Moi, le larbin 3
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Moi, le larbin 3
Moi, le larbin 3.
Je me réveille dans une chambre immaculée, dans des draps en soie. Le lit est immense, un lit super king size de deux mètres de côté. La lumière rentre à flot par une fenêtre qui donne sur les toits.
J'ai une envie pressante d'uriner mais je me rends compte que la chambre est verrouillée.
Je me rends compte aussi qu'il y a une caméra et un seau en métal dans un coin. Je me résous à l'utiliser. Le bruit de mon urine résonne sur le métal. La camera ne perds rien de mes ablutions.
La faim se fait sentir aussi et je fais signe que je voudrai manger.
Face au lit, il y a un bureau blanc , un grand miroir et une chaise.
La porte s'ouvre et une jeune femme typée m'apporte un plateau garnie. Elle ne dit rien, elle est habillée d'un large sarouel, de sandales fines, elle est couvertes de bijoux clinquants, la poitrine et les épaules sont nues, un djihab lui couvre la tête à l'exception des yeux entourés de khôl.
Son buste et ses bras sont entièrement couverts de tatouages qui forment un entrelacs de courbes colorées.
Quand elle pose le plateau sur la table, je vois ses seins bouger et je comprends ma méprise.
Ses tatouages imitent parfaitement un vêtement. Elle se tient derrière moi, immobile en silence.
Tout en mangeant, je la dévore des yeux. Sa poitrine est très belle, je m'aperçois qu'elle porte des créoles, un petit bijou orne son nombril, de fins anneaux percent ses tétons.
La porte s'ouvre et Maîtresse s'avance. Elle m'ordonne de me déshabiller complètement, la servante débarrasse le plateau puis le seau.
Repus. Je me déshabille et elle m'examine. Les traces des coups de cravache ont viré au violet, presque vert. Tout mon buste est sensible et rouge.
Elle examine de près mes attributs, la cire a arraché par endroit les poils de mon pubis laissant des tâches blanches.
La servante revient avec un charriot chargé de pots , de lotions et de serviettes.
Elle passe différents linges , me nettoie le visage et le sexe. Ses mains sont douces, elle s'applique sur tout mon corps, même les replis les plus intimes. Je n'y suis pas insensible et mon sexe se déplie.
Elle s'accroupit devant moi et prend mon sexe en bouche. Devant le spectacle, Maîtresse revient avec son gode ceinture. Elle m'enduit l'anus et me pénètre fermement. L'engin me paraît plus épais que la veille. Je vois son visage dur dans la glace.
Elle me pince les tétons et au bout de cinq minutes, je jouis dans la bouche de la servante qui se relève et disparaît.
Maîtresse s'adresse à moi.
« Tu jouis dans la douleur, je l'avais deviné. Je suis fier de toi. Aujourd'hui, nous allons nous promener en forêt. Mets ce jogging et tennis." Sous le survêtement, je suis nu.
"Lundi, tu resteras debout dans mon bureau le plus possible pour soulager ton postérieur et ton dos."
Le trajet en voiture est un supplice. Je décolle mon dos le plus possible mais chaque dos d'âne et nids de poule me créer de vives douleurs. Je dois garder le silence mais j'ai l'impression que ma conductrice prend un malin plaisir à ne pas les éviter.
Nous arrivons en forêt. Elle se gare sur un parking désert. Le temps maussade a sans doute dissuadé les familles de venir se promener.
Elle fixe un collier à mon cou et une laisse.
Nous suivons une large allée puis bifurquons par des chemins plus étroits vers des bosquets. L'endroit est visiblement fréquenté car jonché de kleenex usagés.
Maîtresse porte pour l'occasion une tenue de cavalière. Un rayon de soleil fait son apparition et elle me demande de me déshabiller et de m'allonger sur un plaid qu'elle a sorti du sac que je porte.
Au milieu d'une clairière. Elle reste assise sur un tronc coupé et consulte son téléphone. Elle me bande les yeux, m'attache les mains au collier et me baillonne.
Elle me fait relever et marcher, tenu en laisse et me donne des ordres comme à un chien. « Accroupit, debout, couché, plus vite… » Je tourne en rond puis elle m'oblige à lever la patte et à uriner près d'un arbre.
J'entends des bruits de branchages et de brindilles, j'ai l'impression qu'il y du monde. Ou est ce le vent ou mon imagination ? Je suis prisonnier de sa volonté, muet et aveugle.
J'aime cette sensation de ne plus d'appartenir, un sentiment d'abandon et de déchéance.
Je sens des mains qui caressent mon dos. Maitresse m'ordonne de me mettre à genoux et elle me retire mon bâillon. Une verge me pénètre. J'ai un haut le cœur et je veux protester mais deux mains me plaquent aux épaules.
« Ne bouge pas et suce ! » dit elle. Je n'ai jamais sucer d'hommes. Je ne suis pas homosexuel, j'aime être en femme, être dominé par une femme autoritaire mais sucer ou être sodomisé par un homme , ce n'était pas possible. Et pourtant je me soumets, le plaisir est ailleurs. Se laisser faire, jusqu'où va t elle m'avilir?
