La Grosse 6 - histoire érotique

Rappel des épisodes précédents :

J'ai toujours été forte dès ma naissance et très portée sur le sexe. J'avais une forte poitrine qui excitait garçons et filles.

J'ai déniaisé pratiquement tous les camarades de mon village en les masturbant, et j'aimais provoquer les filles de mon âge dans les vestiaires collectifs de la piscine ou du gymnase.
J'étais exhibitionniste et nymphomane.

A vingt ans, je fréquentais les cinémas pornos pour sucer des mecs dans les salles obscures et les clubs et saunas libertins.(La Grosse2 et 3)

Ma corpulence : 120kg pour 1.75 m'empêchait d'aller au bal et d'avoir un petit ami comme la plupart des filles de mon âge. J'aimais le sexe hard, les situations glauques, les gangbangs qui se limitaient à du sexe oral.
J'interdisais la sodomie que je redoutais sans raison et peu de garçons arrivaient à bien me pénétrer vaginalement. Ils utilisaient leurs mains pour me fister…

Je cherchais aussi des aventures sans lendemain et à préserver mon intimité.

Comme j'étais exhibitionniste, je pratiquais le nudisme quant je suis arrivée à Lyon après le bac.


Dès les beaux jours, je trainais sur les rives du Rhône dans le plus simple appareil où se pratiquait le nudisme sauvage et le coquinage.. Je m'offrais avec complaisance non seulement aux rayons de soleil mais aussi à tous ceux qui voulaient de moi. Mes cibles étaient très variées : pêcheurs célibataires, groupes de jeunes femmes, naturiste solitaire… J'aguichais, j'entamais la discussion puis je demandais de me passer de l'ambre solaire ou j'embrassais directement avant de pratiquer une fellation.
J'étais souvent directive et je manifestais mon plaisir, ce qui attirait souvent d'autres candidats.

C'est comme ça que j'ai rencontré mon premier ami.

Nous avons longuement discuté de nos vies et préférences. Petit et sec, il possédait une verge longue et fine. Il était infatigable. Un peu geek avant l'heure. Complexé, il n'avait eu de relations qu'avec des garçons.

Il était ingénieur et c'était le premier homme à oser s'afficher avec moi.

Je terminais ma thèse de véto et nous sortions quelquefois ensemble.
Nous sommes allés en club et c'est lui qui m'a emmené sur les plages du Cap d'Agde qui venait de naître et d'autres plages de la Méditerranée.

Là bas, J'ai réalisé un de mes fantasmes. Nous allions dans les dunes surtout fréquentées par les homosexuels.
Lui, s'allongeait sur le sable, moi assise sur son visage. Un facesitting éprouvant pour lui. Aveuglé, ayant à peine la capacité de respirer, il me léchait de toute ses forces. Je l'encourageais.

Quelques curieux s'approchaient pour mater. Je leur faisais signe j'étais prête à les sucer en tapotant le coin de ma bouche ouverte, langue sortie. Le mec s'approchait et l'enjambait. Je prenais la verge en bouche et je montrais tout mon savoir faire. Je masturbais en même temps mon copain puis j'invitais le mec à le sucer. Je me dégageais et je commentais la fellation à l'oreille de mon copain. Est ce qu'il sentait une différence. Qui avait sa préférence et pourquoi...
Ensuite je lui demandais d'inverser les rôles puis il se mettait debout et je les suçais à tour de rôle jusqu'à les faire éjaculer sur ma poitrine.

D'autres fois, je me mettais à genoux, la tête dans mes bras croisés, le cul relevé, il me doigtait, étalait du gel puis il s'adressait aux voyeurs qui s'excitaient, les masturbaient, les suçaient et leur enfilaient un préservatif. Les mecs me sodomisaient à la chaîne. J'avais appris à jouir de cette manière. Plaisir davantage cérébral. Une fois revenu au studio, il me faisait jouir avec sa bouche et ses mains en me fistant rapidement.

Assez souvent nous allions la nuit nous exhiber sur des parkings connus des habitués pour rencontrer des âmes esseulées, des couples ou des amateurs de triolisme bisexuel. Mais si la situation était très excitante, le résultat était très aléatoire et le risque non négligeable.




J'aimais ces jeux bisexuels.Lui, rattrapait le temps perdu en ma compagnie, dans les lieux échangistes autour de Montpellier.

Puis nos destins nous ont séparés au gré des opportunités professionnelles.

Je suis sûre que cela nous a beaucoup apporté l'un et l'autre.

Ainsi s'arrête la série. J'ai continué mon chemin, entamé deux psychothérapies et je vis avec mes chiens. De temps en temps, je craque et retourne à mes démons. Avec l'âge, c'est de plus en plus difficile.
Reste les souvenirs et l'écriture.