LA CULOTTE DE MADAME - PARTIE 2
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LA CULOTTE DE MADAME - PARTIE 2
LA CULOTTE DE MADAME- PARTIE 2Comme il fut mentionné dans la première partie de cette histoire, Moïra était la propriétaire d’une chaîne de boutiques de lingerie féminine qui s’étendait dans toute l’Europe. Elle en avait hérité de sa grand-mère et elle était très riche. La toute première boutique, ouverte par sa grand-mère, était encore là et elle attirait encore des femmes qui, comme Moïra et Reena, étaient des amateurs de lingerie usagée, surtout des culottes.
Moïra visitait la boutique régulièrement et y amenait une de ses amies à chaque occasion. Reena l’avait accompagnée plusieurs fois alors Moïra avait décidé d’amener l’amie britannique qui lui avait envoyé le colis (voir partie 1) et qui était venue en France pour visiter sa famille. Pamela, qui avait environ le même âge que Moïra, était également dans le même domaine. Elle était propriétaire de deux boutiques dont une se situait à Londres et était le rendez-vous favori de plusieurs lesbiennes en visite. Pamela était bien sûr également une collectionneuse de culottes. Tout le monde dans ce milieu se connaissait.
Moïra arriva à sa boutique avec Pamela à 10h qui était l’heure d’ouverture. Marianne la reçut avec beaucoup de respect et d’affection. Marianne était vendeuse dans cette boutique depuis 20 ans. Elle connaissait ses culottes à l’endroit et à l’envers (mille excuses !). Moïra et Pamela s’installèrent dans le bureau rutilant de la propriétaire et qui était en même temps un paradis pour les voyeuses. Il y avait quatre cabines d’essayage et il y avait trois caméras cachées dans chacune d’elle. Bien entendu, la caméra principale, sous le déguisement d’une caméra de sécurité, montrait toute la boutique. Moïra pouvait contrôler chaque caméra à partir d’un ordinateur sur son bureau. Elle pouvait voir une cabine à la fois ou les quatre en même temps. Elle pouvait faire un zoom ou un grand angle. Pamela était ahurie par la technologie et était très intéressée à adopter ce genre de système dans sa boutique. Les deux femmes se déshabillèrent puisque le bureau était fermé à clé et les rideaux tirés. Elles pouvaient être ensemble et avoir du plaisir sans se faire déranger ou elles pouvaient sortir à poil et atteindre une cabine d’essayage pour se joindre aux ébats des clientes. Pamela était une femme courte et grassouillette avec des tétons et des fesses qu’on ne pouvait ignorer. Ces petites bornes-fontaines étaient remplies d’énergie. Elle se plaça sur les genoux de Moïra pour aider son amie à jouer avec l’ordinateur. Quelques minutes plus tard des clientes firent leur entrée dans la boutique (les hommes n’étaient pas admis).
La première femme à arriver était certainement une femme d’affaire. Un ensemble Chanel de laine très classique, un foulard, des talons hauts et une toute nouvelle coiffure. Marianne la connaissait puisqu’elles se firent la bise. Même à 60 ans, Marianne avait “lesbienne” écrit dans le front. Elle déshabillait les femmes des yeux aussitôt qu’elles entraient. Quelques minutes plus tard, une autre femme mûre fit son entrée. Marianne la connaissait aussi. La nouvelle était très différente de la première, tout aussi belle mais d’un autre style. Elle était le type “mère au foyer” avec des jeans de couturier, un chemisier bleu pâle, des bottes western basses, et des cheveux noirs courts. Elle salua Marianne de la tête. On pouvait sentir la compétition entre les deux femmes même si la femme au foyer avait 20 ans de moins.
“Butch”, murmura Pamela à l’oreille de Moïra. La patronne pinça la tétine de son amie et les deux femmes s’embrassèrent. Moïra pouvait sentir des gouttelettes venant de la chatte de Pamela sur sa cuisse. Elles étaient déjà très excitées. Comme sur un échiquier, l’entrée de la seconde femme avait tout changé. Marianne n’était plus dans le coup et retraita malgré elle derrière la caisse enregistreuse. Elle perdait la joute contre une plus jeune. C’était maintenant entre Chanel et Maman. Chanel était dans la section des strings et Maman faisait semblant de regarder des soutiens-gorges. Maman en échappa un sur le plancher et se pencha pour le ramasser, montrant à Chanel ses jeans serrés enveloppant des fesses en forme de poires. Chanel enleva son veston et le donna à Marianne pour qu’elle le place derrière le comptoir. Elle déboutonna son chemisier de quelques centimètres et se plaignit de la chaleur à Marianne. Elle se tourna vers Maman et se pencha lui donnant une vue plongeante de ses nichons bronzés et libres. Moïra et Pamela étaient collées à l’écran alors qu’elles observaient les deux lesbiennes mûres qui se tournaient autour. Qui allait faire le premier pas ? Maman !
