La clairière

- Par l'auteur HDS Provence -
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Récit libertin : La clairière Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La clairière
Avec ma femme, Coralie, quand on est en désaccord sur un point, on a maintenant pris l’habitude de faire un pari sur le sujet et le perdant doit s’exécuter sur un gage décidé par l’autre. C’est mieux que de s’énerver, s’entêter, non ?

Ce coup-ci, c’est encore Coralie qui a perdu et doit s’exécuter. Elle ne sait pas encore ce que je lui réserve mais se doute que c’est sexuel, encore une fois. C’est toujours un peu sexuel. Il y a peu de temps, cela avait fini de façon totalement improvisée, à quatre, avec un couple d’inconnus, sur une petite plage de rivière (https://www.histoires-de-sexe.net/en-remontant-la-riviere-53045), mais c’est une autre histoire et nous sommes maintenant rentrés de vacances.

Nous sommes samedi matin et il fait beau. J’ai décidé du gage et j’informe ma Coralie, qu’elle doit se faire belle. Elle ne sait pas et ne doit savoir qu’au dernier moment ce qui l’attend.
Elle me demande comment elle doit s’habiller. Je lui annonce de prendre une tenue « sport » : culotte, brassière (pour ses gros seins), chaussures de tennis, legging bleu (celui qui est un peu transparent), tee-shirt jaune, bandana.
Constatant que son verni à ongles rouge laisse à désirer (les ongles ont poussés), elle décide de le retirer puis va prendre une douche. De retour dans la chambre, elle s’assied sur le lit, sur sa serviette, plie un genou et commence à poser un bleu vif assorti au legging sur ses orteuils. Aussitôt je sors mon appareil photo et je fais des clichés de ma chérie appliquant son verni sur ses ongles de pieds avec sa foufoune bien fournie en arrière plan (elle ne se rase pas). De beaux clichés ! Pour rire, elle écarte ses lèvres pour une photo.

J’adore les pieds de ma femme. Elle ne les maltraite jamais dans des chaussures qui serrent les orteils mais les préserve soit dans des chaussures fermées de type tennis, soit dans des chaussures ouvertes mais larges à l’extrémité.
Les pieds sont maintenant parfaits, elle passe aux mains. De jolies mains qui passent bientôt au bleu elles aussi. On joue et plaisante ensemble. Elle pose une main « faite » sur un sein et l’autre « à faire » sur l’autre sein le temps de quelques photos.

Elle met un rose un peu brillant sur ses lèvres et s’habille rapidement pendant que je file vite à la douche moi aussi.
Pendant qu’elle prépare un petit casse-croûte, je m’habille en mode sport moi aussi.

- Alors ? Où va-t-on ? Je suppose que tu veux faire des photos coquines en extérieur mon cochon.
- Tu verras ma chérie.

Nous faisons tous les deux du sport mais habituellement en salle. Là, j’ai repéré une forêt où l’on pourrait jouer tous les deux.
On se gare sur un petit parking désert, je prends un sac à dos et on s’engage, s’enfonçant peu à peu dans les bois. Avec mon téléphone, j’enregistre notre itinéraire pour ne pas nous perdre.
Après un quart d’heure de marche, on trouve une clairière où des arbres ont été coupés. Cette clairière va nous permettre d’avoir assez de lumière.
J’ouvre le sac à dos et je sors mon appareil photo et deux serviettes épaisses.

- Étends, la serviette sur ce tronc d’arbre abattu, ma chérie.
Elle pose donc la serviette à cheval, sur cet arbre couché dont le tronc est maintenant à un mètre de hauteur.
Je pose serviette au sol après avoir retiré, dessous, tout ce qui aurait pu la gêner puis je lui annonce qu’elle va devoir faire des pompes ce qui ne lui fait pas peur.

Elle commence à compter sur la serviette au sol et moi à photographier en tournant autour d’elle.

- … quinze
- Arrête, retire ton tee-shirt et continue pendant que je prends encore des photos.
- … trente
- Arrête, retire ton legging et reprends
- En culotte ?
- Ben oui en culotte et brassière, mais garde le bandana pour que je vois bien ton visage.
- ... quarante
- Retire la brassière.
- Coquin, tu veux me photographier à poil en train de faire des pompes ? Et si quelqu’un arrive, hein ?
- Allez, ma chérie, tu as perdu ton gage, tu dois t’exécuter.
- Tu ne perds rien pour attendre à ton prochain gage pour toi !

Ma chérie retire sa brassière et ce sont deux gros et magnifiques seins qui ballottent maintenant. Bien sûr, elle a ralenti le rythme et bien sûr, je me régale à photographier de tous les côtés.

- … cinquante, je suppose que tu veux que je retire ma culotte ?
- Surtout pas, j’ai une surprise.

Je sors alors du sac une boite avec deux boules de geisha roses de 6 cm de diamètre. Elles sont espacées de quelques centimètres par un fil assez solide.

- Tu veux que je continue avec ça ?
- Oui mon cœur, c’est le début de ton gage.
- Le début ?
- Allez, ne discute pas, tu vas te refroidir. Voilà un peu de gel si tu veux.

