puis il y a eu ce dernier retrait, ta queue m’a déserté et, sans même avoir le temps d’essayer d’imaginer la suite, j’ai senti mon dos inondé de la cascade de ton sperme brulant. Hurlement rentré, cri étranglé. J’ai l’impression que tu viens de hurler ton plaisir comme pour la première fois. Je suis pétrifié, comblé par ce dénouement sauvage. Je m’effondre sur le lit. Je ne sais plus où je suis.
Ta langue va alors me parcourir une dernière fois avant que tu t’enfonces dans un profond sommeil.
Tu pars de mon anus humide puis remontes tout le long de ma colonne vertébrale en léchant au passage la semence que tu as si généreusement répandue sur moi. Ultime baiser dans le cou, alliance scellée par le plaisir que nous venons de partager et la trace de sperme que ta langue laisse sur ma peau.
Je suis donc allongé contre toi. Tu dors toujours. Je crois que j’ai sombré aussi. Je me réveille doucement. Sur ma peau je sens les traces de ton sperme qui ont séché. Tatouage éphémère. Marquage de toi sur moi ? Je jouis de ce moment où me reviennent toutes les sensations de ton sexe qui s’empare de moi, fusion de nous et dépassement de tout ce que nous pouvons imaginer.
Tu dors. Je me tourne vers toi pour te regarder. Je veux t’admirer en silence. Tu dors allongé sur le ventre et la tête tournée vers l’autre coté du lit. Je te lèche l’oreille, doucement. Je sais que tes oreilles sont des zones érogènes capables de déchainer ta passion quand nous faisons l’amour. Une de tes jambes est repliée et offre à mon regard ton sexe, écrasé sur le matelas entre tes cuisses musclées qui me troublent profondément. Tout à l’heure ta queue m’a possédé et m’a donné un plaisir que je ne peux pas décrire. Maintenant je te regarde, fasciné par tes deux couilles rasées posées sur ta queue, molle, abandonnée sur le matelas pendant que le sommeil a pris possession de ton cerveau. Mes yeux ne quittent pas ta queue ainsi offerte à mon désir, le gland découvert comme une ultime preuve de ce que nous venons de partager. L’envie est trop forte. Ma main s’aventure entre tes fesses. Je ne veux pas te réveiller, juste sentir la moiteur des efforts que tu as produits pour arriver à la jouissance absolue que tu viens de vivre. Mes doigts glissent doucement de ton anus à tes bourses encore gonflées de désir et à ta queue qui, entre tes cuisses n’a jamais été aussi désirable. Je caresse le frein de ton prépuce, ou plutôt je l’effleure. Je voudrais entrer dans tes rêves. Que tu imagines au plus profond de ton sommeil qu’une main te caresse là où réside la source des plus grands plaisirs et que tu t’abandonnes à cette caresse qui anime ton corps d’une nouvelle force.
A un moment je crois entendre un soupir dans ton sommeil. Un signal, un son étrange qui exprime une dimension du plaisir que les mots ne peuvent pas décrire. Ma main est moi. C’est moi tout entier qui te rends hommage, de ton anus caché dans une douce et sombre toison à ton gland enfin reposé, pour te dire merci du plaisir que tu viens de me donner.
Le jingle d’un message qui arrive sur ton téléphone. Tu es encore dans un demi sommeil. Tu t’étires lentement et te penches pour prendre ton iphone sur la table de nuit. Tu lis le sms et tu souris.
- qu’est-ce qui te fait rire ?
- c’est un copain que je n’ai pas vu depuis un moment qui m’invite à diner. Qui NOUS invite en fait.
- il me connaît ?
- non, lis le message
« Salut Nicolas, j’espère que tu vas bien. J’organise un diner…amusant…et plus si affinité le 25. Ce serait super si tu pouvais être là. Viens…bien accompagné si tu veux c’est encore mieux. A bientôt ? Marc. »
- ça veut dire quoi « amusant et plus… ? ». Tu es déjà allé diner chez lui ?