“Est-ce que ça vous ennuie si je regarde aussi ? Je pense qu’il y a assez de culottes ici pour nous deux », dit Maman souriante.
“Il y a assez de strings ici pour toutes les filles en première année à l’université ”, dit Chanel, dévoilant son métier.
“J’aurais bien aimé avoir une prof aussi belle que vous quand j’étais à l’université”, dit Maman avec un certain culot.
“Merci”, dit simplement Chanel qui n’était pas tout à fait prête à s’engager.
“Qu’est-ce que vous pensez de celles-ci ?”, demanda Maman qui n’était pas prête à jeter la serviette (ou la culotte !!).
“J’aime la forme. Je pense qu’elles vont soutenir ce que je ne peux qu’imaginer”, répondit Chanel qui montrait de l’intérêt pour la première fois.
“Si vous aimez sentir la laine chaude sur votre peau, je prendrais celles-là si j’étais vous”, dit Maman ramassant une paire de culottes microscopiques qui ne ferait que s’engouffrer dans toutes les fentes.
“Essayons-les”, continua Maman qui avait pris les devants et savait que la danse de séduction était terminée.
Marianne ouvrit la porte de la première cabine d’essayage et regarda la caméra, haussant les sourcils. Pamela quitta rapidement les genoux de Moïra et roula une chaise à côté de celle de son amie. Les lesbiennes ne voulaient pas rater cette baise qui s’annonçait sulfureuse.
Chanel et Maman entrèrent ensemble dans la cabine. Il n’y avait rien à cacher. Les deux femmes savaient exactement ce qui était pour se passer et elles étaient super excitées.
D’abord les souliers se retrouvèrent dans un coin, ensuite les chemisiers furent enlevés, puis les jupes et les jeans. Les deux femmes se faisaient face dans leur string. Maman enleva le sien la première et le roula dans une boule. Chanel fit la même chose. Chaque femme pressa doucement sa culotte sous le nez de l’autre. Elles aspiraient comme chez le médecin et sentaient les odeurs de culottes bien utilisées. Les ventres se touchèrent et les nichons aussi. Maman regarda le tapis du plancher. Ça ferait l’affaire. Elle avait été sur ce tapis auparavant et Chanel aussi. Chacune avait baisé et s’était fait baiser dans une cabine d’essayage de cette boutique. Les deux femmes se retrouvèrent sur le tapis, Maman étant sur le dessus. Maman mit sa culotte en boule dans la bouche de Chanel , puis elle ouvrit la bouche pour recevoir l’offrande de Chanel. Ensuite les femmes prirent leur position, se préparant à la baise. Elles étaient en position missionnaire, les deux toisons, l’une noire l’autre blonde, commencèrent immédiatement à se frotter l’une contre l’autre. Maman pressa ses hanches entre les cuisses ouvertes de Chanel. Chanel croisa ses jambes autour de la taille de Maman. Ces femmes savaient comment se baiser entre femmes. Chacune mâchait les culottes de l’autre, se tâtait les tétons et se frottait le nez ensemble. La salive coulait de leur bouche. Celle de Maman coulait sur le visage et le cou de Chanel; celle de Chanel roulant sur son cou et se retrouvait sur le tapis. Elles avaient trouvé la position idéale pour un frottage de clitos. Ça ne leur prit que quelques minutes d’un frottage constant et précis pour que les deux femmes aient un gros orgasme. Même Marianne les entendit crier. Les culottes tombèrent de leur bouche. Elles s’embrassèrent pour la première fois. La cabine d’essayage sentait la chatte mouillée. Les femmes conservèrent la culotte de l’autre comme souvenir. Quelque chose à humer ce soir en se masturbant chacune dans sa maison.
