Moi, le larbin 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 74 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Sucette ont reçu un total de 420 383 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 524 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Moi, le larbin 2
Moi, le larbin 2.
Rappel : Convoqué par la responsable des services comptables à la Direction Générale, je découvre une Maîtresse expérimentée qui fait de moi son esclave.
Je dois quitter Maman pour habiter chez elle et être complètement à son service.
J'ai signé un engagement où je déclare accepter volontairement ma condition.
Ma patronne me donne rendez-vous dans le quartier du Marais. Il pleut et il fait nuit.
Elle sonne à l'interphone, Elle annonce « Rouge. »
Nous pénétrons dans un vestibule gardé par un vigile, elle donne son imperméable et son parapluie.
Elle est chaussée de bottines, d'un leggings en cuir qui la moule et un corset qui rend sa poitrine pigeonnante.
Je dois me déshabiller entièrement et mes effets sont enfermés dans un placard, la clé est donné à ma maitresse. Je dois enfiler un harnais en cuir. Mes attributs sont dans un anneau. Le tout est relié par des sangles aux épaules et à un autre anneau sur ma poitrine. Les sangles font aussi le tour des cuisses sous mes fesses et mon dos. Un collier complète ma tenue.
Par un escalier à vis, j'arrive dans une grande salle voûtées qui sent le renfermé. Une quinzaine de personnes sont debouts ou assises dans des sofas. Des bougies complètent l'éclairage.
Sur la scène, une croix de saint André où l'on m’attache de face. Je présente donc mon dos à la salle.
Deux jeunes femmes nues me rejoignent.
On annonce que la soirée est consacrée à une démonstration de shibari ou l'art de l'immobilisation dans des poses acrobatiques des corps.
Les deux soumises ont une confiance absolue dans la compétence de leur maître qui s'affrontent amicalement.
« Nous avons aussi un soumis débutant qui va subir une première initiation à la douleur. » Cette dernière annonce me concerne.
Les deux maitres opèrent lentement en silence. On sent une grande concentration et un profond respect de l'assemblée.
Les cordes enserrent les membres, la poitrine et le ventre des soumises entravées.
Leur travail terminé, elles sont suspendues.
Un maître s'approche de moi et caresse mes fesses. Il claque à intervalle régulier la fesse gauche . Un autre, gaucher sans doute, claque ma fesse droite… Quand ils cessent, je pense en avoir reçu une trentaine. Je ne sens plus mes fesses. Leurs mains sont larges, de véritables battoirs, la douleur est diffuse et irradie tout mon bassin.
Je sens mon sexe grossir dans l'anneau qui comprime mes bourses. Un doigt s'insinue entre mes fesses et taquine mon anus qui s'ouvre comme une fleur. Il porte son doigt à ma bouche et force l'entrée. Il le fait coulisser sur ma langue. Je sens une effluve de sueur et de cuir, puis il l'introduit dans mon fondement.
Ma maîtresse s'approche de moi, elle a revêtu une large ceinture avec un olisbos long et fin. Elle me chuchote à l'oreille combien je suis belle et désirable.
« Je vais te dépuceler, tu vas aimer, tu en redemanderas. Ne bouge pas, ne dis rien. »
Je sens le bout rond, lisse et gras me pénétrer d'un coup et ne peux réprimer un cri.
Elle se retire aussitôt, prend une cravache et me fouette cinq fois . La douleur est cuisante, je n’ai pas le temps de crier qu'elle me pénètre brutalement à nouveau.
On me détache et on m'amène devant une des filles suspendue.
Elle a les quatre membres en l'air, la tête en arrière, la bouche à la hauteur de ma verge. Je dois lui permettre de me sucer. Vu le traitement que je viens de subir, je n'hésite pas. Elle me prend en bouche et suce doucement, c'est chaud, c'est bon. Son corps se balance doucement et procure un va et vient qui augmente mon plaisir.
Ma maîtresse me sodomise encore et je jouis...de longues rasades tapissent son palais et macle son visage et ses cheveux.
On me dirige alors vers l’autre personne.
Sa posture n'a rien à voir.