Le coït m'est imposé, c'est la première fois et le dégoût fait place au plaisir de la soumission. Maîtresse est derrière moi et tient ma tête.
Elle s'adresse à l'inconnu : « Voilà une belle bite pour ma tapette, je le forme et c'est une première pour lui. N'hésitez pas à la mettre au fond, je veux le voir baver et gémir. »
Le mec me baise furieusement la bouche.
Devant ma passivité il dit :
« Je sens plus rien, je vais t'enculer avec la permission de madame. »
j'entends qu'on déchire un emballage de préservatif et un doigt me badigeonne de gel.
L'inconnu saisit mes hanches et me cambre pour me pénétrer. Heureusement que Maîtresse m'a ouverte ce matin car le morceau est gros. Il reprend son coït et commente : « Une bonne pute comme je les aime, un beau petit cul, il est pas bien vieux celui-là et bien serré.
Je ne vais tarder à jouir. »
A peine finit il de parler, que l'on force à nouveau ma bouche.
« Hum, très excitant, je ne peux résister.
- Il est là pour ça monsieur, je vais le mettre à l'abattage, il va avaler des kilomètres de bites. »
Mon enculeur se retire et je sens plusieurs giclées sur mes fesses. Plusieurs minutes plus tard, mon visage subit le même traitement.
Maîtresse me relève, me détache et je m'essuie. Elle me permet de boire et de me rincer la bouche.
Nous rentrons mais je dois me coucher en chien de fusil dans le coffre : « C'est la place du chien, tu pues la bite, salope. »
Arrivé dans son appartement, nous sommes montés directement du garage à son étage, je fus conduit dans une pièce carrelée et douché au jet .
J'ai dû resté nu à ses pieds.
« Tu es ma chose, j'ai prévu un entraînement intensif : sexuel, physique et intellectuel.
Tu peux arrêter maintenant et tu rentres chez Maman. Je valide ton stage dès demain. Tu as fait sensation hier soir.
Aujourd'hui, tu as découvert l'homosexualité masculine mais tu n'as encore rien vu.
Veux-tu continuer ? »
Fatigué, épuisé, tourmenté, j'acceptais avec empressement, curieux de savoir ce que j'allais pouvoir apprendre.
Je me réveille dans une chambre immaculée, dans des draps en soie. Le lit est immense, un lit super king size de deux mètres de côté. La lumière rentre à flot par une fenêtre qui donne sur les toits.
J'ai une envie pressante d'uriner mais je me rends compte que la chambre est verrouillée.
Je me rends compte aussi qu'il y a une caméra et un seau en métal dans un coin. Je me résous à l'utiliser. Le bruit de mon urine résonne sur le métal. La camera ne perds rien de mes ablutions.
La faim se fait sentir aussi et je fais signe que je voudrai manger.
Face au lit, il y a un bureau blanc , un grand miroir et une chaise.
La porte s'ouvre et une jeune femme typée m'apporte un plateau garnie. Elle ne dit rien, elle est habillée d'un large sarouel, de sandales fines, elle est couvertes de bijoux clinquants, la poitrine et les épaules sont nues, un djihab lui couvre la tête à l'exception des yeux entourés de khôl.
Son buste et ses bras sont entièrement couverts de tatouages qui forment un entrelacs de courbes colorées.
Quand elle pose le plateau sur la table, je vois ses seins bouger et je comprends ma méprise.
Ses tatouages imitent parfaitement un vêtement. Elle se tient derrière moi, immobile en silence.
Tout en mangeant, je la dévore des yeux. Sa poitrine est très belle, je m'aperçois qu'elle porte des créoles, un petit bijou orne son nombril, de fins anneaux percent ses tétons.
La porte s'ouvre et Maîtresse s'avance. Elle m'ordonne de me déshabiller complètement, la servante débarrasse le plateau puis le seau.
Repus. Je me déshabille et elle m'examine. Les traces des coups de cravache ont viré au violet, presque vert. Tout mon buste est sensible et rouge.
Elle examine de près mes attributs, la cire a arraché par endroit les poils de mon pubis laissant des tâches blanches.
La servante revient avec un charriot chargé de pots , de lotions et de serviettes.
Elle passe différents linges , me nettoie le visage et le sexe. Ses mains sont douces, elle s'applique sur tout mon corps, même les replis les plus intimes. Je n'y suis pas insensible et mon sexe se déplie.
Elle s'accroupit devant moi et prend mon sexe en bouche. Devant le spectacle, Maîtresse revient avec son gode ceinture. Elle m'enduit l'anus et me pénètre fermement. L'engin me paraît plus épais que la veille. Je vois son visage dur dans la glace.
Elle me pince les tétons et au bout de cinq minutes, je jouis dans la bouche de la servante qui se relève et disparaît.
Maîtresse s'adresse à moi.