Moïra et Pamela s’étaient mutuellement masturbées avec ardeur en regardant la baise entre les deux belles lesbiennes. Elles n’avaient besoin que de se mettre en 69 pour quelques minutes et de se sucer le clito pour qu’elles explosent comme deux grenades. Elles échangèrent leurs culottes trempées de cyprine.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Une fois par mois, Marianne organisait ce qui ressemblait à une dégustation de vin. Elle n’invitait que des femmes triées sur le volet et, bien sûr, Moïra était habituellement présente. Vous avez probablement deviné qu’il s’agissait d’un buffet-culottes-usagées suivi d’une vente. Habituellement lorsqu’une cliente achetait une culotte à la boutique, elle devait y laisser son ancienne culotte. La boutique faisait de cette façon de l’argent des deux côtés, avec les culottes neuves et en revendant les culottes usagées. En fait, Moïra avait bon coeur et l’argent que la boutique faisait avec les culottes usagées était toujours remis aux œuvres de charité pour les femmes victimes de violence, les sans-abris ou les femmes âgées. Les clientes étaient au courant de cette pratique et payaient le prix fort avec joie.
Marianne utilisait quelques tables qu’elle recouvrait d’environ 50 paires de culottes ou de strings mais sans inclure les culottes de collection, ce que les Anglaises appellent ‘knickers ». Elles étaient réservées pour des encans (on verra plus tard). Quand les portes ouvraient, une douzaine de femmes excitées se ruaient dans la boutique. Deux cabines d’essayage étaient utilisées pour sentir et acheter. Les deux autres cabines ?….eh bien ça dépendait du niveau d’excitation des clientes . Chaque culotte ou string avait un numéro et il y avait des listes de prix sur les murs. Les femmes n’avaient pas le droit de les essayer, seulement de les sentir. Le but n’était pas de couvrir les femmes mais de les exciter. La plupart des femmes qui assistaient à cet évènement ne portaient pas de culotte sous leur jupe ou robe (peu portait le jeans).
“Oh Denise, je pense que celle-ci est pour toi”, dit Rachel qui venait de humer un string jaune.
“ Mmmm, j’hésite. Laisse-moi te sentir d’abord et je te dirai”, répondit Denise, qui se mit à genoux devant Rachel qui avait relevé sa jupe et rendait disponible sa chatte à sentir.
“Non, je pense que c’est plutôt pour toi”, dit Denise avec un sourire, le nez toujours dans le buisson poilu de Rachel.
Rachel remis les culottes à Marianne qui les mis dans un sac après avoir reçu le paiement. Pour la remercier, Rachel embrassa son amie et lui mit la main aux fesses.
“Si ces dames veulent se faire des câlins, vous pouvez utiliser une des deux cabines vides”, dit Marianne.
“Nous devons te trouver quelque chose d’abord, Denise”, insista Rachel.
Les deux lesbiennes devaient à l’occasion jouer du coude pour atteindre ce qui les intéressait. Marianne surveillait et s’arrangeait pour que le tout se déroule dans une bonne ambiance. Rachel et Denise étaient de jeunes secrétaires qui travaillaient pour le même bureau d’avocats. Elles étaient des clientes assidues à ces évènements.
Finalement, Denise se décida pour une culotte épaisse et assez ancienne et qui devait avoir une longue histoire à en juger par son prix.
Rachel était envieuse et Denise promit de la partager. Elles étaient prêtes à rejoindre la cabine d’essayage no.3 qui était vide sauf pour un autre couple. Les deux secrétaires n’hésitèrent pas à se mettre la main sous la jupe et commencèrent à se caresser sérieusement près de l’autre couple qui était déjà sur le tapis, dans un 69 très serré.
Certaines personnes très connues se rendaient souvent à ces évènements : des chanteuses, des vedettes du sport, des journalistes de la télé. Toutes ces femmes étaient déjà sorties du placard et n’étaient pas du tout timides d’être vues dans cet environnement de lesbiennes. Comme c’était en partie un évènement de charité, certaines célébrités se faisaient payer pour des faveurs puis donnaient l’argent à Marianne pour les bonnes œuvres.
