L'ordonnance 03 A poil dans la chambre
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'ordonnance 03 A poil dans la chambre
L'ordonnance 03A poil dans la chambre
C'était pas vraiment facile de rester discret pour Willy. C'était naturel, ça ne choquait personne de se présenter nu devant les autres, sous la douches par exemple ou encore dans la chambre quand il s'agissait de se changer. Certains dormaient nus. Personne ne se formalisait, et ça ne choquait personne, tous montraient leur dispositif de chasteté. Willy avait rapidement compris qu'il était le seul à ne pas en avoir un. Et en plus il avait une bite largement hors norme.
Les dispositifs qu'il voyait sur ses camarades ne le rassuraient pas. Ils étaient tous minuscules. Plus petit que sa queue au repos, largement plus petits. Non seulement il n'avait pas prévu de porter un tel dispositif mais en plus il ne voyait pas vraiment comment il rentrerait dans un truc pareil.
Pour se calmer, pour détendre l’atmosphère, ses camarades de chambres se moquait de la situation, il en riaient. Ils se montraient nus dans la chambre et même souvent dans les couloirs, pour aller à la douche par exemple. Nombre de ces jeunes hommes y allaient entièrement nus, avec le savon dans une main et une serviette dans l'autre.
Willy ne faisait jamais ça. Il commençait à attirer l'attention … Forcément il ne faisait pas comme tout le monde. Mais comme il avait l'air très jeune et qu'il était de toute petite taille, ce qui lui donnait une allure d'adolescent, tout le monde le laissait tranquille. On le taquinait bien un peu mais sans plus. Willy était jeune bien sûr mais n'était plus adolescent, il avait passé les vingt ans.
Les jours passaient, au niveau boulot tout se passait bien mais dans la chambre, Willy s'angoissait un peu plus chaque soir. Il jouait les prudes qui n'osait pas se montrer nu. C'est tout ce qu'il avait trouvé pour ne pas montrer à tout le monde qu'il ne portait pas de cage de chasteté, et que en plus il était rudement bien monté.
Surtout qu'avec son gabarit de ouistiti et sa queue d'étalon, nu il se faisait remarquer. Quand il avait fait ses classes, toute la chambre le taquinait. Aucun ne portait de dispositif de chasteté là bas et tout se passait bien. Les autres le regardait avec respect, même Johnny qui était un gros frimeur avec une grosse queue. En tout cas grosse, c'est ce qu'il prétendait avant de voir Willy à poil. Il était en effet bien monté mais à côté de Willy, il ne faisait pas le poids, même lui, avec ses vingt centimètres, il faisait petit joueur.
Bein oui, vous imaginez bien qu'ils ont tous comparé. Ils se comparaient les uns aux autres et à ce jeux c'est toujours Willy qui gagnait. Les classes avaient durée trois mois, c'était la durée normale.
Dans cette nouvelle caserne, l’ambiance était totalement différente. Tous les hommes portaient un dispositif de chasteté, ça calme ! La comparaison se faisait dans un autre esprit. On pouvait voir la taille de la cage, elle était en rapport avec la taille de la queue, c'est obligée. Si la bite est minuscule, la cage ne serra pas bien grosse. Si la cage est grosse ou pire ( mieux peut être selon certain ), si elle est énorme, c'est que la bite est de grosse taille.
Dans tous les cas, ça se termine par une comparaison. Au lieu de terminer par '' Regarde ce que j'ai moi, balaise hein !'' , les hommes terminait le jeux de la comparaison par '' Moi je porte une taille deux ( ou six ) ''. C'était selon. Bon la je déconne, vous avez remarquez. La taille six ça n'existe pas ! Quoi que, Avec Willy, à lui, il fallait une taille sept …
La seconde semaine passait, là, les camarades de chambre de Willy devenaient lourds. Ils lui faisaient de plus en plus de commentaires et ils se moquaient.
Will se réfugiait le plus possible chez Lionel. Le secrétaire du Lieutonel qu'il allait remplacer. Cette situation le stressait.