- non, mais nous avons un peu baisé ensemble quand je l’ai rencontré et je suis sur qu’il va te plaire. Il est sympa et pas vraiment timide…
Je suis intrigué. Tu me sembles totalement à l’aise en me disant cela. Soudain je sens une angoisse profonde m’envahir. Tu le ressens en même temps que moi.
- tu ne veux pas y aller ? Si tu ne veux pas on n’y va pas.
- Je ne sais pas. Tu fais ce que tu veux de toute façon. C’est un ami à toi.
Et, à ce moment précis où je nous sens au bord du vide tu te tournes vers moi, plonges tes yeux magnifiques dans les miens et dis :
- c’est toi mon ami. Olivier… Tu t’arrêtes …Je t’aime.
Je te regarde, à coté de moi, allongé sur ce lit, si beau ce matin, la tête appuyée sur ton bras replié, ta queue au repos pendante, tes couilles sublimes posées sur ta cuisse musclée et si virile. Ma voix s’étrangle…
- moi aussi je t’aime.
Tu souris comme un enfant et nous nous embrassons. Baiser d’éternité, interminable. Tout s’y mêle, l’amour partagé, la confiance, l’innocence de l’homme cueilli par un sentiment qui le dépasse, le désir ravageur, une vague qui remplit et nous donne une raison d’être. Nous restons un long moment dans les bras l’un de l’autre. Silencieux. Accomplis. Tu murmures à mon oreille :
- Pour Marc tu me diras. Si ça t’amuse on y va. C’est toi qui décides. Moi je t’aime.
- On peut aller voir. Si ce n’est pas bien on partira.
- OK. Olivier, ….je suis heureux …tu me rends heureux.
J’approche à nouveau mes lèvres des tiennes. Tout est dit pour aujourd’hui. Au moment où nous mêlons nos langues, ma queue se dresse et vient buter contre la tienne qui à la même seconde, s’est tendue vers moi. Nos bouches et nos glands sont unis dans une étreinte que nous n’oublierons pas.
A suivre…
Contre toi ce matin, dans ton lit, je suis heureux. Je suis allongé sur le ventre et mon esprit se concentre sur le bas de mon dos. Je me suis donnée à toi ce matin à l’aurore pour la première fois. Pour moi recevoir le sexe d’un homme dans mon corps est un signal. Cela signifie la confiance, l’abandon et l’invitation à partager ma vie. Bien sur nous sommes enfermés dans ce non-dit mystérieux et magique mais mon corps t’a invité cette nuit à autre chose. Décidément je t’aime. Bien sur je ressens un plaisir indescriptible quand un pénis s’invite en moi et me transperce d’ondes de plaisir qui ne se comparent à rien. Mais ce plaisir ne doit pas conduire ma vie. Je ne me le permets qu’avec un homme qui habite d’abord mon cœur avant de pénétrer au fond de moi. Il faut que cela reste un don, il faut que les choses aient un sens.
Tu m’as réveillé ce matin tôt. Je dormais sur le ventre et tu es venu t’allonger sur moi. Etrange sensation. Dans un demi sommeil je m’enfonçais dans une matière molle et chaude, écrasé par un poids qui m’emprisonnait mais ne me faisait pas mal. Juste une pesanteur, parfaite, douce et chaude. Je ne pouvais plus bouger. Je ne voulais plus bouger. Un axe. Je suis partagé en deux par quelque chose de dur qui épouse mon corps et se love entre mes fesses. Je me réveille à moitié et je sens mon double. J’ai deux corps. Un second corps se colle à chaque parcelle de ma peau. Je sens le contact avec ta peau sublime de la plante de mes pieds à mon cou. Ton souffle me caresse la nuque. Entre les deux tes cuisses contre mes cuisses, ton torse contre mon dos, tes bras croisés sur les miens sur l’oreiller au dessus de ma tête et ton sexe d’acier qui déjà m’invite à m’ouvrir pour toi. Tu m’embrasses dans le cou, doucement, tu bouges légèrement et je sens la caresse des poils de ton torse contre ma peau, et je sens que tes jambes écartent imperceptiblement les miennes, et je sens ta queue qui vibre entre mes fesses qui n’attendaient que cela.