Cette journée-là, on pouvait rencontrer Annie Céleste, une étoile d’origine haïtienne de l’équipe de basket féminin. Elle avait attiré plusieurs clientes qui faisaient la queue et avaient payé 50 euros pour acheter un string signé par l’athlète qui l’avait porté durant un match. Une femme suivit Annie aux WC et la paya pour qu’elle pisse sur une culotte qu’elle avait apportée de chez elle pour l’occasion. Annie, une grande et belle femme noire, était aussi disponible pour des baisers, des attouchements et du suçage de nichons. À un certain moment, elle avait une femme devant et une derrière qui suçaient allègrement à ce qu’elles voyaient. Dans quelques mois, Annie et une journaliste de la télé étaient cédulées pour une séance de sexe dans une cabine d’essayage. Après la séance, les deux femmes avaient accepté de frotter leur moule avec les culottes qu’avaient apporter les admiratrices. Tout cela pour les bonnes œuvres.
Moïra et Pamela arrivèrent 15 minutes avant la fermeture. Moïra savait que Marianne avait l’habitude de choisir une cliente qui l’excitait particulièrement. Dans ce cas, Moïra pouvait la remplacer à la caisse.
Même à 60 ans, la lesbienne en voulait et souvent. Marianne était une des seules femmes ce jour-là qui portait une paire de culottes et c’était le type ancien de culotte blanche.
Elle avait repéré une femme de son âge qui ne semblait pas indifférente aux signaux évidents de Marianne. Elle avait l’air timide mais était restée autour des tables longtemps après avoir fait son achat, jetant un coup d’œil à Marianne de temps en temps. Elles étaient faites l’une pour l’autre. La femme se prénommait Brigitte.
Finalement Moïra s’était installée derrière la caisse, et Marianne se dirigea vers Brigitte. La femme avait des cheveux gris frisés, un joli visage mais aussi une bonne paire de nichons et des fesses qui frissonnaient lorsqu’elle marchait, ce qui rendait Marianne complètement folle.
“Bonjour ma jolie”, dit Marianne, lui donnant un baiser sur la bouche.
“Bonjour ma chérie”, répondit-elle, tirant la langue vers Marianne pour qu’elle la suce.
“J’en porte”, dit Marianne lorsque les deux femmes s’enlacèrent.
“Moi non”, chuchota Brigitte“Je te donne les miennes en échange d’une baise”, proposa brutalement Marianne“D’accord…allons au no.4”, dit Brigitte, prenant Marianne par la mainMoïra et Pamela observaient la scène et aurait bien aimé être dans le bureau pour voir la baise sur leur écran.
La cabine d’essayage no.4 était à moitié pleine. Marianne mit les mains sous sa jupe et retira sa culotte. Brigitte les prit avec les deux mains et les écrasa contre son visage et son nez. Pendant ce temps-là, Marianne s’était déshabillée. Brigitte fit de même. Marianne avait reconnu en Brigitte le type de lesbienne soumise qui l’attirait. Les deux lesbiennes avaient fait ça plusieurs centaines de fois. Elles se placèrent en position pour que Marianne monte Brigitte en position missionnaire. La butch glissa ses mains sous son amoureuse pour se saisir de ses fesses et mettre ses doigts dans sa raie. La rencontre des appâts des deux femmes s’avéra parfaite : lèvres sur lèvres, pissette sur pissette, clito sur clito. Elles se frottèrent l’une sur l’autre pendant ce qui semblait une éternité mais ce ne fut que pendant 10 minutes puis elles crièrent leur orgasme à un petit groupe de femmes qui les avaient entourées. Elles étaient couvertes de sueurs, leur corps reluisant aussi de la cyprine qu’elles avaient giclée partout, même sur les spectatrices. Comme Marianne se roula pour être côte à côte avec Brigitte, quelques femmes saisirent l’occasion pour frotter une culotte sur la moule des deux femmes. Marianne et Lillian les laissaient faire. Les toilettes étaient remplies de femmes demandant à d’autres femmes de pisser sur leur culotte qu’elles trainaient avec elle.
Les invitées commençaient à quitter, la plupart apportant leur précieux achat dans un sac. Une femme voulait la culotte de Pamela mais elle n’en portait pas. La femme ne la croyait pas, alors Pamela releva sa jupe et lui montra sa motte poilue. Les tables étaient vides puisque Moïra avait déjà ramassé les culottes qui restaient pour prévenir les vols. Pamela invita la femme à un bouche-à-sexe avec elle. Son invitation fut acceptée avec empressement et Moïra assista à un 69 endiablé entre son amies britannique et une femme qui aurait pu être sa mère.
