L'ordonnance 01 La présentation

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'ordonnance 01 La présentation Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'ordonnance 01 La présentation
L'ordonnance 01La présentation


Willy faisait son mètre soixante trois ou quatre et ne pesait pas plus de cinquante cinq kilos ( tout mouillé ), il avait un visage bien viril, bien mâle. Les cheveux presque rasés sur les côté et pas très long sur le dessus lui donnaient un air sérieux. Parfaitement bien rasé on voyait qu'il prenais soin de son image. Il faisait du sport et on devinait une très belle musculature très fine mais tout à fait sérieuse. Il ne devait pas avoir vingt cinq ans.

Il était arrivé le jour même, il s'installait dans sa chambre, il y avait quatre lits par chambre. Il avait passé son uniforme, et terminait de l'ajuster devant le miroir. Il prenait soin de son image. L'uniforme était parfaitement ajusté, il avait belle allure, sa petite taille n'y changeait rien, il avait l'air sérieux, il l'était.

On l'attendait dans le bureau du big-boss, l'officier de corps.

Il s'y présentait, il était reçu par son secrétaire …
– Salut ! Lui lançait le secrétaire. Alors c'est toi qui vient me remplacer ?
– Il semblerait oui.
– Assieds-toi là, le boss ne devrait pas tarder à te recevoir. Puis il décrochait le téléphone et avertissait de l'arrivée du nouveau.

William manipulait son béret dans les mains, il était un peu nerveux et le tordait, le pliait le repliait. Comme je vous le dis il était nerveux et c'est son béret qui en faisait les frais.

– Tu portes ? Demandait le secrétaire à Willy.
– Je porte quoi ?
– Tu portes ? Répétait le secrétaire à Willy qui visiblement ne comprenait pas.
– Moi je ne porte rien !
– Je parlais du dispositif de chasteté. Continuait le secrétaire.
– Ah non, non, je ne porte pas ça moi, non !
– Tu seras peut être obligé. Rajoutais le secrétaire.
– Obligé ? Mais on m'a dit qu'il n'y avait pas d'obligation. Qu'on était libre de choisir … Willy s'inquiétait et c'était visible.
– On n'est pas vraiment obligé mais il y a des incitations …– Explique.
– Ici c'est la planque. On est planqué. Quatre trois ans je n'ai monté que trois gardes …– Et moi quinze en trois mois. Répondait Willy.
– Ensuite j'ai une permission tous les mois.
– Moi je n'en ai eu qu'une et en plus j'en reviens.
– J'ai une chambre individuelle .
– C'est bien ça !
– Il y a aussi quelques avantages, la bouffe, les horaires de travail, Presque jamais la nuit. Et presque tous les week-end libre. Je m'offre le resto tous les samedis.
– Et pour rester, il faut porter …– Ouai, tu chausses combien ?
– Grande taille.

Le secrétaire devait faire son mètre quatre vingt avec la carrure qui suivait, il regardait Willy des pieds à la tête et reprenait.

– Tu es gros comme un ouistiti, ça doit pas faire une taille si grande que ça...

Willy rougissait et baissait la tête avec un large sourire pour dissimuler son embarras.

Le téléphone sonnait, c'était le boss qui demandait à voir le nouveau. Willy entrait dans le bureau, le secrétaire refermait la porte derrière lui et les laissait tous les deux.

Le boss faisait un peu plus de deux mètres de haut, assis derrière son bureau il était déjà impressionnant. Il était énorme, attention, j'ai dit énorme j'ai pas dit gros. Oh ça non il n'était pas gros, il n'avait pas un poil de graisse mais il était énorme. Ses bras faisaient plus du triple de ceux de Willy, les jambes pareil. Ce n'étaient pas les même proportions, c'est tout. Elles étaient élégantes tout de même.

Il était nettement plus grand que le petit Willy, pas difforme juste plus grand. De la main il montrait une chaise à Willy.

– Vous avez le permis de conduire jeune homme ?
– Oui.
– Vous parlez plusieurs langues ?
– Anglais, espagnol couramment !

Suivait un véritable interrogatoire, pas sur la vie privée bien sûr sinon, marié, célibataire … Il s'agissait juste d'avoir toutes les informations importantes ainsi que ses capacités professionnels.

Le boss avait l'air sympathique, il avait l'air sévère mais correcte. Willy se rendrait compte plus tard qu'il était cool sur plus d'un point. Les yeux du boss regardaient Willy avec force, quand il le regardait il le fixait du regard. Après une petite heure d'échange il concluait.

– Je pense que vous allez aimer vous retrouver ici. Au fait Vous portez ?
– Non mon Lieutonel . Répondait Willy.
– Nous verrons ça plus tard.

Willy ressortait du bureau, il ne cachait pas une certaine inquiétude, et se retournant vers le secrétaire.

– Tu crois que je vais devoir porter ce dispositif ?
– Si tu veux rester ici, ça ne fait aucun doute ! Il a dit quoi sur ce sujet ?
– On verra plus tard.
– Il va te laisser le temps d'apprécier le poste et ensuite, si tu veux rester tu choisiras.
– C'est que j'ai une grosse taille.
– Grosse comment ? Tous les mecs disent la même chose. Répondais le secrétaire en rigolant.
– Bein …– Ne t'inquiète pas ils ont toutes les tailles, et si nécessaire il la font sur mesure.