Tu n’auras besoin de ne rien dire. Tu as mon invitation silencieuse à venir en moi, tu le sais déjà. Tes genoux écartent un peu plus mes cuisses jusqu’à ce que je sente que mon anus s’offre à toi. Tu t’es légèrement soulevé pour que ta queue, allongée sur mes fesses alors que ton gland caressait le bas de mon dos, s’oriente maintenant vers les profondeurs de cette intimité que tu viens de conquérir. Tes bras bloquent toujours les miens, ta langue tour à tour me lèche et me mordille le cou. Je t’appartiens. J’attends ton gland contre l’entrée de ce que tu convoites. Il est là, gonflé comme jamais, je l’imagine contre mon anus, je le sens, humide, brulant, impatient. Je n’ai pas peur. Je n’aurai pas mal parce que tu es déjà en moi. Ta verge va concrétiser un abandon qui est déjà consommé.
Alors que je m’attends à te recevoir, tu changes de position, je replie mes jambes pour t’offrir un accès plus facile. Ta langue abandonne mon cou. Je ne bouge plus. Je ne cherche pas à voir, je devine. Soudain ta langue est sur mon anus. C’est à hurler de plaisir. Douceur extrême, caresses plus appuyées, puis entrée symbolique. Ta langue est devenue ton sexe, c’est ta signature sur la partie la plus intime de moi. J’ai l’image mentale de mon corps qui n’est plus qu’une invitation à la fusion de nos deux êtres. Je me sens grand ouvert pour te recevoir même si mon anus restera serré autour de ton sexe pour que tu sentes que nous ne faisons plus qu’un. Mon corps réagit à tes caresses et mes muscles se détendent. Tu comprends ce signal imperceptible. Tout est silencieux. Je sens subitement le gel un peu froid couler entre mes fesses. J’aime cette fraicheur qui vient tempérer l’incendie allumé par ta langue amoureuse. C’est l’annonce d’un autre feu, plus intense, plus ultime. Puis, doucement, tu es là. Forme parfaite. Ton gland est contre moi et c’est la forme humaine la plus aboutie que j’ai le sentiment d’avoir toujours attendue. Ton gland, le tien, le seul, volumineux, animé d’un désir que je suis le seul à comprendre, accès au reste de toi, lieu d’un premier contact entre l’intimité de mon corps et ta virilité envoutante.
Je m’ouvre à toi. Pas de douleur malgré le volume ambitieux de ta queue qui me fascine depuis notre première rencontre. Je suis amoureux de ta queue en même temps que je suis amoureux de toi. Je me réveille la nuit agité d’un désir animal. Je n’ai alors plus de conscience. Juste une envie viscérale de ton sexe, dans ma bouche, sur mon corps, et, je l’ai rêvé avant ce matin, au plus profond de moi. Accomplissement. Ton gland est entré dans mon anus, tu es accueilli, prisonnier volontaire du reflexe qui me fait t’enserrer. C’est une supplique pour que tu restes. Reste en moi Nicolas, et viens, viens plus loin. Viens te fondre dans mon ventre. Deviens un peu moi.
Tes mains sont posées sur mes fesses, geste de complicité. Pas de soumission, nous ne nous parlons que de fusion et d’équilibres subtils. Tu t’enfonces. Il faut que tu aies ce sentiment, il faut que ce mot soit juste pour toi, que tu le vives comme un voyage, une exploration dans un monde intérieur que tu ne vois pas mais visites par la pensée. Ta queue est l’outil de cette exploration qui doit te faire comprendre que tu es attendu, invité à t’approprier ce lieu où je te reçois.
