Comment je me suis piégée en jouant au poker - histoire érotique

Comment je me suis piégée toute seule en jouant au poker.

Mon mari et moi jouons régulièrement au poker Holdem avec des copains. Nous misons cinquante euros sans recave pour la soirée.

Nous sommes six ce soir là. C'est Jules qui reçoit, jeune, célibataire, il habite dans la cité, à côté de chez nous.

Je suis la seule femme, j'ai quarante ans, petite, quelques kilos en trop, je suis coquette car je suis coiffeuse, la clientèle est sensible au look et mon arme c'est le sourire.
Mon mari, lui est routier, il vient de finir sa semaine en déplacement. Ce soir il est fatigué mais il est content de voir les copains et jouer lui fait oublier les tracas de la semaine.
Les autres ont la quarantaine, mariés ou divorcé.

Au bout de deux heures, nous faisons une pause. Nous buvons un coup et discutons de nos vies. Ceux qui ont perdu rentrent parfois mais en général ils suivent la suite pour voir qui va gagner.

Mon mari, lui préfère rentrer car il est fatigué.

Avec nos euros nous avons un stack de cinq mille. Les blinds, mises de départ sont de vingt, cinquante, cent, deux cents… et augmentent tous les quarts d'heure.

A la reprise, nous sommes encore cinq autour de la table et trois à jouer.

Les plaisanteries ont fusé après le départ de mon compagnon et avant la seconde manche du style cinq hommes pour moi toute seule… Allais je assurer etc…

Les hommes boivent de la bière, moi j'aime le gin tonic…. Ce soir, je suis un peu euphorique.

Nous reprenons. Les mises sont de deux cents et Pierre fait tapis et est battu par Max.

Il a maintenant vingt milles et moi dix. Nous sommes l'un contre l'autre en Heads up.
Les mises sont à quatre cents.

C'est un bel homme, commercial, divorcé, charmant, un tantinet dragueur. Il joue bien, prudent et agressif avec les hésitants.

Au flop, j'ai une très bonne main : un brelan de dames, je double la mise, il suit. Au turn, il sort un As.
Je relance à nouveau trois milles en espérant qu'il se couche. A mon étonnement, il suit.

A la river, la dernière carte, il sort encore une dame.

j'ai un carré de dame, As au kicker et je fais tapis.

Il suit encore, j'exulte…. « Et si je me mets moi, tu suis encore, tu suis ?
- Toi ? Ici ? Tout le monde participe ?
- Oui, je vous prends tous ! »
Je suis sûre de gagner et tout lui prendre.

Tout le monde rit, il ajoute : « J'espère que tu vaux le coup, parce que j'ai gros appétit. A chaque fois que je te vois partir au travail sur ton 31, j'ai la trique . Ce soir c'est mon jour de chance, tu vas prendre cher. Tu seras pas déçue, j'en ai une grosse », dit il en se vantant.

En même temps qu'il défait son pantalon, il abat ses cartes : carré d'As. Je n'en reviens pas.

On s'écarte de la table, il est au milieu du salon. Je pense m'en tirer avec une fellation. Je me mets à genoux sur la moquette, je baisse son boxer et une matraque me saute au visage.

Quel engin, il n'a pas menti et il sent bon.

Je la prend en main , la soupèse, c'est chaud, c'est doux. Sous ma caresse, l'engin vibre.

Il me prend la tête de ses deux mains et me tire doucement.

Mes lèvres sont à quelques centimètres de son gland. J'ai un peu d'appréhension… Devant tout le monde, des copains, mon mari va le savoir … Dans ma tête tout se bouscule.

Soudain, la tentation est trop forte, je paye ma dette, c'est une question d'honneur.
Je sors la langue et je lèche son méat puis toute la verge, il a les poils courts, je caresse en même temps les bourses. J'ouvre grand la bouche et l'enfourne. Il touche ma luette qu'il n'en est qu'à la moitié.

Je fais une dizaine de vas et vient, ma langue s'enroule autour du gland, je le pompe à m'étouffer.
J'espère le faire jouir rapidement et solder mon dû.

En fait, cela ne va du tout se passer comme ça.

Il me relève, tire sur ma jupe, enlève ma culotte et me couche sur la table au milieu des jetons. Il me relève les jambes et plonge sa tête sur mon entre jambe. Sa bouche se colle à ma vulve qui s'ouvre et coule littéralement. Sa langue épaisse et baveuse me lape du périnée au clitoris.

Il l'aspire et tourne autour. C'est brutal , c'est délicieux. Mon mari n'est plus aussi fougueux ni attentionné.

Je crois que je vais jouir, tellement c'est bon… et ça dure. J'ai l'impression d'inonder la table...
Je sens que l'on m'enlève les souliers mais j'ai encore mon haut. Je voudrais le sentir en moi, qu'il me pénètre…

Il me relève, finit de me déshabiller et en profite pour me caresser la poitrine. Il est dans mon dos et je m'appuie sur sa large poitrine.
Il prend mes seins par-dessous, j'aime cette caresse. Il me pelote bien et je sens sa verge contre mes fesses. Il me couche à moitié sur la table. J'entends qu'il déchire l'emballage d'un préservatif, j'attends fébrilement qu'il s'équipe puis je sens qu'il se présente à l'entrée de mon vagin.
Doucement, je le sens me pénétrer lentement. Il écarte mes chairs, j'ajuste ma position car il est gros. Une fois en place, il me lime tranquillement. Je suis remplie.
Je soupire d'aise et l'encourage.