– Tu n'as qu'à leur montrer ta queue ! Lui lançait Lionel.
– Tu es marrant toi, ils ne vont pas apprécier.
– Ils vont être verts de jalousie et pas seulement parce qu'ils ont tous un dispositif de chasteté, ils vont être verts. Tu sais à côté de toi, ils en ont tous une toute petite.
– Et s'il y en a un qui donne dans la même taille que moi ?
– Dans ta chambre, aucun ne dépasse la taille trois ! J'ai vérifié. Lui répondait Lionel.
– C'est dans le fichier ce genre d'information ?
– Oui pour toi il est prévu une taille sept.
– Non !
– Bein si . Il est même précisé qu'il faudra envisager une réduction …– C'est quoi ?
– Ça veut dire qu'au début on te passe une taille sept, dès que possible on passe à six, sachant que l'idéal serait d'arriver à te faire porter une taille cinq.
– Tu es fou, j'ai vu la cinq, mais je ne rentre pas dedans !
– C'est une question d'entraînement. Mais il faut savoir que dans ce cas, si tu portes trop longtemps, ça entraînerait une réduction définitive de ta bite.
Willy devenait tout pâle.
– Et je ne peux pas dénoncer le contrat ?
– Tu peux essayer.
– Ça s'est déjà produit ?
– J'ai fait des recherches dans les archives, il semblerait que la personne concernée ait été mutée, mais je ne sais pas ou … Comme je te dis ils font pression … Une taille sept, on n'en trouve aucune trace.
Et six ?
Quelques unes …
Une fois de plus Willy rentrait se coucher avec une petite boule au ventre. Ses camarades étaient couchés, les lumières étaient éteintes. Il n'allumait pas et se mettait au lit.
Il s'endormait rapidement. Il était réveillé avec brutalité, il ne savait pas qu'elle heure il était, il ne comprenait ce qui se passait. Deux de ses camarades le tenaient fermement dans son lit, le troisième allumait la lumière. On lui retirait les couvertures et un de ses camarades lui baissait son slip et là … Plus personne ne bougeait, plus personne ne disait plus rien, ils le relâchaient.
Ils étaient pétrifié devant … La chose !
Aucun d'eux ne portait une taille plus grande que la trois. Là ils étaient devant une bite monstrueuse, vraiment grosse. Ils étaient verts, comme l'avait dit Lionel.
– Vous êtes chiants les mecs. Vous pouvez pas me foutre la paix ! Leur gueulait Willy.
Ils l'avait lâché, en voyant sa queue, tout le monde l'avait lâché. Ils étaient écœurés.
– Tu n'as pas de cage à bite ? C'est parce qu'ils n'ont pas ta taille ? Demandait l'un.
– Ils sont en train de la fabriquer, c'est pour ça dis ? Demandait un autre.
– Alors moi là je suis dégoutté, elle est énorme. Et tu arrives vraiment à t'en servir. Les filles doivent se sauver quand elles voient ça ! Terminait le dernier.
Ils retournaient tous s'asseoir sur leur lit laissant Willy à poil, allongé sur son lit. Il était vexé Willy, il n'a pas vraiment apprécié cette blague. Il tirait sur lui sa couverture, il faisait la gueule.
– Non mais franchement ça va pas. Leur lancait-il.
– Tu ne portes pas de dispositif ? Demandait l'un.
– Pourquoi tu ne portes pas ? Continuait un second.
– Tout le monde porte ici !
– Tu dois certainement être le seul …– C'est parce qu'il n'ont pas ta taille ?
– Fais voir j'ai pas bien vu, ou alors j'ai rêvé.
Willy se faisait assommer de questions, qui finalement n'étaient pas méchantes. Maintenant qu'il était à poil, il décidait finalement de ne plus se cacher. Il bandait. Il se levait tout de même et faisait les cent pas au milieu de la chambre.
Les commentaires fusaient de toutes parts.
– La vache !
– C'est énorme !
– Y en a qui sont vernis !