Moïra s’assura que tout le monde avait quitté les lieux et permit à Pamela et à sa nouvelle amie de se sucer jusqu’à l’orgasme. Marianne, Brigitte, Moïra, Pamela et son amoureuse se dirigèrent vers une cabine d’essayage vide pour continuer leurs ébats avec ou sans culotte.
FIN (pour le moment)
Moïra visitait la boutique régulièrement et y amenait une de ses amies à chaque occasion. Reena l’avait accompagnée plusieurs fois alors Moïra avait décidé d’amener l’amie britannique qui lui avait envoyé le colis (voir partie 1) et qui était venue en France pour visiter sa famille. Pamela, qui avait environ le même âge que Moïra, était également dans le même domaine. Elle était propriétaire de deux boutiques dont une se situait à Londres et était le rendez-vous favori de plusieurs lesbiennes en visite. Pamela était bien sûr également une collectionneuse de culottes. Tout le monde dans ce milieu se connaissait.
Moïra arriva à sa boutique avec Pamela à 10h qui était l’heure d’ouverture. Marianne la reçut avec beaucoup de respect et d’affection. Marianne était vendeuse dans cette boutique depuis 20 ans. Elle connaissait ses culottes à l’endroit et à l’envers (mille excuses !). Moïra et Pamela s’installèrent dans le bureau rutilant de la propriétaire et qui était en même temps un paradis pour les voyeuses. Il y avait quatre cabines d’essayage et il y avait trois caméras cachées dans chacune d’elle. Bien entendu, la caméra principale, sous le déguisement d’une caméra de sécurité, montrait toute la boutique. Moïra pouvait contrôler chaque caméra à partir d’un ordinateur sur son bureau. Elle pouvait voir une cabine à la fois ou les quatre en même temps. Elle pouvait faire un zoom ou un grand angle. Pamela était ahurie par la technologie et était très intéressée à adopter ce genre de système dans sa boutique. Les deux femmes se déshabillèrent puisque le bureau était fermé à clé et les rideaux tirés. Elles pouvaient être ensemble et avoir du plaisir sans se faire déranger ou elles pouvaient sortir à poil et atteindre une cabine d’essayage pour se joindre aux ébats des clientes. Pamela était une femme courte et grassouillette avec des tétons et des fesses qu’on ne pouvait ignorer. Ces petites bornes-fontaines étaient remplies d’énergie. Elle se plaça sur les genoux de Moïra pour aider son amie à jouer avec l’ordinateur. Quelques minutes plus tard des clientes firent leur entrée dans la boutique (les hommes n’étaient pas admis).
La première femme à arriver était certainement une femme d’affaire. Un ensemble Chanel de laine très classique, un foulard, des talons hauts et une toute nouvelle coiffure. Marianne la connaissait puisqu’elles se firent la bise. Même à 60 ans, Marianne avait “lesbienne” écrit dans le front. Elle déshabillait les femmes des yeux aussitôt qu’elles entraient. Quelques minutes plus tard, une autre femme mûre fit son entrée. Marianne la connaissait aussi. La nouvelle était très différente de la première, tout aussi belle mais d’un autre style. Elle était le type “mère au foyer” avec des jeans de couturier, un chemisier bleu pâle, des bottes western basses, et des cheveux noirs courts. Elle salua Marianne de la tête. On pouvait sentir la compétition entre les deux femmes même si la femme au foyer avait 20 ans de moins.
“Butch”, murmura Pamela à l’oreille de Moïra. La patronne pinça la tétine de son amie et les deux femmes s’embrassèrent. Moïra pouvait sentir des gouttelettes venant de la chatte de Pamela sur sa cuisse. Elles étaient déjà très excitées. Comme sur un échiquier, l’entrée de la seconde femme avait tout changé. Marianne n’était plus dans le coup et retraita malgré elle derrière la caisse enregistreuse. Elle perdait la joute contre une plus jeune. C’était maintenant entre Chanel et Maman. Chanel était dans la section des strings et Maman faisait semblant de regarder des soutiens-gorges. Maman en échappa un sur le plancher et se pencha pour le ramasser, montrant à Chanel ses jeans serrés enveloppant des fesses en forme de poires. Chanel enleva son veston et le donna à Marianne pour qu’elle le place derrière le comptoir. Elle déboutonna son chemisier de quelques centimètres et se plaignit de la chaleur à Marianne. Elle se tourna vers Maman et se pencha lui donnant une vue plongeante de ses nichons bronzés et libres. Moïra et Pamela étaient collées à l’écran alors qu’elles observaient les deux lesbiennes mûres qui se tournaient autour. Qui allait faire le premier pas ? Maman !