Tu es dur, je te sens avancer en moi, je voudrais que ce soit interminable. Je frissonne quand je sens les poils de ton pubis contre mes fesses. Bouffée de bonheur. Alliance ultime. Je ne pourrai pas t’accueillir mieux. Tu as pris possession ce que j’avais à te donner.
C’est étrange, écrasé sous ton poids et offert à l’assaut de ta queue, je te sens sans te voir et par moment je m’envole. Je suis dans cette chambre au dessus du lit où tu me fais l’amour et je te regarde. Je regarde la sueur couler le long de ton dos et disparaître entre tes fesses musclées et merveilleusement poilues. Tes poils sont humides de cette eau que ton corps en fusion exhale. Tous tes muscles sont tendus et sur ton visage une expression d’extase et l’image d’une énergie farouche. Tu veux que ce feu qui te brûle me soit transmis par ta queue. Cela me rappelle notre première rencontre et le déchirement de ma conscience quand nous avons joui ensemble. Tu veux la même chose. L’ultime partage.
Alors une énergie douce va te faire entamer un va et vient sublime. C’est lent, j’en ressens chaque seconde, je te sens partir et revenir, inlassablement, et chaque pulsation me transperce de joie. Je comprends que tu cherches d’abord à me donner du plaisir. Peut-être te retiens tu de m’assaillir de coups plus rapides et même brutaux. Je sais que tu veux que nous soyons associés dans le partage de la même onde de jouissance.
Est-ce le fruit de mon imagination ? J’ai l’impression que tu as trouvé un rythme très particulier et qu’à chaque fois que tu replonges en moi ta queue est traversée par une palpitation qui la fait grossir un peu plus. Ton désir monte inexorablement dans ce sexe adoré. Mon esprit et ta queue sont synchronisés. Mon anus se dilate au rythme de la préparation de ton éjaculation.
Il nous faut de la lenteur, du silence pour que cette complicité magique s’installe jusqu’à son paroxysme.
Tu m’a exploré, visité, transpercé et transporté pendant ce qui m’a paru à la fois des heures et un millionième de seconde.
Puis il y a eu ce dernier retrait, ta queue m’a déserté et, sans même avoir le temps d’essayer d’imaginer la suite, j’ai senti mon dos inondé de la cascade de ton sperme brulant. Hurlement rentré, cri étranglé. J’ai l’impression que tu viens de hurler ton plaisir comme pour la première fois. Je suis pétrifié, comblé par ce dénouement sauvage. Je m’effondre sur le lit. Je ne sais plus où je suis.
Ta langue va alors me parcourir une dernière fois avant que tu t’enfonces dans un profond sommeil.
Tu pars de mon anus humide puis remontes tout le long de ma colonne vertébrale en léchant au passage la semence que tu as si généreusement répandue sur moi. Ultime baiser dans le cou, alliance scellée par le plaisir que nous venons de partager et la trace de sperme que ta langue laisse sur ma peau.
Je suis donc allongé contre toi. Tu dors toujours. Je crois que j’ai sombré aussi. Je me réveille doucement. Sur ma peau je sens les traces de ton sperme qui ont séché. Tatouage éphémère. Marquage de toi sur moi ? Je jouis de ce moment où me reviennent toutes les sensations de ton sexe qui s’empare de moi, fusion de nous et dépassement de tout ce que nous pouvons imaginer.