– Je savais pas que ça existait des bites pareils !
– J'y crois pas !
– C'est clair il n'avait pas sa taille !
…
– Bon je peux me recoucher là ? Vous avez tous bien vu ? Et si ça ne vous plaît pas cette histoire, je vous pète le cul à tous, je vous prends tous les une après les autres. Terminait-il sur un ton qui ne cachait pas son agacement.
Il était un peu énervé le petit Willy. Il se recouchait, tirait sur lui la couverture et se retournait contre le mur. Il les as entendus parler entre eux. Ils étaient sous le choc. C'est vrai qu'il ne s'attendaient pas à ça.
Le lendemain il se levait, il avait dormi à poil et c'est juste avec sa serviette autour de lui qu'il se rendait à la douche. Personne ne lui a fait la moindre réflexion dans sa chambre, pour le reste il a fait comme d'habitude, il a pris sa douche dans une cabine …
Le lendemain il se changeait devant tout le monde, il se montrait longuement, il en profitait, il s’exhibait devant toute la chambrée, et ne passait son pantalon qu'en dernier. Ils avaient voulu voir sa bite, il pouvaient la voir là, il ne la leur cachaient plus du tout. Ils le regardaient sans faire un commentaire, une bite de plus de quinze centimètre qui pendait lourdement avec ses six centimètres de large, le tout monté sur un petit bonhomme gros comme un ouistiti, ça leur faisait bizarre tout de même. Même si le ouistiti était bien musclé ...
Ils étaient dégoûtés, ça se voyait.
Comme tous les matin, il passait au réfectoire prendre son petit déjeuner en allant au bureau du Lieutonel. Il y retrouvait Lionel qui venait d'arriver.
– Le boss veut te voir lui disait Lionel. Il m'a dit, '' ... vous me l'envoyez dès qu'il arrive … ''.
Willy paniquait, il ne montrait rien mais il paniquait. Il se demandait ce que le bosse lui voulait. Son cœur s'accélérait brusquement. Il entrait dans le bureau.
– Ah, je vous attendait. Je pars en vacances, d'habitude c'est votre collègue qui m'accompagne, mais quand nous reviendront il sera parti. Vous allez donc préparer tout de suite votre valise, tenue de sortie, tenue de travail, tenue de sport … et vous revenez. Exécution !
Willy n'avait pas vraiment eu le temps de réaliser, il mettait un moment avant de se décontracter.
– Tu verras c'est un endroit génial. Tu vas passer deux semaines de rêve. J'ai les billet, il t'emmène à son chalet, dans la montagne, et en plus il y a de la neige. Lui expliquait Lionel.
Willy revenait dans sa chambre, elle était vide, il préparait son sac, la tenue de sortie, il l'avait déjà sur lui, il n'oubliait pas une tenue civile. Il ne lui semblait pas utile de prendre plus de vêtements civils, s'il le fallait on le lui aurait dit. Quand il revenait au bureau, on le dirigeait vers un véhicule pour aller chercher le Lieutonel chez lui. Il se préparait lui aussi.
Il avait plusieurs valises, le chauffeur et Willy les chargeaient dans le coffre puis, Willy s'installait à l'avant, le Lieutonel derrière et ils faisaient route vers l'aéroport. Ils étaient dans une base militaire géante, Tout se passait sur place, l'aéroport était à deux kilomètres du quartier d'habitation.
C'est dans un petit avion qu'ils faisaient le reste du voyage. A l'arrivée un taxi venait les chercher à l'aéroport.
– Et nous allons ou mon Lieutonel. Si ce n'est pas secret. Demandait timidement Willy.
– Dans ma résidence, j'ai un petit chalet très mignon pas loin du village.
Ils traversaient le quartier touristique, quelques barres d'immeubles, comme dans tous les endroits touristiques, et en effet quelques kilomètres plus loin, le quartier résidentiel. C'était un petit chalet de deux étages. On voyait au premier coup d’œil que son propriétaire avait du fric.