“Est-ce que ça vous ennuie si je regarde aussi ? Je pense qu’il y a assez de culottes ici pour nous deux », dit Maman souriante.
“Il y a assez de strings ici pour toutes les filles en première année à l’université ”, dit Chanel, dévoilant son métier.
“J’aurais bien aimé avoir une prof aussi belle que vous quand j’étais à l’université”, dit Maman avec un certain culot.
“Merci”, dit simplement Chanel qui n’était pas tout à fait prête à s’engager.
“Qu’est-ce que vous pensez de celles-ci ?”, demanda Maman qui n’était pas prête à jeter la serviette (ou la culotte !!).
“J’aime la forme. Je pense qu’elles vont soutenir ce que je ne peux qu’imaginer”, répondit Chanel qui montrait de l’intérêt pour la première fois.
“Si vous aimez sentir la laine chaude sur votre peau, je prendrais celles-là si j’étais vous”, dit Maman ramassant une paire de culottes microscopiques qui ne ferait que s’engouffrer dans toutes les fentes.
“Essayons-les”, continua Maman qui avait pris les devants et savait que la danse de séduction était terminée.
Marianne ouvrit la porte de la première cabine d’essayage et regarda la caméra, haussant les sourcils. Pamela quitta rapidement les genoux de Moïra et roula une chaise à côté de celle de son amie. Les lesbiennes ne voulaient pas rater cette baise qui s’annonçait sulfureuse.
Chanel et Maman entrèrent ensemble dans la cabine. Il n’y avait rien à cacher. Les deux femmes savaient exactement ce qui était pour se passer et elles étaient super excitées.
D’abord les souliers se retrouvèrent dans un coin, ensuite les chemisiers furent enlevés, puis les jupes et les jeans. Les deux femmes se faisaient face dans leur string. Maman enleva le sien la première et le roula dans une boule. Chanel fit la même chose. Chaque femme pressa doucement sa culotte sous le nez de l’autre. Elles aspiraient comme chez le médecin et sentaient les odeurs de culottes bien utilisées. Les ventres se touchèrent et les nichons aussi. Maman regarda le tapis du plancher. Ça ferait l’affaire. Elle avait été sur ce tapis auparavant et Chanel aussi. Chacune avait baisé et s’était fait baiser dans une cabine d’essayage de cette boutique. Les deux femmes se retrouvèrent sur le tapis, Maman étant sur le dessus. Maman mit sa culotte en boule dans la bouche de Chanel , puis elle ouvrit la bouche pour recevoir l’offrande de Chanel. Ensuite les femmes prirent leur position, se préparant à la baise. Elles étaient en position missionnaire, les deux toisons, l’une noire l’autre blonde, commencèrent immédiatement à se frotter l’une contre l’autre. Maman pressa ses hanches entre les cuisses ouvertes de Chanel. Chanel croisa ses jambes autour de la taille de Maman. Ces femmes savaient comment se baiser entre femmes. Chacune mâchait les culottes de l’autre, se tâtait les tétons et se frottait le nez ensemble. La salive coulait de leur bouche. Celle de Maman coulait sur le visage et le cou de Chanel; celle de Chanel roulant sur son cou et se retrouvait sur le tapis. Elles avaient trouvé la position idéale pour un frottage de clitos. Ça ne leur prit que quelques minutes d’un frottage constant et précis pour que les deux femmes aient un gros orgasme. Même Marianne les entendit crier. Les culottes tombèrent de leur bouche. Elles s’embrassèrent pour la première fois. La cabine d’essayage sentait la chatte mouillée. Les femmes conservèrent la culotte de l’autre comme souvenir. Quelque chose à humer ce soir en se masturbant chacune dans sa maison.