Tu dors. Je me tourne vers toi pour te regarder. Je veux t’admirer en silence. Tu dors allongé sur le ventre et la tête tournée vers l’autre coté du lit. Je te lèche l’oreille, doucement. Je sais que tes oreilles sont des zones érogènes capables de déchainer ta passion quand nous faisons l’amour. Une de tes jambes est repliée et offre à mon regard ton sexe, écrasé sur le matelas entre tes cuisses musclées qui me troublent profondément. Tout à l’heure ta queue m’a possédé et m’a donné un plaisir que je ne peux pas décrire. Maintenant je te regarde, fasciné par tes deux couilles rasées posées sur ta queue, molle, abandonnée sur le matelas pendant que le sommeil a pris possession de ton cerveau. Mes yeux ne quittent pas ta queue ainsi offerte à mon désir, le gland découvert comme une ultime preuve de ce que nous venons de partager. L’envie est trop forte. Ma main s’aventure entre tes fesses. Je ne veux pas te réveiller, juste sentir la moiteur des efforts que tu as produits pour arriver à la jouissance absolue que tu viens de vivre. Mes doigts glissent doucement de ton anus à tes bourses encore gonflées de désir et à ta queue qui, entre tes cuisses n’a jamais été aussi désirable. Je caresse le frein de ton prépuce, ou plutôt je l’effleure. Je voudrais entrer dans tes rêves. Que tu imagines au plus profond de ton sommeil qu’une main te caresse là où réside la source des plus grands plaisirs et que tu t’abandonnes à cette caresse qui anime ton corps d’une nouvelle force.
A un moment je crois entendre un soupir dans ton sommeil. Un signal, un son étrange qui exprime une dimension du plaisir que les mots ne peuvent pas décrire. Ma main est moi. C’est moi tout entier qui te rends hommage, de ton anus caché dans une douce et sombre toison à ton gland enfin reposé, pour te dire merci du plaisir que tu viens de me donner.
Le jingle d’un message qui arrive sur ton téléphone. Tu es encore dans un demi sommeil. Tu t’étires lentement et te penches pour prendre ton iphone sur la table de nuit. Tu lis le sms et tu souris.
- qu’est-ce qui te fait rire ?
- c’est un copain que je n’ai pas vu depuis un moment qui m’invite à diner. Qui NOUS invite en fait.
- il me connaît ?
- non, lis le message
« Salut Nicolas, j’espère que tu vas bien. J’organise un diner…amusant…et plus si affinité le 25. Ce serait super si tu pouvais être là. Viens…bien accompagné si tu veux c’est encore mieux. A bientôt ? Marc. »
- ça veut dire quoi « amusant et plus… ? ». Tu es déjà allé diner chez lui ?
- non, mais nous avons un peu baisé ensemble quand je l’ai rencontré et je suis sur qu’il va te plaire. Il est sympa et pas vraiment timide…
Je suis intrigué. Tu me sembles totalement à l’aise en me disant cela. Soudain je sens une angoisse profonde m’envahir. Tu le ressens en même temps que moi.
- tu ne veux pas y aller ? Si tu ne veux pas on n’y va pas.
- Je ne sais pas. Tu fais ce que tu veux de toute façon. C’est un ami à toi.
Et, à ce moment précis où je nous sens au bord du vide tu te tournes vers moi, plonges tes yeux magnifiques dans les miens et dis :
- c’est toi mon ami. Olivier… Tu t’arrêtes …Je t’aime.
Je te regarde, à coté de moi, allongé sur ce lit, si beau ce matin, la tête appuyée sur ton bras replié, ta queue au repos pendante, tes couilles sublimes posées sur ta cuisse musclée et si virile. Ma voix s’étrangle…
- moi aussi je t’aime.
Tu souris comme un enfant et nous nous embrassons. Baiser d’éternité, interminable. Tout s’y mêle, l’amour partagé, la confiance, l’innocence de l’homme cueilli par un sentiment qui le dépasse, le désir ravageur, une vague qui remplit et nous donne une raison d’être. Nous restons un long moment dans les bras l’un de l’autre. Silencieux. Accomplis. Tu murmures à mon oreille :
- Pour Marc tu me diras. Si ça t’amuse on y va. C’est toi qui décides. Moi je t’aime.
- On peut aller voir. Si ce n’est pas bien on partira.
- OK. Olivier, ….je suis heureux …tu me rends heureux.
J’approche à nouveau mes lèvres des tiennes. Tout est dit pour aujourd’hui. Au moment où nous mêlons nos langues, ma queue se dresse et vient buter contre la tienne qui à la même seconde, s’est tendue vers moi. Nos bouches et nos glands sont unis dans une étreinte que nous n’oublierons pas.
A suivre…
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