Ils se sont installés au deuxième étage, en façade. La vue était époustouflante, la montagne est vraiment belle et la lumière réchauffait l'atmosphère malgré la température.
Quatre chambres par niveau, au rez de chaussée un immense salon, la cuisine, le bureau et en sous sol les installation sportives. C'était un vrai palace. Le Lieutonel laissait à Willy le temps de s'installer et celui-ci décidait de prendre une douche.
Il était tranquillement en train de se doucher quand le Lieutonel entrait sans prévenir dans la salle de bain.
– Tu prends une douche, tu as bien raison bonhomme après on se sent plus léger. Faisait remarquer le Lieutonel sur un ton décontracté.
Willy sursautait, on le voyait de dos, il tournait la tête et voyait son chef se déshabiller sans aucune gène ni complexe. Il était couvert de muscles, il en avait partout. Il était bien proportionné et était bel homme, il avait de l'allure. Mais quand il retirait son pantalon, il portait une toute petite cage à bite. Il relevait la tête, regardait Willy et lui faisait un large sourire.
Il y avait de la place pour deux, c'était des douches doubles. Le Lieutonel s'y glissait à côté de Willy et quand il le voyait de face, il ne parvenait pas à dissimuler sa surprise.
– J'avais oublié ce détail, mais là je comprends mieux. Déclarait le lieutonel.
Willy commençait à se sentir embarrassé, il commençait à bander en voyant la cage à bite de son chef.
– Je comprends pourquoi tu ne voulais pas porter le dispositif de chasteté toi, tu voulais garder ta bite sous la main. Dis donc tu es bien doté. La nature a été généreuse avec toi !
– Heu … Oui … Bafouillait Willy.
Sa queue se balançait lourdement et prenait déjà du volume.
– C'est moi qui te fait cet effet ? Lui demandait le Lieutonel.
Willy était rouge de confusion. À ce moment il regrettait de ne pas avoir de cage de chasteté. Ça n'arrivait jamais aux autres ce genre de réaction incontrôlable. Willy ne savait plus ou se mettre, mais il n'y avait aucun endroit ou se cacher.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'était pas vraiment facile de rester discret pour Willy. C'était naturel, ça ne choquait personne de se présenter nu devant les autres, sous la douches par exemple ou encore dans la chambre quand il s'agissait de se changer. Certains dormaient nus. Personne ne se formalisait, et ça ne choquait personne, tous montraient leur dispositif de chasteté. Willy avait rapidement compris qu'il était le seul à ne pas en avoir un. Et en plus il avait une bite largement hors norme.
Les dispositifs qu'il voyait sur ses camarades ne le rassuraient pas. Ils étaient tous minuscules. Plus petit que sa queue au repos, largement plus petits. Non seulement il n'avait pas prévu de porter un tel dispositif mais en plus il ne voyait pas vraiment comment il rentrerait dans un truc pareil.
Pour se calmer, pour détendre l’atmosphère, ses camarades de chambres se moquait de la situation, il en riaient. Ils se montraient nus dans la chambre et même souvent dans les couloirs, pour aller à la douche par exemple. Nombre de ces jeunes hommes y allaient entièrement nus, avec le savon dans une main et une serviette dans l'autre.
Willy ne faisait jamais ça. Il commençait à attirer l'attention … Forcément il ne faisait pas comme tout le monde. Mais comme il avait l'air très jeune et qu'il était de toute petite taille, ce qui lui donnait une allure d'adolescent, tout le monde le laissait tranquille. On le taquinait bien un peu mais sans plus. Willy était jeune bien sûr mais n'était plus adolescent, il avait passé les vingt ans.
Les jours passaient, au niveau boulot tout se passait bien mais dans la chambre, Willy s'angoissait un peu plus chaque soir. Il jouait les prudes qui n'osait pas se montrer nu. C'est tout ce qu'il avait trouvé pour ne pas montrer à tout le monde qu'il ne portait pas de cage de chasteté, et que en plus il était rudement bien monté.