Ma chérie qui a déjà bien des sex-toys ne discute plus. Elle passe un peu de gel sur les boules, regarde autour de nous, baisse sa culotte et les insère sans discuter puis reprends sa place sur la serviette.

Elle recommence ses pompes (et moi les photos) mais ce sont des mouvements plus lents. Les jambes restent bien tendues, les bras coordonnés, le bout du fil des boules dépasse sur le côté de la culotte. Je lui demande de faire des pompes avec les jambes plus ouvertes et elle s’exécute. Elle s’amuse de la situation, s’exhibe pour moi et mes photos.

A soixante, je sens que la transpiration n’est pas due qu’à l’effort (elle peut le faire sans problème avec des petites poses), non, les sensations internes doivent aussi y être pour quelque chose.

- Tu peux arrêter ma chérie mais ce n’est pas fini. Retire la culotte et monte sur la serviette sur le tronc.

Elle commence à se caresser les seins d’une main en guidant les boules de l’autre. Je m’éloigne pour faire quelques photos de ma femme nue dans l’environnement mais là, surprise, je note près d’un arbre, une jeune femme, qui semble garder une main entre ses jambes.
J’entreprends un arc de cercle discret et j’arrive juste sur l’arbre derrière lequel une autre femme est cachée. Elle regarde ma Coralie qui se caresse. C’est une superbe jeune femme d’origine maghrébine, cheveux frisés retenus par un serre-tête, un tee-shirt brun partiellement relevé par une main qui caresse un sein et un pantalon de survêtement dans lequel plonge son autre main. Elle semble avoir une très grosse paire de fesses. Probablement une joggeuse qui nous a surpris et que je surprends à mon tour.

Hop, une photo et elle se retourne surpise. Hop, une autre photo, de face, les deux mains occupées. Elle a des seins aussi gros que ma Coralie !

- Alors cuiseuse, on mate ma femme.
- heu … ben …
- Pour ta peine, va la rejoindre.
- heu … vous avez pris des photos ?

Je la prends par le bras et la tire doucement vers ma Coralie. Elle se laisse guider, docile, après avoir été prise la main dans le sac.

- Qui est-ce ? Elle fait partie du gage ?
- Non, elle te matait en se caressant.
- Quel est ton prénom ?
- Samia. Mais non, c’est un malentendu, dit-elle en faisant face à ma chérie.

Puisqu’elle me tourne le dos, je me baisse et lui baisse le pantalon.
Le tee-shirt relevé, un sein hors de sa brassière, le pantalon aux chevilles et la culotte visiblement trempée, il lui est maintenant difficile de nier ce qu’elle faisait.

- Si tu n’étais pas prévue dans le gage de mon mari, je sens qu’il va falloir que je te punisse pour m’avoir matée sans autorisation.
- Ben …
- Retire ton tee-shirt 
- Heu … voila
- La brassière aussi
- Et ta culotte
- Mais, il va prendre encore des photos
- Justement !

Samia, regarde ma femme, me regarde, puis vaincue, se baisse et retire sa culotte. Elle a un cul magnifique. Bien plus gros que celui de Coralie qui est plutôt ferme, musclé. Non celui-là est époustouflant. J’en profite bien sûr pour le photographier.

Coralie se colle à elle, envoie ses mains sur les fesses de la jeune femme et les écarte pour une photo. Je suis aux anges ! Je passe sur le côté et, enchanté par la tournure des choses, je continue mes photos.
On peut dire bien des choses sur ma femme mais quand elle fait preuve d’autorité, il est difficile de lui dire « non ».

- Fais-moi sentir tes doigts
- heu …
- Et tu oses dire que tu ne te caressais pas ?
- Ben en fait un peu oui. De vous voir faire des pompes en vous déshabillant peu à peu puis en continuant avec les boules puis sur le tronc, ça m’a excité. Vous êtes terriblement jolie.
- Tu es lesbienne ?
- Normalement non mais là, c’était très chaud.
- Allez … Appuis toi sur l’arbre, pose un pied bien haut dessus en laissant l’autre bien au sol.
- Tu es superbe, caresse-toi,

Ma chérie vient contre elle et la motive un peu. Elle soupèse son sein droit puis le caresse, doucement.
Samia se caresse maintenant le sein gauche, les yeux fermés pendant que la chérie lui caresse le droit. Les seins de cette jeune femme sont bien plus gros que ceux de ma chérie qui attirent pourtant bien des regards que ce soit avec un décolleté ou pas.

Plus petite, elle a des seins et des fesses plus grosses. Elle m'excite un max cette jeune femme.

Ma chérie descend la main, se baisse. Son puits d’amour est poilu et frisé, ruisselant de son début de caresse derrière l’arbre. La main de ma chérie s’en approche.

- Coralie, commence par bien poser ta main sur son sexe, avec tes ongles bien visibles. Ton bleu va très bien sur sa peau brune et son frisottis. Ne précipite rien.
- Samia, Tu ne dis plus rien, tu ne contestes plus. Mon chéri te photographie en train de te caresser, en train de subir mes caresses, mais je ne t’entends plus.
- Heu … Continue, continue.
- Coralie, embrasse là.