Moïra et Pamela s’étaient mutuellement masturbées avec ardeur en regardant la baise entre les deux belles lesbiennes. Elles n’avaient besoin que de se mettre en 69 pour quelques minutes et de se sucer le clito pour qu’elles explosent comme deux grenades. Elles échangèrent leurs culottes trempées de cyprine.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Une fois par mois, Marianne organisait ce qui ressemblait à une dégustation de vin. Elle n’invitait que des femmes triées sur le volet et, bien sûr, Moïra était habituellement présente. Vous avez probablement deviné qu’il s’agissait d’un buffet-culottes-usagées suivi d’une vente. Habituellement lorsqu’une cliente achetait une culotte à la boutique, elle devait y laisser son ancienne culotte. La boutique faisait de cette façon de l’argent des deux côtés, avec les culottes neuves et en revendant les culottes usagées. En fait, Moïra avait bon coeur et l’argent que la boutique faisait avec les culottes usagées était toujours remis aux œuvres de charité pour les femmes victimes de violence, les sans-abris ou les femmes âgées. Les clientes étaient au courant de cette pratique et payaient le prix fort avec joie.
Marianne utilisait quelques tables qu’elle recouvrait d’environ 50 paires de culottes ou de strings mais sans inclure les culottes de collection, ce que les Anglaises appellent ‘knickers ». Elles étaient réservées pour des encans (on verra plus tard). Quand les portes ouvraient, une douzaine de femmes excitées se ruaient dans la boutique. Deux cabines d’essayage étaient utilisées pour sentir et acheter. Les deux autres cabines ?….eh bien ça dépendait du niveau d’excitation des clientes . Chaque culotte ou string avait un numéro et il y avait des listes de prix sur les murs. Les femmes n’avaient pas le droit de les essayer, seulement de les sentir. Le but n’était pas de couvrir les femmes mais de les exciter. La plupart des femmes qui assistaient à cet évènement ne portaient pas de culotte sous leur jupe ou robe (peu portait le jeans).
“Oh Denise, je pense que celle-ci est pour toi”, dit Rachel qui venait de humer un string jaune.
“ Mmmm, j’hésite. Laisse-moi te sentir d’abord et je te dirai”, répondit Denise, qui se mit à genoux devant Rachel qui avait relevé sa jupe et rendait disponible sa chatte à sentir.
“Non, je pense que c’est plutôt pour toi”, dit Denise avec un sourire, le nez toujours dans le buisson poilu de Rachel.
Rachel remis les culottes à Marianne qui les mis dans un sac après avoir reçu le paiement. Pour la remercier, Rachel embrassa son amie et lui mit la main aux fesses.
“Si ces dames veulent se faire des câlins, vous pouvez utiliser une des deux cabines vides”, dit Marianne.
“Nous devons te trouver quelque chose d’abord, Denise”, insista Rachel.
Les deux lesbiennes devaient à l’occasion jouer du coude pour atteindre ce qui les intéressait. Marianne surveillait et s’arrangeait pour que le tout se déroule dans une bonne ambiance. Rachel et Denise étaient de jeunes secrétaires qui travaillaient pour le même bureau d’avocats. Elles étaient des clientes assidues à ces évènements.
Finalement, Denise se décida pour une culotte épaisse et assez ancienne et qui devait avoir une longue histoire à en juger par son prix.
Rachel était envieuse et Denise promit de la partager. Elles étaient prêtes à rejoindre la cabine d’essayage no.3 qui était vide sauf pour un autre couple. Les deux secrétaires n’hésitèrent pas à se mettre la main sous la jupe et commencèrent à se caresser sérieusement près de l’autre couple qui était déjà sur le tapis, dans un 69 très serré.
Certaines personnes très connues se rendaient souvent à ces évènements : des chanteuses, des vedettes du sport, des journalistes de la télé. Toutes ces femmes étaient déjà sorties du placard et n’étaient pas du tout timides d’être vues dans cet environnement de lesbiennes. Comme c’était en partie un évènement de charité, certaines célébrités se faisaient payer pour des faveurs puis donnaient l’argent à Marianne pour les bonnes œuvres.
Cette journée-là, on pouvait rencontrer Annie Céleste, une étoile d’origine haïtienne de l’équipe de basket féminin. Elle avait attiré plusieurs clientes qui faisaient la queue et avaient payé 50 euros pour acheter un string signé par l’athlète qui l’avait porté durant un match. Une femme suivit Annie aux WC et la paya pour qu’elle pisse sur une culotte qu’elle avait apportée de chez elle pour l’occasion. Annie, une grande et belle femme noire, était aussi disponible pour des baisers, des attouchements et du suçage de nichons. À un certain moment, elle avait une femme devant et une derrière qui suçaient allègrement à ce qu’elles voyaient. Dans quelques mois, Annie et une journaliste de la télé étaient cédulées pour une séance de sexe dans une cabine d’essayage. Après la séance, les deux femmes avaient accepté de frotter leur moule avec les culottes qu’avaient apporter les admiratrices. Tout cela pour les bonnes œuvres.