Surtout qu'avec son gabarit de ouistiti et sa queue d'étalon, nu il se faisait remarquer. Quand il avait fait ses classes, toute la chambre le taquinait. Aucun ne portait de dispositif de chasteté là bas et tout se passait bien. Les autres le regardait avec respect, même Johnny qui était un gros frimeur avec une grosse queue. En tout cas grosse, c'est ce qu'il prétendait avant de voir Willy à poil. Il était en effet bien monté mais à côté de Willy, il ne faisait pas le poids, même lui, avec ses vingt centimètres, il faisait petit joueur.
Bein oui, vous imaginez bien qu'ils ont tous comparé. Ils se comparaient les uns aux autres et à ce jeux c'est toujours Willy qui gagnait. Les classes avaient durée trois mois, c'était la durée normale.
Dans cette nouvelle caserne, l’ambiance était totalement différente. Tous les hommes portaient un dispositif de chasteté, ça calme ! La comparaison se faisait dans un autre esprit. On pouvait voir la taille de la cage, elle était en rapport avec la taille de la queue, c'est obligée. Si la bite est minuscule, la cage ne serra pas bien grosse. Si la cage est grosse ou pire ( mieux peut être selon certain ), si elle est énorme, c'est que la bite est de grosse taille.
Dans tous les cas, ça se termine par une comparaison. Au lieu de terminer par '' Regarde ce que j'ai moi, balaise hein !'' , les hommes terminait le jeux de la comparaison par '' Moi je porte une taille deux ( ou six ) ''. C'était selon. Bon la je déconne, vous avez remarquez. La taille six ça n'existe pas ! Quoi que, Avec Willy, à lui, il fallait une taille sept …
La seconde semaine passait, là, les camarades de chambre de Willy devenaient lourds. Ils lui faisaient de plus en plus de commentaires et ils se moquaient.
Will se réfugiait le plus possible chez Lionel. Le secrétaire du Lieutonel qu'il allait remplacer. Cette situation le stressait.
– Tu n'as qu'à leur montrer ta queue ! Lui lançait Lionel.
– Tu es marrant toi, ils ne vont pas apprécier.
– Ils vont être verts de jalousie et pas seulement parce qu'ils ont tous un dispositif de chasteté, ils vont être verts. Tu sais à côté de toi, ils en ont tous une toute petite.
– Et s'il y en a un qui donne dans la même taille que moi ?
– Dans ta chambre, aucun ne dépasse la taille trois ! J'ai vérifié. Lui répondait Lionel.
– C'est dans le fichier ce genre d'information ?
– Oui pour toi il est prévu une taille sept.
– Non !
– Bein si . Il est même précisé qu'il faudra envisager une réduction …– C'est quoi ?
– Ça veut dire qu'au début on te passe une taille sept, dès que possible on passe à six, sachant que l'idéal serait d'arriver à te faire porter une taille cinq.
– Tu es fou, j'ai vu la cinq, mais je ne rentre pas dedans !
– C'est une question d'entraînement. Mais il faut savoir que dans ce cas, si tu portes trop longtemps, ça entraînerait une réduction définitive de ta bite.
Willy devenait tout pâle.
– Et je ne peux pas dénoncer le contrat ?
– Tu peux essayer.
– Ça s'est déjà produit ?
– J'ai fait des recherches dans les archives, il semblerait que la personne concernée ait été mutée, mais je ne sais pas ou … Comme je te dis ils font pression … Une taille sept, on n'en trouve aucune trace.
Et six ?
Quelques unes …
Une fois de plus Willy rentrait se coucher avec une petite boule au ventre. Ses camarades étaient couchés, les lumières étaient éteintes. Il n'allumait pas et se mettait au lit.
Il s'endormait rapidement. Il était réveillé avec brutalité, il ne savait pas qu'elle heure il était, il ne comprenait ce qui se passait. Deux de ses camarades le tenaient fermement dans son lit, le troisième allumait la lumière. On lui retirait les couvertures et un de ses camarades lui baissait son slip et là … Plus personne ne bougeait, plus personne ne disait plus rien, ils le relâchaient.