Surprise, Samia ouvre les yeux mais Coralie se relève et la bouche de ma chérie se pose sur les lèvres de la Maghrébine pour un doux baisé. Un second suit le premier et Samia semble y répondre maintenant. Coralie prend la main libre de Samia et la pose sur son propre sexe. Samia, ne dit rien et commence une caresse de bas en haut avant d’insérer un doigt vite gêné par les boules de Geisha que ma chérie a toujours dans son l’intimité.
Elles s’embrassent maintenant à pleines langues, lentement, consciencieusement. Samia a refermée ses yeux.
Coralie basse sa main droite, qui rejoint celle de Samia. Elle met les doigts de Samia autour de la ficelle des boules et retire la main de Samia qui retire les boules.
Elle monte les deux mains vers leurs visages, stoppe les baisers et présente les boules devant les visages.
Samia semble un très court instant apeurée mais, confiante, accepte l’idée et durant une minute chacune suce l’une des deux boules qui étaient encore il y a si peu dans l’intimité de ma femme.
Samia est toujours un pied au sol, un autre relevé sur l’arbre. Elle est offerte. Ma chérie lui laisse les boules et se baisse au sol pour lui embrasser la foufoune. Samia est surprise. Elle rouvre encore les yeux au moment où je prenais une photo qui immortalise l’action.
Ma chérie lui suce maintenant les poils et engage un doigt dans son intimité.

Samia est définitivement vaincue.

Une main remonte, prend les boules et les redescend vers l’intimité de Samia. L’une après l’autre, elles rentrent dans ce tunnel bien humide. Coralie remonte l’embrasser. Elle tire puis repousse les boules dans Samia qui ronronne comme un petit chat. Elle est bien. Sa première expérience lesbienne lui plait. Le fait que je la photographie l’excite aussi. De temps en temps, elle ouvre les yeux, me regarde et me souris puis soudainement, elle prend son pied. Elle gicle, gicle, ce qui surprend ma Coralie qui ne s’attendait pas à autant de fluide sur ses doigts. Elles lèchent mutuellement cette main, se partageant les doigts, les re-suçant encore.

Ma Coralie reprend la direction des opérations. Elle s’éloigne et prend la serviette des pompes. Elle la met en bas de l’arbre, demande à Samia de se mettre à genoux face à l’arbre. Samia s’attend sans doute à devoir rendre la pareille en s’amusant avec la foufoune de ma chérie mais non, Coralie, vient vers moi, m’appuie contre l’arbre et me baisse le pantalon et le slip, juste sous le nez de Samia.

Cette dernière est affolée. Elle est grosse naturellement mais depuis tout à l’heure, je bande à les voir s’amuser toutes les deux. En me prenant l’appareil photo des mains, elle dirige.

- Allez Samia, commence par lui faire des bises sur la longueur.
- …
- Monte doucement et maintenant dépose un baiser sur le gland
- …
- Sort la langue et enroule là sur le gland
- …
- Prends-le dans la bouche.
- Mais, c’est gros et long

Je profite de sa bouche ouverte pour prendre sa tête par derrière afin de la bloquer et pour m’avancer un peu tout doucement. Elle n’oppose aucune résistance et bientôt, je lâche la tête, m’appuie à nouveau contre l’arbre. Samia a suivie mon mouvement et continue à me sucer. Elle s’accroche à mes fesses et essaie d’enfoncer mon pieu plus profondément.
Coralie me rend mon appareil et se met à genoux à côté de Samia. Quand cette dernière sort mon sexe de sa bouche, c’est ma chérie qui prend le relais.
Bientôt c’est à celle qui le glisse le plus loin puis, chacune prend un côté. Samia est à ma gauche, Coralie à ma droite. Lentement, elles font glisser leurs langues le long de ma queue. Arrivée au bout, Samia, d’autorité l’enfourne. Coralie rit.
Elles recommencent, mais ce coup-ci c’est la bouche de ma Coralie qui m’accueille.
Samia se baisse et me suce les couilles.
Les deux qui ne se connaissaient pourtant pas, ce matin, sont devenues très complices et s’amusent à me rendre fou. C’est délicieux. Je prends encore des photos, mais je fais confiance à l’appareil pour la mise au point, incapable de le faire par moi-même.

- Je vais venir
- Vite, monte tes seins dis Coralie à Samia.

Les deux montent leurs seins le plus haut possible ; L’une me suce en me frottant sur les seins de l’autre puis elles inversent.

- Ça part !

Les deux se concentrent sur mes jets. Deux vont vers la bouche de Samia, deux dans la bouche de Coralie. Ça coule un peu sur les seins de Coralie. Les filles me montrent leurs bouches pour la photo, s’embrassent, avalent le sperme, m’ouvrent encore leur bouche puis Samia suce ce qui est tombé sur les seins de ma chérie.

- Attends dit Coralie à Samia. N’avale pas. Embrasse-le !

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