Ses genoux et ses bras sont ficelés contre sa poitrine, ses jambes écartées. Les fesses en l'air, la tête vers le sol.
Je dois lui lécher l'anus puis m'assoir sous elle de façon à lui lécher la vulve. On lui relève la tête et un membre imposant la pénètre. C'est celui de son maître. Elle prend du plaisir, mon visage est inondé.
Les deux filles sont libérées et chaudement applaudies.
On amène une large table basse et l'on m'allonge sur le dos . Mes pieds reposent au sol et mes bras sont entravés, tendus derrière moi. Mon corps est arc bouté. Ma tête en arrière m'empêche de voir la scène, je ne vois que les jambes se deplecer.
Trois personnes tournent autour de moi avec les grosses bougies rouges qui éclairaient la salle et ils versent la cire brûlante sur moi. Je ne les vois pas et c'est très aléatoire.
La douleur est cuisante (lol), différente de la flagellation, plus profonde. Toutes les parties du buste reçoivent des grosses gouttes, voires des traînées. C'est particulièrement douloureux sur ma verge et mes seins mais surtout très cérébrale car on ne sait où et comment je vais être brutalisé.
L'opération dure une dizaine de minutes, ce qui me paraît long. Je pense que tout mon buste et mon bassin sont recouvert de cire. Après un temps d'arrêt, je suis à nouveau placé sur la croix de saint André de dos , face à l'assistance. La cire craque et des morceaux se détachent d'eux-mêmes.
J'ai les yeux bandés et ce sont deux fouets qui à tour de rôle claquent et arrachent la cire.
La douleur occasionnée par la morsure du fouet s'ajoute aux brûlures des bougies.
Certains morceaux ont sûrement arraché des poils pubiens.
Je ne suis que douleur : les fesses, l'anus, le dos zébré et tout le devant.
On me relève enfin. La séance est finie.
Des mains me badigeonnent avec une crème â l'arnica, on m'enveloppe dans un peignoir et j'enfile un survêtement pour me ramener en voiture chez ma maitresse .
Chez elle, j'ingurgite un breuvage chaud et alcoolisé avant de tomber dans les bras de Morphée.
Rappel : Convoqué par la responsable des services comptables à la Direction Générale, je découvre une Maîtresse expérimentée qui fait de moi son esclave.
Je dois quitter Maman pour habiter chez elle et être complètement à son service.
J'ai signé un engagement où je déclare accepter volontairement ma condition.
Ma patronne me donne rendez-vous dans le quartier du Marais. Il pleut et il fait nuit.
Elle sonne à l'interphone, Elle annonce « Rouge. »
Nous pénétrons dans un vestibule gardé par un vigile, elle donne son imperméable et son parapluie.
Elle est chaussée de bottines, d'un leggings en cuir qui la moule et un corset qui rend sa poitrine pigeonnante.
Je dois me déshabiller entièrement et mes effets sont enfermés dans un placard, la clé est donné à ma maitresse. Je dois enfiler un harnais en cuir. Mes attributs sont dans un anneau. Le tout est relié par des sangles aux épaules et à un autre anneau sur ma poitrine. Les sangles font aussi le tour des cuisses sous mes fesses et mon dos. Un collier complète ma tenue.
Par un escalier à vis, j'arrive dans une grande salle voûtées qui sent le renfermé. Une quinzaine de personnes sont debouts ou assises dans des sofas. Des bougies complètent l'éclairage.
Sur la scène, une croix de saint André où l'on m’attache de face. Je présente donc mon dos à la salle.
Deux jeunes femmes nues me rejoignent.
On annonce que la soirée est consacrée à une démonstration de shibari ou l'art de l'immobilisation dans des poses acrobatiques des corps.
Les deux soumises ont une confiance absolue dans la compétence de leur maître qui s'affrontent amicalement.
« Nous avons aussi un soumis débutant qui va subir une première initiation à la douleur. » Cette dernière annonce me concerne.
Les deux maitres opèrent lentement en silence. On sent une grande concentration et un profond respect de l'assemblée.
Les cordes enserrent les membres, la poitrine et le ventre des soumises entravées.