Voilà qui ne rassurait pas vraiment Willy. S'il s'était engagé dans le seul corps d'armée qui n'obligeait pas à porter un dispositif de chasteté, ce n'était pas un hasard. Il y tenait à sa grosse bite, et il tenait aussi à pouvoir s'amuser avec. Il savait que sur ce point il ne devrait pas se faire remarquer sinon il y aurait droit mais justement, il ne se faisait pas remarquer, surtout pas.

On était en fin de matinée, le secrétaire l'invitait à revenir l'après midi pour commencer son travail. Ils resterait encore trois semaines, c'était largement suffisant pour former le nouveau.

Pendant les semaines qui suivaient, Willy prenait ses marques. On lui expliquait le fonctionnement de tout le bureau. Tous les matins il y avait la séance de sport, l'entraînement quotidien, il y avait une autre séance qui suivait dans l'après midi. Toutes les semaines une journée plus intensive, maniement des armes, sport de combat … Willy remarquait très vite qu'il était le seul à ne pas porter de dispositif. Mais lui ne se faisait pas remarquer.

Le premier soir, dans sa chambre, quand ses camarades se changeaient il remarquait le défaut. Il préférait rester très discret. Il en avait une grosse et voulait la garder sous la main. Il préférait utiliser une cabine de douche, il y en avait plusieurs. Ça faisait rigoler les autres mais il s'en moquait. Il était largement le plus petit du groupe, mais il était très beau. Les autres supposaient qu'il était timide.

La séance de sport l'après midi se faisait avec les membres de son bureau, et c'est au bout de la première semaine qu'il se retrouvait sous la douche avec le secrétaire qu'il devait remplacer, Lionel. J'avais oublié de vous le dire il s'appelle Lionel. Ce jour là il n'y avait pas de cabine, il ne pouvait pas reculer, il n'avait plus le choix. Pensant en trouver une il arrivait à la salle des douches avec juste sa serviette autour du ventre.

Lionel laissait la sienne sur un banc, et appuyait sur le bouton. L'eau chaude coulait sur son corps couvert de sueur.

Willy le regardait avec à la fois de la terreur et de l'envie. Il était beau comme un dieu le grand Lionel, musclé de partout, il avait une bonne tête et une cage à bite de petite taille. Enfin elle semblait de petite taille, on ne voyait qu'elle tant elle prenait de la place mais elle était toute petite, presque microscopique … Willy regardait ça et se disait qu'il ne pourrait jamais tenir dans un truc pareil.

– Alors tu ne te douches pas, tu devrais, on a bien transpiré. Lui lançait Lionel.

C'est à peine si Willy parvenait à bafouiller quelques mots puis il posait sa serviette sur un banc avant de se retourner vers Lionel qui ne parvenait pas à cacher sa surprise.

Willy avait une grosse bite bien lourde et bien large, pourtant il ne bandait pas, elle tombait et se balançait devant son propriétaire, elle devait faire pas loin de quinze centimètres, pourtant il ne bandait pas du tout …
– Ah ouai, je vois le genre. Monsieur cache bien son jeux.

Willy souriait et était un peu embarrassé, à chaque mouvement sa queue se balançait lourdement, il se plaçait lui aussi sous la douche et faisait couler l'eau.

Lionel ne parvenait pas à détacher son regard.

– Et en forme ça donne quoi ?
– Je crois que tu ne devrait pas tarder à le voir.

Willy bandait lentement et c'est lentement que sa queue se gorgeait de sang et prenait de la taille. Elle était déjà grosse, elle devenait énorme. Willy évitait de regarder Lionel et quand il ne le pouvait plus, quand il se retrouvaient tous les deux face à face, le seul regard que Willy portait sur le dispositif de chasteté de Lionel provoquait chez lui l’excitation qui lui manquait pour qu'il se mette à bander. Et là c'était impressionnant.

Lionel regardait ça, lui aussi bandait mais par obligation sa réaction restait plus discrète.

– Mais c'est que tu avais raison, grosse taille. Tu mesures combien ?
– Épaisseur six, largeur sept et longueur vingt trois .
– Wouah ! J'en veux une pareil ou l'as tu trouvé ?
– Je l'ai depuis tout petit. Lui répondait Willy avec une petite voix.

Il avait l'air penaud mais en fait il était fier de sa queue. Il gardait la tête penchée en avant, il était tout rouge de confusion.

– Tu as du faire couiner plus d'une gonzesse.

Willy ne répondait pas.

– Tu as une copine ?

Willy faisait non de la tête.

– Tu n'es plus puceau au moins ? Rajoutait Lionel en rigolant.

Willy relevait brusquement la tête et regardait Lionel dans les yeux, il y avait un peu de gêne.

– Tu es puceau ! Et bien moi avec une queue pareil, j'aurais défoncé tout ce que j'aurais trouvé. Surtout que, en plus, tu es très mignon.
– Tu ne le répètes pas ! Rajoutais Willy.
– Ça ne devrait plus durer bien longtemps. Enfin sauf si tu portes bientôt un dispositif de chasteté.

En disant cela Lionel réajustait son dispositif, il bandait et ce n'était pas confortable. Il s'approchait de Willy, lui caressait le torse avec douceur.

– Tu aimes ?

Willy ne répondait pas mais sa queue oui, elle se relevait avec encore plus de force. Lionel prenait juste Willy dans ses bras et sans rien lui demander le couvrait de baisers. Willy ne savait plus quoi dire, plus quoi faire et lui rendait simplement chacun des baisers qu'il recevait.

A suivre
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