Moïra et Pamela arrivèrent 15 minutes avant la fermeture. Moïra savait que Marianne avait l’habitude de choisir une cliente qui l’excitait particulièrement. Dans ce cas, Moïra pouvait la remplacer à la caisse.
Même à 60 ans, la lesbienne en voulait et souvent. Marianne était une des seules femmes ce jour-là qui portait une paire de culottes et c’était le type ancien de culotte blanche.
Elle avait repéré une femme de son âge qui ne semblait pas indifférente aux signaux évidents de Marianne. Elle avait l’air timide mais était restée autour des tables longtemps après avoir fait son achat, jetant un coup d’œil à Marianne de temps en temps. Elles étaient faites l’une pour l’autre. La femme se prénommait Brigitte.
Finalement Moïra s’était installée derrière la caisse, et Marianne se dirigea vers Brigitte. La femme avait des cheveux gris frisés, un joli visage mais aussi une bonne paire de nichons et des fesses qui frissonnaient lorsqu’elle marchait, ce qui rendait Marianne complètement folle.
“Bonjour ma jolie”, dit Marianne, lui donnant un baiser sur la bouche.
“Bonjour ma chérie”, répondit-elle, tirant la langue vers Marianne pour qu’elle la suce.
“J’en porte”, dit Marianne lorsque les deux femmes s’enlacèrent.
“Moi non”, chuchota Brigitte“Je te donne les miennes en échange d’une baise”, proposa brutalement Marianne“D’accord…allons au no.4”, dit Brigitte, prenant Marianne par la mainMoïra et Pamela observaient la scène et aurait bien aimé être dans le bureau pour voir la baise sur leur écran.
La cabine d’essayage no.4 était à moitié pleine. Marianne mit les mains sous sa jupe et retira sa culotte. Brigitte les prit avec les deux mains et les écrasa contre son visage et son nez. Pendant ce temps-là, Marianne s’était déshabillée. Brigitte fit de même. Marianne avait reconnu en Brigitte le type de lesbienne soumise qui l’attirait. Les deux lesbiennes avaient fait ça plusieurs centaines de fois. Elles se placèrent en position pour que Marianne monte Brigitte en position missionnaire. La butch glissa ses mains sous son amoureuse pour se saisir de ses fesses et mettre ses doigts dans sa raie. La rencontre des appâts des deux femmes s’avéra parfaite : lèvres sur lèvres, pissette sur pissette, clito sur clito. Elles se frottèrent l’une sur l’autre pendant ce qui semblait une éternité mais ce ne fut que pendant 10 minutes puis elles crièrent leur orgasme à un petit groupe de femmes qui les avaient entourées. Elles étaient couvertes de sueurs, leur corps reluisant aussi de la cyprine qu’elles avaient giclée partout, même sur les spectatrices. Comme Marianne se roula pour être côte à côte avec Brigitte, quelques femmes saisirent l’occasion pour frotter une culotte sur la moule des deux femmes. Marianne et Lillian les laissaient faire. Les toilettes étaient remplies de femmes demandant à d’autres femmes de pisser sur leur culotte qu’elles trainaient avec elle.
Les invitées commençaient à quitter, la plupart apportant leur précieux achat dans un sac. Une femme voulait la culotte de Pamela mais elle n’en portait pas. La femme ne la croyait pas, alors Pamela releva sa jupe et lui montra sa motte poilue. Les tables étaient vides puisque Moïra avait déjà ramassé les culottes qui restaient pour prévenir les vols. Pamela invita la femme à un bouche-à-sexe avec elle. Son invitation fut acceptée avec empressement et Moïra assista à un 69 endiablé entre son amies britannique et une femme qui aurait pu être sa mère.
Moïra s’assura que tout le monde avait quitté les lieux et permit à Pamela et à sa nouvelle amie de se sucer jusqu’à l’orgasme. Marianne, Brigitte, Moïra, Pamela et son amoureuse se dirigèrent vers une cabine d’essayage vide pour continuer leurs ébats avec ou sans culotte.
FIN (pour le moment)
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