Ils étaient pétrifié devant … La chose !
Aucun d'eux ne portait une taille plus grande que la trois. Là ils étaient devant une bite monstrueuse, vraiment grosse. Ils étaient verts, comme l'avait dit Lionel.
– Vous êtes chiants les mecs. Vous pouvez pas me foutre la paix ! Leur gueulait Willy.
Ils l'avait lâché, en voyant sa queue, tout le monde l'avait lâché. Ils étaient écœurés.
– Tu n'as pas de cage à bite ? C'est parce qu'ils n'ont pas ta taille ? Demandait l'un.
– Ils sont en train de la fabriquer, c'est pour ça dis ? Demandait un autre.
– Alors moi là je suis dégoutté, elle est énorme. Et tu arrives vraiment à t'en servir. Les filles doivent se sauver quand elles voient ça ! Terminait le dernier.
Ils retournaient tous s'asseoir sur leur lit laissant Willy à poil, allongé sur son lit. Il était vexé Willy, il n'a pas vraiment apprécié cette blague. Il tirait sur lui sa couverture, il faisait la gueule.
– Non mais franchement ça va pas. Leur lancait-il.
– Tu ne portes pas de dispositif ? Demandait l'un.
– Pourquoi tu ne portes pas ? Continuait un second.
– Tout le monde porte ici !
– Tu dois certainement être le seul …– C'est parce qu'il n'ont pas ta taille ?
– Fais voir j'ai pas bien vu, ou alors j'ai rêvé.
Willy se faisait assommer de questions, qui finalement n'étaient pas méchantes. Maintenant qu'il était à poil, il décidait finalement de ne plus se cacher. Il bandait. Il se levait tout de même et faisait les cent pas au milieu de la chambre.
Les commentaires fusaient de toutes parts.
– La vache !
– C'est énorme !
– Y en a qui sont vernis !
– Je savais pas que ça existait des bites pareils !
– J'y crois pas !
– C'est clair il n'avait pas sa taille !
…
– Bon je peux me recoucher là ? Vous avez tous bien vu ? Et si ça ne vous plaît pas cette histoire, je vous pète le cul à tous, je vous prends tous les une après les autres. Terminait-il sur un ton qui ne cachait pas son agacement.
Il était un peu énervé le petit Willy. Il se recouchait, tirait sur lui la couverture et se retournait contre le mur. Il les as entendus parler entre eux. Ils étaient sous le choc. C'est vrai qu'il ne s'attendaient pas à ça.
Le lendemain il se levait, il avait dormi à poil et c'est juste avec sa serviette autour de lui qu'il se rendait à la douche. Personne ne lui a fait la moindre réflexion dans sa chambre, pour le reste il a fait comme d'habitude, il a pris sa douche dans une cabine …
Le lendemain il se changeait devant tout le monde, il se montrait longuement, il en profitait, il s’exhibait devant toute la chambrée, et ne passait son pantalon qu'en dernier. Ils avaient voulu voir sa bite, il pouvaient la voir là, il ne la leur cachaient plus du tout. Ils le regardaient sans faire un commentaire, une bite de plus de quinze centimètre qui pendait lourdement avec ses six centimètres de large, le tout monté sur un petit bonhomme gros comme un ouistiti, ça leur faisait bizarre tout de même. Même si le ouistiti était bien musclé ...
Ils étaient dégoûtés, ça se voyait.
Comme tous les matin, il passait au réfectoire prendre son petit déjeuner en allant au bureau du Lieutonel. Il y retrouvait Lionel qui venait d'arriver.
– Le boss veut te voir lui disait Lionel. Il m'a dit, '' ... vous me l'envoyez dès qu'il arrive … ''.
Willy paniquait, il ne montrait rien mais il paniquait. Il se demandait ce que le bosse lui voulait. Son cœur s'accélérait brusquement. Il entrait dans le bureau.