« Tu jouis dans la douleur, je l'avais deviné. Je suis fier de toi. Aujourd'hui, nous allons nous promener en forêt. Mets ce jogging et tennis." Sous le survêtement, je suis nu.
"Lundi, tu resteras debout dans mon bureau le plus possible pour soulager ton postérieur et ton dos."
Le trajet en voiture est un supplice. Je décolle mon dos le plus possible mais chaque dos d'âne et nids de poule me créer de vives douleurs. Je dois garder le silence mais j'ai l'impression que ma conductrice prend un malin plaisir à ne pas les éviter.
Nous arrivons en forêt. Elle se gare sur un parking désert. Le temps maussade a sans doute dissuadé les familles de venir se promener.
Elle fixe un collier à mon cou et une laisse.
Nous suivons une large allée puis bifurquons par des chemins plus étroits vers des bosquets. L'endroit est visiblement fréquenté car jonché de kleenex usagés.
Maîtresse porte pour l'occasion une tenue de cavalière. Un rayon de soleil fait son apparition et elle me demande de me déshabiller et de m'allonger sur un plaid qu'elle a sorti du sac que je porte.
Au milieu d'une clairière. Elle reste assise sur un tronc coupé et consulte son téléphone. Elle me bande les yeux, m'attache les mains au collier et me baillonne.
Elle me fait relever et marcher, tenu en laisse et me donne des ordres comme à un chien. « Accroupit, debout, couché, plus vite… » Je tourne en rond puis elle m'oblige à lever la patte et à uriner près d'un arbre.
J'entends des bruits de branchages et de brindilles, j'ai l'impression qu'il y du monde. Ou est ce le vent ou mon imagination ? Je suis prisonnier de sa volonté, muet et aveugle.
J'aime cette sensation de ne plus d'appartenir, un sentiment d'abandon et de déchéance.
Je sens des mains qui caressent mon dos. Maitresse m'ordonne de me mettre à genoux et elle me retire mon bâillon. Une verge me pénètre. J'ai un haut le cœur et je veux protester mais deux mains me plaquent aux épaules.
« Ne bouge pas et suce ! » dit elle. Je n'ai jamais sucer d'hommes. Je ne suis pas homosexuel, j'aime être en femme, être dominé par une femme autoritaire mais sucer ou être sodomisé par un homme , ce n'était pas possible. Et pourtant je me soumets, le plaisir est ailleurs. Se laisser faire, jusqu'où va t elle m'avilir?
Le coït m'est imposé, c'est la première fois et le dégoût fait place au plaisir de la soumission. Maîtresse est derrière moi et tient ma tête.
Elle s'adresse à l'inconnu : « Voilà une belle bite pour ma tapette, je le forme et c'est une première pour lui. N'hésitez pas à la mettre au fond, je veux le voir baver et gémir. »
Le mec me baise furieusement la bouche.
Devant ma passivité il dit :
« Je sens plus rien, je vais t'enculer avec la permission de madame. »
j'entends qu'on déchire un emballage de préservatif et un doigt me badigeonne de gel.
L'inconnu saisit mes hanches et me cambre pour me pénétrer. Heureusement que Maîtresse m'a ouverte ce matin car le morceau est gros. Il reprend son coït et commente : « Une bonne pute comme je les aime, un beau petit cul, il est pas bien vieux celui-là et bien serré.
Je ne vais tarder à jouir. »
A peine finit il de parler, que l'on force à nouveau ma bouche.
« Hum, très excitant, je ne peux résister.
- Il est là pour ça monsieur, je vais le mettre à l'abattage, il va avaler des kilomètres de bites. »
Mon enculeur se retire et je sens plusieurs giclées sur mes fesses. Plusieurs minutes plus tard, mon visage subit le même traitement.
Maîtresse me relève, me détache et je m'essuie. Elle me permet de boire et de me rincer la bouche.
Nous rentrons mais je dois me coucher en chien de fusil dans le coffre : « C'est la place du chien, tu pues la bite, salope. »
Arrivé dans son appartement, nous sommes montés directement du garage à son étage, je fus conduit dans une pièce carrelée et douché au jet .
J'ai dû resté nu à ses pieds.
« Tu es ma chose, j'ai prévu un entraînement intensif : sexuel, physique et intellectuel.
Tu peux arrêter maintenant et tu rentres chez Maman. Je valide ton stage dès demain. Tu as fait sensation hier soir.
Aujourd'hui, tu as découvert l'homosexualité masculine mais tu n'as encore rien vu.
Veux-tu continuer ? »
Fatigué, épuisé, tourmenté, j'acceptais avec empressement, curieux de savoir ce que j'allais pouvoir apprendre.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi non plus je ne suis pas homosexuel mais quand je porte jupe, jolis dessous et talons je me sens délicieusement femme et suis heureux(se) de satisfaire un homme
Très beau récit
Mieux avec le ressenti du soumis?
À suivre
Mieux avec le ressenti du soumis?
À suivre