Il me traite de salope, de vieille pute. « Elle est bonne ma queue, hein ? T'en as beaucoup vu des comme ça ? Je suis sûr que ton mari en a une petite et qu'il ne sait pas s'en servir… » sous les rires et quolibets.

Les autres ? Autour de la table, pantalons baissés en train de se caresser. Jules a mis un disc vidéo et on entend les gémissements des actrices porno en bruit de fond.

Il me met le pouce sur l'anus et je sens un liquide froid sur ma raie.

« Il te prends le cul ton mari ?
- Parfois, mais t'es trop gros, ça va pas rentrer.
- T'inquiète, avec moi, tu vas en redemander. Je flotte un peu maintenant. »

Il accélère, c'est vrai que je le sens moins bien et il tape contre mon utérus. Cela devient désagréable.

Il se retire, masse mon anus, glisse deux doigts qu'il fait tourner, je m'élargis. Mon mari visite souvent cette endroit et j'aime bien. En me masturbant, je prends mon pied.

Il présente sa verge qui bute, il se reprend à plusieurs reprises, force puis finit par franchir l'obstacle. Je sens ses poils de pubis contre mes fesses. Il est tout en moi et il reprend son coït.

Après une petite douleur au début, le plaisir est revenu. Il me bourre bien. Voilà plus de dix minutes que je suis pliée sur la table et il m'écrase de plus en plus.

Il me prend en poids et s'assoit dans le canapé. Tous sont à poil et attendent leur tour. Jules est invité à venir. Il monte sur le canapé et fléchit les jambes pour que le suce. Il bande tellement qu'il se couche sur ma tête…

Assise, je monte et descend sur un pieu, Jules me baise la bouche et moi, je me caresse frénétiquement. Je pars une première fois.

Ma jouissance entraine celle de Jules qui explose au fond de ma gorge. Visiblement, jeune célibataire, il n'a pu se retenir.

Je me relève pour cracher dans les toilettes. Max enlève son préservatif pas très net et le jette aussi.

Nous sommes tous à poil, un peu étourdis , ne sachant pas trop quelle conduite adopter.

Max n'a pas jouis, ni les autres à l'exception de notre hôte et moi.

Nous buvons un coup, la vidéo est coupée, remplacée par de la musique en sourdine par rapport aux voisins.

On me demande si je vais bien et si je veux continuer. J'accepte, j'ajoute que j'ai pris mon pied et que j'espère jouir encore. On décide d'ouvrir le canapé.

Max est affalé dans un fauteuil face à moi et boit une autre bière. Il m'a semblé le voir avaler une pilule bleue…

Les deux derniers me regarde et me demande la permission. Comme ils sont mignons, ils me présentent leurs verges. Je suis assise au bord, eux debout, je les prends en mains , les caresse et les suce alternativement. J'aime sucer et sentir leurs bites s'allonger sous ma langue.

Je leur demande de se retenir. Au bout de cinq minutes, je sens leur érection suffisamment solide pour mettre un préservatif. Je me mets sur le dos , je continue à sucer l'un quand l'autre me baise à la papa et inversement. Je n'aime pas sucer le préservatif aussi, ils se relaient dans mon vagin. Je me caresse et je demande à l'un de se coucher sur le dos, je l'enjambe et colle mon sexe sur sa bouche pendant que l'autre me sodomise. Bien-sûr, je lui enlève son préservatif pour le sucer.
Les deux acceptent et ne tarde pas à éjaculer chacun à son tour.
Contents de leur soirée, ils prennent congé. Ne reste plus que Jules, Max et moi.

Jules me complimente pour mes prouesses buccales et s'excuse pour son éjaculation précoce.

Vu son âge, cela n'est pas surprenant et je l'invite à me rendre la pareil. Je le guide pour me donner du plaisir en écartant bien mes lèvres puis je l'invite à me prendre. Je suis en levrette en travers du lit et lui à genoux derrière moi. Max se lève et vient face à moi. Il me caresse le dos et soupèse mes seins.

Je tends la langue et il me baise la bouche. Je suis en sandwich, le rythme de l'un s'accorde avec l'autre. Je bouge d'avant en arrière. Je sens mon orgasme monter, Jules accélère et jouit, cela déclenche le mien. C'est le second de la soirée.

Il se retire, me remercie et part aux toilettes. J'entends la douche couler.

Max le remplace en missionnaire, il me relève les jambes sur ses épaules et pratique un coït soutenu, il butte régulièrement sur mon utérus.

La sueur perle sur son front et son torse. Je suis bien, il se retire et me sodomise après m'avoir léché copieusement, sa langue m'a pénétré et je suis bien ouverte. Il glisse en moi profondément, je me caresse et l'encourage.

Jules est sorti de la salle de bain et range l'appartement sans se préoccuper de nous. Le temps paraît suspendue quand la jouissance nous surprend : Il retire le préservatif, se masturbe violemment. De longs jets blancs crémeux maculent mon ventre, mes seins et même mon visage congestionné.

Il est deux heures du matin et nous nous assoupissons plusieurs minutes.

C'est Jules qui nous secoue et nous invite à prendre une douchepour effacer les affres de la soirée et me rendre présentable pour rentrer chez moi.

Conclusion :

Le poker est un jeu où rien n'est sûr. Il faut être prudent et garder la tête froide.

Mais je ne regrette rien. Combien de temps vont-ils garder le secret...???.

En tout cas, j'ai découvert un super amant.