– Ah, je vous attendait. Je pars en vacances, d'habitude c'est votre collègue qui m'accompagne, mais quand nous reviendront il sera parti. Vous allez donc préparer tout de suite votre valise, tenue de sortie, tenue de travail, tenue de sport … et vous revenez. Exécution !
Willy n'avait pas vraiment eu le temps de réaliser, il mettait un moment avant de se décontracter.
– Tu verras c'est un endroit génial. Tu vas passer deux semaines de rêve. J'ai les billet, il t'emmène à son chalet, dans la montagne, et en plus il y a de la neige. Lui expliquait Lionel.
Willy revenait dans sa chambre, elle était vide, il préparait son sac, la tenue de sortie, il l'avait déjà sur lui, il n'oubliait pas une tenue civile. Il ne lui semblait pas utile de prendre plus de vêtements civils, s'il le fallait on le lui aurait dit. Quand il revenait au bureau, on le dirigeait vers un véhicule pour aller chercher le Lieutonel chez lui. Il se préparait lui aussi.
Il avait plusieurs valises, le chauffeur et Willy les chargeaient dans le coffre puis, Willy s'installait à l'avant, le Lieutonel derrière et ils faisaient route vers l'aéroport. Ils étaient dans une base militaire géante, Tout se passait sur place, l'aéroport était à deux kilomètres du quartier d'habitation.
C'est dans un petit avion qu'ils faisaient le reste du voyage. A l'arrivée un taxi venait les chercher à l'aéroport.
– Et nous allons ou mon Lieutonel. Si ce n'est pas secret. Demandait timidement Willy.
– Dans ma résidence, j'ai un petit chalet très mignon pas loin du village.
Ils traversaient le quartier touristique, quelques barres d'immeubles, comme dans tous les endroits touristiques, et en effet quelques kilomètres plus loin, le quartier résidentiel. C'était un petit chalet de deux étages. On voyait au premier coup d’œil que son propriétaire avait du fric.
Ils se sont installés au deuxième étage, en façade. La vue était époustouflante, la montagne est vraiment belle et la lumière réchauffait l'atmosphère malgré la température.
Quatre chambres par niveau, au rez de chaussée un immense salon, la cuisine, le bureau et en sous sol les installation sportives. C'était un vrai palace. Le Lieutonel laissait à Willy le temps de s'installer et celui-ci décidait de prendre une douche.
Il était tranquillement en train de se doucher quand le Lieutonel entrait sans prévenir dans la salle de bain.
– Tu prends une douche, tu as bien raison bonhomme après on se sent plus léger. Faisait remarquer le Lieutonel sur un ton décontracté.
Willy sursautait, on le voyait de dos, il tournait la tête et voyait son chef se déshabiller sans aucune gène ni complexe. Il était couvert de muscles, il en avait partout. Il était bien proportionné et était bel homme, il avait de l'allure. Mais quand il retirait son pantalon, il portait une toute petite cage à bite. Il relevait la tête, regardait Willy et lui faisait un large sourire.
Il y avait de la place pour deux, c'était des douches doubles. Le Lieutonel s'y glissait à côté de Willy et quand il le voyait de face, il ne parvenait pas à dissimuler sa surprise.
– J'avais oublié ce détail, mais là je comprends mieux. Déclarait le lieutonel.
Willy commençait à se sentir embarrassé, il commençait à bander en voyant la cage à bite de son chef.
– Je comprends pourquoi tu ne voulais pas porter le dispositif de chasteté toi, tu voulais garder ta bite sous la main. Dis donc tu es bien doté. La nature a été généreuse avec toi !
– Heu … Oui … Bafouillait Willy.
Sa queue se balançait lourdement et prenait déjà du volume.
– C'est moi qui te fait cet effet ? Lui demandait le Lieutonel.
Willy était rouge de confusion. À ce moment il regrettait de ne pas avoir de cage de chasteté. Ça n'arrivait jamais aux autres ce genre de réaction incontrôlable. Willy ne savait plus ou se mettre, mais il n'y avait aucun endroit ou se cacher.
A suivre
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