Leur travail terminé, elles sont suspendues.
Un maître s'approche de moi et caresse mes fesses. Il claque à intervalle régulier la fesse gauche . Un autre, gaucher sans doute, claque ma fesse droite… Quand ils cessent, je pense en avoir reçu une trentaine. Je ne sens plus mes fesses. Leurs mains sont larges, de véritables battoirs, la douleur est diffuse et irradie tout mon bassin.
Je sens mon sexe grossir dans l'anneau qui comprime mes bourses. Un doigt s'insinue entre mes fesses et taquine mon anus qui s'ouvre comme une fleur. Il porte son doigt à ma bouche et force l'entrée. Il le fait coulisser sur ma langue. Je sens une effluve de sueur et de cuir, puis il l'introduit dans mon fondement.
Ma maîtresse s'approche de moi, elle a revêtu une large ceinture avec un olisbos long et fin. Elle me chuchote à l'oreille combien je suis belle et désirable.
« Je vais te dépuceler, tu vas aimer, tu en redemanderas. Ne bouge pas, ne dis rien. »
Je sens le bout rond, lisse et gras me pénétrer d'un coup et ne peux réprimer un cri.
Elle se retire aussitôt, prend une cravache et me fouette cinq fois . La douleur est cuisante, je n’ai pas le temps de crier qu'elle me pénètre brutalement à nouveau.
On me détache et on m'amène devant une des filles suspendue.
Elle a les quatre membres en l'air, la tête en arrière, la bouche à la hauteur de ma verge. Je dois lui permettre de me sucer. Vu le traitement que je viens de subir, je n'hésite pas. Elle me prend en bouche et suce doucement, c'est chaud, c'est bon. Son corps se balance doucement et procure un va et vient qui augmente mon plaisir.
Ma maîtresse me sodomise encore et je jouis...de longues rasades tapissent son palais et macle son visage et ses cheveux.
On me dirige alors vers l’autre personne.
Sa posture n'a rien à voir.
Ses genoux et ses bras sont ficelés contre sa poitrine, ses jambes écartées. Les fesses en l'air, la tête vers le sol.
Je dois lui lécher l'anus puis m'assoir sous elle de façon à lui lécher la vulve. On lui relève la tête et un membre imposant la pénètre. C'est celui de son maître. Elle prend du plaisir, mon visage est inondé.
Les deux filles sont libérées et chaudement applaudies.
On amène une large table basse et l'on m'allonge sur le dos . Mes pieds reposent au sol et mes bras sont entravés, tendus derrière moi. Mon corps est arc bouté. Ma tête en arrière m'empêche de voir la scène, je ne vois que les jambes se deplecer.
Trois personnes tournent autour de moi avec les grosses bougies rouges qui éclairaient la salle et ils versent la cire brûlante sur moi. Je ne les vois pas et c'est très aléatoire.
La douleur est cuisante (lol), différente de la flagellation, plus profonde. Toutes les parties du buste reçoivent des grosses gouttes, voires des traînées. C'est particulièrement douloureux sur ma verge et mes seins mais surtout très cérébrale car on ne sait où et comment je vais être brutalisé.
L'opération dure une dizaine de minutes, ce qui me paraît long. Je pense que tout mon buste et mon bassin sont recouvert de cire. Après un temps d'arrêt, je suis à nouveau placé sur la croix de saint André de dos , face à l'assistance. La cire craque et des morceaux se détachent d'eux-mêmes.
J'ai les yeux bandés et ce sont deux fouets qui à tour de rôle claquent et arrachent la cire.
La douleur occasionnée par la morsure du fouet s'ajoute aux brûlures des bougies.
Certains morceaux ont sûrement arraché des poils pubiens.
Je ne suis que douleur : les fesses, l'anus, le dos zébré et tout le devant.
On me relève enfin. La séance est finie.
Des mains me badigeonnent avec une crème â l'arnica, on m'enveloppe dans un peignoir et j'enfile un survêtement pour me ramener en voiture chez ma maitresse .
Chez elle, j'ingurgite un breuvage chaud et alcoolisé avant de tomber dans les bras de Morphée.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sucette
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...
